Se territorialiser oui de sensualités ?
La Guerre, les territoires, ce sont la scène actuelle ? Un roman-essai « Rien de plus solide que le solidaire » nous fait, pourtant, rencontrer ce couple (Gundi et Pearl) dont le pacte si incroyable est : par leur vie sensuelle et amoureuse trouver le moyen sûr d’abolir définitivement la si inhumaine économie capitaliste. Dont au moins 80 % des humains ne veulent plus du tout. Nous adorons cet écrit. Aussi, nous en inspirant humblement, nous vous vivons carrément ceci : apprendre le territoire de l’autre afin justement d’éviter tout conflit…Mais si si cela est possible en…le tentant – en tout cas, tellement plus possible qu’en en parlant éternellement. Parler. Sans jamais entrer dans le vif du sujet. Comme ce qui va suivre !
>> Couples, comme débuts de la société ? Tout couple, gays, lesbiens ou autres – l’essentiel restant de trouver une réponse retentissante au : chacun.e et chacun de nous, que pouvons-nous faire de concret afin de rompre le maléfice infernal actuel ? Soit trouver franco le mettre des mots justes dessus ! Et le tout avec la certitude que, quoi qu’il arrive, nous nous en sortirons. Par le haut. Et certainement pas par les bassesses en lesquelles rampent toujours plus les prétendus pouvoirs contemporains. Oui comme ceci :
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>>>>>>>>>>>>>>> --------……..Territoires !.......----- <<<<<<
Lorsque tu me prends la main, tu me dis ton territoire. Lorsque je te prends la main je réponds à un élan germé en toi. Je t’aide à glisser tes doigts entre les miens. Si ton bras se trouve en inconfortable posture, je fais une meilleure place pour son confort. Tu fais tout de même, te glissant liane afin que les contacts soient si harmonieux. Tu me recherches mes affaires dispersées. Je te réchauffe tes pieds glacés. Tu remontes la couverture, je me pousse sur le côté.
Des milliers de gestes (devenus imperceptibles…) nous montrent à quel point le langage a toujours été précis. Précis et précieux. En tout et avec tout. Aider et aimer, à une lettre près, se marient totalement. C’est bien qu’il doit y avoir un peu de chacun dans l’autre…
Câline, tu cales ton bras, afin de mieux m’embrasser. Je lève ta jambe pour que le « nous corporel » se sente mieux. Tu souries afin de briller mes yeux, tu fends de malice les tiens pour m’étirer un sourire de soleil. Tu penses à ce que tu me supposes aimer le plus, je fais attention à ce qui pourrait te manquer. Tu devances mes pas afin de…
Si aimer et aider ne sont pas les mots de la forte ressemblance, alors, plus aucun mot ne veut plus rien dire…
Le (mauvais) découragement émascule les phrases avec ses « personne ne peut aider personne ». Donc aimer n’est pas aider. Dès que vous aimez vous ne pouvez plus aider l’autre. Pourquoi nous « pencher » ( ?) sur un tel « détail »…C’est que, du détail de 0,1 micron de taille, jusqu’à l’essentiel de 10 km de largeur – il n’y a qu’un PAS ? Comment savez- vous ceci ? Vous avez si souvent aidé les autres pour poser ce genre de questions ? Où sont vos expériences, vos chiffres et histogrammes ?…LE FAIT QU’ILS VEULENT TIRER TOUT DISCOURS DANS UN SENS UNIQUE aurait dû faire flamber toutes nos méfiances…Ici, ils se montrent prêt(e)s à toutes les déchéances pour faire croire chacun pour soi, se méfier des autres, chacun mon truc, égoïsme à fond, ne compter que sur soi , pendant moi le déluge, se désolidariser entièrement de tous…et tant d’autres phrases délinquantes…
>> En illustration de leur effondrement visible (ils ne peuvent plus fonctionner qu’en monologues !) un certains nombres d’ouvrages, de soi-disant stars des lettres, viennent d’(ap)paraître , à notre grande déception. Qui les écrit ne connaît à l’évidence rien de l’amour complet. ( il n’est pas un monologue tout seul en tout cas !). Du total amour ( idem au trèfle !). Une thèse crache que si les couples ne « tiennent pas » (obligation de résultats, comme s’ils étaient déjà tous « privatisés », ces couples !) parce qu’ils… « pensent trop à l’amour »… fallait oser... Bon, « ils idéalisent trop l’amour; au lieu de s’occuper de la personne réelle » (le cœur de l’argumentaire énucléé de tout véridique argument)…
Les deux premiers paragraphes répondent bien au chuchotement « attention attentions ! »…l’amour vrai ouvre les yeux et le désamour les aveugle tous. Comme l’anti-amour man qui « écrit » « sur » l’amour (où ça qu’il est ?). Il connaît que couic !!!
…revisitez le dialogue (il vous manquait déjà ?) …Si tu lis bisous hého je vais pas rater même un de tes baisers…
**** La révolution de l'amour, carrément, notre société institutionnalisée autour de l’amour (qu’ose le marketing si ennemi depuis le tout début) – on n’avait pas vu, mais c’est là comme la bière sans alcool. Les dominants, bouleversés par ce sentiment, passent tout le temps à semer l’amour. Ils savent que l’amour vrai c’est partager le fric. Oui mon frère, ils ne font plus que ça. De tous côtés on ne voit plus que ça. La révolution de l'amour a eu lieu (en bien plus diffusé que notre mince esquisse !) et un conflit en dévotion nous en fait part, la mine grave (hého ! tu t’es trompé de rôle, là, c’était la mine réjouie, purée si on te le dit…). Patatrac : big déception. ILS NE PARLAIENT DE RIEN. Ni révolution ni amour !! Que des copier-coller anachroniques décousus : même les poubelles n’en veulent pas…
« Sa » révolution de l'amour est tellement endurcie de mots, congelée dans la dure matière, immobilisée dans sa nature, normative à la hure de maton et prescriptive dans l’humiliation pour tous - que ça ne marche plus du tout !! C'est même rendu impossible faute d'amour de la révolution !! Le premier livre entièrement dédié à ne parler que pour ne rien dire…oui oui l'amour total se ferait sans révolution intérieure complète ? à ce point d'inaptitude au réel ? d'impossibilités logiques ? oui de chez oui, oui oui, tout comme plus t’es con plus t’es intelligent, moins tu fais plus tu fais, moins tu crées plus tu as d’éloges – ici, le conte de fée bourgeois (de plus en plus hallucinés !) éructe moins tu aimes plus tu aimes.. .
--- Flagrant, qu’ils ne savent rien de l’amour total. De l’amour plus que de raison. De l’amour logique, de l’amour tant aimé de la réalité. Donc ne peuvent plus écrire que ceux qui ne connaissent rien sur le sujet ?? Les majestueuses avancées des dernières années, telles « l’amour trois » (dans le corps la tête et le cœur ou le désir les sentiments et les pensées d’amour), n’y apparaissent pas, même en filigrane. Bref, ils ne sont pas du tout imbibés du sujet. « L’amour trois » ouvre à la plénitude absolue.
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>>>>>>>>>>>>>>> --------……..Paix paisibles !.......----- <<<<<<
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Comme une amphore la taille se tend, les seins sont langues tirées, mangues pendantes, tout ce corps fuit de fruit. La femme noire. Les cuisses sont pleines, genoux mûrs, les pieds se sont-ils haussés sur un pollen rose, un fruit ouvert porté par une langue nue. La PLANTE des pieds. A frémir jusqu'au fond de soi-même. Bien à notre tour d'avoir par le jeu des muscles horripilateurs - la chair de poule. La peau appelant à la rescousse tu plonges la tête sous l'aisselle de poivre. T'imprégnant les arches nasales des puissantes senteurs de bois en sueur sue. Le goût de fruit gorgé de cette peau épicée, avec ses rigoles sucrées, te conduit à la bouche, comme une double paire de lèvres, en un ourlet, gonflé de sèves et de rires. C'est cette bouche dévorant la face, ces lèvres épatées ayant débordé de la pâte, c'est bien cette bouche nous faisant la moue de l'amour qui lui hisse le ventre au bord des lèvres, comme des barques d'arc, s'étalant, telle une charnelle serrure, au bout de laquelle les hanches et la porte d'amour pèsent si lourds. Des huiles grasses, les résines douces, coulent des arbres de sa peau. La pulpe charnue, tout le paysage concentré des fruits - ôté de l'écorce d'un soleil crépu, son corps est la première cuisson, la première onction et la plus naturellement fondue, enracinée, d'un œuf de vie. Sa démarche serpentine en est plus onduleuse. Jusqu'à la nuque arquée - cela rend bien plus élastique le port de la tête, ce qui vaut mieux qu'un port de pêche même velouté. Les paumes décortiquées, bois rendu lisse à se frotter l'une sur l'autre, se cambrant de soleil. Quand, entre les gousses éclatantes des lèvres, surgit la source rose comme une fraîcheur de langue, tu te laisses tomber au pied de ce portique qui soutient le fronton de la forêt.
…
Chutant en lourds plis de grâce. La tête te paraît petite au haut de cet arbre lustré de sombre terre, aux reflets allumés de cendres, sourdant la nuit. Comme une noix de coco lactée, le ventre rebondit, résonne de la profondeur des nuits comme la quelconque conque d'un vaisseau. Elle veut déjà te semer dans sa terre. Mais chaque arbre détenait son animal de feuillage. Enclenché sur une mélodie de feuilles, un lieu de plaies vertes, bouclés de fines tiges sanguines, vient bourdonner à ton oreille de tes papilles, beau papillon. Cette femme noire était le pilier de la Terre à l'orée de la forêt du Secret.
Malheureux homme fixe, jamais tu ne tournes autour de ce que tu veux posséder, la peau cédante. Bien heureusement la forêt tourne sur elle-même, dissipant tous ces mais sages bien avant que ta langue ait quatre fois tournée dans ton vocal. Un brouillard bleu vite vient mélanger tes yeux jusqu'à la mousse de leur oubli. Ondoyant dans la vasque de ses hanches raffermies, elle glougloute sa petite taille. La femme jaune. La tête coule au sommet du corps aux chairs plus compactes. Plus resserrées, comme la poupée en poupe. Les seins s'en hérissent comme des doigts agiles. Le vent houle sa marée, la fourrure se munit d'une brise pour onduler les poils. La baie de chair s'ouvre comme un battement de cœur. Les cuisses palpitent, les genoux de jade lisse courbent la margelle de la fontaine jusqu'aux pieds embués de légèreté. Le nid de ton corps coule de source quand ses bras se font embouchures de fleuves. Sa bouche, en pulpeuse éruption, aspire ta respiration de plus en plus proche. Des ondes de pollen l'enveloppent. Sa peau de fleur en neige de poussiers toutes jaunes. Elle est tous les vents de l'air et les courants marins, et de son anagramme redoublée quand il revente elle en fait sa ventrée. Elle est tous les mouvements tourbillonnants de l'eau, chevauchant ses étamines, la poudre d'or de toute germination salivaire. Les veines dégainées d'eau où se ruent les sèves. Ses yeux en bride en tranchent la lumière des iris, comme deux éclats plus fixes - l'œil de la fleur ayant déjà traversé la toute première nuit. Quelque chose s'en est retourné, révulsé, et au ciel de cette eau la pénétration te renverse, te rend à la version. Cette femme est le cœur compact de l'accueil des nerfs, elle bat tout le cœur des salves de nos salives. Comme accroché à cette obscure nuit aux yeux noyés, renversés derrière eux-mêmes puis refixant ce nouveau matin bridé, où tu voudrais tant envelopper cette peau comme une vaporisation lactée derrière la cascade de ton émotion. Un jet d'eau puissant jaillit déjà du bassin de la chevelure de jonque frileuse. Elle te souffle la lune de son ventre profond. Elle veut te dissoudre dans son eau. Les bas-reliefs de cette cathédrale bleutée n'étant que courses de végétaux, un entrelacs de lierre mauve tombe de ta pensée. Les huiles volantes, le bois pulvérisé en flocons de pollen, des ondes multipliées, gazant, gazouillant fort... Tu réapparus en toi-même te mirant en l'eau sombre de ton âme. La forêt avait fait un pas de côté. Autant cette femme était le portique de l'Eau à l'orée de la forêt du Secret. Le vent vint s'amplifier dans l'éventail rafraîchissant des arbres, vint s'y mélanger, et quelques bosquets se dispersèrent sur les cordages de la buée en nuée, puis disparurent en miettes savoureuses.
Des rubans de toutes couleurs, diaphanes, en gerbes ou flottant ou licou des nuages, parfois écarlates, ou même dansant autour de la neige d'une atteinte... Tous les minerais et le minéral, en micas irisés et fins graviers gravent, roulent sur sa peau. Elle est la piste des oiseaux. Des côtes, tous alentours, roule le sable des particules, de celles qui inventent nos particularités. Elle saute par-dessus végétaux et animaux, se minéralise : quartz diamant _ dis amant... L'ondée d'acier, elle est le métal fondu de ses reflets et les éclats de pierres précieuses, quelque chose de bardé comme le chantait le barde : le métamorphisme d'un lait d'orphée caramélisant nos élans. Quelque chose s'est arrêté. La femme blanche est la seule qui empêcherait l'amour en s'étant tant séparé de la Nature? Le corps cadencé elle soupesait l'air du regard. Le ventre dessine l'arrondie étrave d'un vaisseau pointant l'oriflamme de sa figure de proue. La femme blanche. Ses cuisses débordent des hanches comme un pain que tu voudrais pétrir de ta salive crémeuse, les genoux remontent, sphériques, à l'huis qui t'enveloppe d'un gémissement. Les mollets se délient sous la plage humide des pieds qui viennent te ceindre les reins. Le ventre mouvant hisse ton désir d'épouser ses seins comme les deux globes vibrants qui se tendront de chaque secousse de ton soleil. Ces seins qui ne semblent point pendre mais englobés dans la course même de la poitrine. Tu t'enlaces aux épaules peignant ta bouche à la mousse des aisselles. Le cou palpite de frissons galbés. Le blanc de sa peau est ombré du reflet de ses marées. La bouche plus fine entrouvre une langue drapée de sucre agile, de douceur aérée. Ses yeux plus ronds, les pupilles vibrent sans arrêts, voulant te sertir d'un suave filet électrique, l'arc des sourcils démoulant la caresse des cheveux qui s'écoulent du creux de ses mains poreuses du vaporeux. Son front bombé la devance d'elle-même, le corps plus éparpillé, elle bat à la profondeur de ta respiration. Elle veut t'aspirer dans les volutes de son air. Elle s'enroule autour de tes sarments noués et te rend à ton ancienne beauté d'arbre. Toutes ses courbes sont nids dans le vent de ta présence. Lorsque chaque branche veut abreuver tes pensées de sucs végétaux, de chlorophylle de fraîcheur. Chaque arbre tombe différent de ta pensée. Le bandage sur les blessures vertes. Tu t'allongeais au creux de la main de cette forêt aux fourrés de frissons; et, dès que ton œil s'assoupit, la forêt se mit à te scruter, tandis que la femme blanche se sculptait en cette colonne de l'air à l'orée de la forêt du Secret. Les arbres s'enroulèrent autour de la crosse de fougères, calquant un animal de feu à chaque soufflerie de sèves...
La nuit est cette pâte spongieuse à dévorer, à tout engloutir. La nuit est un festin qui te montre les dents. Un tapis rouge la perçait, l'écrin d'un corps taillé, sculpté dans ce feu de bois. Frappée d'étincelles, elle se délègue sur la chaleur de sa peau cuivrée, aux éclats d'or bu. Son ventre crépite, les poils de sa fourrure rament. La femme rouge. Tu es attisé dès le premier regard. Ses lèvres sont la marque de ton sommeil. La porte de ta nuit s'ouvre au foyer qui te fait fondre le cœur. Tes muscles te procèdent et tu rejoins ses yeux d'où des fusées viennent te parfumer les cheveux. Les dents tendent les luisants miroirs de ta fascination. Jaillie du marbre nocturne avec sa chair de nuit mordorée, caressée, robe enrobée de feux, elle fait tourner l'arborisation incandescente du désir, où redescendent les bulles mouvementées, au creux de toi. Ses seins vacillent en fondant comme des fruits vêlés sur la nappe basanée de sa peau. Ses seins l'empreinte de tes doigts. Ils sautent comme cette envie d'être bus derrière les fagots de la glotte. Tu t'allumes en lui creusant le dos, la colonne très vertébrale de sa force. Ses flancs lents frémissent. Elle te rejoint dans l'abondance de ses cuisses, ses fesses tendant le tambour cuit de ses formes pétillantes. Tu lui cernes les pommettes brûlées, réveilles ses yeux de feu jusqu'à leur charbon. Son ventre s'agite de tressaillements musculeux. Ses cuisses s'écartent, te livrant le chaud buisson frissonnant. Déroulant ses bras jusqu'au frisottement de bout des pieds qui se déplie à la vitesse enflammée. Elle se cambre ambre. Jusqu'à lui rejeter la tête en arrière et te secouer jusqu'au dernier retranchement de ton désir. En ce rauque cri tranché qui brûla d'un claquement l'orée de sa forêt amazonienne. Sans lisière, te voilà désormais perdu. Eperdu. La forêt est partout et tout en part. Une joie comestible, d'où s'envolaient des oiseaux de cristal, alors, tonna. Le monde en vagues ourlées de dentelles venait y recommencer sa simplicité. Et il reprit ses mots. Il s'accapare leur éternel murmures que mêmes les murs murmurent (Victor Hugo) La femme rouge comme le fronton du Feu à l'orée de la forêt du Secret s'étant bien éclipsée en fumées...
Au flanc du mécanisme charnel de la forêt, le centre secret (dans le sens cubique du mot) l'irradiant toute de ses "sécrétions" - chaque femme des cardés points cardinaux avait ouvert les fermoirs d'un rêve dont étrangement..
…
……… la sève erre au centre d'un autre...
..
La Guerre, les territoires ? Pour changer vraiment les pensées, ne faut-il pas…d’abord changer le langage ? Bon, ils savent tout et toi rien. On touche pas donc suicidairement au langage !! La Guerre, les territoires ? Un très particulier particulier peut-elle /il modifier le cours des guerres. Ou aussi des hurlantes injustices dues à des décisions économiques de farfelus ? Certain que c’est mieux de ne rien faire tout en blablatant – toujours collés au bord de la route – sur l’impossibilité de construire, d’œuvrer concret.
Pesant ainsi de leurs poids sans gêne dans la démoralisation collective. Mais, à la fin, qui leur dira qu’ils se trompent aisément et abondamment continuent ?
Toi, au moins, tu tentes tout et, s’il y a des résultats flagrants, pas un mot surtout.
On te les «empreintent», mais que l’écume et pas l’essentiel, en dissimulant surtout bien…
……………………………. la source vive…
…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêtons de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Des animaux si rares qu’ils ne naissent qu’une fois tous les mille ans
10 Forêts Les Plus Mystérieuses Du Monde..10 mn..
46 mn …1 - Le Big Bang, mes ancêtres et moi
continuons...