Pourquoi cacher ce qui est arrivé puisque c’est arrivé ?
C’est de l’Histoire…Histoire sombre de la Libération effective de la France par 600 000 Africains dès 1944. Et les conjoints effacements acharnés de ces incontournables libérateurs jusqu’à la vitrine de la Libération. Libération qui en a violemment exclus ces héros mêmes…
Pour Zi ngousou : Jean-Paul Delfino dans « Les voyages de sable » qui nous parle si pertinemment « du blanchissement de l’armée de libération de la France. ». pp. 214 à 219…
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**** « Le contingent des tirailleurs sénégalais compta rapidement plusieurs dizaines de milliers d’hommes. Contrairement à Innocent (le grand amoureux de la France) très peu venaient de leur plein gré se ranger sous la bannière tricolore. Les rapts et les enrôlements forcés fournirent le plus gros des troupes. Il y avait du caoutchouc à récolter pour alimenter les mines d’armement anglaises. (…) Rechigner à saigner l’hévéa pour la gloire de la France équivalait au passage devant le peloton d’exécution. Déserter engendrait la même punition, augmentée cependant de quelques séances de tortures préalables, toujours pour l’exemple.» (…)
Ce jour de 1942, la nouvelle tomba, Innocent vint trouver Jaume (un professeur qui devint son ami) et lui expliqua que les fusils allaient remplacer les bâtons. La reconquête de la France allait pouvoir débuter et durerait jusqu’à Strasbourg, au moins. C’est Leclerc qui l’avait promis, le grand vainqueur de la bataille libyenne de Koufra.(…) au petit matin, ils rejoignent le camp. Là, les armées étasuniennes fournirent au contingent des uniformes et des armes dignes de de ce nom, mais aucun Africain n’eut jamais le droit de monter à bord d’une jeep ou d’un blindé. Ces privilèges aberrants étaient, sans aucune exception possible, réservé aux Blancs. Les Blancs et les Nègres ne se mélangeaient pas, pas plus en temps de paix que de guerre. »
>>> -- Explose déjà la dissymétrie entre les élans généreux des Africains, leurs amours spontanés de la France et le cynisme…inhumain avec lequel ils furent utilisés. Peu de « libérateurs de la France » eurent une attitude louable envers eux. D’où les drames d’injustices Après la Libération (pas de Libération pour les Africains…mais encore plus de violences envers eux qui libérèrent la France. Mais il ne fallait pas que cela Se Sache !!). Oui Pourquoi cacher ce qui est arrivé puisque c’est arrivé ?
« La longue marche se poursuivit jusque dans les Vosges, à un rythme de forcenés (personne, à part ces Africains, ne dut tant trimer et sans jamais un merci). A chaque ville libérée, les fiers Africains (ayant beaucoup donné !) défilaient, bien entendu, mais ils le faisaient à la suite des soldats blancs (et pour Paris, tous les Africains furent interdits de participer à aucun défilé, interdits fussent à coups redoublés de matraques. Durement interdits de participer à cette Libération que ces 600 000 avaient pourtant offerte à la France) (…) « Ce fut en arrivant dans les forêts des Alpes que Jaume et Innocent durent se rendre à l’évidence. Les tirailleurs sénégalais furent convoqués dans une clairière voisine, avec armes et paquetages. Puis mis en lignes. Quelques instants plus tard, par petits groupes hésitants, des gamins sortirent des bois et s’avancèrent. Le plus âgé n’avait pas 25 ans. Mal nourris, novices, vêtus en paysans pour la plupart, ils vinrent s’aligner devant les soldats d’Afrique. Celui qui faisait face à Innocent avait le visage mangé d’acné et une poitrine malingre. Il arborait au bras droit un brassard portant le initiales FFI. Il rendait une bonne tête à Innocent et ne se présenta pas, ne lui adressa pas même un mot.
Au premier coup de sifflet, le gringalet se déshabilla avec des gestes maladroits et empruntés. Puis, il resta là, en caleçon long, tremblant de tous ses membres. Au deuxième, le gradé ordonna aux tirailleurs sénégalais d’en faire de même. Ils s’exécutèrent sans comprendre et sans même réfléchir. Au troisième, les petits Blancs endossèrent les uniformes encore chauds des Africains. Au quatrième, ceux-ci firent de même avec les effets des gamins – et Innocent se trouva bien ridicule de constater que les pantalons ne lui descendaient que jusqu’aux mollets et que la chemise était si étroite qu’il ne parvenait pas à la boutonner. Au dernier coup de sifflet, la nouvelle armée de libération ramassa les paquetages et les armes des tirailleurs sénégalais. Puis, plus fiers que s’ils avaient conquis Berlin, ils allèrent se mettre au garde-à-vous devant le commandement français de reconquête du pays ». Pourquoi donc cacher ce qui est arrivé puisque c’est arrivé ?
Odieux comportements de ces «hauts gradés» qui surgissent, soudain, en atroce lumière. Mais ce n’est pas fini : la hideuse synthèse va bondir :
--- « Qu’est-ce que vous me racontez-là ?
--- La stricte vérité, mon ami. L’indigne vérité de la guerre. Celle du blanchissement de l’armée de libération de la France. »…Oui l’expulsion si brutale et humiliante des Africains de leurs prouesses. Tout autant que d’autres, et plus, ces Africains ont participé à la Libération concrète de la France. Mais tout aura été fait pour que nul ne le sache. Ils vont être minablement effacés des photos, selon le style stalinien même. Ils vont être expulsés violemment de tous les défilés victorieux. La visibilité évidente qu’ils ont si clairement aidé à Libérer la France n’existera pas. Entendons plutôt :
>>> -- « Churchill, Eisenhower et de Gaulle avaient tranché. La France ne devait être libérée que par des Blancs. Question mal placée de prestige colonial. Peur des métissages, surtout. Hitler avait claironné que la France, avec ses colonies, était une nation abâtardie. Il ne fallait pas lui donner raison. A aucun prix ( ??). La France était gauloise et devait le faire savoir. Sur ce plan-là, c’est bien le Führer qui a gagné la guerre des mensonges»…D’où, en France, les non épurations des meurtres des Juifs imposés par Vichy et sa clique. Maintiens forcés des présences des Trop riches collabos, colonialistes fanatiques, qui, après la guerre, ont continué à…manipuler si malsainement le pays. D’où les découvertes inattendues (inattendues si l’on ne connaît pas le fond de l’Histoire) des soutiens occidentaux à tous les nazis actuels. Jusqu’à ceux d’Ukraine, en 2022, par les États-Unis. Tout s’éclaire, si la déchéance de l’acte fondateur soudain transparait. Soit ? Le que sont devenus ces tirailleurs sénégalais illégitimement effacés de l’armée de Libération ? Réponses : ils n’ont reçu que toujours le pire !!
>>> ***** « On les a forcés à revenir sur leurs pas. On les a « parqués » dans le Sud. On leur a dit qu’ils étaient inaptes au froid. On les a entassés dans des camps parfois jusqu’en…1947 (comme des ennemis, comme des parias – qu’ils n’ont jamais été !). On leur a interdit illégalement de participer à la Libération de Paris (comme «spectacle» alors «arrangé» et mis en scène !). On leur a volé lâchement leur victoire et on ne leur a pas…payé leurs soldes, bien entendu. Ni leurs primes (tant qu’à faire !). » Quant à Innocent ? Expulsé des défilés, il voulait à tout prix toucher de Gaulle, son héros. Pour le faire, il emprunta l’uniforme d’un soldat noir étasunien, marcha à travers le pays. Et, le 25 août 1944, il put l‘approcher en tête de cortège. Sauf que ? Il fut, à la seconde, roué de coups et jeté durement en prison, où il croupit avec les seuls petits collabos. Pour le futile motif plus qu’inavouable… « il ne fallait pas d’Africains sur la photo ». Il en était un de Noir… Cher payé son amour infini pour la France…
Après de longues semaines, tout de même, on a fini par le renvoyer, et sans dédommagement, bien sûr, en Afrique du Nord. » Le 1er Décembre 1944, ayant participé aux évènements de Thiaroye au Sénégal, pour obtenir enfin justice…« il a été abattu d’un balle dans la tête. » Un des plus grand amoureux de la France jamais vu. Et jusqu’au bout qui, qui auront été tant révoltants ?
La boucle est bien bouclée…
L’ineffaçable n’a pas été effacé. Le moins que l’on puisse dite est que ces « libérateurs » ne se sont, à aucun moment, libéré de leurs incroyables somme de préjugés. Et qu’ils ont, tout autant, manqué de la fibre humaine minimale. Aussi, la dette en est devenue si «énorme» qu’il faille :
-- Abolir définitivement toute pensée colonialiste
-- En même temps, la placer fermement en face de ses…conséquences insupportables.
-- Et replacer, sans omissions, dans tous les livres d’Histoire, les comportements indignes des « autorités françaises » de la Libération. En 1944 et en1945.
………..Au minimum…
…………(à suivre)…
Un immense merci à Jean-Paul Delfino qui nous offre une présence à l’image d’une si grande force !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que toute l’union si solide comme tout le solidaire du monde nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Liste des tirailleurs sénégalais décédés pendant la Deuxième Guerre Mondiale
Sous l'impulsion de la Présidence de la République, il a été décidé de mettre à la disposition des Maires de France des noms de soldats africains ayant combattu pour la France. Le fichier pr...
Les critères d'extraction des 8000 noms de tirailleurs sénégalais sont les suivants : militaires décédés pendant la Deuxième Guerre mondiale, ayant appartenu à une unité sénégalaise (régiment de tirailleurs sénégalais, bataillon de tirailleurs sénégalais et régiment d’infanterie colonial mixte sénégalais). C'est pourquoi on peut y trouver des soldats nés en Afrique comme des soldats nés en France mais enrôlés dans un de ces régiments.
.wikimedia.org/wikipedia--/Les-africains-iconiques
un « pendant » où les troupes africaines sont très durement traitées par le commandement français de reconquête du pays…
Débarquement en Provence : le rôle majeur des bataillons d'Afrique
L'armée française, éclatée après la débâcle de 40, se reconstitue en Afrique dans les mois qui suivent le débarquement anglo-américain en Afrique du nord de novembre 1942. Les Forces fran...
« Tirailleurs sénégalais et algériens, goumiers et tabors marocains, pieds-noirs, marsouins du Pacifique et des Antilles : les bataillons venus d’Afrique et de l'empire colonial ont joué un rôle crucial lors du débarquement en Provence en août 1944. » Un bref historique : « L'armée française, éclatée après la débâcle de 40, se reconstitue en Afrique dans les mois qui suivent le débarquement anglo-américain… en Afrique du nord de novembre 1942. Les Forces françaises libres (FFL), qui comptent dans leur rang un fort pourcentage de coloniaux, essentiellement d'Afrique noire, fusionnent avec l'Armée d'Afrique (en Algérie, en Tunisie et au Maroc) restée jusque-là fidèle à Vichy. S'y ajoutent des évadés de France.
Dirigée par le général de Lattre de Tassigny sous le nom d'armée B (avant de devenir la 1ère armée), elle est composée de cinq divisions d'infanterie et deux divisions blindées, équipées par les Américains à partir du printemps 1943. C'est "une armée profondément originale comme la France n'en a jamais connue, une armée qui compte moitié d'Européens et moitié de musulmans et de coloniaux", écrit Philippe Masson dans son "Histoire de l'armée française de 1914 à nos jours".
Fin 1944, elle compte près de 600 000 hommes, dont les deux tiers viennent d'Afrique du Nord. »…Tout ceci trop soigneusement expurgé des fakes livres de fausse histoire de France…
Le retrait des tirailleurs sénégalais de la Première Armée française en 1944: Hérésie stratégique, bricolage politique ou conservatisme colonial?
Le 1er décembre 1944, des dizaines de tirailleurs sénégalais qui réclamaient le paiement de leur solde étaient massacrés par l'armée française dans le camp de Thiaroye, près de Dakar. Soixante-dix ans après, retour sur ce drame et ses zones d'ombres.
merci...
« Nous, tirailleurs sénégalais, avons débarqué en Provence pour libérer la France en août 1944 » A Ouakam, où se trouve le camp militaire de Dakar, les tirailleurs sont formés en vue de préparer l’offensive et de libérer la patrie. Issa Cissé et Alioune Fall font leurs classes." ...une toute autre façon de raconter !
« Nous étions torse nu, sans chemise, s’offusquait Alioune Fall. Vous savez, je n’ai plus l’âge de mentir ni celui de me taire. Je vous dis toute la vérité, que cela plaise ou non. » Les deux anciens combattants rappelaient quelques-unes des criantes disparités entre les soldats blancs et noirs, notamment au niveau de la tenue – « Les chemises, on ne pouvait les mettre que lors des défilés et elles n’avaient pas de col » – ou des repas – « C’était le quart d’un gobelet de bouillie de maïs, on n’avait pas de petit-déjeuner et pas de dessert. »
En 1943, Issa Cissé et Alioune Fall sont envoyés, avec plusieurs régiments de tirailleurs sénégalais, vers l’Algérie afin de former la 9e DIC, commandée par le général Magnan. Dès lors, « nous recevons les tenues américaines et les tirailleurs sénégalais sont mis au même régime que les autres ». « Pour pouvoir débarquer en Provence, il nous fallait d’abord prendre l’île d’Elbe, expliquait Alioune Fall. Nous avons quitté Bastia et, à 4 heures du matin, nous avons débarqué sur l’île d’Elbe. On a anéanti le régiment allemand qui s’y trouvait et nous sommes revenus en Corse. De là, on s’est préparés à débarquer pour libérer la France. » (…)
A la suite de ces victoires, l’essentiel des troupes coloniales remonte la vallée du Rhône et les Alpes pour faire jonction avec celles qui viennent de Normandie. Alioune Fall combat jusqu’en Alsace. Nous sommes en automne, le froid arrive dans l’est de la France. L’ordre est alors donné de… « blanchir » les troupes. Au grand dam des officiers, les soldats africains sont retirés du front et remplacés par de nouvelles recrues et des maquisards FFI de tous bords. La 9e DIC perd des soldats aguerris pour de jeunes hommes parfois inexpérimentés.
En France, la plupart des tirailleurs sénégalais sont alors brutalement cantonnés dans le Sud. D’autres, comme Issa Cissé et Alioune Fall, participent au recrutement. « C’est comme ça que j’ai découvert Annecy, Chambéry… », expliquait le second. Le jeune homme parcourt les départements de la Savoie et de la Haute-Savoie, « car les gens là-bas connaissent le froid », afin de recruter des combattants pour conduire la France à la victoire finale.
« Dans l’administration française, il y avait des salauds »(…) la France a eu un comportement ingrat. De Gaulle nous a barré la route vers la victoire finale, c’est un colonisateur, rappelait Issa Cissé. Les Français sont bons, mais leurs gouvernants ne l’ont pas toujours été avec nous. Pourquoi ? Parce que nous sommes Noirs. Au front, il n’y avait pourtant aucune différence. Combien de Sénégalais sont morts ? Pour qui ? Pour la France. Pour que le drapeau français puisse exister. »
Les deux hommes insistaient sur les liens d’amitié, de fraternité, d’amour parfois, qu’ils ont tissés avec les Français, que ce soient leurs frères d’armes, leurs marraines de guerre ou tout simplement des habitants rencontrés, souvent bien différents de ceux des colonies. » Ce sont de tels contrastes qui tissent la complète réalité. Toute propagande est d’un lamentable simplisme qui nuit à absolument tout le monde.
Indigènes un film algéro-belgo-franco-marocain réalisé par Rachid Bouchareb. Cet excellent film se comprend tellement mieux avec tous ces éclaircissements. Ainsi que, d’ailleurs, les genèses des désirs d’indépendances qui ont suivi. Indépendances si fondées face à l’extrême dureté occidentale !