Des vies infimes

La méconnue dialectique c’est son incarnation vitale qui reste un des moyens efficaces d’inverser les situations. Comme nous allons le voir. D’abord, un audit court, mais toujours absents des ex-médias ex-dominants. Ensuite, quelques découvertes bien imprévues. De quoi s’arder à aller comprendre pourquoi, cette fois-ci, ceux du haut ne recevront absolument rien… ??...Ceux qui illégalement pressurent les pauvres, en s’ôtant de l’image de ces peu reluisants comportements, aggravent de fait leurs torts. Oui exigeant tous les efforts à ceux qui en fournissent le plus, ils avouent n’en fournir… aucun…Lâchement planqués derrière «leurs»  médias, ils accusent les pauvres « d’égoïsme » alors qu’ils en démontrent 10 000 fois plus… de monstrueux égoïsmes …Ils auront toujours osé que seuls les pauvres doivent faire des efforts pour la Nature, pendant, qu’eux, mais en flagrant concret, la… détruisent encore et encore, etc. Clair qu’ils ne modifient pas d’un millimètre leur train de vie si dommageable. Puisque ? Eux seuls coûtent trop cher à la société, fuyant leurs impôts légaux et fraudant partout, ils parviennent (avec des gouvernements complices) à se saisir d’une part trop importante de l’argent public. Bref, ils ne sont qu’une charge pour la collectivité – charge évitable. Rien de plus pressés, par exemple, que de ne… pas payer une infime taxe sur les peu légales spéculations et transactions en Bourse et c’est la France qui fait le plus honteux obstacle à cela…Quels colossaux égoïstes donc que ces détrousseurs de dividendes (oui sur les plus-values… «collectives», ils s’approprient, sans dignité, la part entière du travail, dans leurs peu montrables avidités). Enfin (c’est un rapide résumé), pour ne pas arranger leurs réputations en berne, leur mode de vie reste le… Plus Nocif, et de loin, pour la survie de la vie. Difficile donc de trouver un seul motif d’éloge à leur égard…ne vont-ils jamais s’excuser auprès des pauvres de leurs si préjudiciables diffamations : les pauvres sont sans discussion, les moins nuisibles à la planète, à la biodiversité, à la biomasse et aux zoozones, ces nids à épidémies, « réservoirs pathogènes », dit le Cnrs (nids ou réservoirs causés par les… Modes de vies humains).

Vies infimes ? Pour nous elles sont infinies ! Pour nous, les cumuls et amoncellements d’égoïsmes des trop riches doivent cesser immédiatement…d’une façon ou d’une autre il s’agit de les interpeler. Leur mode de vie n’est plus admissible une seule seconde…Une prospérité collective, oui une société prospère (où plus un seul Trop riche, où plus jamais de milliardaires abusifs) peut remplacer (et tout de suite) cette folie, gavée de puérilités, de la richesse que pour le si petit nombre. Structurée maigre richesse que par… l’appauvrissement du plus grand nombre : oui comme des vases communicants…ceci n’est absolument pas sérieux, pas adulte et surtout pas… responsable. Et sans aucun avenir par rapport à…l’intérêt général ! Accélérons cette fin inéluctable…

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Vies infimes ? Ces esprits toujours…1)…à la fois imbus d’eux-mêmes et de leurs connaissances somme toute simplistes (car mécaniques et non holistes)…2) et que ce magnifique mot «commun des mortels» ne capterait pas «leur savoir »…sans aucune sagesse (donc sans sapience ce qui tombe mal pour l’homo sapiens sapiens non ?) ? Sauf que nous captons mais rejetons fermement comme une part maudite. C’est que pour des inhumains, pour qui se prennent pour des dieux  odieux…pas des attentionnés à autrui, pas des compatissants aux bras ouverts, pas des accueillants, pas pour les humus humble des êtres humains Complet….et ce savoir qui leur vitrifie tant les regards, les rend comme morts à la vie vibrante et offrante ? Que des chiffres qui peuvent rendre des cerveaux rabougris. Puisque ?

-- 2 faits rarement dits ? 1--) Sur quoi sont basés ces chiffres ? Demandez «c’est comment les nombres ? Comment c’est? » -- hé bien ! C’est …nombreux ! Avec ça on est servi…au pied de la lettre, les nombreux nombres c’est ce qui est plus que soi – pas assez non ?…Mais ? Incomplétude comme incertitude ont « prouvé » que les mathématiques ne se peuvent démontrer. Leurs « origines » sont des axiomes à accepter comme tels, pas des certitudes clairement établies et confirmées. Accepter les prémices sans pouvoir ne construire des Fondations - ensuite l’édifice est fabuleux et remplit tous les besoins humains …par rapport à la matière…pas pour l’existentiel !

--- ce qui…aide l’existentiel, alors ? C’est l’ordinal et le cardinal …Facile à ressentir : le même chiffre 1 peut placer au sommet (1 comme 1^er, sauf que puérilités de se croire vainqueur. Par rapport à quoi ? et sur quelle assiette, l’orbe atteinte ? y a-t-il une aura ?, etc.) ou se faire ressentir minuscule…infime…Puisque 1 (avant 2…) reste le plus « petit nombre »…donc en même temps 1^er et 1 tout seul, quasi invisible…sauf que magie toujours ? (qui n’est pas complet (comme l’être humain) ne peut Vivre cela :  cet «infime» de « rien du tout » se trouve et retrouve dans absolument tous les autres nombres …! Et qu’absolument aucun de tous les autres nombres…ne se trouve en lui. Son indépendance reste complète, sa souveraineté au faîte, son unité insécable. Son infimité est son infinité !  Le pauvre se trouve dans tous les riches mais peu de riches (ou aucun) se retrouvent chez ces pauvres…c’est que l’Essentiel reste ailleurs : la richesse intérieure est…hors des prix (non «de» prix !). Sa valeur dépasse l’entendement.  Essayez donc d’acheter de la «paix intérieure» et à qui hein ?, etc. (il y a tant à dire que ce sera une autre fois)…Ici, nous venons d’élucider le « pourquoi les néolibéraux MENTENT sur absolument tous les chiffres, leurs mensonges en sont même …disproportionnés (aucun sens des mesures, aucun sens des valeurs et des grandeurs, pour le pondérable il reste inexistant chez eux : donc l’impondérable ??). Oui aucune harmonie, et concordance, co-respondances chez eux - que le chaos hurlant et la dysharmonie si cacophonique !...

Que ce soit pour les chiffrages d’élections, les sondages, de majorités patentes, des manifestations ou des cas réels d’épidémies, ceci demeurent des …fuites perpétuelles. Au sens de jamais un chiffre Exact…Mais, aussi, au sens d’Aucun face à face avec le réel du nombre en leur structuration mentale ; aucun chiffre probe et honnête ne  leur convient. Leurs dénis intenses sont structurels, ils reprochent tout à la vraie vie – très caractériels…il leur faut falsifier manipuler maquiller farder fausser…ceci est le « trou noir » de leur propre fin…Préférant l’ontologie à la métaphysique nous en parlerons une fois autre…Seulement souligner ce fait étrange : ayant «truqué» les véridiques chiffres ils s’auto-convainquent…avoir raison, densément raison,  universellement raison, divinement raison…rien qu’en… mirant les chiffres fraudés…C’est un truc de drogués ça non, de maniaques compulsifs !

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>>> **** Inverser les priorités ? Donc les compréhensions ! « Ce n’est donc pas l’informatique qui doit être libérée, c’est «nous» qui devons être libérés, débarrassés, de l’information …automatisée (comme nous devons être délivrés du «marché non libre» qui «nous » opprime). Cette automatisation (donc qui sort de l’humain, de l’acceptable, de l’éthique et du respect des autres !) qui permet l’extension ivre de la propagande (ou de la publicité)(et ce sont ces 2 choses peu recommandables qui pulsent aux insensées censures ? Non faut vraiment nettoyer ces immondices ) 24/24 et jusqu’au fond de son lit (pendant le rêve, corrompant toute vision nocturne).

Le livre de Jonathan Beller peut (et doit) se lire comme une critique virulente du thème de propagande que : «l’information doit être libre (donc que la censure ne se justifie jamais, d’autant plus qu’elle fait reculer la civilisation !)», que le flux informatique (informationnel mécanicisé, comme celui de la « télé-vision », de la vision commandée à distance – les dits « journalistes » n’étant que des robots programmés (qui ne savent ce qu’ils disent et font !...) doit être « laissé » (au sens libéral du laisser-faire laisser se propager) ; là où «la liberté» ne se pense plus que dans les termes du «libéralisme économique» (soit le trop de facilités pour qui ne savent que Nuire aux autres, et, en plus voudraient exiger que tout le monde les laisse faire…plus question : faisons reculer leurs barbaries partout !) (ou du libertarianisme pervers). Le flux informatique de l’information automatisée renvoie toujours au pouvoir du capital et à ses stratégies dans la guerre (de classe) infinie. Renvoie au mensonge déconcertant (inverser le sens de la liberté), à l’emprisonnement de la pensée (rendue automatique ou réflexe, ici Stiegler est utile) (et qui censure sans même Savoir ce qu’elle censure, sans rien vérifier, n’imposant que des apparences trompeuses, des rumeurs, des mensonges…bref, des reculs que nul.le de sensé en peut accepter !) .

La-violence-de-l'-informatique

** Peut-on dire que l’informatique est libertarienne (ce minable déguisement libertaire qui finit en… hyper autoritarisme pré-faciste qui ne prend que des mesures…liberticides. De libertarien ne reste donc que…tarien !) ? Avec ce que cela implique de dénégation, de refus de voir «le côté obscur» et de voir que la soi-disant liberté (l’indiscipline économique) est un «enfumage si puéril» (un mensonge déconcertant), typique de la culture digitale (là où la propagande devient endémique, même sous ses formes délirantes ou inversées…où le plus médiocre fait barrage aux vrais débats de fond). N’oublions jamais que la publicité (l’enfant chéri des GAFAM), bien loin d’être une réclame pour un objet ou une marque (dans le cadre de « la liberté de choix ») est d’abord une propagande (sois son aspect le plus dégueulasse, qui donc lasse !) pour un système économique (qui est imposé sans liberté de choix, sans autre choix que celui de se mettre en guerre) – la publicité doit toujours se lire au second degré comme propagande politique « décentralisée », construite sur le modèle de la planification à deux niveaux, modèle Janos Kornai, Anti-equilibrium (mais de cette politique sale et perverse qui ose « toi tu n’as pas le droit de faire de la politique – mais, moi j’en fais au-delà des limites en prétendant rester…neutre et objectif »…

Les thèses de Cédric Durand sont « classiques » en ce sens qu’elles parlent de «régression» (des cœurs médiocres font perdre tout ce que l’informatique avait pu apporter de…civilisé et de hautement humain, dans les décennies antérieures !) : il y aurait eu un état heureux de l’informatique, comme outil de liberté, suivi d’une chute et d’un état malheureux, l’informatique devenant un moyen de domination, de contrôle, de surveillance, bref un outil despotique (avec l’arrogance si aliénée de proférer «c’est pour votre bien toutes ce destructions de la vie vraiment Sociale !) ; l’informatique étant nécessaire à la mondialisation (cette perversion qui se fait passer pour ce qu’elle n’est pas : c’est, de fait, une Ati…mondialisation, qui exproprie les peuples de la culture. Et tente de faire passer ces flagrantes délinquances pour des…luttes contre des diffamés «mauvais esprits». «Mauvais esprits» qui, en réalité, nous sauvent les traditions, et les apports bénéfiques de l’existant ! Ce sont des gens bien contre lesquels ils déclenchent d’illégales luttes…la situation se voit toujours mieux…honte aux censeurs mercenaires du net !).

« La digitalisation du monde produit une grande régression (cela se voit en direct dans les…comportements ! Le répugnant domine…). Retour aux monopoles, dépendance des sujets aux plateformes, brouillage de la distinction entre l’économique et le politique… ». Alors qu’il ne s’agit pas tant de « régression », le retour du capitalisme monopoliste d’avant la guerre de 14, avec ses «barons voleurs», qu’au contraire de « progression », certes oscillante ou aléatoire, vers… toujours plus de despotisme, technologiquement surarmé, ou vers un nouveau stade autoritaire ou fasciste de ce despotisme (qui est un régime cyclique ou ondulatoire) (et que le libre web Participe à cela non et non : ils récolteront ce qu’ils sèment comme…des voleurs, des désapprobations très fermes et des fins compètes de légitimités  genre « touche plus aux biens communs, vire tes sales pattes de l’intérêt général, etc…).

Il ne peut jamais y avoir de distinction entre l’économique et le politique, l’économique étant politique (et même le substrat de toute politique, pour reprendre le titre du livre de Jonathan Beller) ; il ne peut donc y avoir de brouillage de cette distinction inexistante (égarer et faire perdre du temps est le but des déplorables propagandes). L’informatique prolonge l’économique considérée comme politique ; c’est cela qui explique le caractère meurtrier de l’informatique (inverser la situation = mettre toute la clarté sur les véridiques causalités…et donc démasquer qui sont Néfastes…tiens donc qui s’affirment comme étant toujours en …luttes contre…des bienfaisants !!). L’informatique et la culture digitale n’ont rien à voir avec « la liberté » (qui n’est pas un problème… technique ! (comme ils empoisonnent tout : lâche ta liberté, osent-ils, c’est nous les techniciens…faux ne lâche pas tes libertés ; elles te conduiront à ce que tu les prennes tous en…flagrants délits !)) ; mais ont tout à voir avec les méthodes policières (ils te caressaient nous sommes amis, complices des mêmes buts – ils ne reçoivent plus un gramme de sympathie, vu qu’ils se comportent en identifiables ennemis ! Pas d’exemple d’une propagande qui ne s’inverse, à un moment, contre ses vénéneux propagateurs…) du despotisme économique. L’informatique doit se penser en termes de despotisme et non pas de « libération » (et les conduites à leur égard vont donc, massivement, s’inverser !).

>> ----- Autant qu’il est possible d’analyser l’économie comme un système politique despotique, il est possible d’analyser l’informatique, ce prolongement renforcé de l’économie (et de tous ses calculs), comme une formation despotique, excluante et disciplinaire (sauf qu’ils ne font jamais pour eux ce qu’ils tentent d’imposer aux autres !). La numérisation est un processus meurtrier qui redouble la violence de l’économie (qui empire tout et augmente les injustices – pas de qui se vanter et admettre la moindre de leurs censures…injustifiées !). Ne pensons, d’abord, qu’aux publicités intrusives (qui violent le droit à non ingérence à chaque seconde…faudra bien  que soient…limitées leurs invasions invasives !) qui seraient impossibles sans toutes les techniques informatiques (ce sont ces Néfastes technique qu’il faut surveiller de prés et non les libres humains…clair que l’inversion n’est plus tenable !).

La numéricisation, en tant que processus meurtrier, est l’envers de violence extrême de toute rationalisation déraisonnable (ou de la rationalité que l’on attribue au calcul) ; tout progrès de la civilisation (attribué à la calculabilité automatique) est identiquement constitué par une série d’actes barbares. Il suffit de ramener l’informatique à la mesure et aux calculs, c’est-à-dire à l’économie, pour saisir l’aspect… oppressif de l’informatique (et donc au droit très légal de Résister…à cette oppression illégale Et illégitime !).

Du reste ceux qui prétendent que l’économie est le royaume de la liberté (free market (sic), free enterprise, free choice (sic)) sont les mêmes qui glorifient l’informatique comme la voie royale de la liberté. »…que la leur, leur liberté qui piétine celle des autres et se réduit à faire n’importe quoi, en se permettant d’unilatérales censures…infondées, sans que nulle critique ne serait…permises à leur égard.

Tu as raison il y a plus d’une anomalie ! C’est leurs têtes entières qui ne vont pas bien du tout…libère-toi de ce si malsains personnages…

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…«Certaines personnes sont sublimes et pourtant malheureuses, quand d’autres sont tout à fait communes et pleinement épanouies. Alors qu’on devrait tous se trouver merveilleux. On devrait s’aimer sans attendre des autres qu’ils nous aiment. Vous savez sans doute que nous utilisons à peine les capacités de notre cerveau (…).

Ce constat désolant, c’est que nous ne sommes «nous» qu’à trente pour cent. Certains à dix, d’autres à quarante, mais jamais totalement. Nous traînons nos blessures, nos secrets, nos complexes et tout cela nous interdit d’être entiers, d’êtres merveilleux (p.97, Olivier Norek, Surface, septembe 2020). »

Puisque, même les humains qui parviennent à plus d’unité intérieure, sont tout de même agrippé.e.s par l’ambiance collective. Grippé.e.s par elle. Trop ralentis. En sous-efficacité de leur vif potentiel. Les médiocres de cœurs, mais qui s’accrochent laidement aux pouvoirs, font, toxiquement, baisser toutes les capacités de la collectivité.

………….le retour du boomerang est enfin là :

…………tout est en train de s’inverser, soit de Revenir à l’endroit…

……………….Les vies infimes sont des Trésors…

……………………. que le collectif n’a pas encore révélé !

………..(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

               Que toutes les plus gigantesques immUnités Collectives existent pour nous grandir et nous nourrir !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

BOGOTA – Depuis plus un mois, une grève nationale paralyse la Colombie et fait l’objet d’une répression meurtrière de la part du gouvernement d’extrême droite d’Ivan Duque. Alors que les syndicats ont fermé les grandes villes, interrompant les transports en commun et bloquant l’économie du pays, les forces gouvernementales ont répondu par l’abusive violence. Selon les chiffres du gouvernement, au moins 44 personnes ont été tuées lors des manifestations qui ont débuté le 28 avril. En outre, 500 personnes ont été portées disparues, plus de 100 ont été atteints par des tirs à balles réelles et au moins 28 ont été blessées à l’œil par la police, par la célèbre brigade anti-émeute ESMAD ou par des organisations paramilitaires liées à l’État. La répression de la dissidence est… encouragée par le gouvernement israélien, qui doit lui-même faire face à une vaste révolte économique, militaire et sociale de sa population palestinienne captive.

L’État a essentiellement déclaré la guerre aux citoyens, transformant les rues et les quartiers en champs de bataille pour tenter de faire passer les politiques néolibérales très controversées (une minorité encore qui veut se faire passer pour la Majorité) du président Duque, qui supprimeraient les soins de santé publics, privatiseraient les retraites, réduiraient le salaire minimum et prélèveraient une taxe de 19 % sur les aliments de base. »…Rien ne… nécessite de telles mesures de grand banditisme. Rien ne le justifie ni ne les montre autrement que très… inadaptées…Le monde ne peut qu’aller mieux sans. Pourquoi ne pas parvenir à abandonner mondialement toute idée toxique de néolibéralisme (soit le pillage du plus grand nombre pour l’avantage inefficace du petit nombre. Qui ne font Rien de ce trop de revenus…et ce rien se mue en Nuire aux autres…).