Quand t’es dans le désert
Ce que n’avaient pas prévu les lunatiques néolibéraux c’est que soit quitté et en masse leur système archaïque, d’ancien régime, de ruines poussiéreuses, sans allant et sans avenir. De jeunes diplômés de grandes écoles « ne veulent plus reconduire ce aberrations mais construire un autre monde ». Donc ils laissent en tas leurs diplômes, sans un regard pour les escrocs qui les leur accordent. Tout en se cassant puissamment. De même, les surexploités de la restauration, des jobs d’été, des petits boulots, des ubers présidentiellement protégés, etc.… se tirent, désertent ces exploitations de la honte (pour les patrons). Abandonnant ces tristes sires à leurs tristes sorts. Pire ? Les concours administratifs de la non start up nation sont délaissés comme jamais vu : moins de candidat.e.s se présentent que de postes à pourvoir. Faut le faire. Hé bé c’est complet, de bas en haut, et de haut en bas, tout déserte tellement l’inhumain macronisme et la folie étasunienne créent le…désert. Le désert affectif et moral, ça se déserte vite fait. Ils sont laissés à eux-mêmes. La vraie société se…reconstruit à côté d’eux. Espérons que ceci va être le plus complet possible…
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1-)- Ces reportages toujours… reportés !!
<< - Le point primordial reste bien que cette radicale nouveauté (qui pourrait «bien réussir»…quitte définitivement cette société et ses non valeurs !) soit si peu relayée par la majorité des médias. C’est pourtant essentiel pour le futur commun…Une ancienne polytechnicienne, membre du collectif dont nous allons parler, explique. « Pour elle, déserter prend tout son sens puisque « dans cette école, nous avions un statut militaire. Aujourd’hui, c’est la guerre au vivant que nous… refusons de mener. » Dit autrement, ce sont les buts poursuivis par les pouvoirs qui sont limpidement refusés. Pas d’erreur possible sur les motivations ! Écoutons : «La production industrielle à laquelle on nous somme de participer en tant qu’ingénieur est indissociablement civile et militaire. C’est un monde structuré par la… guerre et le commerce, qui détruit, en plus, les écosystèmes et bouleverse le climat », dit-elle. Ce qui devient si neuf est que ce sont les minorités corrompues au pouvoir qui sont rejetées par tous ces diplômés. Pas l’idée même de société. D’ailleurs, le nihilisme des pouvoirs ne laisse aucun doute…ils sont les pires ennemis actuel des populations…
Le verbe qui va avec « parvenus» c’est… parvenir. Tu le savais ? Le savoir, dès maintenant, va nous éclaircir au sujet de ces surprenants refus de parvenir à être « parvenus » ? « Refuser de parvenir était pour lui une exigence éthique. « Elle consiste à refuser de vivre et d’agir pour soi et aux fins de soi », écrivait Albert Thierry, vers 1910, dans son Essai de morale révolutionnaire. Il ne s’agissait pas pour autant d’une acceptation de la misère, surtout pas, mais plutôt d’un rejet des… honneurs et des privilèges individuels. C’était aussi une forme de lucidité, alors que les prétendues élites bourgeoises, sous la 3ᵉ République, cherchaient à… capter les éléments les plus brillants de la population ouvrière pour les mettre à leur service »…de leur dire Non !
De-l'esclave-au-prolétaire-la-désertion-n'est-pas-qu'une-histoire-bourgeoise
Il y a tellement d’abondance d’informations, toutes plus intéressantes les unes que les autres, que grandit la certitude que de quitter cette société sans avenir ni perspectives appartient bien aux abondances…Quelques exemples ?...« Ils voulaient faire la grève des gestes…inutiles (genre spéculer, spolier les autres, frauder, etc. !) et vivre leur vie le plus intensément possible », raconte l’historienne Anne Steiner. Un autre anarchiste, Gustav Landauer, affirmait que la grève générale ne devait pas consister à faire pression pour augmenter les salaires et ensuite reprendre paisiblement le travail sous la férule des patrons, mais qu’il fallait plutôt s’évader complètement…du monde industriel pour créer des communautés paysannes autonomes, à partir desquelles on pourrait organiser la révolte.
Des précédents historiques ? Oui et les plus inattendus !! « Au 18 ème siècle, les « nègres marron » cultivaient l’« art de la fugue ». Pour reprendre la belle formule de Dénétem Touam Bona, « ils endossaient l’ombre striée des feuillages », ils faisaient corps avec leur territoire, l’habitaient pleinement. « Le camouflage — se confondre avec le milieu de vie dans lequel nous évoluons jusqu’à s’y évanouir — suppose une écologie des sens : sentir le vent, le soleil, la pluie, les éléments nous pénétrer par tous les pores et en épouser le cycle des mutations. Percevoir jusqu’à devenir imperceptible », poursuit le philosophe.
Encore aujourd’hui, des traces de ces résistances subsistent. Des communautés existent toujours. Ce qui nous ramène direct en mémoire que, dans les années 1970, le quitter la société était très puissant. Son héritage prolixe, d’ailleurs, est toujours là, il s’agit seulement de l’apprivoiser. Nous sommes réellement bine armés. Armés pour installer la paix universelle…Par exemple, dans le milieu universitaire, le groupe Survivre et vivre et le mathématicien Alexandre Grothendieck, ayant démissionné de son institut de recherche, poussaient également les jeunes chercheurs à la désertion. En 1968.
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2 – Pourquoi ces jeunes ingénieurs démissionnent dès le diplôme?
<<>> -- Il y a, aussi, des ingénieurs au travail qui quittent leurs fonctions. Ce qu’ils expliquent est très différent. Voyons plutôt : « Dans les témoignages, nombreux sont les anciens salariés à refuser désormais «la politique de l’entrisme» : « Depuis tout petit, on nous assène qu’il faut… changer les choses de l’intérieur, qu’il faut prendre la direction et le pouvoir pour transformer le monde, être bon élève, responsable et patient, raconte l’ingénieur démissionnaire Olivier Lefebvre. Mais, en réalité, on se ment. On perd du temps, on s’épuise. On se confronte à des… blocages structurels (si gavés de mauvaises fois et de mauvaises volontés !) et finalement, on se perd. On se raconte des histoires pour justifier notre mode de vie confortable. » Si immérité sur le fond !!
C’est que, lorsque bien vécue, une action peut aussi être efficace à l’extérieur. L’histoire nous identifie que ce sont dans les marges que se sont élaborées les promesses du futur qui nous permettent d’augmenter nos conscientisations (à condition, bien sûr, d’être relayées…ce ne sont pas des trous de mémoire qui vont changer le monde !). De multiples alternatives le prouvent, comme Notre-Dame-des-Landes. Bruno Latour ne disait-il pas dans une formule provocatrice que « les zadistes sont les instituteurs de l’État » ?
Alors qu’ils sont les rouages (indispensables) de la machine techno-industrielle, les ingénieurs sont de plus en plus nombreux à se rebiffer. Arthur Gosset, l’ex étudiant de centrale Nantes qui a réalisé le film Rupture(s) — dans lequel il évoque la bifurcation de ses camarades déserteurs — estime qu’ils représentent au moins… 30 % des promotions. D’autres chiffres confirment la tendance lourde : d’après un récent sondage, publié en mai, plus d’un tiers des sondés (35 %) affirme n’avoir jamais eu autant envie de démissionner. Une proportion qui monte à 42 % chez les moins de 35 ans. Soit, presque la moitié de la tranche d’âge. Ce qui est énorme, non ? D’autant plus que les grandes écoles et les associations d’anciens élèves n’ont pas forcément intérêt à communiquer sur cette fuite généralisée. Et que domine la pulsion de minimiser l’ampleur du phénomène
« Notre discours sur le refus du travail est aujourd’hui beaucoup plus audible », constate néanmoins Romain Boucher. Lui qui a créé l’association Vous n’êtes pas seul pour inciter ses ex-collègues à démissionner. « En subvertissant la petite bourgeoisie managériale et diplômée, nous entendons enrayer la courroie de transmission qu’elle incarne. On veut corroder cette classe sociale qui tient le système », dit-il. Très bonne stratégie donc. Utiliser cette classe qui « hier ne savait même pas penser » comme bélier efficace contre le système.
-- 3 -) L’inaperçu ?
Comment-la-désertion-gagne-la-France
Une multitude d’initiatives abondent pour ouvrir l’horizon aux candidats déserteurs. Dans le domaine agricole (et nous en avions déjà chaleureusement parlé !), l’Atelier paysan en est un parfait exemple, coopérative, à brevets non-lucratifs, qui fabrique les machines-outils agricoles avec les paysans, se présente elle-même comme « un débouché pour les futurs déserteurs » : « Nous avons besoin des compétences des bifurqueurs, des anciens ingénieurs, des commerciaux, des financiers, mais pour les rediriger, et les mettre au profit d’une autre fin. C’est une… contre-société qu’il faut créer avec sa culture politique et ses alternatives », dit Nicolas Mirouze, un paysan vigneron dans les Corbières. Il avait lui-même déserté AgroParisTech il y a vingt ans avant de devenir sociétaire de l’Atelier paysan. « Nous, les anciens, on doit accueillir les nouveaux, leur faciliter le terrain, être solidaire. Mais surtout, on doit se battre ensemble, assumer le rapport de force et la conflictualité face au modèle encore dominant (mais plus pour longtemps !). L’époque où on pouvait déserter seul dans son coin, c’est fini. »
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4 - Les services si exploités rompent ces mauvaises habitudes de les surexploiter !!
Aux USA nombreuses sont les désertions du bas…avec un discours jamais entendu…« Nous démissionnons tous, désolés pour le dérangement », écrivent sur une affiche les salariés d’un Burger King dans le Nebraska. « Veuillez être patient avec le personnel qui a répondu présent, plus personne ne veut travailler », disent les employés d’un McDo au Texas. « Fuck les cadres, fuck cette entreprise, fuck ce job… Je démissionne, putain ! », crie dans le haut-parleur de son magasin une employée de Walmart au Texas. Un discours abrupt qui fit des émules parmi ses collègues.
L’Amérique bouge et elle n’est pas la seule. En Angleterre, les seniors démissionnent en masse. 300 000 travailleurs âgés de 50 à 65 ans ont rejoint la catégorie des « économiquement inactifs ». En France, ils parlent de ce travail si vicieusement pris en otage (« alors qu’on faisait quasiment tous 65 h payées 39h ! »)
C’est que la fausse pandémie a joué un rôle catalyseur. » Sur le moment, trop peu en avaient pris conscience. Sauf que les idées neuves cheminaient. « Le confinement a mis à l’arrêt la machine dont on ne trouvait pas le frein d’urgence. En suspendant, un temps, le fonctionnement dont nous étions tous les otages (et croyant qu’il ne pourrait jamais en être…autrement !), le virus a révélé l’aberration de la prétendue « normalité », estiment les auteurs d’un puissant texte paru en mars 2020 sur le site Lundimatin : « Ce qui s’ouvre devant vous, ce n’est pas un espace délimité, c’est une immense béance. Le virus vous désœuvre. […] Il vous place au pied de la bifurcation qui structurait tacitement vos existences : l’économie ou la vie. C’est à vous de jouer. L’enjeu est historique. »…Désormais c’est la vie !
<<>> Réprimer ceci ? Oh oui comment ? Comment introduire la carotte et le bâton qui ne …peuvent plus exister ? Comment leurrer qui ne vous regardent plus ? Comment surtout les reagnes me,nteuses ? Essayer toutes les clés conclue, immanquablement, que les pouvoirs n’ont pas de prises sur ces déserteurs déterminés. Te foutre dehors – ouais pas de bol c’est déjà…fait. Nous sommes dehors, et jamais plus nous ne réintégrerons ce système de mensonges et de basses cupidités, de déshonneurs et de vendus, de censures imbéciles et de si stupides censeurs non censurés etc. Les menaces habituelles ne sont plus de mises. Les sanctions c’est démodé puisque se retournant presque tout le temps contre qui les clament. La situation hurle l’ééééccchhhec flagrant de la lie antidémocratique des néolibéraux. Rarement une classe de la population n’était tombée si vite aussi bas. Tout en eux est à jeter…Y’a rien à garder !
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5) -- Motivations non dites !
Motivations non dites ? Faut aller sur place si tu veux recueillir les paroles authentiques…En gros : l’autoritarisme abusif crée les conditions « objectives » des désertions. Puisqu’il n’y a nulle écoute, aucun débat adulte et responsable, que tout est imposé dans toujours plus de pertes de bon sens, que les détraquements mentaux de ces brutes les coince en ceci : ils ne demandent que passivités intégrales aux populations. Populations délestées de leur droit à la parole. Qu’elles se laissent faire quoi qu’il leur soit demandé. Et cette imbécilité de « croire » que le tout-répressif a encore un avenir. Que les populations sont groggys. Alors que tout ceci n’est qu’illusions. Voltaire disait, en substance, que trop d’oppressions offrent les conditions de vouloir l’indépendance. D’où la jonction avec ces pensées intimes : ils veulent tout le pouvoir comme des obsédés compulsifs. Laissons-les tous seuls avec ce colifichets hallucinés. Quittons- tout ce qui est eux. Si cela déserte tant c’est de la Responsabilité complète des irresponsables néolibéraux…Tout est de leur faute !!
Pas de futur avec eux. Aucune perspective autre que, pour au moins 80 % de la population, de se voir « complètement sacrifiés » pour que 0,10 % monopolisent tellement qu’ils ne savent plus quoi en faire. Tout prendre (soit, au concret, étouffer le fonctionnement de la société) c’est oublier que la santé mentale ouvre la porte du : passons-nous tangiblement d’eux. Ils ne sont ni indispensables ni utiles. Et, puisqu’ils ne se conduisent pas en vrais adultes, laissons tomber ces…parasites. Nous sommes créatifs, nous inventons facilement les conditions qui vont fonder une autre civilisation. Ils sont si incapables de se débrouiller tous seuls, ils ont trop « besoin » de serviteurs. Sauf que les irrespects abusifs envers ces serviteurs leur fait perdre la possibilité même d’en convaincre un seul de continuer. Puisque ? Pore encore – ces dangereux incapables ne savent pas gérer quoi que ce soit, ne veulent pas « démissionner » - hé bien démissionnons à leur place. Tout sonne clair, tout résonne fort.
Oui ces gouvernements de lâches hyper répressifs ? Pourquoi vous formulez ainsi ? Puisque, au lieu de s’en prendre fermement aux grands « nuisibles », aux nuisibles de l’optimisation fiscale, aux nuisibles des enfers fiscaux, aux traites fiscaux - 1000 milliards annuels en Europe de dommages causés par ces escrocs trop riches (oui plus de 2 Fois le budget annuel-Recettes de la France, tout de même….). Les nuisibles hyper pollueurs, destructeurs de la vie et de la nature, les nuisibles- parasites qui coûtent un pognon de foldingues au pays…bref pour l’Europe un million de très grands délinquants des sommets…favorisés. Soit pas « sanctionnés », pas mis en prison, pas arrêtés dans leurs incessants abus, mais financés avec votre/notre argent…sur 447 millions d’européens cela ne représente qu’une frange… marginale de Racailles. Racailles si facile à mater. Il reste si clair que le racisme anti honnêtes citoyens, anti non corrompus, anti non nazifiables court les rues du nid gangréné de la Commission européenne …
Gouvernements d’hyper lâches qui ne s’en prennent jamais à la nuisance extrême de la Commission européenne. Commission européenne sans la moindre légitimité (toujours choisi.e.s parmi les grands corrompus !). Gouvernements d’hyper lâches qui ne foutent pas l’Otan d’ingérences hors d’europe. Gouvernements d’hyper lâches qui ne s’en prennent – et si malproprement – qu’à ceux qui ne peuvent se défendre : chômeurs, précaires, enfants, infirmières, pompiers, licenciés, petits entrepreneurs, classes moyennes honteusement soumises, contribuables et autres sécurités sociales (cette perle reconnue par le monde entier et massacrée par les Voyous sans honneur néolibéraux)…oui voici les motivations méconnues des bons déserteurs. Toujours moins veulent Soutenir ces personnages qui foutent la honte au pays…
A ton avis, vont-ils tenir au milieu des désapprobations qui…
….rugissent de partout ?
…………(à suivre)…
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que toute l’union si solide comme tout le solidaire du monde nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Une génération qui sort des codes, prête à tout pour vivre en accord avec ses convictions. Découvrez le documentaire inédit réalisé par Arthur Gosset et co-produit par Hélène Cloitre. Int...
Arthur Gosset, l’ex étudiant de centrale Nantes qui a réalisé le film Rupture(s) — dans lequel il évoque la bifurcation de ses camarades déserteurs — estime leur nombre à… 42 % des moins de 35 ans.
En 2022 encore, la ferme d’une communauté Longo Mai en Ukraine accueille des réfugiés de la guerre. Photo de © Nicolas Cortes
De plus en plus de personnes cherchent une sortie d’urgence de ce travail si vicieusement pris en otage (« alors qu’on faisait quasiment tous 65 h payées 39h ! »). Unsplash / Possessed Photography
D’après un récent sondage, publié en mai, plus d’un tiers des sondés (35 %) affirme n’avoir jamais eu autant envie de démissionner. Une proportion qui monte à 42 % chez les moins de 35 ans. Les observateurs parlent de « révolution sociétale », et de « menace pour l’économie française ».
de Mathieu Génon / Reporterre - En bas de l’échelle, l’offensive néolibérale pousse aussi au départ. Face aux dégradations des conditions de travail et aux bas salaires, nombreux sont les employés, écœurés, à prendre la poudre d’escampette. À l’hôpital, le phénomène est particulièrement visible. Les cadences inhumaines et le manque irrespectueux de reconnaissance incitent les aides-soignants et les infirmières à partir… 60 000 postes ne trouvent toujours pas preneurs. Ceci se trouvant occulté par les suppressions insensées du nombre de lits. Résultats anti-magiques ? Ces professions « martyrisées » n’attirent plus. Alors qu’elles sont de grand intérêt collectif. Ce que ne sont surtout pas les politiciens corrompus ! Des parasites !
Nous avions tout pour " réussir ". Salaire confortable, capital social, culturel, symbolique : nous " réussissions ". Et pourtant... Ces privilèges, nous avons choisi de les subvertir, afin de ...
L’association Vous n’êtes pas seul pour inciter ses ex-collègues à démissionner
corruptions et censures sont enfin Nommées et accusées comme crimes contre la société… Faux Vaccins : la vérité en train d'éclater aux USA.
Des revers vers où ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
Oui vers la Libération globale. Au Chili les urnes ont fait sortir les ennemis néolibéraux qui avaient assassiné, si illégalement, leur Président Allende. En France, les paysans sont plus gé...
l’Atelier paysan une coopérative à brevets non-lucratifs qui fabrique les machines-outils agricoles avec les paysans, se présente elle-même comme « un débouché pour les futurs déserteurs »… Mieux - elle a su résumer la perversion si haineuse des pouvoirs. Eux luttent pour la démécanisation de l’agriculture. Ils savent mieux que d’autre de quoi ils parlent… « La robotisation de l’agriculture, trop mise en avant de façon peu subtile et très maligne par le gouvernement à grands coups de milliards, devient alors un enjeu plus difficile à attaquer. »…Précisez Svp ? Facile : « Il est absolument impossible de nourrir les français sans pesticides et sans robots dans les conditions actuelles, avec… seulement 400 000 agriculteurs actifs. Ce sera encore moins possible à 170 000 comme le prônait perversement Xavier Niel, (qui à l’évidence préfère l’enrichissement si Nuisible d’une poignée à la santé de tous…plus personne ne veut suivre ces délires assassins, n’est-ce pas ?). » Bravo l’Atelier paysan. Oui, nous avons honte des commentaires ringards et passéistes que la présentation de leurs si bonnes idées a reçu !!
République Populaire de Donetsk (RPD) ? Une deuxième association avait été créée en 2018 en prévision et avait pris le relais après la dissolution de la première. C’est la dissolution de cette deuxième « Représentation de la RPD en France » que le parquet français avait demandé en mai 2022. Dissolution que le parquet a obtenue lors du jugement rendu le 22 juillet 2022.
“Beaucoup d’autres pays non reconnus par la France ont le droit d’avoir pignon sur rue sauf une, la République de Donetsk“, a indiqué le président du Centre de représentation, Hubert Fayard, précisant que les centres représentatifs de la Catalogne et de la République d’Artsakh (la République du Haut-Karabakh) étaient enregistrés en France sans que les autorités exigent leur dissolution.
“Un jour, la France devra reconnaître l’existence des deux Républiques [Donetsk et Lougansk].
Être heureux sans raison c’est avoir toutes les raisons de l’être : la fin enfin de l’homme profiteur !!
" NOTRE ÉTAT SOCIAL DOIT RÉSISTER AU NÉOLIBÉRALISME " - Christophe Ramaux
Christophe Ramaux est économiste à l'Université Paris I (Centre d'Économie de la Sorbonne) et membre des Économistes atterrés. Dans Pour une économie républicaine, une alternative au néoli...
https://elucid.media/economie/notre-etat-social-doit-resister-au-neoliberalisme-christophe-ramaux
« L’État social ou État-providence est le nom de la révolution économique et sociale intervenue à la fin du XIXe siècle, et même avant. Nous en saisissons mal l’importance. Nous avons tendance à le réduire à la seule protection sociale, éventuellement élargie au droit du travail à travers ce que les juristes appellent le droit social. J’invite à le saisir plus largement, autour de quatre piliers : la protection sociale, le droit du travail, les services publics et les politiques macroéconomiques (des revenus, budgétaires, monétaires, industrielles, commerciales…) de soutien à l’activité et à l’emploi. Quand on met bout à bout ces quatre piliers, on s’aperçoit que l’État social a une portée considérable. Nous vivons dans des économies mixtes, avec du privé, mais aussi avec de l’intervention publique.
Le néolibéralisme a tenté depuis les années 1980 de détruire ces quatre piliers de l’État social : privatiser la sécurité sociale et les services publics, démanteler le droit du travail et réorienter les politiques économiques dans un sens libéral. Je soutiens toutefois qu’il n’a qu’une minoritaire partie qui se soit réalisée dans ce projet »…Et – grâce à cela – nous allons pouvoir les expulser de la sphère politique. Les Constitutions excluent toutes que la politique n’existerait que pour ne faire que des affaires économiques. Affaires économiques louches. Ces affairistes sont donc de frauduleux imposteurs !
23 mn Fonctionnaire : un statut déprimant ? La-fonction-publique-manque-de-candidats
La "Grande Démission" prend de l'ampleur dans le monde. Et en France?
Entre de nouvelles aspirations personnelles et un rapport de force clairement du côté des salariés, les envies d'ailleurs deviennent une tendance lourde dans les entreprises. C'est une tendance qui
avec vidéo : C'est une tendance qui a émergé du côté des Etats-Unis pendant et après le pic de l'épidémie de covid l'an passé: "The Big Quit" que l'on peut traduire en français par "on Quitte tout ».
"Nous, démissionnaires" : enquête sur la désertion d'en bas
Les discours vibrants d'étudiants d'une grande école d'ingénieurs agronomes , au moment de la remise de leur prestigieux diplôme, qui déclarent ne pas vouloir suivre la voie royale que notre s...
« La désertion d’en bas diffère de la désertion d’en haut décrite dans la presse, où la question du sens et des grands principes est centrale. Au point que les grands groupes s’adaptent pour retenir leurs « talents » (c’est comme ça que les cadres sup appellent les autres cadres sup) en se donnant une « raison d’être » qui ne soit pas que la satisfaction de l’appât du gain des actionnaires. »…ces hypocrisies fielleuses ne convainquent pas 42 % de la tranche d’âge des moins de 35 ans !!
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« Qu’en est-il de cette désertion du milieu et d’en bas, celle des employés, des cadres subalternes, des fonctionnaires, des techniciens et des exécutants de la société capitaliste qui décident – souvent parce qu’ils n’en peuvent plus – de quitter leur emploi ? Derrière les grands principes, la réalité du travail est exposée dans la cinquantaine de témoignages que nous avons reçue, issus de tous secteurs : la désertion de la classe laborieuse est avant tout une quête de survie individuelle dans un monde du travail absurde et capitaliste. Elle dit beaucoup de la perte de nos outils collectifs de résistance aux injustices, de la solitude des travailleurs dont tout le monde se fout, mais aussi d’un refus puissant de jouer le rôle (rôle truqué !) qu’on nous assigne. »
Déserter les jobs destructeurs et les écoles d'ingénieurs :