Qui ne conçoit rien renonce clairement

Dans les années 1980, afin d’empêcher l’intelligence collective de grandir, le monde des éditeurs décréta des «livres difficiles ». Livres prétendus difficiles à double face répressive ; de quoi, d’abord, Refuser brutalement les auteurs (mais les gens ne veulent plus de livres difficiles – ce qui est faux !) et leur édition n’est plus possible (puisque  ne…marchent pas les livres …difficiles – surtout lorsque tout est fait pour en empêcher Tautologiquement l’édition !). Ici, nous pulvérisons définitivement toutes ces aliénations, impossibilités logiques et nets reculs des civilisés. Tout simplement comme ceci :

Ce qui ne conçoit rien renonce clairement

Et les mots pour rien dire dérivent aisément

Cela vous rappelle – mais remis bien à l’endroit le si défaitiste et tellement ennemi des œuvres qui renouvellent les concepts :

« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,

Et les mots pour le dire arrivent aisément. »

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Du parallèle entre le mot « complotisme » et le diktat « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement » ??

>> *** Oui les mots enfin ressentis de Boileau ne jouent pas un si… beau rôle. Le parallèle avec agiter le mot «complotiste » afin d’empêcher quiconque de parler et de réfléchir ensembles est flagrant. Là – et dans l’uniquement but de « dissuader » de lire les textes surtout lisibles mais qui reçoivent cette marque… Infamante - est agitée la phrase magique « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement ». Or, comme Marx le soulignait, renversez le prédicat et vous verrez clair…et cela offre le renversement : «Qui ne conçoit rien se renonce clairement»…ce qui était une forme de terrorisme contre le fait même de penser, de penser au difficile et aux obscurités, de faire remonter des profondeurs l’inconnu…Hé bien ce Boileau terrorisant tombe devant un phrase toute simple…: « quand il n’y pas de pensée c’est plus facile à dire ». Oui s’il y a de la vraie pensée, surtout qui celle qui affronte du jamais dit, cela «résiste». Plus cela résiste plus la pensée est féconde. Là où rien ne résiste il n’y a… pas de pensée. Et aucun livre n’est « difficile » s’il nous ramène des profondeurs du jamais dit ! Et alors ils nous demandent des …efforts de lectures, la belle affaire ? Au niveau vocabulaire, par exemple, les mots existants n’existent pas encore, il faut en inventer ou user de périphrases. Ce qui ne facilite pas les formulations…et offre (pour nous qui adorons les livres faussement diffamés de difficiles une lecture qui – au début – demande de s’accrocher mais qui, ensuite, permet de lâcher toutes les brides et…de bien galoper…). La progression dans ces livres demande des efforts mais ces efforts sont bien récompensés : ce dont les chochotes du facilitalisme (lire sans effort) voudraient indolemment nous…priver. Pas gentil du tout !

** Pour sûr qui n’aime pas peut tout à fait, par exemple, prendre un paragraphe et le transcrire ne son langage « prétendu clair » afin de monter la différence. C’est du fair play, mot pour loyal et équitable. Au lieu de préférer la position de surplomb (si dominatrice) qui assène – donc sans preuves et sans montrer le moindre début de raisonnement – le skud unilatéral et…ennemi : Illisible (souvent, ou presque toujours, pour du bien lisible, pour nous !)…et voilà le « cas » est clos. Tu ne peux y répondre puisque les possesseurs de l’expression  « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement (mais lorsqu’il n’y a …rien de conçu ?) » ne s’en servent que pour censurer sans un autre mot un humain qui, de fait, produit ce bon texte.  Et dont ils voudraient dégouter la lecture : pas joli tout ça…Tout cela (cette malpropre magouille) sans  vérification, sans examen de l’objet en non litige (car c’est seulement un diktat glacial qui vient d’être lancé : très fortement conseillé de ne Pas lire…)…ce qui représente, au minimum, un croc en jambe mal intentionné et, au maximum une « claque » payée pour nuire directement à de bons penseurs. Cette fois–ci vous vous sentez plus dans le bain ? Bon une version « honnête » vous est alors offerte : étape un) – vérifier la solidité de l’argument et donc remettre à l’endroit la signification qui dure :  

Ce qui ne conçoit rien renonce clairement

Et les mots pour rien dire dérivent aisément…

…pour l’ex- et désormais très suspecté …

« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,

Et les mots pour le dire arrivent aisément. »

Puis, la version 2021, la plus proche des faits, est alors probement restituée :

Conçu des profondeurs fait suer le vocable

Les mots d’y parvenir ont saigné leurs câbles.

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Quand il n’y a…pas de pensée c’est plus facile à dire ?

Afin de joindre 2 arguments si neufs : quand il n’y a…pas de pensée c’est plus facile à dire. Tellement trop. Le vide dit du vide…

Alors que la présence d’une pensée active crée de la « résistance » (action-réaction, densifications = difficultés à progresser : et plus neuve et transformatrice la pensée, donc bien là présente – et plus de présence active et plus il y a de contraires !)…Oui résistances et dans la juxtaposition échelonnée des arguments (pas tout jetés en vrac mais structurée par une pensée qi voit la réalité lui…résister et qui ne recule pas devant les…difficultés !!) et (les formulations, sans…précédents - ce qui demande des novations hardies voire des courages périlleux vers les expressions heureuses et les mots...justes. Ce qui n’est pas aimé par le « facilisme » fainéant du s’énonce clairement = ne dit jamais rien de nouveau !!). Ce que le « non conçu » évidement ne rencontre jamais. Et les sophistes (ces ennemis de toute pensée…surtout novatrice !) qui disent dans le même temps la chose et sont trop flagrant inverse….prouvant que la… pensée qui « se conçoit bien » est le dernier de leurs soucis - ce qui est fastoche pour ciseler des mensonges raccordés à aucune gradation argumentaire : d’où ces si évidents parler pour ne …rien dire ! Oui ces sophistes- là adorent ce qui se conçoit bien (comment le prouver que c’est « bien » conçu ? Surtout lorsqu’il n’y a …rien de conçu /) et nous pas du tout. C’est l’exemple type de la « falsification », selon Karl Popper, qui écarte de toute possibilité de représenter une science (une vraie science peut être contredite tout le temps…à condition d’apporter les preuves qui annulent l’état précédent de la vérité science – là il est impossible de réfuter, la forme redondante fermée l’empêche !) : soit la totalité magique que rien ne peut réfuter…(si «c’est ce qui se conçoit bien » c’est obligatoirement… bien conçu et bien conçu  se « prouve » car se conçoit bien…bien conçu, etc.…pas de comment le prouvez-vous ce bien conçu ? La tautologie non scientifique de Popper que rien ne peut …réfuter !! Vous allez n’avoir que des redondances parce que c’est qui se conçoit bien ou parce que c’est bien conçu pour…l’éternité…avec ça il ne peut y avoir…débat…même une mince ombre de débat…Ou le comment sans frais… se débarrasser d’un vraie pensée est enfin pris…sur le fait...malfaisant. Pas beau hein ?

-- Par contre - Dire le nouveau est difficile à «articuler» : 1)***à bien poser les concepts nouveaux, vacillants sur leurs pattes peu assurées, tels le poulain qui vient de naître, et ce dans un vocabulaire par taillé (à la seconde) pour y répondre au mieux – il va falloir forcer un peu aux marges – les mots seront désaxés et sujets aux équivoques …dans les 1ers temps (celui de l’habituation)…ensuite s’installera un nouvel espace de réflexion parlée ou écrite… 2)*** et à forcer dans un argumentaire pas encore conçu puisque c’est sa toute première apparition. Oui c’est infiniment plus difficile d’extraire de la matière brute, du jamais dit, jamais pensé, jamais…conçu. Avec Boileau, plutôt ses successeurs abusifs…c’est interdit (sic) : on ne pense plus - plus de Nouveau, tout est interdit par ces…libérateurs (sic)…Oui oui ne fait plus que… copier et recopier que l’existant (ce qui « s’énonce clairement »…puisque répété à longueurs de temps…pas de risques Mais rien ne peut agir à partir de ce marais…enlisé !) – ce qui ne Prouve surtout pas qu’il y a une vraie Pensée derrière…se juste coller la même molasse mélasse … Ce que l’on conçoit bien et s’énonce clairement est donc une Falsification. Une vaine tautologie…Chaque membre de phrase pris isolément ne peut, à aucun prouver, son existence nécessaire et sa cohérence ontologique...c’est uniquement un effet rhétorique qui « se déguise » en argument….sans en être surtout un. Ce pourquoi de l’asséner peut faire que du mal…bien Trop et pour rien ! Et ne… sert que les faux maîtres…

>> **** Une nouvelle œuvre ne peut être assez…lissée par les routines, les polis par les sirènes, les sans aspérités à force de rabâchages – les poncifs qui poncent tout….Donc une nouvelle œuvre qui se conçoit bien ne s’énoncera pas obligatoirement si clairement…puisque ce n’est pas du tout le But principal (qui reste…de parvenir à nous amener du certifié neuf !). Et ceci vient  de Krisnamurti, se mettant en colère contre qui disaient juste que « ses cours étaient « difficiles », et qui ironisait si bien avec son « on ne peut apprendre que ce que l’on…ne connait pas »…et vous voulez n’apprendre que ce …que vous connaissez déjà. Et ce sempiternellement…trop de rabâchages nuisent à ce qui, en vérité,…se conçoit clairement…

Si tu n’aimes pas un texte – eh bien dis-le ou prouve pourquoi, mais ne vas pas sortir des procédés si hideux d’anti complotistes (« ententes illicites » pour la Loi)…Oui l’effet désastreux que de l’assener suffit pour faire taire…« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement. »…salement sous-entendu que ce texte n’est pas bien …énoncé, selon le nonce apostolique de la Religion du on censure tout. Ce qui joint la corruption du mot « complotiste » asséné aussi sans… possibilité de défense – Ce qui prolonge sournoisement ce qui, à la fin des années 1980, a été entrepris par le gang des éditions : écarter les livres qui portent et font de l’effet. Et, sous…couvert du faux motif que… tous les ouvrages ouvrants …probants de années1970 « seraient » devenus (comme ça, en une nuit…) des livres …difficiles (sic). De quoi, à la fois Refuser aux auteurs (mais les gens ne veulent plus de livres difficiles – ce qui est faux : s’occuper de thèmes difficiles ne rend pas les livres difficiles. L’amalgame est trop louche…) et (donc) leur édition n’est plus possible (puisque  ne…marchent pas livres …difficiles – surtout lorsque tout est fait pour l’empêcher ! La tautologie délinquante enfin démasquée…)

--- quand il n’y pas de pensée c’est plus facile à dire qui Annule le « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement » qui a donc fait partie de ces faux raisonnements hypocrites qui veulent supprimer toute pensée indépendante et tout contenu objectif, en ne montrant du doigt que l’emballage (de préférence commercial) car qui VA DIRE ce qui « s’énonce clairement » et « ce qui se conçoit bien » - en instance de Contrôle en plus ? Qui ? mais cela ne va vraiment pas…les pré-collabos ne passeront pas !

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Une phrase tout à l’envers

Une phrase tout à l’envers : Qui préfigure et illustre si bien les perversités illégitimes actuelles mais qui veulent se donner l’apparence d’être nécessaires…ce qu’elles ne sont pas et n’ont aucun droit, non plus, à censurer…le plus nécessaire qu’elles !

Boileau-Troll prend vraiment l’eau ! oui plus loin il ose dire qu’il préfère… les… ruisseaux tranquilles aux torrents impétueux (or presque tous les grands chefs d’œuvres de l’Humanité sont des…torrents fougueux qui emportent les flots et pas des phrases qui dorment – depuis le Orlando furioso on est au courant -). Et vouloir faire passer son goût particulier (les… ruisseaux tranquilles) pour la Norme universelle, la loi suprême applicable à tous est bien d’un abus excessif que la Tautologie improuvable de son énoncé, heureusement, met par terre.  

Puisque, d’ailleurs, juste après les 2 vers trop cités, il précise que tellement plus… difficile de faire remonter des profondeurs l’inconnu, le jamais encore dit, le pas domestiqué, le sauvage qui sauve, l’obscur encore, cet obscur nécessaire qui reste l’écrin des plus beaux diamants…ce qui entre en Complet conflit avec ce s’articule bien bla-bla (donc ne faisant que Répéter le déjà trop dit, le radoter jusqu’à sa dot, ne faire qu’un bruit de fond inaudible d’où aucun Sens ne peut sortir, etc. Et – enfin – depuis 40 ans d’occupation de la France culturelle par des…sophistes (qui te disent un truc et une heure après tout l’inverse et ceci indéfiniment = la pensée (claire ou pas) ne Compte plus du tout – uniquement l’Occupation ennemie des mots par du char à bia)……Chez les sophistes tout est dans l’extérieur décoré et plus rien…dans la réflexion interne…et donc « leur » Boileau…est viré aussi sec car le trop bien…formulé l’est par absence…complète de pensée préalable (dans le tout début des années 1980 les pouvoirs ont classés dans « livres difficiles » tous les bons libres de l’époque…grâce à Boileau, tiens…pas difficiles ces bouquins… mais qui…dérangent les pillés roupillons !)…

Bon, faut faire des efforts de clartés, c’est okay - mais ne pas oublier que qui veulent exhumer du vrai nouveau ne peuvent…pas faire plus/mieux…faut, au départ, les suivre un peu pour goûter (ou non) à leur monde enchanté…bref Boileau n’est Plus une référence du tout du tout…juste un Troll et bus !

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Conçu des profondeurs fait suer le vocable

Les mots pour y parvenir saignent leurs câbles.

-Boileau-ce-que-l’on-conçoit-bien-s’énonce-clairement/

…  …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste et intégrale transformation collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; " La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques ", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Tempête-furieuse-et-non-ruisseau-tranquille-

Orlando furioso de Gustave Doré