Contours des conteurs

Conte donc tes contours. Mais ces contours ne les contournes pas. Dis-nous tout…: de ces humains si expérimentés, gorgés de vie vibrante, dont la générosité permanente nous faisait chaud, qui nous transportaient à travers des récits habités vers le meilleur de nous-mêmes que reste-t-il ? L’essentiel qui, en ces temps de disettes de sentiments, d’émotions pures et de pensées de joies, peut réensemencer le futur commun. Un peu comme cela :

Un corps complet (sensations, émotions, morales, sentiments, pensées, intuitions et autres) entrainé à l’accueil des formes, oui formes. Soit, une fois le thème bien chevillé, l’angle si particulier d’approche trouvé – se mouler en un recueil/accueil de tous les évènements et phénomènes actuels. Le creuset actif des créativités neuves, en somme… Là, avec la violence barbare des mensonges de la crise «fabriquée», c’est bien moins possible (puisque seuls les textes à nos initiatives intégrales le peuvent) nous adaptons la difficulté afin de la réduire à bien peu de choses…Oui dans le meilleur accessible : qui reste de s’aménager (de temps en temps) un texte pour créer du vrai nouveau…Pour aller aux racines de la crise et esquisser des débuts de solutions, qui écloront dans le futur…là où il convient de convier (puisque convier c’est ce qui convient – les barbares néolibéraux sont impardonnables de piétiner violemment la convivialité)…Oui lorsque Vive les convives conviviaux. Et que le convivial convient seul – puisqu’il qu’il convie, accueille, reçoit…et n’a rien mais rien de la hure destructrice des hyper fanatiques néolibéraux (la classe dangereuse vous vous rappelez ?)…ceux qui «occupent» illégalement l’Europe prise en otage ! Le texte du jour est de cette sorte où vive les convives…

En-Afrique-aussi-on-peut-créer-un-monde-incroyable

***« C’est ça le pouvoir de l’afro-futurisme : montrer qu’en Afrique aussi on peut créer un monde incroyable, il faut juste croire qu’on en est capables ! » sourit l’auteur, casque bluetooth autour du cou (demeurer ouvert.e.s au monde entier, ne pas oublier la cure qu’offrent les curiosités inlassables, non conserver le meilleur en tout…puisque la vie intérieure guérit de beaucoup, peut-être même de tout…). « Ne pas s’arrêter à Black Panther » (un moment historique qui a permis des héroïsmes, en 2021 les héroïsmes appartiennent à la vie quotidienne qui peut tout redresser et nous placer encore plus haut qu’avant - à condition d’avoir de la…suite dans les idées et comportements !)

Des histoires de science-fiction, Nathanael Ejob en racontait déjà petit, mais à la sauce DC Comics : « J’ai grandi avec Batman et Superman. Alors inconsciemment, mes histoires ressemblaient à ce monde-là, qui n’est pourtant pas le mien. » Le jeune Camerounais n’est pas un cas à part (comme quoi – rien de neuf ne se peut sans, d’abord, quitter toutes les apparences, les superficies infécondes du superficiel (qui n’est qu’en superficie(l)…sans racines, ni prises directes dans la réalité complète !). Qu’ils aient choisi Pégase des Chevaliers du Zodiaque, Ashe de League of Legends ou Uraraka Ochako de My Hero Academia, les cosplayers en compétition durant le festival s’inspirent tous de héros nés au Japon ou aux États-Unis. « Même les enfants copient Naruto quand ils dessinent », ajoute Nathanael. »…Faire l’effort de ne surtout pas se couper les plus jeunes : un effort qui peut être attrayant, par exemple, afin de ne pas abandonner les enfants à la malsaine passivité télé, nous offrions des moments de jouer à leurs jeux, eux en meneurs de danses, oui de parler de leurs héros de fictions, de participer de plein pied à ces mondes qui les habitent…Bref, de ne pas quitter les plurilogues, des dialogues encore plus poussés…La société actuelle du Monologue prouve à quel point les faux dominants ont fait régresser la société. Vers les stériles sas descendances…Réparons leurs dégâts !

Production-électrique-par-filière-France-d'occupation...

« Dès lors, la lutte (prise complètement à l’envers) contre le relâchement de CO2 pousse nos gouvernements, d’une part, à nous châtier à base de lourdes taxes carbones bien méritées (non mais !) et, d’autre part, à revoir notre politique énergétique : c’est pourquoi il a été imposé de diminuer notablement notre capacité de production électrique depuis les centrales nucléaires qui ne rejettent par construction aucun CO2 et d’augmenter de façon tout à fait minuscule cette même capacité grâce à de nombreuses éoliennes qui ne tournent pas et d’aussi nombreux panneaux photovoltaïques qui ne fonctionnent ni la nuit, ni les jours couverts, de pluie, de neige et de brouillard (i.e. en hiver) (bref, de Saboter en grand tous les résultats bénéfiques obtenus à force de Punir les honnêtes gens – tout en persistant à trop aider, mais en coulisses, toujours en se cachant comme des voleurs à la sauvette, les pires des capitalistes grands démolisseurs de la Nature vivante…Comme quoi il est Inutile de demander tant d’efforts de tous si c’est pour les…Détruire tous en ne favorisant que les casseurs et les vandales d’argent sale !).

À ce non-choix politique particulièrement éclairé on ajoutera une gestion logistique « à la française » des réacteurs nucléaires en fonctionnement. Par « à la française », je me réfère ici à cette efficience redoutable qui nous a permis d’avoir des masques, des tests et des vaccins au moment voulu, par exemple. Pour les réacteurs nucléaires, cela se traduit par 12 d’entre eux à l’arrêt total pour maintenance, soit plus de 20% du parc, au moment où la consommation (confinements obligent) n’a jamais été aussi forte. »…Les désynchronisations des réalités les plus flagrantes conduisent à écarter à jamais de tels lunatiques (fanatiques d’idéologies de cartons, en plus) à diriger ou gouverner quoi que ce soit…Alors tous les conteuses et conteurs, à la rescousse secousses…

https://dai.ly/xfafir

Penser la non-lecture, se penser soi… « Il nous reste des livres ce que nous en disons (si ce que nous disons est…disettes (dire mal) eh bien le froid remplace la chaleur humaine, devenue plus rare...). Ainsi, « le livre disparaît derrière le langage ». Qu’il s’agisse des discours intérieurs ou des discours tenus aux autres, le livre finit par constituer un objet sur lequel nous projetons nos souvenirs, nos fantasmes, nos idéaux, nos déterminismes inconscients. À cet égard, comme Bayard, on peut qualifier tout livre de « livre-écran » (les livres transformés en le contraire de ce qu’ils sont servant à…déculturer, en nous écartant de la vie vibrante et enthousiasmante, de tout éteindre ou de le tenter…qui aime les livres les livrent intacts, exempts de toutes pollutions ou idéologies !) :

« Dès le temps de la lecture, et même sans l’attendre, nous commençons, en nous puis avec les autres, à nous parler des livres, et c’est à ces discours et opinions que nous avons ensuite affaire, reléguant loin de nous les livres réels, devenus à jamais hypothétiques. » (comme si sournoisement éloignés les autrices et auteurs…éloignés de savoir vraiment le sens profond de ce qui « se » passe…Pas un écrivain n’a pu parler depuis le début de la Crise…sauraient-ils/elles dire en peu de mots l’essentiel ? on le dirait bien qu’ils sont les pièces maitresses de l’époque…Et, comme du temps des dissidents de l’est, où les populations (de leurs propres initiatives) relayaient tant ces humains prisonniers…en recopiant mot à mot et en faisant circuler et circuler les résultats communs (de vrais livres réduits à leurs plus…simples expressions !)…notre époque peut changer à fond les Mentalités…oui vous avez les choix, bien plus qu’avant, puisque les enjeux sont tous…cruciaux !!)

Mais…À quoi bon lire, alors ? Cette question vient vite à l’esprit de la personne qui envisage le livre comme une fin. Or, et c’est tout l’objet de la théorie de la non-lecture développée par Bayard, le livre n’est qu’un moyen (un moyen qui a tous les moyens : avec lui, il y a toujours plus moyen de…). Cet objet a vite fait de dépasser sa condition matérielle pour se laisser perdre dans les méandres de nos imaginaires. Ainsi, de cette bibliothèque collective, nous tirons une autre bibliothèque : la « bibliothèque virtuelle » qui est un espace de dialogue et de création (sauf que cette bibliothèque n’est pas virtuelle elle…existe charnellement …c’est la bibliothèque du futur, déjà bien là, bien présente comme un infini présent sans cesse offert, et qui nous attend toutes et tous…la réalité surpasse les fictions !)-.

(Pour le retour des amples discussions)… Évidemment, briser le tabou ne signifie pas assumer la vertu mais bien revenir à l’essentiel. Il ne s’agit pas d’affirmer que l’on peut tout dire sans trop se soucier de la vérité (transmettre contient une paisible obligation de prouver au maximum, mais sans surcharger non plus, sans aller au-delà du supportable, tout ce qui est avancé…). Il s’agit d’affirmer que le souci de la vérité ne doit pas nuire au plaisir de l’imagination (…pas l’affirmer mais bien le faire concrètement, oui chaque jour améliorer le toboggan du vrai…). L’erreur serait d’en conclure que l’on peut conjuguer arrogance aveugle et cynisme. L’arrogance aveugle qui ment, ne reconnaît pas son ignorance, est incapable de se prêter au plaisir de rêver ou de converser (verser à converser) ensemble (nous en sommes à ce Monologue plus que stérile de qui « occupe » (oui comme une armée ennemie) l’espace commun qui existe afin d’y forger et formuler les Meilleures solutions qui conviennent à tout le monde…les palabres de palabras (les mots en espagnol) !). Le cynisme (le cy-niqué par lui-même !) qui prête à autrui ce qu’il n’a jamais dit ( tant d’exemples actuellement ) tourne le dos à la vérité (ou, pire, ne s’en soucie guère (pas un raison pour… tomber aussi bas que ceux du haut !)).

Le cynisme simplet est l’ennemi de la complexité (la complexité qui n’est pas compliquée, tortueuse, dissimulatrice, mais bien ce qui veut accueillir tout e monde sans n’oublier quiconque !), il use de nos fragilités pour asseoir ses vices. Tout ce qu’il touche se transforme en pierre. »…D’où tous ces contemporains pétrifiés, figées, médusés dans des radotages insensés…de contre-vérités actuellement …Ne plus rester du côté de ses pires ennemis devient ce qui libère…soi et tous les autres…

www.ebando.org/fr/iboga.

« Il peut être considéré comme une "structure sociale de représentation des sociétés gabonaises en matière de cultes, de philosophie (vision du monde), d'enseignement (initiation et suivi), et de thérapie ( tant physique que moral)" (comme oui celles/ceux qui savent faire des synthèses nous aident en 2021 ). Les mutations actuelles, suscitées par la réintroduction du sens du global dans les sociétés humaines, de l'imaginaire et du sacré, annoncent à terme la naissance d'une nouvelle vision de l'homme et du monde (et, comme de juste, certain.e.s concrétisent déjà ces nouvelles visions…oui nous les content et racontent déjà...faut juste les repérer…et surtout Relayer, diffuser largement…

Elles nous amènent de ce fait, à reconnaitre la tradition non plus comme un ensemble de valeurs passées - donc dépassées - mais au contraire comme un facteur susceptible d'apporter un nouveau sens à la vie. »…qui en a bien besoin – enfin, plus exactement,  la vie a surtout besoin que nous nous inventions de nouvelles visions de la vraies vie !

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Andreas-Malm-Pour-mettre-fin-a-la-catastrophe-il-faut-s'en-prendre-aux-classes-dominantes

Andreas Malm : « Pour mettre fin à la catastrophe, il faut s’en prendre aux classes dominantes ». Il est vital pour notre humanité de découvrir toute cette sagesse millénaire qui fait partie de notre propre patrimoine culturel (…face aux délire incultes des pouvoirs, le passé nous offre une réserve inépuisable de…bonnes attitudes !). Reporterre — Comment interprétez-vous la réaction face à la pandémie de Covid-19 ?

Andreas Malm — C’est comme si on faisait face à une nouvelle normalité anormalité, comme si le problème devenait chronique. Cette crise pourrait se prolonger longtemps et nous pourrions voir apparaître de nouvelles souches de ce virus ou de nouveaux virus (tout …dépend donc de nos…attitudes intérieures !). Quand je circule dans une ville comme Berlin et que je vois tous ces habitants masqués, j’ai l’impression qu’ils sont reliés par des millions de fils invisibles à la crise profonde qui frappe la nature (le fond de l’épidémie c’est le style de mort imposé par la sinistre classe bourgeoise il faut abandonner complètement ce mode de vie et les bourgeois su bornés font tout afin de continuer ce…suicide collectif !) : la destruction continue de la nature sauvage cause l’apparition de nouvelles maladies infectieuses. (la seule info Essentielle et qui est sans cesse dissimulée…) Mais les gens n’en semblent pas conscients (graves aliénations = ne jamais être «dans» les réalités !). Il est remarquable de voir à quel point la dimension écologique de cette crise est absente du débat (enfin de « leurs » faux débats…pas des débats très intelligents qui se passent Sans ces faux dirigeants…). Maintenant, on parle des élevages de visons, mais il n’y a pas eu jusqu’ici de discussion sur les causes des catastrophes comme celle que nous vivons (et les crises disent bien que les faux Dirigeants Sont Le problème à résoudre en toute priorité…ils doivent partir…). Le débat rétréci à l’extrême porte uniquement sur les restrictions qui doivent être mises en place (mais que restrictions que pour les pauvres et moyens et Jamais pour les trop riches (centres et causes de la catastrophe…écologique) qui doivent oui restituer leur Trop de richesses et de les déployer afin d’aider la vivante nature à nous permettre de continuer A Y vivre …), sur la nécessité d’un confinement ou non, sur l’utilité des masques, sur quand on disposera des vaccins (rien que de…faux débats qui fuient follement…l’essentiel !). Les populations humaines ont souffert en Europe, c’est une conséquence de la crise écologique (qu’eux seuls ont le plus aggravé…à la différence de l’Afrique tellement moins touchée…donc plus proche des Bonnes solutions…), mais la crise n’a quasiment pas été abordée sous cet angle.

Quelles sont les raisons de notre aveuglement sur la dimension écologique de la pandémie ? Nous Ils (la classe dangereuse !) voulons pouvoir continuer comme par le passé. Ce qui rend cet aveuglement extraordinaire, c’est que nous avons vécu une année anormale et que l’approche du business as usual a été rendue impossible. On n’avait jamais vu des gouvernements décréter la fermeture de pans entiers de l’économie.(oui mais économies locales, régionales…celles des moyens et des pauvres…Alors que la folie dangereuse des trop riches c’est qu’ils « croient » (croyances si irrationnelles) qu’ils pourront vivre encore dans une nature…sans vie !)… On aurait donc pu s’attendre à ce que les citoyens soient plus disposés à s’interroger. Mais non. Pourquoi la réaction en 2020 est-elle si différente de ce qu’on a pu observer lors de l’été 2018, marqué par des canicules, par la sécheresse ainsi que par des feux de forêt ? À l’époque, en Europe, la population a rapidement… fait le lien avec le réchauffement climatique. Il a été discuté par ceux pour qui la crise climatique est un fait aussi bien que par les climatosceptiques, dont une grande partie de l’extrême droite européenne. Mais le caractère exceptionnel de l’été 2018 a également donné naissance à la grève des vendredis pour le climat, et au mouvement Extinction Rebellion. L’année 2019 a vu une montée en puissance de la mobilisation pour le climat. 

Comment expliquer ce contraste (Insensé !) entre 2018 et 2020 ? --- En partie par le fait que la climatologie existe depuis longtemps, qu’elle s’est institutionnalisée et a vulgarisé les résultats de ses recherches auprès du grand public. Le réchauffement climatique fait en quelque sorte partie de la culture générale (culture générale qui devient, si nous n’y prenons pas garde, toujours plus…inculte, « ignorante » (au sens de refusant de…savoir), niant et reniant toujours plus de pans de la…réalité globale justement…les virus sont… une Bonne réaction de la vie et c’est à nous de changer les…modes…de vie si…nocifs – comme réponses bien Adaptées !). Par ailleurs, les militants et les scientifiques avaient annoncé que de tels phénomènes se produiraient. La population était donc mentalement préparée à ce qu’un événement climatique extrême se produise, même en Europe. En revanche, les travaux scientifiques consacrés aux zoonoses (lorsque les humains…contaminent les animaux et végétaux …oui les rendent très malades…ceci est une zoonose !) et aux maladies infectieuses émergentes sont restés plus confidentiels (sauf que les censures… Absurdes des grandes plateformes d’internet, qui se…trompent de combat, et se couvrent donc de…bêtises régressives,…y sont pour beaucoup…), ils n’ont pas réussi à pénétrer autant le débat public (– ibidem) et n’ont pas été accompagnés d’un mouvement militant.

C’est pourquoi cette pandémie peut continuer à être perçue comme… un éclair dans un ciel d’été (un éclair sans suite), comme un accident imprévisible, comme un impact d’astéroïde. »… au lieu d’être perçue comme une… Révolution de la vie, de la vivante nature, qui exige que nous…changions…énormément…et avec des efforts bien Répartis : les maximum pour le haut de la société qui se comporte…très mal. Et très peu d’efforts en bas (ce sont eux qui fournissent depuis des années Tous les efforts !)…

………………..bas de la société qui reçoit tant de certificats d’Excellences ! Bravo et bravo à elles/eux…

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https://www.jamendo.com/track/334867/les-petits-culs

On te demande une parole sincère
Mais d'un sincère prémédité
Dans ce monde marchand de bas étage
Ils ont tous peur de l'authenticité (2)
***
J'aime les p'tits culs qui se balancent (3)
Devant mon regard ébloui

***
maint'nant que tu'nous a r'trouvé
au royaume d'authenticité
que nous n'avons jamais malgré ta
folie folie qui accuse en plus
que nous n'avons jamais quitté
***
J'aime les p'tits culs qui se balancent (3)
Devant mon regard ébloui
***
je sais trouver le chemin des cœurs
mais ça fout les corps dans un tel chaos
qu'il faudrait 200 moi-mêmes
pour canaliser tout ça plus haut (2)
***
J'aime les p'tits culs qui se balancent (3)
Devant mon regard ébloui
***
Le changement est présent tout le temps
Mais les gens préfèrent vivre à côté
A côté d'eux-mêmes
Tout pour le corps - leurs corps gavés
qu'ils te jettent pavés
Leurs têtes ils en veulent plus (2)
***
J'aime les p'tits culs qui se balancent (3)
Devant mon regard ébloui
***
j'ai su éviter toutes ces impasses
je viens d'un temps où le passé
brillait comme, comme de l'or
où les sensations ruisselaient
faisant d'un jour tout un brasier
parfois je vis le paradis sur terre (2)
***
J'aime les p'tits culs qui se balancent (3)
Devant mon regard ébloui
***
Aujourd'hui que l'énergie collective
Semble au plus bas (2)
Certains la flambe pour des projets très peu collectifs
D'autres l'usent à foutre des barrières à nos petits bonheurs
Le gâchis du tous tournés vers hier
Pendant que nous flamboyons de futur
Suivez-nous avec notre style
notre style tout reste ouvert
***
J'aime les p'tits culs qui se balancent (3) monter plus haut….

Dis-nous tout…: « Pour mettre fin à la catastrophe, il faut s’en prendre aux classes dominantes »…et carrément faut pas faire semblant…*** Andreas Malm …

….Même François Villon est au courant :

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.. au lieu d’être perçue comme une… Révolution de la vie, de la vivante nature, qui exige que nous…changions… énormément…et avec des efforts bien Répartis : les maximum pour le haut de la société qui se comporte…très mal. Et très peu d’efforts en bas (ce sont eux qui fournissent depuis des années Tous les efforts !)…

………………..bas de a société qui reçoit tant de certificats d’Excellences !

……………………………..Bravos et bravos à elles/eux…

    …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

« On n’a plus le droit de penser de façon différente ou marginale; on n’a plus le droit d’emprunter certains chemins de pensée. Ceci n’est pas autoritaire : ceci est totalitaire », affirme la psychologue et écrivaine Ariane Bilheran pour décrire la polarisation extrême des idées.