Le français est une permanente surprise

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le français est une permanente surprise

Pour commencer il suffit, sans intervenir, de l’écouter tel qu’il est. D’ailleurs (ce pivot argumentaire), dit surtout …pas ici mais ailleurs. C’est d’ailleurs que les certitudes fossilisées, les vieilleries mentales qui sont en train de tuer la vraie Europe vont cesser. Le français a, alors, une facette salvatrice. Nous vous invitons à ce très long voyage…où les mots changent le réel. Face aux si dérisoires propagandes (de propager), propagandes séniles que l’on voudrait nous faire croire… plus réelles que nos consciences, nos compréhensions et ressentis. Oui c’est une merveille de merveilles que de voyager «dans» le français

1- Une langue pour le futur ?

Exact, la langue française est plus universelle que d’autres. Le prouver c’est aussi l’éprouver. L’épreuve ? Sans …nom nommer pourrions-nous ? Nommer c’est un nom. Donc pas un verbe, etc. Nous disons simplement de ne pas suivre uniquement cette ligne qui va se poursuivre dans sa seule route routine – usant toutes nos chances. D’un seul coup. Parce que ?

La-langue-française-est-une-langue-pour-le-futur-1/2

>> -- Et si nous refusions d’avoir un NOM…juste un pré-nom ? Qui augure d’une toute nouvelle civilisation où la prépondérance de l’avoir serait considérée comme le fait d’un grand retard mental ? Nommer les choses ? Qui nomme et qui a le nom oui le nom qui nomme et pas me nomme me…nom ? Comment donc nommer sans nom ? Réponse quasiment impossible alors ? Les enjeux sont gigantesques. D’ailleurs, les textes, dont les liens se trouvent au-dessous, sonnent très importants. Surtout si nous joignons l’indicatif de l’indicatif (l’indicatif n’est… qu’indicatif…pas péremptoire, il ouvrirait, alors, sur autre chose que nous n’aurions jamais considéré ?) à l’infini de l’infinitif, etc.…Oui, si nous refusons d’avoir des…noms, sera-ce plus difficile à nommer, selon les bricolages vraiment si minables de la « nov’ langue » ? Nov’ langue désormais si ridicule dès que nous sommes « dans » le langage…Elle ne fait vraiment pas le poids…

Business-herald.com/enquête/-le-francais-langue-du-futur

« Dans son numéro du 21 mars 2014, le magazine étasunien « Forbes » affirme que le français va devenir la langue du futur.

Want-to-know-the-language-of-the-future-the-data-suggests-it-could-be-french

Lorsque qu’en 1759, Voltaire publie « Candide », il n’a pas à se préoccuper des traductions de son œuvre. Au dix-huitième siècle, dans les sociétés nobles et savantes d’Allemagne, des Pays-Bas, de Russie, d’Angleterre, la langue universelle est le français. D’ailleurs, le grand contradicteur de Voltaire, le philosophe allemand Leibniz, écrivait lui-même en français, tout comme le sulfureux diplomate et écrivain vénitien, Casanova.

Les données. Une étude de la banque d’investissement Natixis prévoit que d’ici 2050, le français deviendra la langue la plus parlée au monde. Ce boum est le fait de la  forte poussée démographique en Afrique et notamment dans les pays de l’Afrique sub-saharienne majoritairement francophones. L’Institut National d’Etudes Démographiques (INED) estime que la population totale de l’Afrique va passer de 800 millions en 2010 à 4,5 milliards en 2100.

Selon Natixis, le monde devrait ainsi compter en 2050, 750 millions de locuteurs français, contre 220 millions actuellement. Le français serait ainsi parlé par 8% de la population mondiale, à égalité avec le mandarin et devant l’espagnol, 7% et l’anglais 5%. En tout cas – diverses réactions remettent en cause cette étude – les tentatives suivies et acharnées pour dévaloriser et amoindrir au maximum la langue françaises sont, au minimum,…aberrantes. Puisque épaulées et aidées par les gouvernements français et une bonne partie des institutions. Qui auraient intérêt à faire supprimer le français sinon les jamais loyaux anglo-saxons ?

D’après nous, la réponse se trouve dans la…structure même de cette langue d’exception : oui ? Quels que soient les explications, les faits scandent que – si sournoisement – le français est chaque jour attaqué chez les corrompus politiques et le si non Libre échange anglo-saxon. Les réponses demeurent ouvertes…

 

/--respondances.

>> *** Respondances cela n’existe pas. Et co-respondances alors ? Soit répondre et, en écho, ce qui concrétise tout ce qui s’inter-répond. Et qui, subtilité supplémentaire, correspond, concorde, coïncide vraiment avec notre idée. Nous retrouvons respondance dans de nombreux courriers historiques lorsque répondre s’articulait respondre, et en anglais tel quel, etc…Cependant, ce rappel (puisque ce mot euphonique et précis n’est pas vraiment utilisé couramment), pour nous, représente les absences de résonances (la majorité des humains ne parleraient-ils plus qu’à des murs ?), les absences de répercussions : nous nous trouvons dans une époque où il devient vital…d’inventer de nouveaux mots mais ceux du cœur de la vie quotidienne. Pas ceux de la technocratie (il y a bien trop de manques à vivre !). Alors respondances répond au mieux à ceci :

 

2 - Trop d’étymologies tombent pile ?

Pourquoi-les-étymologies-furent-plus-visibles-?-

Qu'avons-nous perdu par la prolifération des signes diacritiques (qui servent à distinguer, tels points et accents) et la suppression des… "lettres étymologiques" ?

Certainement, une compréhension plus vaste et complète de la langue. Ainsi queste devenu quête, perd, en chemin, son limpide lien étymologique avec question. La question comme une queste, un immense périple, un vaste labeur initiatique, afin de ramener la réponse - qui ne "mérite" rien de moins que ce gigantesque voyage enclos dans toute question. Ce respect profond, et envers toutes choses, inclus dans le mot question (et non quêtion) se retrouve dans le mot réponse lui-même, de respons qui trace respons-able (qui peut répondre). L'élucidation qu'apporte ce précieux vocable peut se perpétuer avec la diction du dictionnaire (d.d.d.). La d.d.d. rend visible ce qui se trouvait confus, emmêlé à de nombreux paramètres. Nous pouvons ainsi retrouver tout ce qui a été perdu ... 

Les-tairorals-pour-faire-taire.

…Afin même de définitivement…éteindre toute conversation ? Qu’il n’y ait plus du tout de mots ? La méthode : tairroriser. Tellement plus efficace que toute autre, faire taire, tout en se déguisant en défenseur de la liberté de parole, en courageux protecteur contre l’armée immense de l’individu…seul qui ne peut rien faire de sérieux à elle/lui seul (mais il va être fait comme si…). Oui, juste un point géographique, juste quelques humains alentours. Rien à voir, bien évidemment, avec l’ubiquité vaste, l’interconnexion générale et le fichage de tout le monde par des êtres qui n’ont jamais prouvé avoir la moralité pour consulter ces vies privées. La dissymétrie y est trop criante pour que nous n’entendions clairement le cri. Les Tairorals veulent tairroriser en faisant tout taire. C’est bien le très principal ennemi de toutes et tous. Voyons–les en leurs œuvres.

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Le plan des Tairorals était fort bien huilé, détruire tous les lieux de paroles, ainsi la cité du sens n’aurait plus aucun sens. Aussi aussitôt se mirent-ils à cette œuvre qui désœuvre, le Palbum fut saccagé, ratissé, brûlé ; plus de mémoires donc plus de moires pour réverbérer le verbe, on allait tout oublier, dans ce lapsus oublier de publier, plus de sujets de conversations enfin rien que des objets comme dans le commerce. Les ruines chaudes et fumantes ne furent bientôt même plus un souvenir, y aurait-il d’autres choses encore à rappeler ? Non !, et les sous de venir

--- Je vais te magnétiser le neutron !, pleurait Alumi

-Faire-en-sorte-qu'-on-s'-en-sorte-!-

-- Entrer dans le sort fait qu'on s'en sort. Y accéder de la sorte aboutit, aussi, qu'on s'en sorte bien. Comme un guide écrit à l'encre sympathique permet de synthétiser tous les paysages d'existences. Bon, nous avons un début de mécanismes. Des sortes de sortes peuvent se déployer au complet. Nous pouvons, dans le même temps, pencher, accompagner et soutenir ce vers quoi nous tendons à ce que ça sorte – c'est "faire en sorte" l'expression qui ne s'est pas toute faite mais a bien été polie et peaufinée au cours des nombreux usages…

La précision des mécanismes corporels sous- jacents (outre d'être renversants) – nous convainquent chaque fois, beaucoup plus…à quel point…

…nos
sorties restent bien sorties de quelque part !!

    et que ces origines même vous baptisent d'originalité. Ou non.

        Que le vaste humour vous… grandisse et vous nourrisse
!!!

/article-le-corps-du-langage-comment-nos-articulations-nous-kiffent-

Vous pouvez lire, gratuitement, dans " La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques" d'autres définitions de mots, ainsi conçues. Oui oui offrez- vous du gratuit, soit tout un livre de 250 pages sur freethewords.org , cliquez sur l'onglet 3 au titre de" La diction du dictionnaire".

Tout-va-de-travers-faut-traverser-2-

La traversée a été entièrement effectuée. Et sous nos yeux. Tout est traversé à travers les travers. Et comme rien ne va plus de travers plus rien ne va de travers : nous avons vécu une sacrée leçon d'optique. Les mots qui possèdent un si fort gradient d'optiques, de visées avisées, une visualisation qui nous permet d'échapper aux tropismes pesants qui nous ont été légués. Lorsque tous jeunes bébés…tu te rappelles ?

Tout traversé c'est VERS quoi  ? VERS quoi donc est tra-vers ? Nous nous situerons bien dans la jonction flagrante entre intelligence et gentillesse…

                                                          L'intelligentillesse !!!

Pour-le-tout-donc-pour-vous-venez-voir-l'étymologie-de-...solidarité-

Ce qui est tissé ensemble nous tisse ensembles : cela a le nom de solidarité (qui répond de tout) ! Du fait que la Terre soit une et indivisible, aucun pays ne peut exister, à part. L'interdépendance mutuelle est la loi de la Terre, qu'on le veuille ou non. Et l'utopie n'est jamais où on le croit: nier ceci est, clairement, utopique. Et, pourtant, "dominant".

Faut aider le maximum de pays, faut parvenir à ce que chacun hisse le pays juste en dessous à son niveau. Ne pas faire cela c'est carrément non "durable", donc très utopique. Les irréalistes refusent, tous, de devenir terriens. Etc. Ainsi recadrés, les plus "dangereux" des "utopistes" actuels ce sont les financiers. Le nez, bestialement, collé sur les chiffres trop évidents, ils ne voient jamais tout l'alignement entier – les coûts induits, les coûts cachés, les coûts externalisés, les coûts de la non-économie d'échelles ou les coûts "systémiques"…Nous oui et complètement !

C'est donc se montrer le pire des gestionnaires existants. Ils ne connaissent RIEN aux affaires – ça saute aux yeux Ainsi, les coûts de destruction de la Nature risquent de, bientôt, dépasser TOUS LES BéNéFICES des drogués aux trop gros profits. A la limite, il eût été plus utile de leur filer un paquet de fric "pour qu'ils nous foutent la paix", ces arriérés acéphales, tellement la virulence de leurs avidités maladives nuisent et à la société et au futur de la planète. Où serait l’origine, le tout début, le déclenchement de ce qui a…quitté tout sens des réalités ?

3 – Le français : une langue tissée bien plus par l’être que par l’avoir ?

https://www.imagiter.fr/2019/07/quoi-quoi-que-que-quoique.html

Quelque un et ce serait…quelqu’un ? Quel…qu’un serait quelqu’un, à l’unité près ? Que un, que une…Personne n’est quelqu’un, un, mais quelqu’un reste une personne, avec une personnalité, une particule particulière, une individualité renforcée ? Quoique quoi ? Que découvrons-nous là ? Oui rester coi coince quoi ? Encore que ! Le quoi comme coincé en quelle conque déjà ?, etc. Nous avons déjà parcouru un certain nombre de textes sur les pronoms, prépositions et les conjonctions pour avoir ressenti à quel point (avec les verbes) le langage s’y dénoue devant nos yeux…Le langage tel qu’en lui-même : le seul qui nous intéresse ici…C’est bien là qu’il avoue le plus jusqu’où sa structure nous mène, jusqu’où nous transporte le gigantisme de sa métaphore même. Et aveu c’est avoir…

(…) Là le Quoi ? De quoi s’agit-il ? De quoi l’époque s’interroge? De quoi l’époque a besoin sans s’en rendre compte avoir besoin ?  Quel que soit l’évènement quelconque que nous appuyons. Quelque peu il y a la route du quoique. Quoi. Que. Des rebonds, bonds et…rebondissements : ce qui nous sort de tous les pièges avant d’y être trop entrés. Qui nous offre les saltos arrière du cerveau. Ouvrir un saut, vivre un sursaut, etc. immenses restent nos panoplies…de libérations et d’émancipations. Mais ce n’est pas tout de rester à la porte…faut entrer et expérimenter de toute sa vie, de tout son corps. Bienvenus dans le complet lieu où a lieu le plus gigantesque Trésor de l’Humanité : le langage. Trésor qui se vit et se vibre avant tout…qui t’offre tellement et tellement qu’une vie n’est pas suffisante pour commencer à tout…goûter ! Disons que qui ose vivre TOUTE la langue devient le souverain de sa propre vie ! : plus personne ne peut empiéter dans ce qui va dépasser et tant toutes les mauvaises intentions…Comme nous le disions ce détour n’en est pas un.

/Se-tuméfier-de-méfier.

Pourquoi la famille de se fier reste si immense ? Puisqu’elle  va jusqu’à se fiancer de s’y fier. Et puis se confie abondamment.  Se signifie, fortifie, s’amplifie, se vivifie, fructifie,  justifie, se tonifie et purifie. Escalade monts et vaux jusqu’à se rendre fiable, confiable, qualifiable, certifiable, diversifiable ou vérifiable. Ce qui clarifie, ramifie et unifie tout. La famille contraire se montre tellement plus restreinte. Puisqu’ils mentent à tous… tous leur mentent. Comment parvenir à encore amoindrir tout se qui se défait, se défie, se méfait, se méfie ? Se fait du mal surtout à soi-même. Se tuméfie ? Et ceci sans se leurrer, se brouter le béat, se labourer les leurres…Non, un sillon bien tracé qui sillonne tout avec le cœur d’un découvreur assuré et donnant…C’est par du concret que tout se…concrétise…allons-y  donc!  

>>> -- **** Juan Branco mytho ? Le retour d’esprits staliniens ? Voyons : tout comme le chanteur Renaud  a offert de superbes chansons qu’il n’a plus assumées ensuite. Nous les conservons chaleureusement par devers lui. Pour Juan Branco ce qu’il a dit est précieux. Ce qu’il…n’a pas dit, un autre le dira (voir, déjà, la vidéo 1 « Nous ne voulons plus de la République mais d’un autre régime »). Alors jeter le bébé avec l’eau du bébé avant que la naissance soit complète ? Très contre-productif…Nos vies mouvementées (participation à fond à 2 grands mouvements, et accompagnements à d’autres) nous ont tissé une bonne expérience de la vraie vie. A partir de laquelle nous confirmons que tout ce qu’a dit Branco pour la politique et l’économie est tout à fait véridique. Et recoupe nos vécus. D’où nous connaissons encore plus « l’horreur culturelle » (le manque complet de la moindre concurrence dans la culture – la quasi impossibilité que votre offre crée sa propre demande, tout étant (à l’avance) formaté et…censuré – le monopole si régressif de « l’argent censitaire » et donc… censeur y est complet !)…ce qui ne manque pas de bloquer tant de solutions salubres. Et de verser par le haut des corruptions sur nos vies…

Pas de mythomanie de Branco. Le fait de (sur le terme plus long) rechercher, comme nous, un municipalisme avec fédérations libres des indépendances (que nous avions nommé la « Commune des communes ») oui n’empêche pas de penser à ce qui reste d’utile dans la réPublique actuelle (celle qui protège les services publics à buts non lucratifs et au service de tout le monde en rendant, fermement, illégales toutes les… privatisations).

Toujours-soit-tous-jours.

<<>> -- Le langage n’existe pas pour que des linguistes viennent nous expliquer ce qu’il veut dire. L’échec d’un tel simplisme est complet. Pourtant, les chercheurs désintéressés, passionnés par ce mystère, sont bien en train de réussir, eux. Comment dire tant de choses en peu de mots ? Rousseau athée disait, en substance, «et pourtant je ne peux pas concevoir que le langage ait pu être inventé par…des moyens humains». Est-ce si inaccessible à comprendre : pour chacun.e des êtres humain.e.s uniques il aura fallu pas moins de tout l’univers afin de nous concevoir (à tous les sens du terme). Oui 13,8 milliards d’années lumières pour toi, pour toi et pour chacun d’entre nous…Nous sommes irremplaçables dans le sens que jamais plus une singularité comme la nôtre n’apparaîtra. Ce sera toujours différent mais plus jamais nous (trop uniques).

Et pour le langage ? Le problème massif reste que si un homme préhistorique, même plusieurs, par des mimiques et des cris gutturaux parviennent à articuler des mots (ils le peuvent lorsque devenus homo sapiens sapiens) – cela ne résout pas un micron du mystère. Soit formulé de telle façon que tout le monde puisse, avec un peu d’effort, comprendre (ah pas comme dans les universités où le but resterait de tout compliquer à foisons ?) : comment se fait-il que, dès le départ, que le système langage ait pu intégrer TOUS les développements futurs ? Toutes les transformations incluses : un peu comme si le langage fonctionnait comme une graine qui contient tout l’arbre dedans ! Ou bien possédait une forme de code ADN : bref, ce qui ressort est que le langage est très connecté…avec le vivant ! Il ne montre ni ne démontre un fonctionnement abstrait…Et les jaillissements de conséquences, toutes plus imprévues les unes que les autres !

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Erreurs-de-stratégies-des-pouvoirs:-11-langage-

Dont : ils ont censuré et à fond l’appropriation… publique de La diction du dictionnaire. Dans cette affaire ils sont bien les coupables, les peu reluisants délinquants publics, les malfaiteurs des mal faîteurs (aux architectures faîtières souillées), etc. Y’a plus photo ! L’heure de tous les retournements a sonné : ils vont récolter ce qu’ils ont trop stupidement semés ! Comme ceci :

La merveille universelle plus grande que la Terre qu’est le langage,  dont nul n’a pu donner une interprétation complètement rationnelle – a surgi chez des humains préhistoriques. Sûr qu’ils n’étaient pas allés à l’école afin de l’apprendre. Alors …Où et d’où ?

Futur-du-langage-:-la-table-périodique-des-mots

Enfin, pour terminer un peu la suite de déferlantes - ce n’est pas un effet illusoire que franco-français, puisque the diction of dictionary c’est l’anglais. Ou la diccion del diccionario espagnol. La dizione del dizionario, italien, etc. Ce n’est pas un fait isolé local, mais bien toute une transmission de ressemblances tellement plus vaste. Tant de trésors d’un coup :

La matière possède sa table périodique qui permet de prévoir des éléments pas encore découverts. A l’identique, le langage peut prévoir les verbes qui manquent encore, ou bien les mots absents, etc. Et voici la saine… table périodique des mots. Le langage reste plus grand que les humains…surtout ceux qui ne veulent pas le savoir !

https://www.imagiter.fr/2018/08/pourquoi-pourquoi.html

Là le Quoi ? De « quoi » s’agit-il ? De quoi l’époque s’interroge? De quoi l’époque a besoin sans s’en rendre compte avoir besoin ? Dis-moi pour qui pour quoi,  l’humain ne passe pas en premier ? Pourquoi ? Pourquoi, soit les raisons sociales ? Le but mis aux frontons de la société ? Son structurant  essentiel ? Toute une foule d’interrogations (mais pourquoi…) tendues vers l’essentiel : l’intention, l’intention de tout, le motif, la cause du pour cela que…Le « quoi » qu’il faut comprendre POUR qui ou quoi il roule : voyez comment la question dit déjà la réponse. Elle dit «pour», vecteur directionnel et vecteur intentionnel qui contraignent à nommer à fond les « quoi »…

 

"Ce qui est taillé en sens contraire s'assemble" savait déjà aimer Héraclite. Le cadre est tellement fondu en profondeur qu'il en sort complètement. Les époques, derrière les apparences, se ressemblent. L'essentiel reste toujours évité. Aussi la ville est-elle cernée de toutes les autres, à elle semblables mais opposées, les vecteurs incessants de mouvements tentent d'y tracer les simples lignes de différences. A la même seconde, les circuits des déplacements ne se superposent jamais. Les déplacements n’ont jamais arrêté de déplacer quelque chose : mais quoi alors ? Toute ressemblance n'est plus fortuite, mais parcourue à longueur de journée : à qui veulent- ils tous ressembler à ce… point ?

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La-première-lettre-

A pour ouvrir la bouche et ce que bouche la bouche A

en être bouche bée de voir à ce grelot qu’A a déjà cet acte le plus simple;

avoir. Savoir étant tout aussi bien, s’avoir. Ce qu’A a.

Et de savoir que s’avoir reste encore à voir, A se les a toutes prises les pro-visions des visions. Et se les a A, pas à pas, prises les apprises orientations des câbles du vocable. Dans TOUTES les directions. Dans TOUS les temps. Et juste à temps, mais à cent mille lieues : le pivot voilé…

Le pivot voilé : A, n’étant point issu d’une lettre le précédant, selon la figure de l’univers même, irradie donc toutes ses lumineuses trajectoires DANS (c’est-à-dire DANSE) tout l’alphabet. A tire sur TOUS les câbles qui tressent physiquement le vocable ; il pétrit et brasse l’espace espacé de toute la langue, lorsque le temps, depuis longtemps, est bien plus, un temps, un rythme, une cadence, qu’une vague et creuse substance à dénotation  magique. A semble créer, ainsi, à lui seul, seul à lui, toute la langue, il est le gouvernail même du navire. Par conséquent, de mettre lettre à lettre dans A éprouve que la première lettre (celle du non…a priori), la plus ouverte, le son palatial le plus énergétique, est bien cette voyelle - entravée ou libre, avec un vélaire libre ou atone après une consonne palatale qui offre le plus de possibilités à la langue… Poursuivons avec l’évidence que les mots restent sonores et que, de cet éminent phénomène, le sens ne peut que participer du son. Non pas à 100 % mais suffisamment pour diversifier les réponses. Plurilogues valent tellement mieux que monologues étanches et séparés ! Entrons dans le bain..

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4 - ) - Et si les langues existaient oui pas que pour les humains ?

Le-corps-du-langage-secourir-comme-se-courir-

Tout spectacle subit une transformation puisque d'y assister explique, en impliquant, que ça soit, irrémédiablement, devenu d'y porter secours et aide. Dès que vous assistez à un spectacle vous devez l'assister, le secourir et l'aider. Chaque terme est appelé à parvenir à son terme. Son final…Ce qui va annuler, du même coup, sa fixité et la nôtre, au spectacle. La diction du dictionnaire explore, explose, toutes les étagères du rangement et rayonne, soleil de chaleur et de clarté, que le meilleur rangement possible (même s’il y en a d’autres !), le seul rationnel, devienne celui de la… diction juste. Dico, en latin, c'est je dis. Le dictionnaire savait tout cela déjà ! C'est pour cela qu'il le dit bien mieux que nous.

Secourir parcourt nos corps et restitue que c'est se courir, sortir de soi au soleil bienfaisant de la science de l'Autre. Assistant à quoi que ce soit, nous ne serons plus jamais assistés. L'impossibilité barre le passage à toute passivité : assister ne pourra plus, jamais, cacher, se cacher, que c'est être pour aider. Pour aimer. Pourvoyons et voyons "l'arbre de sens". Assister (auprès), con-sister (avec), dé-sister (action inverse), ex-ister (hors de), insister (dans), per-sister (d'un bout à l'autre), ré-sister (en s'opposant), sub- sister (dessous) – et juste pour commencer. Les mots guident excellemment nos corps.  Et n’excluent nullement les autres participations !

Ne-plus-dire-qui-est-en-avance-mais-qui-est-pile-poil-où-il-faut-

** "T'es en avance" que veux-tu que soit utile ce genre d'information ? Bingo! C'est l'info des "conformistes" aux 10 milliards d'excuses pour ne toujours rien faire, rien dire et rien partager. Demeurer adolescent irresponsable toute sa vie. Mais se donnant tous les "droits" de blesser, agresser, diffamer etc. les vrais créatifs tu vois ?

Bon si des individus sont "en avance" c'est qu'eux, normalement, seraient "en retard". Non, pas du tout, ils sont encore plus en avance de ne pas l'être. Tu les entends parler de "surdoués" avec une telle condescendance, un tel paternalisme et une supériorité aussi "indiscutable" que l'on se dit qu'ils se comportent comme s'ils étaient plus surdoués que les surdoués

Oui - plus doués que les surdoués, plus génies que les génies, plus savants que nos merveilleux savants (il y en a encore – malgré les trahisons récentes…), etc…Toujours plus (d'où leur ridicule arrogance – ils se prennent pour les maîtres du monde – mais juste en vacarmes et gesticulations farfelues…)…avec leurs pollutions intellectuelles, morales, affectives, émotionnelles, etc. sans fin. Ils ont l'omniscience infuse: moins ils parlent plus ils savent, moins ils lisent plus ils pigent tout, moins ils réfléchissent plus ils se disent profonds, plus ils sont crassement égoïstes plus ils pensent à tous, peuvent Donc… tout juger et tout condamner.

Sauf que, dit autrement, « ils sont pile poil où il faut », ce qui aide mine de rien tout le monde. Et enlève de la bouche toutes ces affreuses « disputes » bourgeoises. Disputes putes toutes prévues pour que ce monde n’ait aucune solution en aucun domaine.

Ne-plus-croire-en-rien-c'-est-se-faire-niquer-grave-3-

Les cy-niqués par eux-mêmes. Oui comment les cyniques si ringards…perdent toujours tout ? CROIRE...Nous croyons que rien de plus solide que le solidaire ce pourquoi le capitalisme est le pire système SOCIAL possible. Nous croyons en l'Humanité et qu'elle devienne d'effet immédiat. Ce pourquoi les ridicules pouvoirs centralisés séquestrant, illégitimement, les pays – sont en train de plus rien piger à rien. En effet, la réelle "nature humaine" ne peut paraître que lorsque l'Humain sera. Pas avant. De vivre en direct l'expérience nous semble 1 000 plus passionnant que des spectacles séquestrés par des esprits pas vraiment total humains. En outre, l'impossibilité flagrante d'outing out d'extra-Terrestres provient du fait, qu'avant tout extra-Terrestre, faut des Terrestres…sinon extra étasuniens, ça le fait plus. Au fait nous sommes déjà extra étasuniens. "Notre" pays c'est tous les pays à la fois. Pourquoi se rétrécir à un seul ? Aussi bien, le réel nous paraît gigantesque. Notre corps peut vivre ce gigantisme. Par exemple, s'envoler comme des oiseaux. Nous avons abondamment œuvré pour transmettre ces techniques d'extases sans effets secondaires.

-Comment-le-repos-repose-vos-questions-?-

Ainsi, (penser sphériquement oblige !) les questions pourraient « rendre dispos ». Oui oui nous reposer augmenter la paix qui est en vous tout autant que rendre vos fibres plus langoureuses ? Les questions défatiguent et le système, à coups de pas bien légaux « harcèlements économiques », vise à nous exténuer !! Raté tu vois.

Comment cela se passe ? Dans se passe il y a notion de « passage », vous remarquez, donc aventure entre l’invisible et notre monde tel que nous le vivons. Tout autant que les abstractions « fonctionnent » procurant aux plus intrépides d’entre nous des nectars rares, l’invisible in- forme, aussi pareillement. Plus vous savez concentrer votre « attention» plus tout semble faire attention à vous. Inutile de s’encombrer d’une version occidentale des « orientalismes » - vous pouvez, tout aussi bien, y accéder sans intermédiaires à cette « matière qui donne des extases » lorsque l’on apprend à la manipuler. Tout devient accessible : les récits aussi…bientôt un récital de récits !!

Nul-n'-est-nul-

Les pages défilaient, et nous ? tous les règnes du vivant vivant sous notre nez ! (…)

            Ne poissons pas les poissons

            juste gronder les grondins

            ne délabre le labre

            bien mieux lotir la lote

            ou confier au bon soin du marsouin

            toutes truites détruites

            précieusement gardons les gardons

            pour calmer les calmars

            nages fulgurantes qu’étanche la tanche

            lançons-nous avec les lançons

            jusqu’au congrès des congres

            ces congres si incongrus

            qui haranguent des harengs

            où s’y perche la perche?

            avec l’ombre ou avec le maigre le menu

            fretin frétille

            le brochet en fait ses bro...oui on sait ! happe vingt alevins

            comme la lamproie lampe sa proie

            le requin se requinque

            surtout ne pas tomber sur le pire : le piranha !

            une dernière page de pagel

            de quel royaume est-il le dauphin ?

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5 – Traitements anormaux du langage (interdit de parler de l’origine des langues – abstractions exagérées de la signification des mots – sabotages de toutes les possibilités d’émerveillements par les vocabulaires, etc.). etc. 

Pourquoi-les-plus-grands-tabous-entourent-ils-le-langage-?- (en fait tout ce texte serait à lire – nous nous limitons à un extrait !)

Pour Jean Schneider, il faut cerner, en premier lieu, l'origine de l'origine. Ce questionnement offre la preuve qu'il n'y a pas de temps avant le langage. C'est le Verbe qui commence et, ensuite, le temps, pur concept mathématique, devient psychologique, c'est-à-dire nous fait croire qu'il existe. En effet, si nous abandonnions un instant, notre point de vue, nous saurions que, de tous les points de vue complets et joints de l'Univers, le temps n'existe pas. Oui, oui, le début de l'univers est toujours à 13,8 milliards d'années-lumière de distance. Le temps est donc une distance et, si l'on admet que toutes les métaphores du temps sont spatiales (le temps est… proche, lointain, court; long...etc.), le temps c'est bien de l'espace espacé. Les conséquences de cette compréhension nouvelle, pour la civilisation, la vie en Société, sont innombrables.

Un seul exemple. Le commencement est la moitié de tout. C'est-à-dire, l'Être n'explique pas l'origine c'est l'origine qui pose l'originalité de tout être. Unique et irremplaçable. Son impossibilité à (être) imité, son sain anticonformisme, son éthique refus de la photocopie. Le commencement commence tant que toute Société persiste à ignorer ce dé-part. Partir étant partager : sinon répartir, se mit-il à répartir ses réparties. Partir étant participer, faire partie de l'ensemble des parts. Le dé-part se dessine, pour lors, comme ce qui se dessaisit de ses propres parts, se départage. Le départ c'est quitter sa part: à partir de là tout peut commencer car pas de part possible s'il n'y avait, précédemment, partage. Dans la connaissance de la causalité le partage est premier: pourquoi s'être permis de l'oublier?

Ainsi, le logos grec, magnifiquement, faisait du mot, la mesure du partage et la raison de ce partage. Les mots deviennent la vigilance interne et externe que tout un chacun peut vérifier afin que le partage atteigne à la justesse la plus fine. Pendant qu'ils donnent, expliquent, élucident toutes les raisons de ce partage. Qui n'aime pas le partage? Qui ne veut pas que vous participiez ? La censure semble toute issue du cens, cet inégalitarisme arrogant, qui s'offrit le vote censitaire, et nous clarifie son illégitime slogan " Le pouvoir de l'argent s'autoproclame Illégalement tous les droits". Le premier tabou c'est masquer que le langage appartient à absolument tout le monde: et qu'il n'y a besoin de nulle compétence pour y participer…

etc…etc…la rubrique « corps des langages » contient plus de 300 textes…

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<<>> *** Vous vous doutez bien que nous ne faisons qu’effleurer le dix millième des potentialités des surprises incluses dans le français. Une langue si féconde en ce domaine. Et ? Vous ? Vous tels des boudeurs bouddhas de boudoirs, vous croyez que ne pas entrer « dans » (et dans danse !) la langue (ce trésor insurpassable de sensualités) nous affecterait, au point de nos assécher ? Que non point : depuis tant d’années que nous pratiquons la d.d.d. nous ne sommes qu’enchanté.e.s.

Puisque c’est bien le royaume des Qualités si diffamé par les quantités. Un court récit le dit : le parfum puissant d’une fleur est une qualité. Eh bien, qu’il y ait 100,1000, 50 000, ou 1 million d’humains à sentir la fleur – rien en elle ne diminue. Rien ne se perd, rien ne disparait à donner tant de joies aux autres. La qualité demeure inépuisable, inextinguible, comme l’amour. Au concret, c’est la véridique richesse qui jamais ne nous laisse tomber…Pareil pour la langue lorsque vraiment vécue.

En fait, nous assistons à la même incompréhension ahurie que la censure. Censure qui «croit», plus que stupidement, nuire aux auteurs. Alors qu’ils poursuivent leurs routes créatrices. Rien n’est atteint en eux ! Seul.e.s les immenses nombres qui « auraient dû » recevoir ces talents en sont…privés. A chaque fois, nous voyons identiquement le ridicule épais recouvrir ces si absurdes censeurs. Ils «croient» avoir une seconde l’appui des humains. Surtout pas - vue l’attitude renfrognée de qui se prendrait pour le père de la patrie, la mère de l’école, le dieu clairvoyant sur terre, la déesse de la…largesse d’esprit ( ??), etc., etc. mais qui – au très concret – est toujours plus enlisé dans les « mauvais rôles ». Le flic, le juge abusif, le ringard inquisiteur, le réac félon, et le ringard invivable de ces foules…privées des meilleurs par ces arbitraires si inadaptés et si périmés. Seuls les censeurs cons perdent tout – un jour ou l’autre. Jamais les autrices et auteurs. Enfin un peu de bon sens ! nous invitions – si les illégitimes et insupportables intrus veulent barrer les routes, prendre les circuits de diffusion en otages, emmerder les autres…c’est eux qui déconnent pleins pots. Personne d’autres…Et, un jour, se retourneront énergiquement contre ces ingérants, les grands publics « censurés d’accès » à tout ce qu’ils méritent pourtant mille fois plus que les pénibles censeurs ! …Obligatoire : comme si dans vos familles ou avec vos amis, sans cesse, des emmerdeurs venaient s’interposer dans vos échanges de sentiments et d’émotions. Sûr qu’à un moment, vos révoltes vont devenir exponentielles.. La barbarie appartient à la censure – jamais des civilisé.e.s ne censurent…mises au points inattendues non ?

Aussi (modèle des dissidents) profitez des textes que l’on voudrait – avec ces si hystériques acharnements – que vous ne voyiez ni ne lisiez jamais (demandez-vous pourquoi ??)…ou répondez en vous-mêmes à : mais pourquoi je me punis moi-même, pourquoi je m’auto-punis de me priver ainsi de ces sucs incroyables et…accessibles ? N’obéissez plus à ceux qui ne vous veulent que du mal, vu les décryptages de leurs comportements envers vous.

Pourquoi ?

 

Vous n’êtes pas seulement que cet untel…

….cet Untel qui n’est pas que… un tel tel…

 

…………..(à suivre)

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https://www.imagiter.fr/2019/09/les-faits-parlent-aux-faits.html de Septembre 2019...

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits  https://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, aussi, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêtons de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !

Vous changez vos mots, vous changez vos vies

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Couverture de tianjin-library-mrdv

Couverture de tianjin-library-mrdv

Nommons nos noms ? Nos mon(s) ne sont pas vos leurs ? Valeurs DE nommer oui ce qui va arrêter tous les voleurs trop au pouvoir ? Etc.

Nommons nos noms ? Nos mon(s) ne sont pas vos leurs ? Valeurs DE nommer oui ce qui va arrêter tous les voleurs trop au pouvoir ? Etc.

Le français est une permanente surprise
les intrus n’entreront plus..

les intrus n’entreront plus..

Le français est une permanente surprise
Tuméfier : cinéma maquillages…

Tuméfier : cinéma maquillages…

Tu es toujours la paix que tu espères. Alors ? Sois « still » (encore ET calme) et tu vas le ressentir encore et encore ! Toujours aussi tranquille tousjours

Tu es toujours la paix que tu espères. Alors ? Sois « still » (encore ET calme) et tu vas le ressentir encore et encore ! Toujours aussi tranquille tousjours

Le français est une permanente surprise
malgré tous les minables antirépublicains faux dirigeants Si Ennemis du pays, de ses habitants et de la langue française… la réPublique va demeurer...

malgré tous les minables antirépublicains faux dirigeants Si Ennemis du pays, de ses habitants et de la langue française… la réPublique va demeurer...

Le français est une permanente surprise
Car quoi de moins pratique que de ne pas avoir de carquois. Car quoi ? Pour toutes  les flèches lancées, aussi pour les flèches fléchées, les directions prises ou bien les dires aux syntaxes comprises !

Car quoi de moins pratique que de ne pas avoir de carquois. Car quoi ? Pour toutes les flèches lancées, aussi pour les flèches fléchées, les directions prises ou bien les dires aux syntaxes comprises !

Le français est une permanente surprise
Le français est une permanente surprise
Le français est une permanente surprise

Innovation et littérature, c'est possible ? A vos arguments et contre-arguments... On discute, on débat, on fait de la mousse en commentaires ?

L’ abécédaire de quinze mots choisis par les auteurs, afin de dénoncer cette désaffection (tiré de… affectif mais, aussi, de… affecté, soit se rendre soi-même malades par manque…d’amour (ne plus aimer les mots c’est ne plus s’aimer soi-même, nos corps si pétris de mots… !). Un « bâtiment désaffecté » est une mort qui est désertée d’amour non ? Alors ? Faut aimer avec ardeur les mots : ils sont la porte de la Libération collective…tellement proche que tout frémit en toi déjà…

56 mn… Spécialiste de la langue française, mathématicien de formation et amateur de l'Histoire [[ pour notre part, nous ne conservons que ses propos pertinents sur la langue française et n’adhérons pas du tout à ses thèses dans d’autre domaines ! ]], Arnaud-Aaron Upinsky ferraille pour la mise en valeur du patrimoine linguistique de la France. Il soutient que la primitivisation accélérée de la langue et le désapprentissage de la méthode mathématique peuvent conduire au désastre et à l'anéantissement de la civilisation européenne. Qui plus est, c'est le français auquel le rôle du "latin moderne" est dévolu.

 
Si l'Europe se trouvait….privée de cette langue et de toute la culture que draine le français, elle en serait dramatiquement appauvrie, objectif d'ailleurs recherché par les parasites au sommet du pouvoir qui se font passer pour l'élite nationale et supra-nationale.

La langue véhicule une méthode de formation. Or comment peut-on apprendre si les termes sont creux et faux et les définitions substituées? Le funeste article 2 de la loi Fiorazo de 22 Juillet 2013 sur « l'enseignement supérieur prive le français du monopole linguistique dans le monde de la haute-école en France. »…Ces arguments ne concernent que « l’extérieur » du langage (le fait que les pouvoirs peu légitimes veuillent s’approprier, ou tenter de « privatiser », ce qui est à tout le monde) – la vidéo jointe nous détaille bien plus les caractéristiques ...internes exceptionnelles du français…

Les différents dirigeants semblent bien (pour des motifs inexcusables commerciaux et financiers…vraiment bien peu avouables) oui semblent les grands ennemis du français. Oui, c’est un monde, mais les actes et censures sont bien là…Contournons afin d’offrir toute la ligne d’horizon.

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