Pourquoi les antipub ont le vent en poupe ?
D’autres époques voyaient leurs efforts s’effriter, mais ces jours-ci il semble que le terrain des mutations de mentalités soit prêt. Exactement comme sont fermement rejetés les comportements racistes qui se voient dénudés crûment, comme jamais, et par leurs victimes mêmes, ici, le socle de l’inacceptation collective de la publicité est mûr. Les produits utiles n’ont pas besoin de pub, est-il balancé. Ce qui induit que seuls les produits inutiles soient portés par l’agression publicitaire. Créer de faux besoins par des harcèlements incessants c’est à quoi se résume cette pub, qui présente tout le visage d’une délinquance rampante…Ce pourquoi nous pouvons tout à fait nous passer de ce pitoyable mensonge organisé et passer à une information obligatoirement honnête ! C’est qu’elle est, la pub, le cheval de Troie du consumérisme – cet état permanent d’enfantillage IRRESPONSABLE - qui ne peut finir qu’en pandémies. Et dont la civilisation doit à tout prix se défaire. Voyons comment :
31-milliards-d'euros-de-dépenses-pour-la-publicité-chaque-année-l'urgence-de-la-réguler-!
La publicité, un monopole juteux qui pousse à la surconsommation [[ nous commençons par le factuel et allons poursuivre par de l’explicatif grandes ailes…]]
Les sommes sont colossales. En 2021, les dépenses de communication des grandes entreprises seront supérieures à 1500 milliards de dollars dans le monde entier. En France, les dépenses atteignent 46,2 milliards d’euros chaque année, dont 31 milliards d’euros dans la publicité et le marketing. Cela représente 2% du PIB de la France ! Malgré son poids économique, seulement… 0,02% des entreprises ont accès au marché publicitaire français [[ donc le dopage c’est du surmultiplié par… 100 : de 0.02 à 2 !]]. Au total, 672 entreprises contrôlaient 80 % de ce marché en 2015. C’est pourquoi Les Amis de la Terre France, Résistance à l’agression publicitaire (RAP) et Communication sans frontières (CSF), en partenariat avec l’Observatoire des multinationales et de nombreuses associations et universitaires, ont donné dans leur rapport des recommandations concrètes pour réguler ces activités d’influence des entreprises [[ rapport accessible en entier par le lien ci-dessous ]].
Multinationales.org/IMG/pdf/rapport_big_corpo_synthese_mai2020-2.pdf
« 25 annonceurs contrôlent à eux seuls un quart du marché, avec des budgets moyens pour les campagnes dépassant les 200 millions d’euros. » précise ainsi le rapport [[ omettant de signaler que la politique de l’Offre implique que le «client n’est surtout pas roi » : aucune de ses demandes, fussent-elles légitimes, ne peut passer…après des budgets aussi lourds. Et comme Steve Keen l’a prouvé il n’y a pas…rencontre de la loi de l’offre et de la demande puisque l’agression de la publicité écrase toute demande. Et impose (enfin… imposait) que des…faux besoins…]]. Les défenseurs du secteur publicitaire arguent que la publicité a un impact positif direct sur la croissance du PIB mondial. Un rapport Deloitte de 2017, commandé par la WFA (World Federation of Advertisers, soit les plus gros acteurs du secteur), explique qu’« un euro investi en publicité dans l’Union Européenne peut générer en moyenne 7 euros pour l’économie. » Une étude biaisée qui relève « d’hypothèses plus que généreuses », selon les auteurs du rapport BIG CORPO [[il reste à contrer de partout les mensonges minables, en fait, de la bourgeoisie – et ce blog y contribue depuis le départ ]].
« Cette étude nous semble mélanger plusieurs choses à la fois [[ et avec préméditation ]] parce qu’elle reprend des travaux de différents acteurs qui ont travaillé sur le lien entre l’augmentation des dépenses publicitaires et la croissance [[ fondre frauduleusement ce qui est collectif (la croissance) et corporatiste (la pub) - comme si la pub était Toute la croissance !]]. Elle essaie ainsi de s’attirer le nombre d’emplois soi-disant créés par la publicité jusqu’à ceux des journalistes dont les médias dépendent de la publicité ! Dans la réalité, il est difficile d’extrapoler des résultats sur la croissance en France. » explique ainsi Mathilde Dupré, de l’Institut Veblen, lors de la conférence de presse suite à la parution du rapport [[ que de pertes de temps : à ne jamais Synthétiser mes résultats globaux -: nous devons passer des euphémismes et des refus polis sur le fait que ces prétentions ne… sont pas…possibles. Pourquoi ne le pas dire direct sans passer par 3 bandes de…dérivations avant ?]]. Mais ces investissements promotionnels entraîne surtout un phénomène de surconsommation de masse, notamment à travers « l’obsolescence marketing », dont la société Apple est une grande spécialiste, pour inciter les consommateurs à s’acheter de nouveaux produits [[ ce qui est aussi « masqué » est qu’une partie des dépenses publicitaires est très TOXIQUE et socialement et pour la Nature, puisque ce n’est que pousser – comme des délinquants – à tout gaspiller (et la Nature ne peut plus supporter de gaspillages sinon en virant en pandémies)…l’obsolescence programmée doit être nommée comme un crime contre l’humanité. Ce qu’elle est dans les faits…]].
Selon une étude de l’ADEME parue en 2017, 88% des téléphones portables sont remplacés alors qu’ils fonctionnent encore [[ c’est une délire Immense – qui assassine la Nature, et la Vie qu’elle seule contient et porte ! C’est d’une idiotie inexcusable …faut vraiment mettre fin à ces aberrations mortelles…]]. Ce sont près de 25 millions de téléphones portables qui sont vendus en France chaque année, entrainant la mise au rebut d’autant d’appareils…[[ et tout gaspillage prouve n’être que pillage voyou du meilleur de l’humanité !]]. Or, «les citoyens financent principalement leur surconsommation en augmentant leur temps de travail au détriment du temps de loisirs et en recourant au crédit. » indique le rapport [[ comme si une nuisance ne suffisait pas, il faut que toutes…s’ajoutent – le consumérisme-cercle-vicieux est vraiment une inhumanité…qui ne veut rien savoir des réalités existantes !]]. Il s’agit donc de s’intéresser au rôle macroéconomique de la publicité, ce qui soulève deux questions : qui oriente véritablement l’économie et quel est le poids du rôle des annonceurs dans la conservation d’un « modèle consumériste incompatible avec l’impératif… de transition écologique. »[[ transition qui devrait se considérer comme Terminée…c’est de plein pied que la société doit devenir …écologique – donc cesser Immédiatement le danger public de la course insensée aux…profits…qui ne sont que des Coûts Cachés sur le fond !]]…Mais encore ?
Renaud Fossard, auteur du rapport :
- éviter les dérives sanitaires et environnementales
- surveiller le contenu des discours qu’il s’agisse d’incitation à la consommation ou à de la tromperie, voire du blanchiment d’image
- intervenir sur l’outil économique pour limiter le niveau de dépenses publicitaires et donc le nombre de publicités
- ouvrir l’espace publicitaire à des discours sociétaux plus vertueux, mais aussi à de plus petits acteurs du monde économique comme les artisans, les TPE et les PME, et les créatifs gratuits et autres vrais penseurs et vrais écrivains.
« On travaille depuis longtemps sur l’impunité des multinationales, et la seule réponse qu’on obtient c’est de la communication comme des chartes éthiques et des engagements volontaires [[ toujours les falsifications : ces paperasses ne sont que de l’imitation mal intentionnée de ce qu’elles ne seront jamais, du copiage de comportements qui ne sont jamais les leurs – les Accuser c’est justement*** 1- ) les empêcher de se monopoliser tout l’espace de la parole*** 2) – les contraindre à répondre dans le Concret des faits*** 3) à ne plus pouvoir vivre dans les évitements, les dénis insensés et la dissimulation de leur réalité profonde (qu’eux aussi ne supportent pas du tout apparemment !) ]] qui ont pour but de mettre en avant des bonnes pratiques et cacher les pratiques controversées ou dommageables [[ la vérité des comportements face aux apparences de leurs paroles qui trichent ]]. Les publicités leur permettent d’adapter leur discours aux reproches qui leur sont adressées [[ sauf qu’il suffit d’Exiger qu’ils mettent leurs actes réels en conformité avec leurs paroles (et engagements donc) affichés !]]. Par exemple, Amazon a acheté énormément d’espaces publicitaires pendant le confinement dans les médias. Maintenant qu’on remet sur le devant de la scène la destruction des emplois des petites entreprises qu’il entraîne, ce gros groupe va communiquer sur la …création d’emplois [[ excellent exemple de leurs duplicités permanentes – les truqueurs doivent être Nommés comme ayant toujours l’intention de Tromper !]].» avertit Juliette Renaud, Responsable de campagne sur la Régulation des multinationales aux Amis de la Terre France, lors de la conférence de presse
« Un chiffre qui me frappe, c’est les 30 milliards d’euros. La société consent à dépenser pour la publicité l’équivalent de ce qui serait nécessaire pour engager une vraie transition écologique à la hauteur des enjeux [[ clair l’irréalisme et le gaspillage constituent le socle de tous les faux Budgets bourgeois – c’en est trop simple : pour tout ce qui est économie ne jamais faire Confiance à un bourgeois…c’et le pire des faussaire de tous les temps. En économie aucun de ses mots n’est vrai…]]! Il ne s’agit donc pas d’un épiphénomène mais bien d’un phénomène de masse qui mérite d’être engagé dans un débat de société dès cette année [[ c’est même le fond structurant de ses attitudes…]].
En attendant, les communes peuvent quand même agir à un niveau local pour bannir la publicité de l’espace public. [[ en attendant que les consciences s’Unissent complètement – pour nous c’est N.R.V. Noir Rouge Vert la plus grande unité possible – le local est le lieu de toutes les transformations. Là, les conseils municipaux ont des pouvoirs qu’ils n’utilisent que trop rarement…Unir les anti-publicitaires (si riches d’idées et de moyens de les concrétiser !) et les volontés municipales c‘est bien TRANSFORMER le pays en grand, non ?]] Comme l’exemple de la Ville de Grenoble où 326 panneaux publicitaires avaient été démontés des rues de la commune, bien qu’elle persiste encore dans les abribus et arrêts de tramway. Pour Résistance à l’Agression Publicitaire (RAP), les municipales qui reprennent en juin sont une excellente opportunité pour assainir l’espace public. »…en effet, d’autant plus que rarement l’alignement du faire et avoir sacrément Raison de le faire n’a existé… Preuves ?
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Comment-la-bourgeoisie-a-accéléré-l'avènement-de-la-société-de-consommation/
« Mais comment en est-on arrivé là ? [[ en n’écoutant jamais, par exemple, les arguments très bien construits des anti publicitaires…là où aucun contrepouvoir n’est reconnu, il n’y a plus qu’abus de pouvoirs et envahissements par les positions dominantes !]] Comment la consommation a-t-elle été à ce point naturalisée [[ comme si la Nature était un décor sans importance, auquel il ne faut pas faire attention – puisque la puérilité de cooonsooommeer formait l’état divin supérieur de la société !]] , et les objets fétichisés - c’est-à-dire décorrélés de leur production, dissociés du temps de travail accumulé qu’ils représentent [[ oui la question est bien comment tant de Puérilités déconnectées de tout réel ont pu tant dominer ? Comment ces mal appris, mal pensants de consuméristes fous ont pu se faire passer pour autre chose que ce qu’ils sont : des délinquants sournois, des voyous anti écologiques (écologie ici étant cité comme une science ! oui comment ?]]? C’est tout l’objet d’un livre passionnant sorti le 4 juin : La Fabrique du consommateur. Une histoire de la société marchande, d’Anthony Galluzzo, maître de conférences à l’université de Saint-Etienne : “Le travail productif et l’acte de consommation étaient autrefois indissociables, ce sont aujourd’hui deux étapes qui s’étirent et s’éloignent dans l’espace et dans le temps, pour se perdre dans l’infini des médiations marchandes”, constate-t-il d’emblée. [[ et là où il y a médiations et donc Que des intermédiaires, il n’y a plus qu’avalanches d’arnaques et de mensonges…l’Histoire, comme posture de santé, nous démontre que la fin du délire malade bourgeois c’est : propriété collective des moyens de production (mais sans collectivisation des vies individuelles – voir le vrai Marx !) et consommation enfin responsabilisée sont… les sorties saines de la crise. Crise qui n’est, sur le fond, que la fin du règne malsain de la bourgeoisie…pas de quoi en faire un monde – juste d’en faire advenir un tout autre !]]
L’identité de classe de la bourgeoisie au cœur de la consommation L’historien y retrace notre conversion progressive à la culture de consommation [[ toujours l’usage inapproprié du «nous» comme si unanimement tout le monde acceptait sans broncher : alors que dans les années 1960-1970 – déjà - l’anti-consumérisme a eu ses lettres de noblesse !]]. De la création des marques au rôle des médias [[ rôle auquel il faudrait faire de lourds procès – les médias désinformateurs ne peuvent sans arrêt passer entre les gouttes…le pire de la société c’est souvent eux !]], en passant par l’avènement des grands magasins et du “shopping”, il remet en perspective des comportements, des institutions et une mentalité devenus normaux [[ mais restés…anormaux, très anormaux mêmes ! Faut arrêter de tricher..]], jusqu’à nous faire oublier la possibilité même d’une société affranchie du pouvoir des marchands [[ sauf qu’une partie très salubre de la société a toujours vécu… sans pub mensongère (et incitant à Se Mentir sur tout – et… sans du tout de consommation infantilisante …Aujourd’hui cette partie salubre commence d’être reconnue…]].
Dans cette grande conversion - d’une société de communautés paysannes autarciques à “une myriade de consommateurs urbains connectés” [[ l’enfer consommatoire est dans les…villes !]] -, qui coïncide au XIXe siècle avec l’avènement d’une société de classe, la bourgeoisie a (encore une fois) joué un rôle moteur [[ des irresponsables oui mais des irresponsables très coupables – la fin de son règne n’est que justice et bon sens !]]. “Tout ce commerce repose sur le fait que l’identité de classe de la bourgeoisie au XIXe siècle s’exprime principalement par l’accumulation et l’exhibition d’objets-signes [[ ce tricheur-truqueur compulsif ne survit que dans les… apparences : faire comme-si ce qui n’est pas, falsifier sans cesse comme ça mais il faut « croire » à tous ses déguisements…ces névroses-psychoses structurantes sont bourgeoises et signifient l’extériorisation de sa mauvaise conscience, de sa conscience malheureuse : le bourgeois défigure par trop la vie ! Quels soulagements lorsqu’il ne pourra plus dominer…]]. A ce titre, on peut considérer le bourgeois comme la première figure du consommateur et la culture matérielle bourgeoise comme étant à l’origine d’une culture de consommation généralisée”, écrit Anthony Galluzzo. [[ donc le procès du consumérisme est aussi celui de la bourgeoisie…Quels gains de temps et de moyens ? La chance change vraiment de bord !]]
En effet, du fait de sa position d’entre-deux (entre classes populaires et élite aristocratique), la bourgeoisie “doit conquérir sa noblesse par son mode de vie”. Et c’est à travers les objets qu’elle exhibe, que celui-ci se manifeste [[ ce qui est plus que dérisoire au fond : mais où sont tes œuvres ? Qu’as-tu fait de ta vie ? Que des nuisances ?...tels sont les retours véridiques des non-dits !]]. D’où la “logique anti-utilitariste d’accumulation” qui la caractérise [[ son irréalisme profond et son état… d’Inadapté planétaire complètement coupé de ses racines naturelles et errant sans arrêts dans ses lubies…ne se peuvent plus cacher !]], et qui donne naissance à la consommation frénétique des objets produits par l’art industriel. L’émulation [[ imiter ceux qu’il ne fallait surtout pas imiter…]] suscitée par ce comportement a ainsi contribué à “l’éclosion d’une société de consommation”, défend l’historien. Celle-ci a elle-même donné naissance à des comportements nouveaux - comme le snobisme (manière de s’identifier à un groupe jugé [[ absurdement ]] supérieur, et de se distinguer du “commun” [[ le commun qui a les avantages évidents du mettre en commun…nul ne va dire mettre en snobisme sec, mettre en non-partages, mettre en séparatisme de classe non ? Ce pourquoi seul le peuple est…peuplé, tiens !]]) - et à des figures types du “protoconsommateur” : le snob, le dandy, et le bohémien. Car oui, l’artiste est bien “symptomatique de la société de consommation qui se prépare”, souligne Anthony Galluzzo : “L’emprise culturelle des artistes sur les bourgeois se lit tout au long du XIXe siècle à travers de multiples suivismes et pratiques imitatives” [[ mais le faux artiste, énuclée de toute vie intérieure, une poupée d’apparences déguisées de parures inadéquates et de moments de vies qui ne sont surtout pas artistes…Le transformer unilatéralement en images de mode c’est surtout ne jamais rencontrer les vérités artistiques…Ainsi que le prouve le mot miséreux de récupération ( «ils récupèrent tout», oui tout quoi ? Le tout scandé stupidement comme une stratégie gagnante) qui ne nous montre plus que son côté où le vil récupérateur, oui, en réalité, ne l’est que des…restes, de l’écume et les scories…pas de quoi pavoiser ! Nous y voyons, et en pleine lumière, que la vie bourgeoise n’est qu’une vie…d’évitements permanents. De fuites devant les vraies rencontres, devant leur propre sincérité, d’hystéries frénétiques des dénis du réel (non la réalité n’existe pas est son principal cri), etc...Oui évitons ces éviteurs !]].
Par un effet de ruissellement qui a marché (pas comme le fameux ruissellement économique), la course au prestige par les objets-signes donne ensuite lieu à une imprégnation des classes populaires par une culture de consommation bourgeoise [[ ce résumé trop simpliste – parce que le document est infiniment plus sérieux – omet de dire que la Distinction comme la nomme Bourdieu (se distinguer c’est, comiquement, imiter le noble pour s’en…distinguer. S’en différencier, le surpasser…fantasmatiquement…Plutôt sot sur le fond, non ? Rester soi-même est tellement plus fertile. C’est que le bourgeois n’a pas d’être – c’est un copie de copie, un intermédiaire sans « vif du sujet », un parasite et économique (parasite de la Valeur travail) et social (l’antisocial séparatiste qui fout partout son bordel…) ! Question que nous poursuivrons dans un autre texte ]].
La conclusion est sans appel : “La bourgeoisie, par son complexe… d’infériorité originel et par sa tendance compensatrice à surinvestir les objets-signes, tient un rôle fondateur dans la dynamique de consommation. Cette classe incertaine et incomplète [[ peu de le dire mais il faut commencer par le dire – le bourgeois n’est certain de rien mais propage ses inquiétudes si égoïstes sur toute la société qui vivra mieux sans ! Il est vraiment malsain son rôle historique !]] ]] qui doit sans cesse prouver son être par… l’avoir, signifier son identité par… l’objet, a entraîné avec elle tout le corps social.”…Quels soulagements que de parvenir ainsi à Nommer cette classe de faussaires, qui auront passé leur temps à tout déguiser, truquer et falsifier puisque comment ces inférieurs (intérieurs) pourraient se gonfler à pouvoir diriger tout le monde (alors qu’ils ne savent pas se diriger eux-mêmes) ?…quant à l’exagération de « tout » le corps social cela ne concerne que sa partie tristement Conformiste…la bourgeoisie n’aura eu pour suiveurs/ suiveuses et imitateurs balourds que les plus médiocres membres de la société. Les sans cœurs. Aucun n’aura montré la moindre personnalité…donc aucun succès tangible dans le réel avec racines !
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.................Plus de pub licités ?...la chance est aussi « dans » les mots…
La pub licitée s’autoproclame licite. Or la publicité c’est le PUBLIC partout public Spolié ite missa est –
… tout le privé y écrase le public (ité) de la pire des manières et vous/nous somme "d'admettre" que ses manières sont les seules acceptées.
……………………………………Pas question…
…………………………………..il n’y a plus que des…réponses !
……………..(à suivre)
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………………………..ce pourquoi pour eux impossible de DIRE donc de…diriger en vrai…
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que toute l’union solide comme tout le solidaire du monde nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
/https%3A%2F%2Fanv-cop21.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2020%2F05%2F4.-30-05-2020-Vall%C3%A9e-de-larve-.jpg%23width%3D2048%26height%3D1365)
Actions en soutien à Alex Montvernay, militant climat anti-publicité en procès
Des actions de recouvrement de panneaux publicitaires en soutien à Alex Montvernay, militant climat en procès mardi 2 juin 2020 #NiPubNiProcès
https://anv-cop21.org/vague-dactions-soutenir-alex-montvernay-militant-climat-anti-pub-proces/
Ce ciblage numérique est un secteur qui attire de plus en plus de capitaux. Pour 2019, le cabinet d’analyse International Data Corporation prévoit un marché mondial du « big data and business analytics » de près de 190 milliards de dollars, et anticipe pour 2022 un volume de près de 275 milliards de dollars !
De façon plus globale, les moyens numériques de diffusion de la publicité et leurs nouveaux usages sont terriblement néfastes pour l’environnement. Le ciblage sur Internet, notamment, entraîne une hausse des émissions de GES avec le développement permanent de nouvelles infrastructures et d’applications pour mieux personnaliser les pubs. « En 2016, la publicité en ligne a été source de l’émission de 60 mégatonnes de CO2 dans l’atmosphère, l’équivalent de 60 millions d’allers-retours Paris-New York en avion. »
Conférence - Une société non marchande…39 mn
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Rapport Big Corpo : Pour un encadrement de la pub dans le monde d'après
Les Amis de la Terre France, Résistance à l'agression publicitaire (RAP) et Communication sans frontières (CSF) publient un rapport en partenariat avec l' Observatoire des multinationales, intit...
https://raptube.antipub.org/videos/watch/4365432c-859f-4434-96d4-e0febcaa0700
De L’antipub...
L'HISTOIRE DE LA PUBLICITE – Guillian…14 mn…
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Les villes, enfers de la consommation
Libération, 31 mai 2020 La fuite de quelques happy fews dans les campagnes au moment du confinement augure-t'elle de nouveaux modes de vie appelés à se généraliser ? C'est un possible signal d...
https://www.anti-k.org/2020/06/01/les-villes-enfers-de-la-consommation/
La crise environnementale provoquée par une surexploitation de la planète a atteint son acmé ce printemps 2020 et nombreux sont ceux qui ont pris conscience que, désormais, il fallait changer le logiciel. La croissance à tout prix, la consommation, il n’y a plus que les politiques qui usent de telles incantations pour conjurer l’angoisse d’un avenir non écrit. L’histoire de la société marchande témoigne d’un emballement de l’économie matérielle avec le fétichisme de la marchandise au XIXe siècle. Cette histoire est-elle en train de se refermer ?
Philippe Goetzmann : "Le commerce est le reflet et le produit de la société"
1 h 23 mn...
Aliénation marchande - Françis Cousin…25 mn
De la servitude moderne "Toute vérité passe par trois stades : En premier lieu on la ridiculise; en deuxième lieu on s'y oppose violemment; enfin on l'accepte comme si elle allait de soi." SCHOPENHAUER