N’est-ce pas avec les yeux que nous écoutons ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

N’est-ce pas avec les yeux que nous écoutons ?

Ceci vient d’expériences très concrètes et non de pulsions esthétiques, genre pour décorer les conversations. Oui comment les yeux écoutent ? Sous la férule de mesures liberticides, pleuvant depuis 18 mois, une partie des humains (que vous connaissez et que nous connaissons) a bien…changé. Leurs réactions très étranges copient le soviétisme de toujours…faire semblant. Ouais, mais ceci dit, nous ne sommes pas plus  avancés. A l’extérieur leurs comportements sont bizarres, mais quels sont donc leurs états intérieurs qui…précèdent ces conduites dérèglées ? En tout premier, faisons un bref tour de toutes ces observations interloquées, purée mais ils n’étaient pas comme ça avant !! Et puis, déambulons dans toutes ces questions bien remuées par d’autres. Terminons enfin par une synthèse. Genre mais comment faire avec elles et eux ? Jusqu’à trouver au moins une esquisse de significations…Le but demeurant de cultiver à fond nos santés mentales

 

De Jacques Abel… « Mais, justement, avant toute cette foire, je n’avais aucune peine à aborder les sujets les plus délicats avec des gens très peu connus, ça se faisait assez vite au cours d’une discussion, maintenant, …c’est plus le cas avec les mêmes gens (la rupture est intervenue !), ils sont comme dans un no man’s land intellectuel, ils se sont auto-bloqués (mis en stand-by !!) et faut faire gaffe à ne pas les brusquer car ce sont devenus des gens fragiles.

Pas en apparence, ils semblent rieurs, mais, dès qu’on aborde un sujet moins léger, il y a comme des mécanismes de défense qui s’érigent, comme si durant le confinement des traumatismes (anciens) étaient apparus et qu’ils préfèrent enfouir. Que ce soient mes joggers du matin, des amis du quotidien ou de nouvelles connaissances, y’a un moment où les gens ont un point de rupture qui arrive vite si on sait aller les chatouiller (le tableau est vraiment sidérant oui « ils ne sont plus eux-mêmes : …on se croirait dans les apparences hors réel du soviétismes !). Nos proches sont profondément blessés et très peu d’entre nous le perçoivent ou alors ni peuvent rien parce qu’eux-mêmes le sont aussi, sérieusement, des choses ont changé.

Les gens ne veulent pas penser en ce moment, cela semble en avoir traumatisé plus d’un d’y avoir été contraints sans …préparation. »…Fort bravo de ce morceau de grande lucidité. Dite avec du cœur…

Exact - nous avons observé ces mêmes « doubles faces ahurissants » que vous – cette fragilité interne que des mots pourraient fracasser. Ce pourquoi les « gestes des chirurgiens » sont si nécessaires – réfléchir et ressentir beaucoup avant de faire ce qui est le mieux – oui c’est si étrange d’observer ces êtres comme transparents. Ils étaient « différents » avant, alors qu’ils « étaient pareils » mais cela ne se voyait pas. Pour nous la ligne de démarcation vient de… qui Pensent par eux-mêmes, ressentent par expériences directes, restent les seuls cobayes sans intermédiaires de leurs propres vies…ce qui offre bien une immensité intérieure, soit un espace où demeure possible de résister aux miasmes des sommets vénéneux. Michel  Foucauld disait bien « la classe la classe la plus Aliénée de la société c’est celle des dirigeants »…Plus que hors réel, ils ne peuvent que faire du…mal (cqfd). Bravo pour vos analyses qui s’en foutent des conformismes. Si nous voulons encore rendre service oui cultivons à fond notre santé mentale…Mise en pratique immédiate ? Exact…

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… « une curieuse sensation venait détendre son corps entier. Une sorte de trouée claire dans le ciel brumeux qui planait en permanence au-dessus de lui. Sans être malheureux, il avait fait de l’intranquillité son état naturel. Depuis longtemps, il acceptait de retrouver chaque matin sur son chemin le… monstre froid de son anxiété, que rien ne venait calmer, sinon une activité fébrile qui lui interdisait de goûter au moment présent (p. 23 – Tonino Benacquista, Quelqu’un d’autre - mai 2000). » Tout rater avec méthode obstinée alors que…rien de bien solide ne se dresse face à mettre…fin tout de suite à tout ce qui nous opprime….et obscurci (nous éloigne de notre soleil intérieur) c’est juste con non ? Toujours vivre comme…Quelqu’un d’autre, au lieu de retrouver son moi authentique, celui qui ne supporte pas le désordre ambiant, désordres semés par les « casseurs bandits » des pouvoirs. Oui ce chemin d’authenticité que de n’être que…soi. Tu le piges = tu goûtes déjà le vécu intense qu’est la révolution dans une société. Ce mot de santé qui ne « conserve » que ce qui doit l’être. Bonjour les simplicités…

 

** Allons plus loin ?…plus loin encore c’est plus près, plus dedans. Dedans la plus profonde des compréhensions et investigations. Cela nous rapproche sacrément. Mais plus…loin…cela…éloigne. Nous en éloigne. Comment expliquer ce télescopage ? Soit nos divisions internes actuelles, ces schizophrénies rampantes en nous : nous voulons tant que Cela Change – et pourtant un partie de nos actes et de nos pensées agissent pour faire…durer ce que nous ne voulons surtout plus que ça dure. Comment devenir juste soi ? Réduire à néant la partie en nous ennemie de nous ? Le regard, oui l’œil entend très bien tout ceci…Vérifions donc.

 

Melmoth-furieux-de-Sabrina-Calvo

>> --- La commune comme territoire psychogéographique (de situationniste mémoire !) « Melmoth furieux se passe dans les rues d’un territoire réel, le quartier de Belleville, entre la Place des Fêtes et Ménilmontant sur une surface qui pourrait correspondre à l’ancienne commune d’avant l’annexion de 1860. Ce quartier choisi comme cadre narratif est une réalité sociale (lieu de mixité forte, (de côtoiements concrets des peuples et des cultures), géographique (puisqu’elle est une colline) autant qu’historique (dernières défenses de la Commune de Paris en 1871). C’est une réalité multispécifique, un tissu social, associatif, politique, un écosystème de rapports non-marchands que l’on peut appeler « commune », en faisant référence autant à la commune historique révolutionnaire (représentante d’une alternative politique radicale) qu’au territoire de résistance réellement existant et contemporain (soit les ZAD actuelles)  : « la commune n’est pas qu’une idée, ou même une démarche politique, c’est une vie. » (p.145) (ce qui change radicalement du si énorme mensonge où en blablas des gouvernements illégalement répressifs et trop fascisants osent qu’ils défendent la démocratie donc contre les peuples qui la…veulent. Ce qui est humainement…impossible ! Dans une Commune en actes ces impostures ne tiennent pas le débat !)

Plus qu’un décor, cet environnement comprenant à la fois des lieux et des liens, est le terrain quasi- anthropologique d’où s’invente l’histoire (la vraie – celle qui n’apparaît jamais dans les médias frivoles et anecdotiques qui ne savent plus du tout…penser. Bye bye à ces fossiles et fermez tous leurs écrans trop à cran!). Le livre a donc bien quelque chose à voir, dans son processus de création, avec la « dérive psychogéographique » au sens situationniste – à la fois mode de déplacement typiquement urbain et recherche de… sens nouveau, déplacement non-utilitaire, attention aux lieux et aux signes, (effervescences des rapports humains) – et avec la maraude – selon le terme employé pour parler de certaines activités militantes à Belleville, comme la distribution de repas solidaires ou la surveillance collective des keufs. La fiction s’ancre dans une réalité politique (elle-même rattaché à un territoire particulier) qu’elle « dégénère » pour construire une réalité future : « la commune libre de Belleville » (un modèle facile à diffuser et concrétiser par décentralisations déterminées. Paris doit voir complètement clos son règne si nuisible…).

>> La commune comme refuge : Le monde « futur » décrit dans Melmoth furieux est lié au monde du présent, simplement séparé de lui par l’anticipation des devenirs. S’il y est question d’un endroit résistant, organisé, protégé par des barricades, le livre décrit également son envers : la dystopie marchande (il est remarquable de n’avoir pas COMPRIS à quel point la non gestion du Covid par les gouvernements que corrompus n’est que la mentalité vénéneuse « spectaculaire marchande » ( des exemples : réquisitions-braquages des si bonnes initiatives locales envers les masques pour « centraliser (sic) » les décisions du Tout-Profit que pour le grand commerce (après pénuries créées illégalement… oui illégalement même devant l’OMC), directives anti concurrentielles en diable – type de masques décrétés plus protecteurs (sic), refus de pantallas (car peu renouvelables), la pouah publicité « armée » de ce trop vil commerce, etc. : oui dès le début il est étalé que la gestion ne sera pas…Sanitaire mais uniquement…marchande ! Pas d’équivoque possible. Les truands obstruant tout…)…le Tests « commerciaux «  (donc pas…médicaux !) qui ne servent à rien…qu’à enrichir le Commerce le plus anticoncurrentiel de tous les temps et la vaccination par…faux vaccins, si bien dénoncée par Amnesty international comme « crime contre l’Humanité »…soit que du dépravé commerce partout…). Dans l’univers du livre, le règne de l’économie existe au-delà des limites de « la commune libre », l’entoure même ; des troupes stationnent au bas des barricades et enferment leurs proies dans des cages. Le monde détestable du pouvoir continue et menace même Belleville de sa supériorité (que les pires forces répressives (les ex FDO) défendent uniquement les pires gangsters de la marchandisation de tout laisse à réfléchir...genre la police antinationale est devenue plus illégale que toute la délinquance, tiens !).

 

Le livre parle d’un Paris dystopique abandonné à la si anti-gouvernementalité néo-libérale autoritaire (ce ne sont plus des politiciens légitimes mais des braqueurs de l’argent public, les pires ennemis que la République n’a jamais vu – leur destination « légale » c’est la forteresse pour toutes les hautes trahisons à la fois. Oui la Constitution le permet contre les…ennemis bien démasqués du pays, ces ennemis Vendus à l’étranger !) !) dont les barricades de Belleville protège fébrilement. Ce que Melmoth furieux ne raconte pas c’est l’histoire immédiate du quartier : sous la menace d’une métropolisation des existences, de nombreux habitant.e.s viennent chercher secours à Belleville, qui par ces liens et sa mixité sociale apparaît comme un refuge… au contrôle (illégal) et à la valorisation capitaliste (soit la Pire déchéance humaine…il n’est que de voir jusqu’où Tombent ceux qui bavent salement de cupidités pour piger que non c’est la caniveau qu’il faut fuir à tout prix, la capitalisme de la honte, le pire des …échecs collectifs !!). Par contre dans le livre, « la commune » joue un rôle transcendantal qui ouvre une autre voie dans ce fatalisme : attirant les populations en exode, la commune (comme force collective), les… transforme (cet impossible devenu très…présent. Cadeaux des cœurs qui brûlent…). Les nouveaux venus se mêlent aux habitants, par une attention et une présence au territoire et participent à la construction d’une « commune libre », tiennent des barricades, réinventent la vie (un peu que c’est…atteignable de réinventer – c’est ce que nous faisons sans cesse. Et ça se…voit !).

La question de l’ancrage (et l’encre nous le dit si bien !) – connaître le territoire, l’arpenter, s’y cacher, y vivre, y tisser des liens – est un élément central du livre, en plus de la volonté de mettre en commun sa révolte elle est la quête ultime du personnage principal : « J’ai la sensation de trouver une place dans cette vie quotidienne, récurrence que je n’avais pas pu saisir avant » (p.133). La subjectivité contemporaine se caractérise par l’angoisse d’être sans-lieu, hors-sol. Dans la phase de domination réelle du capitalisme, au sens de Cesarano, chacun.e est sans liens, sans attaches, sans lieux et sans communautés dans la société… atomisée (ces particules du trop…particulier. Particules pulvérisées par tous ces ardents du rien de plus Solide que le solideaire !).

>> La commune, matrice imaginaire : La commune dans le livre, dans l’œuvre, et dans le réel est un événement qui fonde l’imaginaire (ne jamais oublier que les médis vendus n’ont pas les 2 perles (et ne les auront jamais) :-- les vrais …évènements… vécus et -- la création vive des phénomènes en vrai. Bref, nous avons les bonnes armes et trop peu les  utilisent au concret…Préférer geindre à exulter c’est con non ?), qui ouvre les possibles et permet l’écriture d’un tel livre. La commune, comme expérience historique ou comme expérience contemporaine permet de donner un lieu à l’imagination de nos futurs… désirables (depuis Quand plus personne ne parle du…désir, des désirs comme évènements Et phénomènes ?). Libérée de son carcan fascisto-stalinien, l’imaginaire de la commune redevient une force… subversive, une matrice depuis laquelle inventer un monde nouveau – à la fois dans le réel et le travail politique où l’on part de ce qui existe pour inventer un autre monde réalisable : comment faire une commune libre à Belleville ? – ou dans l’imaginaire et le travail poïétique qui consiste à inventer une autre réalité : comment décrire cette commune libre ? On en revient à Rancière qui a bien montrer que toute révolution sociale est une révolution esthétique, ce que fait un art « politique » ce n’est pas seulement qu’il « dénonce » mais plutôt qu’il ouvre du dissensus dans le régime de réalité dominant, contre l’ordre policier du sensible (où chaque chose est bien à sa place (surtout pas non ?). C’est ce que fait ce livre, il déchire les perceptions… policières du réel, il les transforme (= ne plus jamais avoir un flic dans la tête…essaie pour voir !).

La situation dégénérée : l’Empire » …(etc…)..La faille de l’Empire c’est que tout y empire…pas un qui n’aie chuté de son unique Faute…celui-ci va s’effondrer encore plus vite que les précédents…le savoir c’est vivre la joie de…vivre. Là tout de suite, on n’attend plus !

Everybody-Knows-the-Rules

Les chiffres sont avec nous ?? « Le mot règle, vient étymologiquement du terme regula (la règle), du verbe rego qui veut dire … conduire, diriger (donc « déréguler » (dérègler les règles) c’est surtout ne plus conduire, ne plus… diriger. Soit foutre sa merde, semer sa zone en désordres insensés…nous nous en étions aperçus, merci ! En anglais, l’anthropologue Tim Ingold nous rappelle, « le verbe ruler désigne un souverain qui contrôle et gouverne un territoire. Le même mot désigne aussi une règle, un instrument pour tracer des…lignes droites (soit le Droit aux yeux droits !). »… En français, comme en anglais, la règle est à la fois l’outil de mesure, comme la mesure elle-même. On peut noter également le double sens de mesure (mesurer, prendre des… mesures – à la taille du diagnostic !). Aussi, la règle permet de contrôler, les distances, les temporalités, les poids, aussi bien que les comportements, dans le même temps qu’elle les mesure (à la seule condition que les chiffres ne soient pas…truqués et les vraies mesures falsifiées – ce que les faux pouvoirs actuels pratiquent en grand non ?). Au Moyen-âge, dans les monastères, les regula étaient les règles monastiques en vigueur (soit ceux qui veulent régler le monde se l’appliquent et drastiquement et sans tricher à eux-mêmes…et pas aux autres. Ce pourquoi ces règles …règlent et…organisent le monde. Mais en 2021 lorsque des égarés qui croient gouverner (donc laisser passer ce qui règle la vie commune) exigent (et sans motif valable) des peuples qu’ils fassent exactement ce qu’eux-mêmes ne font surtout pas et font même le symétrique Contraire, nous pigeons ce qui ne va pas. Oui les nuisances d’inversions…ce sont eux, eux les faux dirigeants, mais les vrais les ennemis de la société (et les peuples…ses défenseurs, les si honnêtes protecteurs des vraies Lois ). Les gouvernements…Dérèglent tout, ne foutent que le bordel, sont la chienlit…dérègler au sens de ne plus être réglos, sincères et honnêtes et non justes…menteurs et tricheurs, suintant les vices – mais au sens de plus réguliers comme ce qui règle les…règles, les harmonisent, les congruencent, les organisent… Au sens aussi où…trop abreuvés aux cupidités… ce dérèglement complet des moralités ne donnent que de graves…hallucinations, fait perdre tout contact avec le vrai Réel, etc…). Ainsi, une prière répétée un nombre de fois précis, à un rythme calibré, durait une heure. Au terme de cette heure priée, le moine en charge sonnait la cloche pour indiquer l’heure aux habitants du village. En l’absence d’outils de mesure plus sophistiqués, le moine officiait en tant qu’homme-horloge (tous les Devoirs pour eux seuls, le difficile modèle à suivre, la discipline à…respecter, etc. Et ne rien…exiger des autres. Tout le contraire des pires maître actuels…ils ne font rien que de l’insensé et du nuisible et délirent que les autres doivent accomplir tous les Devoirs à leur place…Offrant donc aux peuples les couronnes qu’ils sont devenus incapables de porter eux-mêmes. Les symboles n’ont jamais été aussi clairs ! Déjà si effondrés à l’intérieur d’eux-mêmes, …l’effondrement extérieur est d’autant plus…facilité…Eux-mêmes causes de leurs chutes ? Oui oui, plus nos descriptions du monde deviennent puissantes, lorsque les animaux humains la nuit viennent abondamment s’y abreuver, et plus leur monde si ténu, si fictif, disparaît plus rapidement).

 

---- Depuis, le moine ne donne plus l’heure, les outils de mesures se sont développés à un rythme pandémique (sauf pour qui gardent la bonne idée de ne rester…qu’eux-mêmes !) jusqu’à ce que les technologies numériques en permettent un déploiement exponentiel, avec entre autres, l’avènement des smart phones et leurs applications (mais qui gardent la bonne idée de compter combien qui Refusent l’usage si espion et si ennemi de ces pas smarts et pas phones ?). Nous mesurons tout (sauf que la plupart ne…se Mesurent plus à rien – la passivité n’est pas une action hein ?), nos nombres de pas, nos temps d’écran, nos interactions en ligne, etc. J’ai même un ami qui enregistre ses ronflements pour en mesurer la fréquence. Ces mesures numériques sont toujours fondées sur le même principe computationnel compulsif maniaque, à savoir la collecte de données selon un ensemble de variables, et de paramètres (parfois grâce à des capteurs), et en fonction d’unités de mesures (le nombre de battement par minute, etc.) (tout ceci paraît aussi utile que de compter le nombre de ses propres cheveux, oui ou non ?).

Même en l’absence d’outils de mesure, certaines prises de décision aujourd’hui naissent d’une illogique numérique (illogique car déniant tout…débat. Tellement peu sûrs d’eux qu’ils fuient (donc pas très malins !) tout réveil de ce qu’ils savent être et rester leurs…illusions. Donc pas les nôtres !). Cet été, les règles dérègles d’entrée au théâtre ont été décidées par la découpe du vivant en une suite de variables isolables selon les critères de sécurité du terrorisme et de la pandémie (pandémie qui, depuis 2020, n’a pas existé – c’est dire les négligences extrêmes de qui décident ainsi pour les autres en leur appliquant comme des brutes…incultes, ce qu’eux ne vont surtout pas faire. Mettre en pratique. S’y appliquer… Les dérègles des faux pouvoirs ne sont que nuisibles, ça bas de soie…), en pensant qu’on pouvait prévenir l’un sans gêner l’autre (les lubies de ces esprits à jamais immatures. Et qui n’ont donc aucune Leçon à donner aux Adultes. Qu’ils apprennent d’abord les leurs, de leçon, hé !!). La variable risque d’attaque terroriste s’est trouvée isolée de la variable contagion par la COVID. Les personnes ont été alors privées de leurs gels hydroalcooliques n’étant plus à ce moment l’objet qui sauve, mais devenant un potentiel explosif. En… isolant les variables du terrorisme et de la COVID de la complexité du vivant, en les traitant séparément, les mesures prises sont devenues ici contradictoires, car fondées sur une logique illogique numérique descriptive trop pauvre (tout ce qui n’a qu’un existentiel de misère – soit qui n’a ni émotions, ni sensations,  ni sentiments, ne peut du tout -  à l’évidence – présider aux décisions pour tous : ce ne sont que déraison puisque la Raison est « sensée ». Au sens puissant du mot : sensée = entièrement du côté des sens. Prenant le sens auprès d’eux. Liée à leurs réalités. Ce dont le numérique trop sommaire et pas assez humain se montre si…Incapable. Trop facile à faire basculer dans les…déraisons !!).

Quelle relation entre la confiscation de mon gel hydroalcoolique, les attaques de drones, et la reconnaissance faciale ? Toutes les règles dérègles décrites ici sont fondées sur une approche computationnelle, sur le fait de compter d’abord (et de ne plus pouvoir compter dessus ensuite !!), d’isoler des données, de les recouper et de décider ensuite, sur la base du résultat comptable, et parfois sur la base de ce seul résultat comptable (la tragédie de faux test Pcr a raison de l’illogique comptable. Déjà bien amochée par la… con Sommation suicidaire. « Sommation » comme l’acte Comptable de « faire des…sommes ». Et ça sert à quoi ces sommes ? Oui les sommer pour Rien. Car les falsifiés décideurs Refusent le… Total final de toutes ces sommes additionnées hein ? Ils fuient même très lâchement ce total… Qui n’a donc plus de santé mentale ?). La liste des règles dérègles, sociales ou politiques, fondées sur ce même principe comptable est aujourd’hui insondable. Compter c’est isoler, compter c’est lisser. Compter c’est ne plus jamais … décider en vrai (que dites-vous ? Oui ces décomptes qui ne comptent jamais le concret ne font que foutre le monstrueux  bordel, faire pleuvoir les vaseux mensonges et, au très final, …désorganiser la société. Les si Nuisibles fauteurs de troubles sont donc aux sommets (la somme de quoi déjà ces…sommets ?).

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>>> ---- Quand la mesure fait la règle, quand la règle fait la mesure ? La Bonne mesure tu dis ? Mesure bel anagramme du…semeur !).  Oui pour quoi pour qui ?...« Compter les nuages : Dans Objectivité, Lorraine Daston et Peter Galison retracent l’histoire de la notion d’objectivité (d’objet) dans les sciences depuis le XVIIIe siècle. Les théoriciens expliquent le combat aussi vain qu’acharné des scientifiques à neutraliser toute forme de subjectivité (par quels canaux alors avec les autres communiquer (de « mettre en commun » que ce commun comme unique !) ?), en conférant parfois de façon fantasmée un statut supérieur (sic) à l’objectivité comme seul registre de réalité (sur le fond c’est un acte plutôt niais. Et qui fait Perdre plus qu’il ne nous fait gagner !!). Les écrivains citent en exemple les mises en garde faites aux botanistes à ne pas rendre les dessins de fleurs trop précis, au risque de créer des nouvelles espèces sur la base de… singularités non opérantes (hé bê…).

Depuis des siècles, les scientifiques s’inquiètent de l’échelle d’observation (l’oeil qui écoute opère bien dans ce sens …des mesures  ! Pas de délires des grandeurs, mais immersions dans les immensités…naturelles !). Trop loin, l’essentiel peut leur échapper, trop proche, on peut se perdre dans des détails non pertinents. Non sans dérision dans son texte « Celui qui se consacre à l’étude des nuages est perdu », l’écrivain Marcel Beyer - Études des Nuages…

(…), considère ainsi que les nuages échappent à l’observation scientifique car « pour l’homme de science éclairé et soucieux du sérieux de la chose scientifique, existe le danger de “voir quelque chose” dans le nuage, quelque chose qui existe, dans l’imagination certes, mais pas sous les yeux de l’observateur » (le proche est donc…reproche alors !). Selon lui, ni les peintres de paysages, ni les photographes, ni les météorologues ne saisissent la véritable nature des nuages, si tenté que cette nature véritable existe. Variables, diffus, jamais identiques, les nuages se dérobent selon lui, à la « mise en science », à la « mise en données », leurs interprétations étant infiniment inconstantes et bavardes (comme le temps insaisissable…le mesurer c’est ne surtout pas le vivre…). Où commence le nuage ? Quand finit-il ? Quelle forme serait suffisamment générique pour permettre un… classement (soit des …déclassements de quoi d’autres ?) ? Comment isoler le nuage de son environnement, de sa relation aux autres nuages pour le désigner comme une entité réellement autonome ? Comment désigner le nuage lambda comme unité de base, depuis laquelle on puisse compter les nuages ? On peut observer la présence de nuages, mais c’est une autre affaire que de les compter… un par un (là où le bât blesse..).

*** Aussi, notre monde ressemble plus à un réseau de nuages interconnectés et interdépendants qu’à une suite de données isolées, comptabilisées puis recoupées. »…La comptabilité si égarée doit retrouver le…probe (cet honnêtement irréprochable !) probe qui constitue toutes les probabilités. Oui l’honnêteté est devenue absente du Comptable. Sur qui nul ne peut compter. Car c’est quoi une comptabilité falsifée qui n’INCLUT pas tout le monde ? Une anti-comptabilité. D’où, d’après nous, tous ces dérèglements mentaux sont…bien directement issus des dérègles dominantes…Pas à chercher plus loin !!

Foutons du vrai réglo dans les règles et la plupart vont vite retrouver toute leur santé mentale. Chiche ? Ne sois donc pas chiche, avare, avarie, dis ouuuuiiii…

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................Reprenons depuis le début…

Par le regard nous…touchons concrètement les rassemblements d’anomalies : ces humains qui n’agissent que contre leurs intérêts, tout ce qu’ils ne font pas et pourraient faire, le fait que nous pensions simplement les «connaître» alors que nous ne pigeons plus rien à leurs réactions, et, enfin, comment nous nous faufilons vraiment hors du délire malsain. Ce sont les yeux qui font vibrer (clignoter) les présences de ces décrochages envers les comportements simples et directs – leurs comportements qui ne sont plus normaux. Et qu’ils fuient d’en prendre conscience… Soit ? On pourrait nous conter, raconter, oui oralement tout ceci, l’impact ne serait qu’à peine ouvert. L’œil écoute bien car il balaie, sans cesser, ce grand inconnu à la recherche de sens…sensé. Le bon sens qui reste près de chez nous. A force il ne peut qu’y avoir des réponses efficaces.

Surtout si nous nous faufilons hors de la nasse des insensés. Faufilons concrètement vers là où sont les solutions. Solutions non toutes faites mais à…faire. Puisque la phrase qui va rompre le charme maudit, les mots qui éteindront les sidérations…ne peuvent qu’être dits. A un moment ou un autre. Joignons cet autre à ces moments.  Nous atteler à dégoter ces phrases qui vont cogner aux des têtes dures dormantes. Et les voir… ouvrir les portes à un tout autre monde. Là nous « reconnaitrons » qui nous connaissons tout autre, ils vont retrouver…leurs esprits. La réalité va retrouver sa verve vive et accueillante...cette gouaille saine des biens éveillés…

N’est-ce pas les yeux qui écoutent le mieux ?

 

……………………Vivre chaque jour comme une histoire qui…

avance et ne revient pas sur ses pas, ne rebrousse jamais chemin, oui une route qui parvient quelque part…

……………………….…chaque jour !!

 

……..Tu le vis et cela se met à vivre Aussi…hé, tu écoutes ?

 

…  …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste et intégrale transformation collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; " La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques ", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

couverture de theconversation.com...et ici...de la elipadecolores.files.wordpress.com

couverture de theconversation.com...et ici...de la elipadecolores.files.wordpress.com

Surtout les parachutes dorés. Et donc ? Ce sont les mêmes qui osent s’augmenter démentiellement « leurs » trop de retraites qui déchoient à tant réduire (et avec diffamations) celle de ceux qui en ont…si peu. Les mères à ces affreux (moyenne d’âge 40 ans) vont-elles se décider à leur donner des fessées culs nus…

Surtout les parachutes dorés. Et donc ? Ce sont les mêmes qui osent s’augmenter démentiellement « leurs » trop de retraites qui déchoient à tant réduire (et avec diffamations) celle de ceux qui en ont…si peu. Les mères à ces affreux (moyenne d’âge 40 ans) vont-elles se décider à leur donner des fessées culs nus…

De Pascalelafraise.files.wordpress.com…J.O. de Mexico de 1968 : Quand les mains parlent et que les yeux écoutent: langage des signes.

De Pascalelafraise.files.wordpress.com…J.O. de Mexico de 1968 : Quand les mains parlent et que les yeux écoutent: langage des signes.

que de mauvaises raisons à moins que ce soit le concours à qui sera le plus débile ?

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N’est-ce pas avec les yeux que nous écoutons ?
La Nouvellerepublique.fr/--les élèves travaillent ici pour les oiseaux…La Nouvellerepublique.fr/--les élèves travaillent ici pour les oiseaux…

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D’ Odilon Redon…

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N’est-ce pas avec les yeux que nous écoutons ?
Ariel Barria Alvarado

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de Talita Lins

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