Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?
Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?

Ce texte a été suggéré par un personnage attachant. Peut-être vous intriguera-t-il ? C’est même l’intrigue ! Ne pas s‘inquiéter. Pas de laïus. Ce sont surtout les leçons inédites transportées qui nous passionnent. Nous ne déborderons pas.

 

………………….La logistique des vraies manipulations !

 

Pour faire image disons que l’équivalence de ne coller que des étiquettes serait… les magasiniers de l’esprit ? Rien à voir avec l’activité Logistique des magasiniers, magasiniers caristes des objets ou marchandises – qui fournissent un maximum de gilets jaunes très actifs. Oui ces activités d’entrepôts où l’on entrepose, de comptoirs où l’on compte. Lorsque nous hésitons à entendre entrer, faire entrer en entrepôts. Ou bien entre tous les objets, la logistique, qui loge chaque chose à sa place. Soit, précisément, pose comme entrepose  Par 2 méthodes principales : l’étiquette, les codes-barres, les marqueurs de rangements. Ce qui se dessine par l’image de poser. Poser  par ? Poser par les chariots élévateurs, les gerbeurs et les transpalettes. Etc.

 

Eh bien… transposer ceci dans des activités mentales - penser, mettre en forme, transmettre – ne peut pas coller du tout. L’imposture majeure devient de poser des étiquettes si hors sujet au lieu de lire, examiner et comprendre les contenus continus. Donc demeurer vraiment à …l’extérieur de tout. Et, ainsi, oser indécemment que l’activité (sans contenu puisque que idéologique) de lire la fausse étiquette est « plus importante » que de créer des contenus. Exactement – l’arnaque des magasiniers de l’esprit est bien de faire passer l’étiquette sans objectivité pour tout le contenu existant. Et comment comprendre et nous expliquer les lieux si vous n’y entrez jamais ? Demeurer dehors ? C’est la volontaire tromperie de l’étiquette qui traduit plus le vide mental du colleur que le concret de l’activité cognitive même pas désignée. A terme – le but d’une telle escroquerie serait de carrément… dissimuler, effacer, saboter tout ce qui rend plus intelligent. Intelligent et sensible. Pour les faire, ensuite, disparaître en traître…Lire une fake étiquette reste à la portée de tous les tricheurs lorsqu’il n’y a plus qu’une logistique circulante. Dérégulée…Et que, justement, «sa» circulation vise…d’égarer, de désorienter, de tromper, d’arnaquer. Gare aux poseurs d’étiquettes non garanties qui vous crachent « c’est illisible ». Puisque c’est les doigts des voleurs qui vous montrent la lune, oui mais afin que vous ne les regardiez pas fouiller dans vos poches. C’est bien ces étiquettes fourvoyées qui pue la rapine. Et les Contenus, si maladroitement malmenés, qui sont l’essentiel nécessaire. Le nécessaire essentiel.

 

Oui et les magasiniers de l’esprit sont bien enfin l’Ennemi démasqué. Les vôtres aussi, et le tien de même…

 

A noter que les 2 paragraphes précédents sont de la véridique « analyse » au sens exhaustif de Georges Pérec, des situationnistes, le l’ancienne Université où « l‘analyse de textes » avait trouvé une ampleur incroyable : quelques ajouts judicieux vous arrachait un texte médiocre à ses refus puérils de voir ses propres conclusions nécessaires. Ou bien, quelques rapprochements fulgurants vous offrent en plus, de lire le texte en mode vivant. Eh bien les magasiniers de l’esprit ennemis, pris en flagrants délits, vont dire que c’est du copier-coller. Parce que ? Du simplet : parce que de brefs extraits de textes sont cités mais entièrement réanalysés. Syntaxes qui crépitent enfin… Extraits de leurs extraits mêmes. Vous voyez où justement…ils ne sont pas de véridiques baroudeurs de la pensée. Oui ils n’en sont pas de la véridique aventure des découvertes authentiques. Découvertes amenées au grand jour par les contenus précieux mêmes. Pas par les étiquettes de l’escroquerie minable… Oui, préciser ?  Volontiers !

 

Les mêmes magasiniers de l’esprit vont vous parler de manipulation mentale mais en…répétant de textes des années 1960 – sans les reconfigurer, les rendre contextualisables, bref les faire servir vivants aujourd’hui. Avec pleins de demains prometteurs. Et ils vont « s’approprier » l’étiquette « analyse » alors que – juré craché – ce ne sont pas des analyses. Pas même des cours scolaires puisqu’y manque la structure significative, celle qui court depuis introduire jusqu’à parachever. Tu vois mieux le topo ? Parler de manipulations sans les mettre en miettes. Sans les remplacer par des discours terriblement novateurs – au début, un peu perturbant, mais bouleversant que les néfastes habitudes - ouais sans foutre un bonnet rouge à la syntaxe, etc.- nous sortir, concrètement ce qui…Manipule. Oui tout ceci se montre si double-face…soit, derrière les apparences, des individus plus réacs, sectaires, fanatiques que les ringards réunis…non cela ne va plus passer désormais. Faut se réinformer sur qui prétend réinformer. Oui répéter répéter est un autre mot pour « copier- coller ». Ils font tellement pires, mais pires, que qui ils osent diffamer. Leurs fonds de commerce restent scandaleux, ils n’existent donc déjà plus. Nous voulons du vrai nouveau, ce qui démanipule en vrai, et non des radotages du passif passé. La voix de son maître ? ?

 

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……………….…Comment cela s’est mis en place ?

 

Comment auront-ils fait pour faire passer vos meilleurs amis pour des… (à remplir selon les méthodes de manipulations des…opinions !) ? De vous faire douter de tout ce que vous aimez pour du plastique apathique qui ne survit que par commérages, rumeurs, calomnies c’est ça qui nous détruit – bref, le trafic d’étiquettes qui voudrait remplacer toute la vie mentale ?… 

 

Lorsque l’anomalie dramatique c’est que, de la fin des années1990 à ces jours, en gros, leur principale activité aura été de mettre partout des étiquettes si falsifiées. Les mettre et les coller partout. Les coller comme des voleurs. Désorganiser les relations humaines et les rapports sociaux par ces tas de cochonneries. «Coller» les inexactes toujours étiquettes avec volontés de foutre le bordel et de nuire au maximum au collectif. Contraindre (ou le faire croire) de « devoir » utiliser ces étiquettes de faussaires – le comble actuel de  la société du Spectacle. Le drame est que qui monopolise trop d’espace collectif (au point d’en expulser de bonnes plumes clairvoyantes) sont encore plus société du spectacle que dans les années 1970. Eux sont des spectateurs rances et très…confinés. Au point de ne plus pouvoir…supporter qui dérangeraient leurs routines que suicidaires. Sauf qu’ils veulent, eux, entraîner les autres dans leurs auto-suicides. Il n’y a vraiment rien d’obligatoire là-dedans. Ici, « dérangeraient » n’appartient qu’aux idées aliénées qu’ils se font (tous seuls) dans leur monologue « unique », les séparées faussetés oui dans lesquelles ils vivent. Jusqu’à vouloir coloniser tout ce qui existe…et d’entrer dans le fascisme de leurs âmes !

 

…« dérangeraient » au concret n’existe pas. Nul qui les dérange, ils se dérangent tous seuls… Les esprits libres suivent leur chemin salubre et procèdent à ce qui nous aide à garder la santé mentale. La prise de conscience qu’ils nous reflètent se montre que la folie sociétale devient de coller des étiquettes. Au lieu de réfléchir ensemble, ensemblable.  L’humain, le concret si humain est partout évité par étiquettes inter-posées mêmes. Enclos, emprisonné dans des abstractions, qui séquestrent. Un code-barres monstrueusement collé sur le corps. Et nos chers particularismes invisibilités, voix cousues. Effacés des images. De témoignages oblitérés.  Majorités écrasantes « réduites » au silence et à la fantômanie. Plus de rapports sociaux, de sociabilités – que des compulsions mécaniques et des clics insensés à la place. Etc. Le massif essentiel de tout ce que nous perdons si nous acceptons un monde…d’étiquettes ?

 

Oui nos continuons la suggestion citée au tout début du texte. Elle continuait : « lire 333 et à côté 22 »

 

…………….........…….Lire 333 et à côté 22 ?

 

Cela n’aurait pas de sens de dire cela ? D’après nous non ? Mais le vécu, à nous transmis et que nous n’allons pas conter ici, prouve, tout au contraire, que cela « fait sens ». Oui, que ceci lit en direct dans les cerveaux détraqués de qui immobilisent la civilisation de trop de censures anachroniques, à côté de la plaque, et qui ne tiendraient pas un vrai débat. Oui nous analysons ce flash unique uniquement pour conclure. Enfin, oui enfin, changer d’époque. Voilà qui est plus réjouissant !

 

D’abord 2 chiffres résumés. Au plus court donc. 333 aurait à voir avec des Religions, des décharges électriques que vous pourriez ressentir à le lire religions. Or, cela ne va avoir rien à voir : et c’est ce décrypté, pénétré, découvert, démystifié, démythifié, neutralisé qui importe.  Déjà, il nous faut nous tourner vers les maniaqueries obsessionnelles de « coller des étiquettes » qui sont tout le contraire de …penser en vrai (il est très important de le comprendre et nous vous le garantissons que penser et poser désastreusement des étiquettes n’ont rien à voir l’un avec l’autre !). Cela instrumentalise les néfastes publicités, les irrespects commerciaux envers les humains, les manipulations électorales, etc.…et rien d’autres. Dans l’esprit l’étiquette ne signifie rien. Nous serons passés à un état supérieur de civilisation lorsque tout le monde s‘en passera. Mieux, ce sera sans étiquette du tout comme le chemin des vrais respects, Cela vous va ?

 

Voilà pourquoi l’étiquette prend (temporairement) tout le devant de l’interrogation. Le 333 ne nous mettra alors que devant le vide malsain des esprits qui 1) posent d’abord des étiquettes… 2)- ensuite, font juste semblant de les lire...et 3) qui, inhumainement et anti-socialement exclut violement qui ne « correspondraient pas à ces étiquettes abusives ». Soit étiquettes, rappelons-le, n’ayant aucun sens existentiel, ni aucun sens ontologique, pour ne pas parler de religion, ni de sens d’identité anthropométrique. Et l’apport ici est gigantesque :

« ils croient que nous croyons, que nous portons de l’importance aux étiquettes.

Alors que ce n’est pas du tout le cas. Nous n’y prêtons jamais attention. Pour nous, ce sont leurs manies les étiquettes. Nous pensons et ressentons toujours à l’extérieur de ceci.

Pour nos bienfaits, nous n’avons rien de mécaniques en nous, sinon les mécanismes de la Nature, mécanismes qui nous offrent (par exemple) les immunités naturelles.

Nous les voyons poser des étiquettes sans sens - et nous nous demandons pourquoi ils sont ainsi si hors des réalités»

Oui, le blocage insensé que les poseurs d’étiquettes croient  (ou semblant de croire) dur comme fer, aux étiquettes. Et ? Qu’ils croient que tout le monde y croit : voici le principal et massif obstacle – symboliquement et concrètement – à la Communication actuellement…nous sommes dans une ère…d’anti-communication. Tellement des « parasites » ont été lancés afin que les humains ne se parlent plus en direct. Ne se parlent plus sans …intermédiaires, tutoriels, traducteurs, etc. Ne se parlent plus avec leurs propres mots. Mais qu’avec des mots déguisés, travestis, empruntés, et qui  ne peuvent agir (ces mots infiltrés) que comme ennemis de leurs propres vies.

 

N’oublions pas que les étiquettes sont des Leurres oui comme ces doigts qui te montrent la lune afin que tu oublies…d’examiner ces doigts justement. Parce que les dirigeants ne peuvent survivre une seconde si nous les voyons agir au complet direct. Que, de visu, nous les distinguons prendre des décisions si mal famées. Tenir indécemment des discours sans cesse disant l’inverse précis de ce qu’ils font au réel, etc. Tout d’eux doit être planqué (ils ont vraiment tout à cacher eux), oui invisibilisés, escamotés, masqués. Et les étiquettes leurres – qui ne renvoient à rien de tangible – sont là pour cela.

 

Oui surgit encore notre ami ayant vécu une si grande et lucide expérience. Et qui nous l’offre… « Même si nous ne croyons pas aux étiquettes. Ils nous en posent une (ou plusieurs) croyant ou faisant semblant de croire que c’est bien nous

L’horreur à vivre est, qu’ensuite, ils ne s’adressent à nous que par cette étiquette. Avec laquelle nous n’avons rien de rien à voir.

En même temps, ils tentent d’influencer les autres à nous voir qu’à travers cette étiquette – alors que rien de rien de nous n’est dedans.

Et cela offre la vision hallucinée de chacun.e enfermé.e dans sa bulle avec de fausses informations collées dessus.

C’est cela le fardeau à vivre (parce que ces ex-humains sont, au mieux, des extraterrestres séparés. Des aliens aliénés. Au pire, des monstres.). Et qu’il… faut

que nous commencions à briser autour de nous toutes les vitres, commencions à abattre pareillement toutes les cloisons étanches qui nous séparent nous des autres, les autres de nous et tout le monde de tout le monde ».

On vous avait prévenu c’est du costaud, du torride ces…révélations. Découvertes sous lesquelles plus rien n’est couvert, bâché, caché, dissimulé... ils sont « ainsi » et nous n’avons plus rien à croire d’eux, plus rien de dit par eux et venant d’eux.

 

Voilà nous sommes sûr.e.s que notre ami révélateur n’a rien à voir avec 333 ni avec quelque autre étiquette que ce soit. Qu’il est infiniment mieux que ces tas d’absurdités. Tous les AVEUX n’écrasent donc plus que les colleurs d’étiquettes. Qui ne reçoivent pas la moindre excuse ou le moindre pardon. Ils n’auront fait que du mal, pour eux tout ne peut que se finir mal.

 

<<->>------Passons à 22. Pas de déclic non plus autour de l’étiquette. C’est un chiffre très très ancien, qui se trouve même dans la Bible. Bible qui crée toutes les biblio-thèques tout de même. La langue hébraïque possède 22 lettres. Est-ce 22 heures, 22 kilomètres, 22 stations de métro, 22 minutes à attendre l’ouverture des guichets, 22 euros ou dollars (plus pour longtemps pour les dollars qui ne pourraient plus être « déterritorialisés), etc. En très récent, et plus pour les esprits BD, cela appelle les flics 22. 22 ou le flou complet qui nage complètement dans les connotations où il reste espéré (malsainement) qu’une friture de petits poissons mordrait à l’hameçon. Sauf que n’oublions pas de garder l’œil sur « le doigt frauduleux qui montre » l’inutile, le non existant, l’infertile afin que ne soit pas dévisagé ce que ce doigt fait concrètement. Trop facile non ce scénario répété jusqu’aux nausées. Le faire dire avec des sous-titres ? Ce qui change tout le sens global, en effet : là, il dit c’est « ton » étiquette, même si tu n’as rien à y voir. Cela reste décrété « la tienne ». Tu dois (donc) te tenir collé sur ce que nous te collons dessus sans aucune de tes permissions. Tu dois rester « dessous » toute ta vie sans rien moufter, etc. Mais c’est un sacrifice immensément injuste, nul ne peut l’accepter ? Exact. Et pourtant n’est toujours pas énergiquement rejeté par la société le « coller impunément des étiquettes » - alors que ces colleurs d’étiquettes refusent, hystériquement, qu’en soient collées sur eux qui s’engluent et gluent ainsi ! Non, que sur les autres : quels aveux directs, non ?

 

Un autre regard serait, sans doute, très perspicace face à ce chaos ? Ouvrons-le. Des personnages, avec des buts très peu avouables, désignent, sans aucune légitimité ou compétence, d’autres humains. En évacuant toute humanité, toute personnalité particulière, comme toute possibilité de répondre. Disons clair et net que ces mêmes personnages hurleraient si un tel traitement leur était asséné en traitre ! La poursuite du procédé étiqueteur est la « découverte » simulée, jouée et déguisée : mais x, y ou z « est » telle étiquette sommaire, simpliste et si réductrice. Mais oui – après avoir inventé, créé l’étiquette – il est fait semblant de la découvrir. Euréka, lumière, tout capté, tout pigé. Et, au lieu de parler des contenus, des raisonnements, des liens entre les faits, des déductions et inductions, des intuitions et hypothèses, tu vois si bâclé et souillé le respect dû aux autres, autres dont nous faisons aussi parie. Rien ne « définit » personne dans la maigreur effroyable d’indigence des étiquettes vides. Les faux découvreurs, très contents du dénuement de leurs non démonstrations (vu qu’il n’y a aucune de démonstration tangible), ne savent rien des vies réelles et des sensibilités de qui leur serviraient de cibles ! Et vont même jusqu’à s’étaler comme s’ils en avaient l’omniscience. L’omniscience des étiquettes

 

<<->>**** C’est de ceci que voulait nous faire bien ressentir et prendre conscience notre ami épistolaire. Par l’analyse du pas à pas, soit bien comprendre et bien ressentir une étape avant que de continuer plus avant. Vets l’étape suivante. Oui le fonctionnement démasqué de ce qui Immobilise mystérieusement notre société depuis tant d’années ! Ce qui nous semble très très réussi. Bravo comme brave et brave bravo. Évidement qu’il n’a rien à voir avec les leurres 333 ou le 22. Le doigt qui montre est enfin définitivement collé dans tout ce qui il y a de plus collant. Ce ne sont juste qu’amorces à sens uniques pour faire se tracasser. Et gaspiller son énergie devant ces pièges grossiers. Tout ce bric-à-brac évité : une fois que nous en expérimentons en grand le mécanisme complet. Et la volonté planquée derrière !

 

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…………………….Une conclusion qui claque

 

Donc ils te prennent pour ce que tu n’es pas

 

Font comme si tu l’étais ce que tu n’es pas quand même. Te posent une/des étiquette sciemment erronée.

 

Mais leur suppression abrupte de tout raisonnement rate son but : comme tout ce qui, par exemple, vient du macronisme, tout n’y repose que sur des pieds d’argile. Facile à faire s’écrouler ces pieds d’argile dès que tu …en restitues le sens global.

 

Ainsi tu dois « devenir », être et rester dans bouger ce que tu n’es surtout pas. Une quémande, oui une mendicité des pouvoirs trop immense. Seuls des saints, et encore, peuvent répondre aux caprices creux des macroriens

 

Seconde point très faible : ayant atteint une telle ampleur de mécanisations de leurs propres réactions (tiens, ce point qui n’est jamais évoqué et examiné)...

 

…la moindre solution en est tellement plus facile à mettre en pleine œuvre.

 

Sans plus se retourner sur eux (leurs réactions sont obligatoirement hors sujet) - nous savons enfin que c’est à nous de nous sortir de leur folie furieuse. Donc sans jamais y entrer ! Et, parfois, avec l’aide inconditionnelle d’autres humains.

 

 

Un exemple ? Ce blog s’attache à faire participer toute lectrice/lecteur à l’élaboration des analyses en direct

 

……….comme à la naissance des neufs concepts !

 

 

………………………Est-ce vraiment fait ?

 

……..(à suivre)

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……toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

          Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/ onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Lutter POUR va plus loin que lutter seulement Contre !

Sans les services publics, Illégitimité des impôts

La fausse Dette publique = la somme des gains du privé

Ceux qui votent l’impôt doivent le payer

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

La Bourse ne s'insère nulle part dans la théorie économie

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Vous changez vos mots, vous changez vos vies

………………………

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Couvertures : 1.bp.blogspot.com et ulearning.com et....ici...media.istockphoto.com

Couvertures : 1.bp.blogspot.com et ulearning.com et....ici...media.istockphoto.com

Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?
media.istockphoto.com...des chariots élévateurs, des transpalettes

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Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?
latelierdutrain.com

latelierdutrain.com

Bobby Chiu

Bobby Chiu

cc Agnès Dherbeys

cc Agnès Dherbeys

unigestion.com/fr/--/la-bourse-n'est-pas-l'économie/

La bourse n’est pas l’économie

 Des phrases que nous entendions au quotidien depuis des années ont disparu ces dernières semaines, mais FOMO (Fear of Missing Out) et TINA (There Is No Alternative) réapparaissent dans l’esprit des investisseurs. La peur et la cupidité font plus monter les bourses que les fondamentaux à court terme.

Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?

Eric Cartier – Caste magnétique « Seul ce que vous voyez n’est pas ! La lumière cathodique vous mène aux ténèbres où ailleurs n’est qu’ici ».

Phrase forte : trop de luminosité Artificielle empêche de "voir", crée les ténèbres, et écrase même les corps et la présence au monde (ailleurs est ici, tout aplati !), etc. Va falloir y revenir !

les-yeux-du-monde.fr

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centrepompidou.fr Gerhard Richter

sothebys-md.brightspotcdn.com/ce

Jane Graverol…

Silvano Trotta…"les auteurs ont identifié un taux d’erreurs incroyable, des erreurs fatales dans la gestion de la pandémie et ont proposé des voies et moyens pour éviter… une récidive. Le test PCR a toujours été inutile, et les réactions et manipulations des politiciens étaient complètement fausses.

Il est important de souligner la haute qualité scientifique de ces travaux évalués par des pairs. Et le texte contient également des "bombes" comme la preuve que la souche Omicron n'était pas liée aux souches précédentes de SARS-CoV-2. !!"

« Comme tu dois le penser d’après notre télégramme, nous avons vivement apprécié Personne et les autres. […] Mais je comprends (c’est une façon de parler) le malaise ou la stupeur de certains esthètes qui ont eu ce manuscrit en mains. […] C’est une histoire, non contée, mais vécue par des idiots pleins de bruit et de fureur, qui ne signifient rien – pour détourner justement Shakespeare – et précisément ces gens mêlent à ce délire morne et ennuyé (ennuyeux) qui est le mode d’être moyen de « la vie courante », au sens du poème final de Maïakovski « la barque de l’amour s’est brisée contre la vie courante », certains fragments de communication privilégiée, mais non traitée comme telle ; certaines « informations » qui sont parmi les plus lucides et exactes que puisse transmettre un spectacle d’aujourd’hui, à travers sa propre contestation. »

 
Guy Debord, Lettre à André Frankin du 31 octobre 1960

« La Guerre des mots - Combattre le discours politico-médiatique de la bourgeoisie parasite »

 

On ne peut transformer le système tout en gardant tous ses mots.

Pire en les renforçant.

 

Nous y reviendrons..

1 h 08 mn…De gré et de force, comment l'État expulse les pauvres - Entretien avec Camille François

Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?

Ce qui s’ajoute au PIB Brics d’origine de 33,6 % prévu en 2028…Le Tableau global où le monde réel change rapidement de face ?

« Le PIB US était, à lui seul, de 50% du PIB mondial au sortir de la guerre en 1945. Il ne comptait plus que pour 20,3% en l’an 2000. Il n’en compte désormais que 15,4% et cette part se réduit d’année en année.

Les Européens comptaient eux aussi pour 20,3% du PIB PPA mondial en l’an 2000. Aujourd’hui cette part n’est plus que de 14,6% et continue de se réduire d’année en année.

1) - En clair, le camp occidental ne dispose plus du poids économique qu’il avait encore, il y a 23 ans et qui lui permettait de dominer de la tête et des épaules l’économie et la finance mondiale.

2) - D’autant que l’opération de dédollarisation des échanges mondiaux initiée par la Russie et mise en oeuvre par la totalité des pays BRICS n’a pas encore produit ses premiers résultats. » (Général Dominique Delawarde).

Pourquoi ne coller que des étiquettes n’est surtout pas penser ?

« Car les enfants sont innocents et aiment la justice, alors que nous sommes pour la plupart mauvais et préférons la miséricorde. » (Gilbert K. Chesterton)

Mirons-les qui, du sommet de toutes leurs injustices planquées, offrent une pincée de commisération – commise pour cela. Les égoïsmes inébréchés regardent tout de haut. Alors que la simplicité dit : il suffit de la vraie justice en  actes et plus besoin de miséricorde. Grands retours aux droitures sincères de bases, non ?

Ce que Macron fait peser sur les épaules du Conseil Constitutionnel ? Toute la panoplie des…manipulations. Déjà, traiter en  épouvantails « fautifs de tout » qui sont, au concret, pris en otages de chemins démocratiques sabotés (Rn, Nupes, etc.)

-- : ensuite, faire peser sur les épaules de tout le monde le poids d’un problème politique que les macronistes ont tant refusé de résoudre. Faire croire que la Crise se résout uniquement par l’autoritarisme très violent et sans expliquer des choix clairs et cohérents. Jamais rien n’est de la faute, du fait, de la responsabilité, du geste, de l’initiative directe, du déclenchement, etc. de Macron. Un pur esprit.

Ce qui aboutit à ceci de plus qu‘aberrant : alors, qu’à aucun moment, les processus démocratique sincères et non opaques n’ont été suivis, EXIGER que par une girouette « loi du nombre », loi qui fait de très minoritaires concrets une majorité du faire semblant. Devant laquelle « tout le monde » (sauf les 1%) devrait se taire. Et obéir. Alors – qu’à aucun moment - nous ne les avons vus utiliser ces qualités cardinales. Ils n'ont jamais obéi et nous devrions "obéir". Tout le monde devrait donc obéir (sauf... eux ) ? Mais obéir à quoi ? A accepter qu’alors que tout est anticonstitutionnel dans la bâclée réforme de retraites, que tout serait réglo. Toujours tout...laisser tomber. Les laisser faire. Bref, une rêvasserie floue et pas un processus sociétal reconnaissable.

… Enfin, semer la confusion partout en même temps ! Des décisions de juristes (conseils) ne peuvent répondre du tout à une crise politique. Un détournement de réalités si séparées ?

Nous reviendrons bientôt dessus ce phénomène si étrange…

The Troublemakers - Get Misunderstood…il y a des paroles qui percent tout, même les coffres faibles.

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