La cultérieure ?

La culture, immense mot générique susceptible de toutes les interprétations, va du showbiz (pompe obsédée de phynances) jusqu’au soulèvement de tout l’être (splendidement gratuit comme tout l’univers). Or, soudain il est prétendu qu’il est oublié ce monde du spectacle – alors que nous voyons plutôt, les soignant.e.s, les caissières et les femmes d’entretiens l’être beaucoup trop et trop vite. Et complètement. Le monde du spectacle (qui asservit au seul spectacle du monde ?), lui, n’est jamais oublié, trop omniprésent plutôt. Alors de quoi s’agit-il vraiment ? Juste une énorme diversion afin d’effacer toutes les catastrophes humaines qu’une non gestion de la crise…sanitaire a causée ? Si ce l’est, les preuves en viendront vite : - sinon, la description objective de l’irruption ? Seulement l’argent, encore et encore. Le vil ministère de la culture qui ne devrait absolument pas exister – assez d’initiatives locales le remplaceraient et en tellement mieux – c’est l’attribution de monnaies alors ? D’abord, pourquoi tant de défiances argumentées envers ce ministère de la culture ? Aura amplement suffi l’imposture, et qui dure depuis les années 1960, de « l’art contemporain » (qui n’est art ni contemporain seulement de la spéculation sur du vide labellisé !) qui a été jusqu’à contraindre les DRAC (direction régionale d’art contemporain) d’acheter et très cher – oui avec de l’argent public c’est cela l’escroquerie – des… absences d’œuvres sans la moindre valeur. Soit encore ce que l’obsolète néolibéralisme se permet de saccager juste pour son avidité (sans cesse reconduite) pour l’argent…public. Et ses faux gains parasitaires (mal vécus, mal gagnés, mal acceptés, mal utilisés et dont personne ne voudra garder souvenir) sur tout ce qui devrait nous grandir, nous rendre meilleurs et nous transmuter ? Un œil sur cette défaite du cœur (être Trop riche et s’approprier absurdement ce dont ils ne comprennent rien ! interrompant le fil sacré des transmissions…) et l’autre sur tous les possibles : ces arts, tous, ces écrits, ces amples dictions, ces tribalités telluriques qui peuvent encore transfigurer l’Humanité ! Nous allons traverser ensembles cet ultérieur (l’après transfiguré) que la culture contient toujours (le vrai nouveau ne peut accepter les vieilles rengaines du passé et, notamment, le trop obsolète néolibéralisme)…Et ses extensions inacceptables (big Pharma, show biz ou éditions du seul cens trop censeur, pour faire court !). Facile à comprendre non ?

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Librairies-indépendantes-:-survivre-dans-le-confinement-!

« Les librairies indépendantes tentent de survivre au confinement « sans pouvoir… augurer de la suite »…Le confinement aura au moins été marqué par une victoire pour les librairies indépendantes : la condamnation d’Amazon, pour n’avoir pas rempli « son obligation de sécurité et de prévention de la santé des salariés » face à la crise sanitaire [[ selon l’article L 4121-1 du Code du Travail…]]. Le 24 avril, la cour d’appel de Versailles a confirmé un premier jugement du 14 avril : le tribunal de Nanterre, saisi par le syndicat Sud-Commerce, a ordonné aux six entrepôts français de l’entreprise de cesser la livraison de produits non-essentiels, dont… les livres [[ d’aucun.e.s trouvent que les livres sont de produits essentiels . Uniquement si la Libre circulation des idées existe, qu’aucun barrage par l’argent intrus ne vienne interrompre ce flux vital !]]. « Enfin ! s’exclame Martine Lebeau. Depuis le temps qu’Amazon fait la loi dans la chaîne du livre. Si encore c’était une entreprise qui payait ses impôts et traitait correctement ses salariés [[ il est, alors, temps d’imposer les conditions de base de la dite… Libre concurrence, du «marché libre», …que les plus gros respectent Plus les règles que les autres…pour le moment c’est plutôt bien moins, faussant ainsi tous les processus et efforts collectifs !]]… Mais il a fallu une telle situation pour avoir un jugement ! Et ce n’est pas assez. Car toutes les grandes surfaces vendent aussi du livre. » Les supermarchés ont pu continuer à vendre des livres alors que les librairies étaient fermées. « Aujourd’hui, les grandes surfaces se font un fric fou, elles vendent tout, sur le dos du petite commerce, dont les livres, abonde Frédéric Siméon [[ la grande distribution-marché noir n’en sort vraiment pas grandie ! Sans doute va-t-elle y perdre beaucoup dans les prochains mois. Et beaucoup !]]. « La structure coopérative permet de mieux encaisser le coup » [[ en effet, il reste essentiel de savoir qu’est-ce tient le mieux le coup lorsque le Privé abandonne la société, laisse tomber les humaine.s pour se précipiter sur des profits…plus qu’immérités au lieu, en toute responsabilité, de gérer la crise sanitaire !]].

À la librairie Libertalia de Montreuil, dans le 93, « on anime une permanence d’une grosse heure le matin, et de deux à trois heures l’après-midi. Les gens du quartier nous contactent par téléphone, par mail, via les réseaux sociaux et viennent retirer leurs commandes. Au départ on pensait qu’on ne sauverait que des miettes, qu’il s’agissait surtout de relancer la machine. Finalement, en dix jours de vente à emporter, on a presque sauvé le mois d’avril. Ce soutien des voisins nous a remonté le moral [[ ces structures, mentalement…décentralisées, permettent, en un instant, de se déployer très différemment afin de coller au réel tel qu’il arrive – au lieu de mortifier la société de dogmes obsolètes du centralisme qui…empêche en fait tout le monde d’agir…sainement !]]», dit Nicolas Norrito, le co-gérant. Libertalia a une double casquette, c’est aussi un éditeur de livres politiques et engagés. « En tant qu’éditeur, nous continuons à vendre en direct, via le site. En ce moment, c’est le seul poste qui n’a pas baissé, il est même en nette progression. »(…) La gérante des Volcans [[ qui a vécu nombres de catastrophes…]] est plus optimiste. La librairie qui compte aujourd’hui 42 salariés, a traversé des moments encore plus difficiles. Menacé de fermeture définitive en 2014, elle a été sauvée par une partie des salariés, sous forme coopérative. « On ne savait même pas si le tribunal nous autoriserait à rouvrir. Aujourd’hui, la structure coopérative permet de mieux… encaisser le coup du confinement. La réserve impartageable, obligatoire pour les coopératives, produit son effet [[ très bien vu..]]. Nous avons la chance d’avoir des résultats positifs depuis 2014. Nous avons donc un peu d’argent d’avance, ce qui nous permet de voir venir à peu près sereinement. Il ne faudrait cependant pas que cela dure trop longtemps. » Suffit que le déconfinement devienne une Transformation collective…

Presstalis-la-colère-monte-chez-les-petits-éditeurs-!

« Plus le précipice se rapproche, plus l’inquiétude s’intensifie chez les éditeurs indépendants. Le 12 mai, le tribunal de commerce de Paris pourrait décider du redressement judiciaire du premier distributeur de la presse française, gelant mécaniquement une créance de 120 millions d’euros, représentant les sommes issues des dernières ventes réalisées par les journaux dans les kiosques et autres maisons de la presse [[ ces structures si rigides et monolithiques desservent en fait tout le monde en cas de… transformations complètes des données de fonctionnements – il est si temps de remettre en compte et en causes toutes les Routines du passé devenu si passivant !]]. Presstalis doit donc être restructuré. Pour y faire face, l’Etat propose aux groupes de presse une aide financière soumise à conditions [[ comme quoi il reste Essentiel que l’argent public soit soumis tout le temps à conditions !!]] : il pourrait injecter 83 % de la fameuse créance éditeurs, soit 100 millions d’euros, la moitié sous forme de subventions, l’autre sous forme d’un prêt remboursable en six ans. En échange, 70 % de la somme doit être réinvestie dans la restructuration de Presstalis [[ sauf que…]]. Si le président de Presstalis, Cédric Dugardin, a affirmé dans nos colonnes que la plupart des éditeurs étaient favorables à ce plan, ce n’est pas le cas des petits groupes de presse indépendants. « C’est une créance qui devient une dette. On me… doit un million d’euros, et à la fin je dois payer 160 000 euros. C’est comme si vous me voliez ma montre, et qu’après, je doive vous payer pour avoir l’heure », s’insurge l’ancien directeur du Monde Eric Fottorino, fondateur de l’hebdomadaire Le 1, et des trimestriels Zadig et America [[ ce qui répond à la forfaiture néolibérale du « ruissellement inversé »…où ce sont celles/ceux qui n’ont rien qui doivent enrichir ce qui ont beaucoup trop – L’injustice est flagrante lorsqu’elle les frappe, mais en temps qu’un journal qui a failli à tous ses devoirs…sociaux et humains, d’entraides et de soutiens (le Monde) il est triste qu’il ne s’en aperçoive pas pour…les autres !]].

« C’est notre argent, nos vies, notre indépendance. On ne veut pas de ce chantage » Thomas Aïdan, à la tête d’une revue de cinéma [[ la solution est bien de Changer de structure de fonctionnement et de quitter pour toujours le capitalisme qui s’enrichit uniquement du malheur des autres ! Vérifié non ? Le chantage inélégant est toujours le même, tous les livres d’histoire le rappelle !]]. Presstalis lui doit 800 000 euros, sans compter 200 000 euros supplémentaires liés à une surtaxe sur les ventes mise en place en 2018 lors d’un précédent plan, et que les messageries s’étaient engagées à rembourser. Une somme conséquente pour le petit groupe de presse, qui génère 4,5 millions d’euros de chiffre d’affaires. »….Ce sont les petits qui supportent toutes les charges du système, leurs efforts sont souvent volés par ceux-là mêmes qu’ils rendent…trop privilégiés. Il ne tient qu’à tout le monde de faire s’écrouler cette artificielle (donc non nécessaire) pyramide durcie de toutes injustices…les créativités vont alors se multiplier. Le seul progrès possible c’est par le social…

Coronavirus-la-moitié-des-petites-maisons-d'édition-menacées-de-fermeture-181995

« 0 % de livres en moins jusqu’à la fin de l’année. C’est l’estimation d’Antoine Gallimard, à la tête du troisième groupe éditorial français. Dans une récente interview pour France Info, il explique que le secteur de l’édition, «est particulièrement touché» par le confinement. Il prévoit « une réduction de parutions de livres de l’ordre de 40 % jusqu’à la fin de l’année. Lui a déjà annoncé perdre près de 90 % de son chiffre d’affaires… une baisse encore plus importante pour les petites maisons d’éditions. Celles qui éditent entre 5 et 10 livres par an. Un constat que partage Pierre Dutilleul, directeur général du syndicat national de l’édition. Il annonce « une période longue et difficile pour le secteur ». D’après le syndicat, le chiffre d’affaires de l’édition baisserait de « 90 % à 100% pour les plus petites maisons.» [[ donc pour les petits qui, si les structures si passéistes continuent, vont payer infiniment plus que les autres !]]

 « Des mesurettes » : Le revenu des maisons d’édition subi de plein fouet la fermeture des librairies, « le poumon du livre » selon l’expression de Pierre Dutilleul. En effet, sur France Inter Franck Riester a assuré qu’« il y a des dispositifs qui sont mis en place pour ne pas obliger les libraires à payer ce qu’ils doivent à leurs éditeurs ». Et même si le monde de l’édition bénéficie des mesures générales prises par le gouvernement (report des charges et des impôts, indemnité de 1500 euros pour ceux qui ont perdu leur chiffre d’affaires, fonds d’aide et facilités de trésorerie...) Frédéric Araujo assure que « c’est loin d’être suffisant, ce sont des mesurettes, ça va aider les grosses maisons c’est tout [[ et là l’essentiel est dit : la stratégie des grandes entités reste de se poser en « généreuses » défenderesses des petite entités… afin d’arracher des arrangements…collectifs – mais, au final, seules ces « grosses maisons » en…profiteront – vérifiable toujours tant que nous demeurons dans les manières de …ne pas penser d’avant !]] ». Il déplore un combat perdu d’avance, « c’est toujours David contre Goliath » déclare-t-il. « Quand on sait combien coûte la production d’un livre – entre 5 000 et 10 000 euros – c’est dérisoire » estime l’éditeur. »…Aucun combat n’est perdu d’avance à condition de bien le...reformuler ! 

/déconfinement-cinéma-les-tournages-ne-reprendront-pas-avant-fin-Mai

« Les grandes lignes du “plan pour la culture” ont été dévoilées ce mercredi 6 mai par Emmanuel Macron. Après une rencontre en visioconférence avec une douzaine d’artistes du cinéma, de la littérature ou de la musique depuis l’Élysée, le président de la République a pris la parole pour annoncer les aides envisagées pour ce secteur qui rassemble 1,3 million d’acteurs culturels [[ en effet, c’est un chiffre très…significatif !]]. Et alors qu’on ne connaît pas pour l’instant la date à laquelle pourront rouvrir les salles de cinéma après le déconfinement, il a été évoqué une ébauche du calendrier de reprise des tournages de films et de séries sur le territoire [[ ce pourquoi le procédé éventé d’utiliser les médias à l’aide de stars pour faire pression mais… afin que le «ruissellement inversé » agisse…les plus gros producteurs ramasseraient tellement plus que toutes celles et ceux qui feront tous les efforts…sauf si nous passons vraiment à Autre Chose – les intermittent.e.s, et ce grâce à leurs luttes passées, s’en sortiront avec…moindres dommages (l’année blanche)…mais tout crie qu’il faille changer TOUTES les structures existantes !]]. Pour rappel, les films “Les Tuche” et “Astérix et Obélix” ou les séries “Demain nous appartient” et “Plus belle la vie” font partie des projets mis à l’arrêt depuis le début du confinement [[ alors que de plus petits projets mériteraient ces publicités dont ces trop routiniers n’ont surtout pas besoin..]].

Pour pallier les pertes financières des sociétés de production française et de tous les métiers qui y sont liés [[ mais ne faut-il pas pallier leurs…gains parfois ?]], le gouvernement annonce la mise en place “d’un fonds d’indemnisation temporaire” pour venir en aide aux tournages annulés ou reportés. Si on ne connaît pas les détails d’attribution de ce fonds, il devra être mis en place avec l’aide du CNC et l’implication des “assureurs, banques, Sofica” qui “doivent être mis devant leurs responsabilités” [[ ce rappel que les trop Riches ont été…dispensés de toute aide au pays…en guerre ne vient que rarement…les désertions des trop riches (dont la structure même des patrimoines avoue qu’ils se sont tant enrichis avec l’argent…public…ce qui leur crée, en retour, des Devoirs, devoirs qu’ils refusent d’assumer…et donc dans ce cas c’est…réquisitions de prévues non ? Réquisitions contre eux “qui doivent être mis devant leurs responsabilités” comme il est si justement précisé…]]. “On n’y arrivera pas tout seul”, avance Emmanuel Macron. » …Oui s’agit-il bien de cette culture qui n’appartient qu’au business – celui qui ne partage guère lorsque des flots de bénéfices surviennent – la spécialisation seulement côté argent de « cette » culture rétrécit donc terriblement l’ambition de ce «plan culture» ? Ou de la culture « toujours oubliée… avec ou sans crise», la culture des…Contenus qui sauvent toujours (au fait et au fond) le futur collectif ? Puisque là…se défausse encore ce qui ne vient qu’imposer le plus qu’insensé… ruissellement inversé (l’inadapté néolibéralisme ). Ce sont aux acteurs de la culture de tout trouver afin de sortir de l’ornière…Surtout très vraie pour le bas qui rame pour les autres. Pas du tout pour le haut, puisque quoi qu’il arrive (dans les structures d’avant qui ne devraient pas…être reconduites !) gagneront…ou bien sur le dos des petits (par exemple ces 60 % petites éditions qui …disparaitraient d’ici la fin de l’année… selon les organigrammes du passé seulement !) ou bien grâce aux acquis collectifs (…dont eux/elles, sans effort autre que l’effet systémique automatique, ramasseront le plus tout ceci dû aux seuls efforts en…commun pourtant !)…Oui tout ceci doit changer (pourquoi les luttes collectives ne sont jamais suivies de…gestions collectives, de co-Opérations, de collectes pour plus de collectif ?, etc…tant d’efforts qui s’ensablent !!)…

8-mesures-de-sauvetage-pour-que-la-culture-reste-vivante-!

 « Les entreprises de spectacle et de l’audiovisuel ont été les premières à devoir cesser toute activité et seront certainement les dernières à pouvoir la reprendre [[ nous en reparlerons de ces 8 idées… ]].

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La-jeunesse-du-monde-de-la-culture-étudiants-travailleurs-ce-n'est-pas-à-nous-de-payer-la-crise

Les crises actuelles ne sont créées que par le haut par la plus…qu’inculte oligarchie et ce à cause de leurs Voracités anormales sur l’argent public. Et ? En plus, de ces très graves dommages, ces personnages…égarés veulent tout faire payer par les autres ! « La jeunesse du monde de la culture : première variable d’ajustement pour maintenir un système toujours plus élitiste » [[ seulement pour le pognon si injustement… réparti , ce qui est très anticonstitutionnel vous savez,- parce que pour la triste absence d’envergure morale, le sens perdu des devoirs impératifs et les connaissances vraie, c’est juste une très…non-élite voire anti-élite ]].

La jeunesse étudiante du monde de la culture aujourd’hui est la première à subir les privatisations et l’élitisation [[ faux - demander dissymétriquement de l’argent ne « fait » pas l’élite…trop d’argent à l’entrée de l’université seule une… anti-élite peut sombrer dans ces…imbécillités !]] de son enseignement. D’une part dans les universités avec la suppression progressive des enseignements jugés non-rentables dont les filières artistiques, littéraires ou de sciences humaines dans l’enseignement public [[ tiens on dirait que les si lentes pensées des médias mainstream leur trouve de la…rente (rentable) future pour faire…diversion dans le déconfinement qui risque de les laisse…déconfits eux…pas le déconfiné.e.s !]], au profit de l’enseignement privé hors prix faisant miroiter une insertion facilitée dans le monde du travail [[ pas par sa vraie valeur par un vain piston qui…médiocratise tout et offre un gouvernement de technocrates psychorigides millionnaires si…hors toute réalité au point  ne…pouvoir la gérer ! Plutôt gigantesque échec…collectif ces…frivolités non ?]]. En parallèle de ce phénomène, le maintien de l’héritage de l’enseignement de l’art comme un luxe réservé à une élite, qui repose sur le fantasme du rôle d’ascenseur [[ censeur seulement pas ascenseur puisque le censitaire ( de cens) délire à vouloir illégitimement tout...censurer afin que nul.le ne puisse comprendre le désastre de leurs vies intérieures, c’est ça ?]] social que pourraient jouer les institutions compétitives pour les rares chanceux qui ont travaillés assez assidûment pour pouvoir prétendre y entrer, cherchant à s’élever par la force de leur volonté dans une classe sociale supérieure [[ appellation erronée puisque ces « fausses » classes supérieures ne sont qu’inférieures dans le moindre de leurs comportements, les exemples pullulent pour qui veut vérifier !]].

Les études dans le domaine de l’art et la culture, qu’il soit manuel ou intellectuel, sont faites de stages, d’alternance, de travail sur le terrain qui permettent… d’utiliser cette armée de réserve que constitue la jeunesse comme une main d’œuvre jetable à moindre coût [[ tromperies qui rabaissent surtout ceux qui s’y adonnent et …massives corruptions et immoralisations de la société toujours par le …prétendu Haut hein ?]]. Beaucoup d’institutions autant publiques que privées n’hésitent également pas à faire appel à une main d’œuvre jeune, étudiante ou non, à grands coups d’appels à projets ou à participations rémunérées en “expérience” ou en “visibilité”. Il s’agit pour ses institutions d’utiliser l’hyper-compétitivité d’un marché du travail où la compétence est jugée par la capacité à se constituer un réseau, en réalisant des… économies sur le dos de cette jeunesse surexploitée pour se maintenir à flot dans une période de coupes budgétaires [[ cela dépend pour qui ! L’utilisation générale des mots cache que les situations sont extrêmement discriminatoires : les dites coupes budgétaires n’affectent que les moins corrompu.e.s…le déconfinement peut changer tout cela…Rien n’est plus Solide que le solidaire le démontrera…]].

<<>>---- « La culture aura un rôle majeur à jouer pour nous permettre de retrouver des jours meilleurs » a déclaré Franck Riester au journal le Monde, à la suite de l’annonce des décrets d’aide au secteur de la culture. Entre des mesures qui ne font, au mieux, que décaler dans le temps le problème du renouvellement de leur statut pour les intermittents, et un plan de relance économique toujours aussi flou pour le secteur en entier qui n’adresse pas ses problèmes structurels, le ministre de la Culture rappelle que « le New Deal de Roosevelt, après la Grande Dépression, avait massivement investi dans la culture » [[ ces trop soudains retours de…mémoire alors que la culture reste le lieu bien caché d’une très forte et continue…prolétarisation, oui de grandes misères pour un grand nombre…ne répond pas à ce prétendu rôle…Majeur. Puisqu’il n’apporte rien de concret afin de le…prouver !]]s. Dans un contexte d’unité nationale chancelante, Franck Riester voudrait utiliser la culture pour colmater les brèches de la non-gestion de la crise sanitaire par le gouvernement [[ très exactement…détourner l’attention…ne plus parler des 1ères et secondes Lignes…commencer à voler au moins 80 % de la société, etc. ]]. Nous ne serons pas les petites mains des architectes de l’unité nationale [[ fausse unité puisque ce centralisme inapplicable Exclut tout le monde de cette unité, il se la gatde pour lui au point de réquisitionner l’unité pour eux tous seuls ! Et donc de ne…l’utiliser jamais…]] et, si nous pensons que les jeunes travailleurs et étudiants du monde de la culture peuvent participer à jouer un rôle dans la gestion de cette crise autant sanitaire qu’économique, nous n’accordons aucune confiance à ceux qui en sont les architectes [[ exactement…]].

Des travailleurs des Opéras, des théâtres et des ateliers de décors participent déjà à la confection de blouses et de masques pour les soignants, comme les services coutures des Opéras de Nice ou de Paris, mais aussi de nombreux autres. Dans l’événementiel, des prestataires utilisent également leur matériel pour, entre autres, la mise en place de zones de dépistage. Le matériel des écoles et des UFR d’arts, d’audiovisuel et de la culture dans le sens large, ainsi que le savoir-faire de certains étudiants ou professeurs peuvent être utiles face aux pénuries que révèlent cette crise : qu’il s’agisse de produire des blouses ou des masques, de manipuler une imprimante 3D pour fabriquer des visières ou des pièces de respirateurs, ou encore d’utiliser du matériel de construction temporaire pour aménager des espaces de dépistages [[ la surutilisation (en évitant surtout de le dire) de toutes ces Grandes petites mains et de ce matériel est, en effet, massif…et laisse l’impression costaude que c’est la base qui fait Tout et qu’eux monopolisent la parole afin de dissimuler qu’ils/elles ne font…quasiment rien à part parler…à la place des autres en plus. Vrai ou faux ?]].

(…) Il s’agit là d’un moyen de tenir à l’écart la jeunesse [[ un de plus, il y en a tant d’autres !]] des décisions que l’on prend pour résoudre cette crise aux conséquences économiques majeures. C’est pourtant nous qui vivrons dans le « monde d’après » [[ une priorité d’urgence existe bien…]] à payer toujours plus les décisions qui sont prise aujourd’hui, à commencer par les cadeaux faits [[ et sans conditions préalables et sans garanties futures – ce qui reste Illégal dès qu’il s’agit d’argent public !]] aux entreprises qui creusent le déficit étatique, qu’il va falloir rembourser de nos poches, par nos impôts et des conditions de travail qui vont se aller se dégradant pour économiser toujours plus ! Nous devons refuser ce qu’on nous présente comme un état de fait ! [[ ce n’est pas une fatalité c’est juste un silence sur l’Essentiel – qui est : un budget collectif est basé sur les Recettes et entendons-nous parler de l’Augmentation judicieuse des recettes  - non que de la déplorable Diminution des dépenses. Or le non- paiement par qui Causent ces crises est de …1 fois et demi (1,5 ) le montant de recettes actuelles – soit pour un visibilité totale : 2,5… (de quoi couvrir toute mes Dépenses non ?)…Donc ils ne paient QUE ce qu’ils doivent Légalement (oui ils le doivent c’est un Devoir impérieux) et…plus de…crise du tout…facile à comprendre non ? La culture globale peut aider en tout cas !]]. Non, ce n’est pas à nous de payer la crise qu’ils ont… engendré [[ voir le problème et la solution en même temps ]], ni de nos années d’études, ni de nos vies ! Luttons non seulement pour l’annulation de nos partiels et de nos examens : la seule mesure qui peut, en ces temps pandémique de mettre toute la jeunesse étudiante sur un pied d’égalité relatif ; mais aussi pour qu’un salaire étudiant à la hauteur du SMIC soit versé à tous. »…Problématique à l’envers – d’abord, oui tout d’abord, créer une société, entrer dans la nouvelle civilisation qui Permettent tout ceci avant de la poser comme…But qui nécessite de efforts et des intelligences sensibles mis en commun ! Comme dans la chanson de Gun Giant – « Music is not a show »…

C'est quoi la trouille de ces imposteurs
que les gens comprennent
que s'ils avaient créé des coopératives de production
et de diffusion partout
le système capitaliste aurait été aboli depuis 30 ans
ce sont bien eux les plus grands défenseurs réels
de cet inadmissible système
ils se déguisent juste en faux rebelles sur la pochette
serait temps de virer les imposteurs
et de faire de la musique la plus gigantesque coopérative
d'où tous les trahisons et flicages des médias
seraient bien exclus.
 

La-culture-face-au-covid-un-flou-pas-très-artistique

« Parce qu’ils accueillent du public, les professionnels de la culture font partie des victimes collatérales de la crise. Un paradoxe quand on sait que le confinement pousse les Français à lire, à commander des œuvres sur Amazon, à regarder des films sur leur ordinateur… Plus que la situation actuelle, c’est la… reprise qui inquiète le secteur [[ prise sur le neuf, l’inconnu, le jamais fait, le pas encore pensé, etc. – soit nous entrons dans le carrément nouveau soit nous allons nous enliser (et pire qu’avant) dans des routines…mortifères et… toutes les médiocrités de comportements qui vont en découler…]] . Alors qu’il faudra faire face aux versements des loyers, des crédits et des charges, la visibilité sur le redémarrage de leur activité est quasiment nulle. Quant aux intermittents du spectacle, leur régime s’adapte mal à la crise. Faute de 507 heures de contrat sur douze mois, ils perdent tout droit à l’assurance chômage. Leur indemnisation est pour l’instant prolongée jusqu’au 31 mai [[ …mise en année blanche depuis…]], mais la pandémie menace de les laisser sans cachets pendant de longues semaines… Jean-Marc Dumontet, propriétaire de six théâtres privés : « Nous avons mis nos 180 employés au chômage partiel, des gros spectacles ont été annulés, j’ai un manque à gagner de 5 à 6 millions d’euros. La question c’est “comment ça va redémarrer ?”. Les gens reviendront-ils au théâtre ? Il va y avoir l’appréhension du public, la promiscuité. »…Soit tant de rapports sociaux et humains à RECONSTRUIRE…assez des destructions massives des gouvernements si Ennemis du pays, non ?

-/en-Crimée-les-trublions-aussi-aiment-la-poésie-

Combien de fois me suis-je enflammé,
Résultat, gueule de bois pour l’éternité !
À présent, pour la bouteille adorée,
Je rassemble mes roubles déchirés.
La dame de cœur sera à nouveau abattue,
Et le valet en roi jamais ne se mue…

P.S. Citoyens, donnez aux invalides,
De l’armée de l’amour, les invalides.

Souleyman Krymov, 1994, Kamtchatka, Elizobo.

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Cette-capacité-de-voir-l'invisible-que-partagent-artistes-et-scientifiques

….Et si c'était pour du vrai : plus on partage, plus on possède ?

……..<<>>**** En fait ce texte du jour et le 1^er de plusieurs autres – tellement il y a à dire...

……………………..…et sous différents angles…

…D’abord, il fallait dessiner à quel point la Coopératisation (ou autre mot)  de toute la culture…

…………………………………CHANGE Tout !!

…..…..……    …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu