Le coup éventé des guerres culturelles ?

La séquestration illégitime des pays a permis de voir en direct que les « stars plus ou moins fabriquées » n’ont pas voix au chapitre…elles font  et disent ce que l’oligarchie leur ordonne. Libérons donc ces talents de leurs aliénations. De leur si tristes …sorts. Sans doute que perdre sa liberté de créer ne crée plus leur propre liberté en pratique. Dans le concret du clair quotidien. Mieux vaut, alors, être pauvres mais libres de sa parole que riches mais trop entravés et bâillonnés…au royaume abrutissant de l’Image tout n’est que platitudes et mensonges : tout ça ne fait pas une vie…

*** Cultures ? L’escroquerie vient des invasifs médias que d’argent qui ont faut basculer dans « leurs » rubrique culture, du show biz pur jus, de la pub envahissante, de la starification unilatérale sans contrepoids, de la mode, de l’industrie de s gadgets, etc. Bref, ont fait de ces pratiques que Commerciales une entité non existante de « culture »…les divertissements c’est pour faire diversion = ce n’est donc pas de la culture. Celle qui nous oblige à faire face à tous les aspects de la vie, non à les fuir ! Et un des effets secondaires (évitables et, de plus, parfaitement scandaleux) ce sont ces …falsifications se faisant passer pour guerres culturelles …ce qui ne sont que des guerres commerciales – (par extension exagérée du vocable !), luttes de tendances des lubies de modes insensées et autres claires manipulations des goûts de l’opinion. Bref ni culture ni guerres…que du mauvais commerce (oui il y a un vertueux, un bon commerce – qui a participé à l’installation de la civilisation !)…

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Entre l’infimité et l’infinité, il y a plus de mondes que chez tout Shakespeare. Bizarre que si peu s’y aventurent. Est ainsi que les hommes perdent leurs têtes ?

Vu-des-états-unis-l'autre-américanisation-de-la-France

« Le principal grief, c’est que les idées et les pratiques importées des États-Unis font que les Français des Français plutôt (ceux que les médias de désinformations voudraient passer pour une Majorité) sont devenus obsédés par les différences ethniques, religieuses et sexuelles, ce qui nuit à leur identité commune de citoyens de la République universelle (en effet, le pays de l’anti-culture, masquée derrière «l’amusement» (entertainment) drogué à mort, est, aussi, celui où tout le monde fait des procès à ses voisins et aux voisins de ses voisins, procès…pour des différences. Donc ? A part, replacer des frontières de frontières entre ces prétendues différences – alors que tous ces aliénés manipulés baignent dans le très «même» spectacle (où est la Différence sinon dans qui refusent d’entrer dans ces…marécages sas air !)…et c’est cela «le monde nouveau (sic) » du macronisme, de l’ennui massif à trop hautes doses. Plus rien de spontané ni d’authentique…).

Les guerres culturelles ? Tout ce monde n’a pas tort : la vie politique française s’américanise (à part que la caste politique est coupée de toutes réalités, cause la honte des vrais adultes et ne sert plus ni de modèle ni d’exemple à personne de sérieux : son manque abyssal d’idée soulève de répulsion…alors ses contaminations étasuniennes on s’en balance. L’écume ? L’écume c’est que leurs médias vendus, …oui vendus à célébrer leur vide existentiel emplissent leurs colonnes de stupidités étasuniennes. Ceci n’affecte que les quelques suivistes égarés qui ne vont jamais s’informer ni Ressentir ailleurs ? Le vacarme superficiel cache que les français, en général, ne sont pas intéressés par les minauderies étasuniennes !) ). Cependant, le problème ce ne sont pas les théories de gauche ou les sermons critiques mais la montée d’un discours d’extrême droite, insulaire, nationaliste, porté par une presse belliqueuse (même analyse de superficialité et de petit nombre réel (sauf dans les médias achetés) que précédemment !). Distinctement français dans son contenu, ce discours prend une forme – des présentateurs (c’est Télés que cela – or l’omission cruciale c’est que l’écrasante majorité en France ne…croient plus du tout dans la télé ! De tels présentateurs gesticulateurs ne créent aucune réflexion en profondeur..) qui se vautrent dans les doléances et font naître des débats non débats houleux (juste des phrasinettes brèves - ce n’est pas débats de fond que cela !) sur le déclin national, l’immigration et la religion – lancée par les États-Unis (et alors, on, s’en tape carrément les faux dirigeants de ces pays nuisent et ceux qui y réfléchissent pour tous (vrais écrivains entre autres…sont étourdiment exclus de ces médias d’argent sale…alors que ces médias brassent du grand vide…Ce qui n’est pas su : c’est que des penseurs ou écrivains étasuniens, admirés en France (mais genre…décentralisés), ne sont pas lus aux U.S.A, et même  traités comme des ratés inutiles, qui n’ont…rien à dire (vraiment ?)...Les descriptions falsifiées ne font pas les réalités…la caste dirigeante étasunienne n’a rien dire sur la…vraie culture…voilà qui est, ici, démontré – lls n’ont carrément Rien formulé…). Comme là-bas, le résultat est une dégradation du paysage politique, qui renforce l’extrême droite et attire les personnalités politiques républicaines dans l’orbite de celle-ci (ce constat est, pour le moment le seul qui échappe à l’hystérisation Obligatoire de tous les discours dit dominants…il faut faire comme si « c’était vrai » et faire semblant d’avoir peur ou de s’enthousiasmer…tout cela c’est du déguisement hypocrite de spectacles.).

Les guerres culturelles, voilà ce que les U.S.A. ont vraiment donné à la France (enfin sont en train de le …rater complètement) …(se Diviser (donc se rapetisser au seul…total final), « se » diviser soit perdre toute, mais toute, la visée collective) sur des… points virgules, des têtes d’épingle, s’opposer sur 1 % pendant que les pouvoirs pervers nous nuisent à…100 %). Et toute l’espace de nos concordes collectives piétiné par ces actions démentes que nous élargissons contre nous-mêmes… Il nous faudra encore approfondir cette réflexion, notamment sur 2 points…).

… 1 ) ** « son faux débat Non public noyé dans l’hystérie des questions identitaires nombrilistes » (non pas l’identité d’un pays indépendant…mais toutes ses minuscules différences qu’il faudrait Gérer, faire fructifier, comme d’une entreprise Débraillée ).

… « on ne peut plus dire ce qu’on pense, on est étouffé par les dangers de la cancel culture ». (ce mot ne peut être culture lorsque « to cancel » signifie annuler, effacer !) Ce on ne peut plus dire ce qu’on pense c’est ce qu’ils voudraient que nous…intériorisons (sur le mode des bolcheviks seconde mouture, intolérants, si bornés et répressifs). Disons que de refuser ces Gadgets inhumains est facile avec un…bon historique. L’éducation aux U.S.A. coûte une fortune. C’est un Endettement pour plus de 20-30 ans (pour la majorité qui ne saute pas à une activité de classe supérieure-supérieure mais restent dans la …moyenne)…et que « cancel non culture » et tous ces gadgets ce sont ces…étudiants coincés entre la propagande « vous êtes les meilleurs » et les réalités (les plus ligotés, et enfermés, oui)…La soupape de décompression c’est inventer ces raccourcis pour fainéants = ne plus avoir à réfléchir mais… dégainer des absurdités toutes prêtes avec des formules juste à radoter…sans ne jamais comprendre leur portée. L’historique c’est que aux U.S.A. il n’y pas de vraies scènes culturelles (comme un peu en Europe ), de respect pour la culture (c’est le stupide « combien ? » qui a pris la place !).

La preuve en est que dans leurs scandaleuses élections (sic) traitées surtout comme un…divertissement (faire diversion aux réalités)…il n’y a jamais de penseurs, de scientifiques, d’écrivains, etc. Juste quelques artistes de diversions amusements pour la décoration. Et que la « cancel culture (sic) » ce sont juste ces milieux étudiants (prolongés ou non…) qui veulent se faire remarquer – laisser leur marque - marquer le coup en politique. Et que (fort heureusement), après la soupe venue au feu – il n’en reste presque toujours pas grand chose…Sinon la sale habitude des médias vendus de relayer massivement ce gazouillis comme si c’était Sérieux…Pour faire court, une de nos expériences de recherche de documents suite à des modifications de logiciels, où nous rencontrions ce genre de simplismes souriants monstrueux (c’était vers 2004 : « tout ce qui est avant 2 000 n’existe plus, ne sert à rien, c’est si dépassé – nous ne référençons plus ! » Hê béé…boumbada boum, si entré dans l’esprit fasciste d’effacements subreptices…). Cancel pareil : on te sort un critère idiot (monté en douce comme d’une Principe supérieur)…mais surtout pour ne rien…faire, ne pas penser, juste « séquestrer» l’espace de parle publique afin de s’y faire…briller à su mal radoter.

Voici - ces raccourcis qui permettent de tout dire sérieusement, en arrachant les équivoques, sur un thème (avec accompagnements de l’humour cosmique)…tout cela (cancel et autres), il ne faut surtout pas s’en préoccuper sinon pour détecter es douleurs qui sont derrière…ils ne veulent rien transmettre !  

Philip-K-Dick-et-le-grand-reset-en-Occident/

« Sérieusement et systématiquement Tetyana a relu ou lu tous les ouvrages de P.K. Dick susceptibles d’expliquer l’étrange réalité dans laquelle nous sommes plongés (cet écrivain, qui aux USA, continue d’être traité comme un fou drogué a, de fait, par sa méticuleuse interrogation  de l’inconscient Global, su nous dénicher – tellement à l’avance – les pépites qui nous ont sauvé de tant d’aliénations (il y en a autant dont nous devons nous libérer, nous émanciper)…oui ? Seuls les vrais écrivains «savent» (même s’ils ne le formulent pas à la perfection) la valeur, la portée, l’essentialité et la place des œuvres dont la leur…aucuns éditeurs, égarés dans de faux logiciels, ne peuvent avoir seulement Conscience de ce qui importe le plus (Qui, malgré les apparences, nous apportent LE PLUS crucial ?). Depuis un an, nous avons en effet assisté à une accélération de cette réalité marquée par le… totalitarisme technologique et l’effondrement énergétique/économique (que quasiment aucun auteur «publié» n’effleure (par contre, dans les non publiés (par le système malsain), beaucoup nous entrouvrent les non-dits…essentiels !) ; tout cela grâce au virus et aux mesures comme ce reset qui l’accompagne, sorti de cerveaux planétaires et dangereux. Bref, nous sommes rentrés au moins dans les grandes villes dans …l’univers de Dick (pas « son » univers – encore une stupidité bourgeoise – mais bien l’univers qu’il décrit avec son talent = au final c’est « nôtre » univers, non le sien qu’il décrit !) – un univers souvent comique et menaçant, comme dit notre auteure.

Tetyana a compulsivement déniché les textes oubliés ou peu lus qui dessinent la réalité prévue par notre étrange prophète (dire à l’avance, en reliant toutes les flamboyants intuitions, en y mettant tout son cœur…ne mérite pas l’étiquette peu recommandable de « prophète » ! Non c’est un précurseur qui a perdu son meilleur intérieur pour nous le …transmettre !). Mais en bonne chrétienne elle a aussi insisté sur les contenus spirituels et « chrétiens-primitifs » de l’œuvre de Dick, dimension que beaucoup de critiques ont négligé ou oublié (payés combien pour…ignorer ?). De ce point de vue ce grand auteur (grand considéré comme «petit» et négligeable par les égarés étasuniens ! Il est des erreurs insistées qui ne s’excusent pas...également, en France le système stupidement mafieux de l’édition méconnait les grands actuels…c’est symétrique : ce sont les mêmes têtes à l’éducation…vraiment complètement ratée qui ne comprennent Rien !)) pourrait être aussi un écrivain du « 8ème jour » quand nous serons réveillés du long sommeil… impérial et fermé. » Ce livre s’adresse donc à une future élite «éveillée», et qui s’ignore encore. »….La fin de certaines ignorances centrales est commencée – comme ceci par exemple…

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>>> ---- « Il apprend l’importance de ne pas repeupler les clairières [d’arbres], de laisser quelques arbres morts dans le sous-bois, un vrai festin pour les éboueurs de la forêt. Il comprend la nécessité de ne pas abattre les arbres qui servent aux animaux pour leurs premières rencontres et qui sont le prélude à l’accouplement (p. 332– Ilaria Tuti – La nymphe endormie, Mars 2021).». Ceci (et les extraits suivants) appartiennent à… 1 )… un savoir « global » et qui …2) se préoccupe des siècles passés ainsi que la diversité même de la bioDiversité (l’arriéré capitaliste veut la biodiversité mais sans …diversité (et ses astreintes et responsabilités !) juste le mot plastifié pour le décor. Tout ne peut être que…publicité de leur destructions de la vie (que l’univers entier admire !!)…Et donc ? Savoir « global » : lorsque les barbares néolibéraux ont le culot bouffon de se dire « globalistes » - alors que, séparés de tout, ils oublient tout ce qui est global et relié (seuls leur monstrueux égoïsmes leur importe)…On ne fait des coupes d’arbres qu’intelligemment = les leurs ne sont que massacres par stupidités !...0n se garde des souches qui représentent un « savoir dense » pour tous les jeunes arbres, ainsi que pour la «civilisation arbre» entière (…un peu comme les quelques communautés humaines suffisamment futées pour faire vivre «les conseils des anciens» (des bibliothèques de diversités)** Inclure toute vie, dont les animaux dans cette Bonne gestion, ça c’est du vrai progrès (civilisationnel, humain et social), où d’authentiques progressistes progressant pas à pas, non néolilbéraux donc, peuvent seuls y…parvenir. Encore ?

(la lumière raréfié [[des sous-bois ]] semble posséder une consistance)… « Cela s’appelle la « lagune verte ». C’est la bande de rayonnement qui réussit à pénétrer la canopée et qui atteint le sol. Cela représente seulement 3 % du spectre, qui sont inutiles à la photosynthèse. Voilà pourquoi dans les forêts les plus épaisses, le sous-bois est un désert d’acidité (p. 332 – ibidem)…». Rien du tout n’est négligeable dans un savoir Responsable, même 3 % – se limiter à ce qui est utile (sic) à des cupides si inconscients c’est s’enfoncer dans les ténèbres et l’ignorance – Puisque ? «  les arbres ne sont pas si différents de nous (tiens donc !). Ils nous ressemblent plus que nous ne le voulons bien l’admettre (seuls les « réfractaires » si incorrigibles de l’oligarchie illégitime ne…l’admettent pas !). Ils représentent la quasi-totalité des formes de vie de cette plan(è)te (le délire des grandeurs des faux dirigeants oublie imprudemment tout ceci !) : cela signifie qu’ils constituent un programme…génétique de conquête et de survie presque parfait (p. 333). »…Comme nous sommes, ici, à des milliers de km d’intelligences de ce que radotent des gouvernements robotisés. Comme si la « civilisation des arbres » pouvait récupérer réparer et effacer toutes les détériorations irrationnelles et insensées des directions humaines ? Pour tout cela Génétiquement pourvue que cette civilisation d’arbres…omniprésente…Et ce n’est pas fini ? Nous offrons encore d’autres extraits – pour les gourmand.e.s il y en a le double !

« Les plantes voient la lumière à travers des photorécepteurs disséminés à leur surface : des centaines d’yeux minuscules qui observent le monde, à leur manière (peut-être meilleure que la nôtre ?) (…). Elles se reposent, comme toutes les créatures vivantes ; pendant la nuit les arbres s’abaissent également de 10 cm. Elles sont dotées du sens du toucher et de l’odorat : elles flairent les plantes hôtes à secourir et, à l’odeur, elles réussissent à comprendre si  elles sont en bonne santé (…). Elles ont de la mémoire et un sens de l’équilibre qui les fait croître droit, même sur un terrain en pente. Et elles communiquent, sur un mode que nous ne comprenons que… partiellement (ce qui signifie, sans équivoque, que dans ce domaine si fragile et si sensible de la communication, elles nous devancent splendidement !). Et ça, c’est seulement leur aspect de «surface». Les racines (fongiques) forment un réseau… Neuronal (oui neuronal) illimité (leurs « réseaux sociaux » pulvérisent les nôtres sans en avoir leurs défauts « trop archaïques » de...narcissismes suicidaires !). Tous les jours, elles prennent des décisions complexes (de quoi les admirer toujours plus et d’arrêter de les détruire brutalement pour du si vain argent…Penser à ce qu’une union, une alliance avec elles, avec la «civilisation arbre», offriraient…d’aucuns s’égarent à penser « extraterrestres », - vivement qu’on les rencontre – alors, qu’ici, nous avons (si proches) de si bien implantés terrestres extras. Qu’attendons-nous…la culture (la vraie) est là pour cela - Oui « nous connaissons si peu de chose de cette créature qui…respire pour nous ( heureuse formule - alors, dans ce contexte, porter un masque dans ces forêts si puissantes pour nos immunités naturelles…reste un vrai Sacrilège). Dans cette poignée de terreau survit 1 000 000 000 de microbes reliés entre eux par des interdépendances si complexes que l’homme n’est pas encore… capable de les recréer en labOratoire (y manque toujours l’oratoire dans le labo – nous sommes là, oui là à l’orée de l’oral ! La parole peut manquer à la science…). Voilà pourquoi ils meurent s’ils sont isolés de leur environnement (p. 334 – Ilaria Tuti – La nymphe endormie). »…Vraiment y a t-il un film, un seul, un film qui surpasse tout cela ? Surpasse comme ce qui… tout entier nous ravit comme ravissant doué ? Mentalités et comportements transformés…L’écrit nous soulève et nous transporte à des distances… intersidérales, que surtout les vrais écrivains (qui n’obéissent pas stupidement au commerce mais à des valeurs si supérieures, qui englobent aussi du «doux commerce civilisé» - mais bien remis à sa juste place, soit non…barbare et non fanatique ! Oui rien de plus puissants que ces…écrits dont nous sommes injustement…privés…oui oui ils existent mais nous sont…interdits ! Encore pour longtemps refusés, bannis ? Toutes les cultures piaffent. C’est l’union des désirs qui galope… 

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Francis-Hallé-Se-libérer-du-règne-de-la-mesure-et-renouer-avec-la-sensibilité

 « On ne défend bien que ce que l’on a appris à aimer », assure le botaniste Francis Hallé, qui vient de fêter ses 83 ans. Mais encore ?

Reporterre — Quelle place donnez-vous à la beauté dans votre travail ? Francis Hallé : -- Elle est essentielle (le mot porte de nos jours..) Et je constate que l’émerveillement (les savoirs qui importent se reconnaissent à ce qu’ils émerveillent…), à mesure que les années passent, prend de plus en plus d’importance. J’en suis à prétendre que la beauté devrait faire partie intégrante de la biologie et de l’écologie ! Malheureusement, dans le milieu académique, on n’en tient absolument pas compte (ils en sont à peine…à la préhistoire existentielle. Leur retard sur les paradigmes essentiels n’est plus excusable après la Crise de gouvernabilité sociale et humaine depuis 1 an et demi…Les bouleversements se feront sans eux ?) Tout au long de nos années d’études, on nous a dissuadés de s’intéresser à la beauté (et de quel droit ? Où est la justification de cette ignorance qui matraque et amoindrit ? Ce sont quoi ces têtes qui s’autorisent à Nuire aux enfants au lieu de les…élever ( soit les placer en hauteur plus haut que soi ?)?...Il y a toute une éducation…très ratée à transformer à 100 %) : l’éducation c’est la culture ou non..). Nos professeurs à la Sorbonne nous disaient de nous méfier (sic) de « ces sentiments subjectifs » qui allaient entraîner « des raisonnements faussés » (genre Conflits d’intérêts, corruptions et mensonges scandaleux partout ?). Pour eux, la beauté c’était bon pour les enfants, les artistes, les poètes mais surtout pas pour les scientifiques (et nous avons vu le désastre de telles Idées Folles depuis un an et demi…l’inhumanité, oui la régression vers la bestialité bête des décisions plus que déplorables qu’ils ont soit conduites soit soutenues – la condamnation ferme de ces éducations ratées qui envisagent de vacciner dangereusement des enfants et…sans un seul motif Sanitaire (qui ne peut émouvoir ne peut mouvoir ; ne pas s’émouvoir c’est demeurer une statue d’immobilités et d’inactions !).

Avec le recul, je leur en veux terriblement. Ces abrutis m’ont fait perdre un temps fou (et à tous ceux qui osent appuyer les non-gestionnaires si dangereux au pouvoir) ! Il faut des années pour se débarrasser des schémas et des dogmes que l’on vous a enseignés (ce pourquoi les médias d’argent ne seront plus jamais excusé …leurs comportements depuis 1 an et demi ne s’admettent plus : c’est l’inverse de la civilisation universelle. En fait, juste des ploucs si perdus dans leurs coins infertiles…). Les Anglais ont été plus malins que nous. Ils ont montré qu’en biologie la beauté avait un sens précis : elle prouve que l’évolution et la phylogenèse ont bien fonctionné (là où il n’y a pas Beauté il n’y a pas évolution : cet infaillible marqueur manque tant à la société «prise en otage» par les bourgeois stériles…).

Comment vous êtes-vous libéré de la vision de vos professeurs ? F.H. : -- J’ai souvent été en colère. Je me souviens particulièrement d’une altercation avec un autre chercheur qui me disait que la beauté n’était pas mesurable. Je lui avais répondu : « Et ton intelligence, tu crois qu’elle l’est ? » C’est quand même une vraie question : pourquoi la science se résumerait à ce qui est mesurable (mais un mesurable qui n’a aucun…sens des mesures, ni grâce, ni art « d’évoluer » dans l’espace et dans le social complet !)? Qui a décidé de ça ? Quand j’ai découvert les forêts primaires, la beauté m’a sauté aux yeux. Là-bas, si tu as une empathie pour le monde végétal, l’émerveillement est permanent. Tu ne peux pas …l’ignorer (la glaciation de l’inhumanité et de l’antisocialité bourgeoise est bien un âge…d’ignorances !). Pour ma part, je crois que c’est le dessin qui m’a sauvé. Il exige une attention, un regard, de l’imagination. Ça a été une méthode très efficace pour me débarrasser de l’approche réductrice de certains scientifiques (les cruels réducteurs de cœurs…à zéro, ils voudraient !).

En écologie, on a aussi tendance à tout mesurer : la fonte des glaces, la hausse des températures, le nombre d’hectares de forêt détruite...F.H :-- Oui, on énumère en permanence des chiffres, on calcule, on fait des courbes. Je n’ai rien contre, mais cela ne dit pas tout du monde (juste sa plus petite…partie, en fait). Je crois qu’il faut se libérer du règne de la mesure (cet Occupant insupportable). D’ailleurs, je suis très heureux de voir que de plus en plus de scientifiques expriment, maintenant, leur sensibilité (lorsque l’insensible est…l’insensé !). C’est un des côtés enthousiasmants de notre époque. La science et l’art tentent de se rapprocher. On cherche nos points de rencontres plutôt que nos différences. Ce n’était pas le cas il y a vingt ans. » Diriez-vous que la crise écologique est également une… crise de la sensibilité ? »…Seuls les insensibles insensés (sans cœur) la rejettent…sans même en avoir pris une connaissance intime !

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Oui, il y en a tant et tant à dire que nous y reviendrons. Abondamment. Pour commencer, il fallait surtout stopper ce délire de tout refaire comme avant. Avant «leur» Crise, crise de fin de règne (oui ce sont eux qui déraillent complètement, ils ont trop (depuis un an et demi) prouvé et étalé leurs inaptitudes humaines et sociales, leur incapacité flagrante à «diriger» les autres – c’est enfin la fin de ces éducations vraiment ratées…impossible d’y revenir…les bouleversements seront complets…oui plus rien de rien ne sera comme…Avant.

Et qui «méritent» d’effectuer le plus de changements intégraux sinon ces faux dirigeants,

……………………. ces surtout…non supérieurs ?

…  …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste et intégrale transformation collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; " La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques ", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Schéma-global-du-micro-climat-fort-feuillus.

de Permaforêt

Mural-in-Warsaw-Converse-campaign-website-Good-Looking-art-hub-fairuse-

de i0.wp.com/everyday.earth

De moins en moins d’humains vivent comme des…humains ? Soit ils/elles virtualisent les expériences directes, émotionnelles ou affectives et s’enlèvent la simplicité de les vivre tout simplement ? Se croyant être des « réussites » abstraites, d’objets mornes, de faux chiffres et d’une économie qui oublie que tous ses mots ne parlent que de…santé (oui « épargner » c’est bien garder en vie, protéger de la mort). Étrange n’est-ce pas que plus grand monde ne soit plus plein d’ardeurs, d’enthousiasmes terre à terre oui de…sociabilités : l’hédonisme c’est de la grossièreté inculte face à l’épicurisme qui, lui, distille tous les nectars de la qualité en vivant…naturellement…vivant. Soit en « économisant » toute Économie dans sa propre vie (la santé c’est d’économiser…donc de refuser de « vivre » l’Économie abstraite, métaphysique, hors sol et vraiment…invivable ! S’en passer, point barre, s’autoréguler comme ne font jamais les si odieux capitalistes !).

« L’existence de flux asymétriques de temps de travail dans les économies modernes a été démontrée par les économistes travaillant dans la tradition marxienne (Arghiri Emmanuel) tandis que les flux asymétriques de… terres signalent la présence de ce que j’ai appelé un échange inégal écologique. Le facteur de production auquel je donne le nom de « terre » pouvant être subdivisé en matières premières, en énergie et en espaces écoproductifs. » (p. 245 - Alf Hornborg - Technologies d’Appropriation De la Rome Antique à Wall Street)

« ….à écouter les participants du sommet de cette fin de semaine, on pourrait croire que l’accord sur la fiscalité des multinationales marque la toute Fin de la désertion fiscale des multinationale. Las, comme pour les parasites fiscaux, en 2009, et en 2015, cet accord ne marque qu’un progrès minimal dans le grand évitement fiscal des multinationales, et pourrait au contraire entériner et… prolonger l’immense injustice fiscale du système actuel. » (par Laurent Herblay).

Idées reçues, idées déçues ! Soit l’impossibilité criante de voir, un jour, triompher nos convictions tant nous ramons pour l’ennemi ! Face à une situation, dont les causes nous échappent, une partie d’entre nous préfère sauter sur du simplisme irresponsable : soit des idées reçues. Trop bien reçues. Il faudrait mieux leur claquer la porte au nez et s’obliger à examiner l’inconnu, l’analyser et s’y habituer - ce que nous ne connaissons pas ne doit pas obéir, ainsi, à nos caprices erratiques, mais c’est bien  à nous d’apprendre cet inexploré. Tout ce qui ne nous est pas connu n’est pas, non plus, une insulte même involontaire au côté sales majestés que nous avons en nous – mais bien une carence, un défaut, un manque venant de nous !