L’anti-communication comment ça fonctionne ?
Pour eux, l’anticommunication ne peut tout simplement pas exister. Pour le comprendre, vous cherchez, sur les moteurs de recherches, à « anti-communication », genres communications empêchées sabotées interdites brouillées, etc. Et vous êtes renvoyées illico à des communications que réussies. Toutes fonctionnent à la perfection.
>>> -- Dissimulées donc, derrière l’hyper positivité irréfutable, toutes les armes fourbies des ennemis de la communication se prétendant les défenseurs de la communication seule existante. Omertas sur les faits parlant clairement de ces activités d’anti-communication des pouvoirs. Bref, à partir des moteurs de…recherches vous n’avez…rien. Sinon l’ultra effectivité absolue de la communication. Synonymes : affirmatif, certain, inattaquable, incontestable, indiscutable, Dans ce bel ordonnancement seul « dérangement » qui soit…admis ? Uniquement qui n’appliquerait pas bien les « bonnes » règles de la communication. Les pouvoirs les bafouent sans cesse mais impossible de détecter comment ils font…Toujours la même rengaine, ils détruisent véridiquement mais ne détruisent pas. N’agissent que pour « le bien de tous ». Mais le peuple (qui ne peut répondre ni se défendre) est cause de tout. Tout ce qui va mal est de sa faute. Or, sans moyens matériels, une telle hyper puissance reste impossible. C’est seulement extrêmement dérisoire et ce «récit» (sic) avoue un délire paranoïaque maniaque. L’aveu est, en effet, si ahurissant. Puisqu’il fait des pauvres les seuls vrais dirigeants du monde : eux seuls auraient un impact reconnu. Impacter c’est diriger, non ?
<<< -- Le concept d’anti-communication devient alors cette bombe à retardement. Dont il suffit d’avancer l’horaire à tout de suite. Durant toutes ces années, nous avions donc une anti-communication complète, de celle qui empêche de comprendre et d’analyser. Un objet fermé de SECTE…Ce temps est enfin fini. Puisque surgit un si bien informé l’anti-communication oui comment ça…fonctionne ? Effectivement ça ne fonctionne que très caché, honteux, dissimulé, jamais admis…sauf par les analyses. Capté ?
Eh bien, embarquez ; vous ne regretterez pas le voyage des analyses…
…………………………..Genèses
Imaginons un nommé Bill circulant en tous lieux de notre Société. Son expérience paraît, déjà, fortement inestimable. De plus, il sait répondre à "comment peut-on être Persan" ? De sa perspicacité, il semble bien, aussi, avoir tout percé. C'est donc un des êtres les plus précieux porté par la Terre que nous venons de croiser. D'autres que nous vont-ils le reconnaître et l'admettre sous cet angle ?
Et Bill de marcher, encore marcher, cheminer, toujours avancer. Que voit-il ? Que rencontre-t-il ? Sur quoi tombe-t-il ? Toutes portes closes !!! Partout, ouvertures murées !!! Que ce soit des portes d'extrêmes gauches ou des droites ou des "gauches gouvernementales", toutes les entrées sont fermées. Ils faisaient les barricades, maintenant, ils barricadent leurs seules portes. Ils prônaient, ouvertement, l'ouverture, désormais, ils calfeutrent leurs embrasures. Ils étendaient les draps du social pour un toujours plus sociable festin, de nos jours, ils murent, toujours mieux rétrécis, tous leurs accès. Vous pouvez parcourir leurs têtes, habillées de leurs demeures si parlantes, vous n'y trouverez plus qu'obstructions et obturations ! Bill, un des êtres les plus passionnants de la planète, ne peut même pas capter une seconde de chance de le prouver, lorsque l'aliénation, en tous lieux, règne. Essayez de prouver l'inverse – pour, une fois, soyez honnêtes dans votre vie. Nulle parole nouvelle ne peut davantage se clamer : ils ne cuvent plus que leurs vieilleries rances, qu'ils proclament – le culot! - "modernes". L'Alien aurait-il tout contaminé (l'alién-ation) ? Ne considèrent-ils pas, imperturbablement et sérieusement, qu'une Société peut encore exister si tout le monde reste, massivement, passivement, enfermé chez soi ?
Parfois, hasard des incertitudes, une ouverture portaire (portuaire ça navigue plus!) ne permettait-elle de chuter dans un vacarme télévisuel. Bill constatait à quel point la télé est devenue le membre le plus important de la famille. Mères, pères, enfants ou bien enfants et parents – tout le monde dehors, viré tout un chacun, plus de chez soi, plus d'intime, nous "occupons" tout, plus de résistances ; tout le monde s'écrase quand télé paraît. Votre intériorité, après les sommations extrêmement peu amicales de la con-sommation (avec sommations!), se montre expulsée de partout. Chez vous c'est chez eux, uniquement. Communication était tout ce qu'il y a en commun : ils en ont fait un monologue unilatéral. Aparté c'est tout arte : faux nez d'une télé autre, c'est tout l'alibi qu'ils ont mégotté pour ne plus participer à la Société. Arte serait-ce le pire qui veut se faire passer pour le meilleur ?
Le meilleur sort n'est-il pas celui de Bill, entièrement libre puisque libéré, et qui - le réel prouvant le substrat, le sous-jacent ou le fonds des fondations toutes – le vit pleinement au lieu de le dicter. L'infrastructure qu'est le quotidien dévoilant la superstructure invisible ? Pour lui, les mots ne cachent strictement rien, c'est un avantage stratégique que rien ne peut surpasser (puisque tout le monde de se tirer dans les pieds oubliant le piédestal qui empêche de tendre vers entendre !), et il se dit, devant les despotiques télés, "Non seulement ils ont une "chaîne", mais c'est qu'ils en réclament plusieurs !!!". Quel masochisme déchaîné. La servitude s'accumule en ces milles détails, rarement visités (quelle étourderie!), de la vie de tous les jours. Assujettissement : c'est que vous avez préféré l'individualisme à la subjectivité irréductible et qu'aucune télé ne pourra dévier de cette vie "d'un luxe inouï" qu'un vieillard calme et beau vient de réussir à mener jusqu'au bout. La vraie sensualité débordante, de laquelle les grossiers et frustes hédonistes n'ont rien reçu. Asservissement : c'est que vous avez privilégié l'égocentrisme au service des autres, et pas d'anti-poisons contre les médias solitaires...
Bill déambulait partout et ne trouvait que folie ambulatoire. Le premier symptôme fut l'incommunicabilité mais bien peu furent assez appliqués et vigilants pour en porter témoignage. L'incommunicabilité n'est pourtant pas une métaphysique. Elle est bien générée (causée, mûrie et produite) par un ensemble de processus. Préambule esquissé : l'incommunicabilité se montre engendrée par le haut de la société. Les élites qui délitent tout.
Comment cela fonctionne ? Nous nous doutons bien (impostures inexcusables des télés qui font croire que l'on puisse dire quelque chose de vrai "en 40 secondes" ! donc jamais de "vrai" aux télés ?) qu'il va falloir plusieurs paliers de décompression, que la réponse (ou les polyfactorielles pistes de réponses!) appelle plusieurs étapes. Que nous n'obtiendrons pas tout en une fois. Que, si vous aviez opté pour l'optique, vous aviez reçu, en même temps (sans même le savoir), l'optimum lové dans l'optimisme (la meilleure façon d'opter, donc le plus prolifique des choix). Optique optée, vous possédez la plus gigantesque métaphore géométrique qui soit (l'ensemble du langage qui connaît, actuellement, la plus grande diffamation de tous les temps : les gauches méritent bien plus qu'une ferme engueulade – à cause d'elles, et leurs inexcusables conformismes, beaucoup plus de souffrances sur Terre !!!), mais c'est un bien de lien, un charnel avoir qui vous implique tout le corps. Vous tenez déjà les écoutilles de l'écoute tandis que les "réalistes toujours plus irrationnels" s'enlisent dans leurs généralités discrétionnaires…Nous avons adopté d'opté afin de poser un certain nombre de jalons pour pister, au plus juste, la yourte d'une honnête réponse. Jalonnons !
I - La volonté de ne pas savoir : ou la vraie "ignorance"pétrie de mauvais vouloir
Les faits écartés
Pour ce premier jalon, nous nous inspirons, carrément, de la B.D. de Philippe Squarzoni "Dol", aux Requins Marteaux, 4éme trimestre 2006, en en extrayant les citations paginées. Pour les médias dits de "gauche", en effet, " l'ordre libéral correspond en quelque sorte au bon sens (…) pour eux, gauche-droite ce ne sont plus des projets philosophiques fondamentalement opposés, ce sont juste des boutiques partisanes qui ne s'opposent plus mais ne différent que sur le saupoudrage d'un peu plus ou moins de social (p 77)" (…) Mais l'idée de ne serait-ce que réfléchir au libéralisme ne peut même plus atteindre leurs cerveaux frivoles (…) "Un projet radical qui mettrait en cause l'économie de marché ne correspond pas du tout à leur vision qui a même tendance à penser que c'est quand la gauche s'attache à ce type de projet qu'elle échoue (p 78)". N'est-ce pas l'illustration d'une descente permanente dans le "déni du réel" ? Le tout "tendance", tout n'est qu'une mode et nous ne vivrons que dans nos maisons de poupées, âreu, aurait-il détruit leurs cerveaux ? "Il y a cette idée que la gauche est engoncée, et que pour qu'elle ait une chance de revenir au pouvoir, il faut qu'elle entre dans la "modernité" libérale. La vision des journalistes dominants est une vision très parisienne, d'état-major, qui décrète qu'il n'y a pas d'alternative au marché et que le marché est plutôt une bonne chose (…) et ils évoluent dans un univers où le projet social, économique et philosophique des décideurs va de soi …Leur référence ce n'est pas du tout l'enquête sociale qui leur permettrait de mesurer les dégâts du libéralisme…Leur référence c'est la lecture des éditoriaux des autres (p 79)". Et ces plus que ploucs osent appeler cet enlisement dans la bêtise crasse du nom "d'élite"? Devant une telle chute hors du réel, la volonté de ne plus jamais savoir, de ne rien savoir, ne peut fonctionner qu'à coups de mauvaises volontés et s'étaler qu'en mauvaises fois. Le ridicule de leur fragilité mentale, alliée à un manque de fondation existentielle, esquisse une caricature burlesque du fanatisme. Scoop : les médias comble de fanatismes. Nous repérons bien ces insurgés contre le réel, ces barricadiers s'opposant à tout fait argumenté, ces émeutiers contre toute vérité : ce sont bien eux les fauteurs de troubles (qui surgissent lorsque tout est trouble). La volonté de ne pas savoir constitue la vraie "ignorance" : dédaigner, ne pas regarder, faire semblant de ne pas s'apercevoir, négliger et mépriser, être souillon et brouillon, forment socle de la pire "ignorance". La plus pernicieuse et toxique puisque le malheureux qui en est contaminé croit tout savoir. Et du haut de son aliénation "élitaire" juge et condamne tout le monde. Sans jamais rien savoir, ce qui ôte tout fondement à son jugement et le dévoile comme hystérie échevelée d'un effondré existentiel. La pire des "ignorances" se montre comme cette volonté de ne pas savoir, que pratiquent, à fond et en grand, la majorité des dirigeants (dirigeants c'est en tous domaines puisque politiques c'est gouvernants : capté?).
Êtes-vous au courant qu'un alcoolique qui "ignore" son addiction ne peut envisager de se soigner : défaut d'optique, tant qu'il n'a pu trouver l'angle d'incidence aucune incidence n'est possible ? Comment l'élite qui se délite peut-elle se présenter toute uniment contaminée sans s'en apercevoir ?
Destruction de leur espace psychique : leur peu d'exigences envers eux-mêmes met en danger la survie de l'Humanité
Notre périple nous centre, ici, sur un constat d'effroyable médiocrité. Les "élites" c'est très minable : cela flirte avec tous les sordides. Vie intellectuelle déplorable, débats bâclés, déficit global d'entretiens, pertes de rigueur scientifique dans les non-choix de société, chutes d'exigences morales, affectives et spirituelles…etc., plus le versus psychiatrique de l'usage des refus massifs de conversations, les mots rétrécis à des marqueurs machinaux d'appartenance, qui supposent la présence d'un être ubiquiste et omniscient (un mot, une tournure et vous sauriez tout de l'autre, soit "idéaliste, utopiste, pas réaliste", alors qu'une vraie analyse nous a démontré que l'unilatéralisme de ces attributions était, presque toujours, non fondé et définissait, plutôt l'esprit qui ose fonctionner ainsi!) : un ensemble d'effondrements, en série, qui peuvent prendre sens à l'aide de deux petits exemples. Julia Kristeva, dans son travail de psychanalyse a relevé ceci. "La destruction de l'espace psychique est un des dangers à venir, qui met en jeu des questions d'éducation, de culture et de politique. Une des conséquences est la difficulté à lire, à écrire, deux aptitudes très dépendantes de l'espace psychique (…) Je vous surprendrais peut-être, mais j'ai sur le divan des personnes qui travaillent dans les médias, maison d'édition, chaînes de télévision, et qui me disent qu'elles ne peuvent plus lire ; elles commencent, deux minutes, une page, et elles ne savent pas ce qu'elles ont lu, parce que l'espace psychique ne s'y recueillent plus, il n'est pas assez serein et solide pour assimiler tout cela et le restituer" ( p. 209, Le livre des savoirs, conversations avec …). Ces personnes qui peuvent être très arrogantes se dévoilent en pleine régression vers le plein handicap identifiable, ou du moins, l'amoindrissement de leurs facultés intellectuelles. Le hiatus est qu'elles travaillent dans la culture, l'information, la diffusion et la communication, où elles osent censurer des millionnaires de "l'espace psychique". Ils s'autorisent à priver la collectivité de ces esprits "en technicités de pointe", celles qui ne coûtent rien à la planète. Et de poursuivre : "(…) cela signifie également qu'il n'y a pas d'"autre", il n'y a pas de lien, lien d'amour et lien social, pour assurer cet espace psychique. Toujours est-il que (…) notre civilisation est en train de se fissurer en raison de cette mise en difficulté, voire de cette destruction de l'espace psychique !". L'intelligence du capitalisme se démontrant par "destruction de l'espace psychique", rabougrissement de nos facultés, n'est-ce pas confirmation de nos analyses ? De plus, des personnes chargées de "communication" aussi infirmes de correspondances, châtrées de tout amour et sociabilité, par solipsisme et hypertrophie des égoïsmes, est-ce que cela ne fait pas très désordre ? Tandis que les derniers porteurs de "l'espace psychique", ces fortunés de la vie intérieure, se montrent toujours monstrueusement pourchassé-e-s par la médiocrité médiatique !!! Si le capitalisme ne ressemble pas à un suicide collectif, daignez nous expliquer un peu…
Comment s'est effectué le début des crispations qui laisse penser qu'ils préféreront mourir plutôt que de lâcher prise (ils ont lâché la proie pour l'ombre!) ? En fin de compte, ils s'exhibent comme les tonitruants perdants : leurs trahisons nargueuses ne récolteront que l'inéluctable folie...
"Non seulement il y a des marges de manœuvres, mais il y a des alternatives. Simplement, elles n'ont pas été évoquées par les grandes plumes de la presse. Et ces propositions très peu relayées par les médias, n'ont fait l'objet d'aucune négociation, d'aucune discussion (p 76 - Philippe Squarzoni "Dol")". Clairement, il n'y a eu aucun débat démocratique : avec de tels médias nous ne sommes plus du tout en démocratie, et ils rajoutent l'outrecuidance de donner des leçons. "Comme ces médias sont branchés directement sur la pensée capitaliste, ils ne voient que la surface des choses finalement. Pour les médias l'ordre capitaliste correspond en quelque sorte au bon sens et lorsque le gouvernement entreprend des réformes allant en ce sens, tout cela rentre dans le cadre qu'ils ont accepté depuis des années…Pour eux, la société de marché ne fait absolument plus débat depuis longtemps (p 77)". "De temps en temps il faut qu'ils feignent une certaine opposition…", à force de feindre c'est soi seul que l'on a embrouillé! Zoom sur la vie quotidienne…
Zooms sur leur vie quotidienne…
"D'ailleurs ils en profitent personnellement, individuellement, bénéficiant de rémunérations très coquettes qui les apparentent davantage aux patrons d'entreprise qu'aux ouvriers ou employés. Et naturellement ils évoluent dans un univers où le projet social, économique et philosophique des décideurs va de soi. Ils ne se retournent pas en arrière pour regarder ce qui se passe (p 77)". "Pourtant depuis 50 ans les mêmes hommes politiques occupent le pouvoir. Depuis que je suis gamin, on voit quasiment les mêmes, que ce soit à droite ou à la soi-disant gauche. Les hommes n'ont pas changé, et pourtant leurs idées n'ont plus rien à voir…En 1970, ils étaient tous keynésiens, en France comme aux Usa. Aujourd'hui, ils sont tous férocement pro-capitalistes…Comment est-on passé en 50 ans d'un consensus à l'autre ? (p 86)". De l'intérêt du plus grand nombre aux seuls intérêts de l'infime minorité des seuls trop riches ? Bref, à de l'anti-politique. N'être qu'un chef de bande ce n'est plus faire de la politique ! Le P.S. pratiquera précisément les politiques contre lesquelles il a été élu. Ils chutent dans la fange la plus collante en s'exhibant, ridiculement,"de gauche mais moderne". La vraie gauche de 1789 serait donc "un archaïsme" et de débiter un ensemble de lieux communs comme unique pensée. Ils savent que s'il y avait débat leurs étourderies ne tiendraient pas 2 minutes, mais croient, qu'à coups de répétitions et répétitions, de matraquages et matraquages, cela squattera quelque peu les oreilles. Surtout lorsque toute autre parole reste interdite. Ne sommes-nous pas dans un monde de modernité économique, où il n'y a qu'une seule politique possible ? Comment ce miracle a-t-il été possible sinon parce que "la gauche de gouvernement" défend les mêmes intérêts que la droite. Et donc que "la gauche de gouvernement" constitue bien un parti de droite. Et, qu'au pouvoir, il n'y a plus que la droite : sinon comment expliquez-vous une "pensée unique" avec un fonctionnement qui serait réellement bipartite ?
Un autre social-traître cracha, sur sa lancée, que ce n'est pas la peine de s'occuper des plus pauvres parce que ceux-là ne votent pas. Double aveu : pourquoi ne votent-ils pas sinon par la précise prescience que les imposteurs, déguisés en politiques, n'ont plus rien à promettre et plus rien à offrir ? Et que s'ils ne votent pas c'est une silencieuse condamnation de leurs trahisons à ceux-ci ? Pas de quoi pavoiser, pourtant ils ne font que pavoiser, puisque sachant pertinemment pourquoi les pauvres ne votent plus pour eux, ils les abandonnent sans espoir de retour. On ne "s'occupe" plus que des classes moyennes : résultat 2002 où Le Pen lamine ces enfantillages. Preuve que les 60 %, qu'indécemment, l'INSEE chiffre en pourcentage de classes moyennes se dénombrent strictement faux. Pas de classe moyenne sans "la distinction". De 1175 € à 2600 € mensuels: impossible, avec de tels revenus, de pratiquer l'onéreuse "distinction". Ce serait, plutôt, sociologiquement et financièrement parlant, de 10 à 20 % : dans les 40 % restant, beaucoup d'esprits s'illusionnent d'idéologie consommatrice et, ne sont, économiquement, que des petits bourgeois. Clair que l'INSEE triche en définition (toute absence de frontière marquant début et fin de la "classe", mise en chiffres, porte à soupçonner votre pensée de malhonnêteté intentionnelle: le flou statistique ne peut exister!)... "C'est aussi en adoptant des luttes plutôt portées par les classes moyennes, féminisme, antiracisme, condition des homosexuels (p 96)" que leurs impostures s'étalent partout (relayées par les gogos bobos ?). "Plus on renonce au combat politique et social, tout en voulant se persuader qu'on reste de gauche, et plus on se raccroche à la lutte pour l'avortement ou pour le mariage homosexuel, pour se persuader qu'il reste quand même quelque chose de ce vieux corps de gauche". Le "conformisme économique se dissimule derrière une panoplie d'audace et de modernisme sur les questions de mœurs (p 96)". Tandis que sur l'essentiel ils reculent partout. "Les accents progressistes servent d'alibi à une réaction générale, alliant la régression économique et le vernis rétro culturel, la trahison idéologique et la transgression sexuelle (p 97)". "On transforme des enjeux politiques en questions morales", ce qui permet de semer, partout, brouillage, confusion et chaos, sur les frontières qui séparent gauche de droite. Ils se sont déconnectés du pays, enfermés dans leur petit monde, ignorants des réalités. Ce sont donc eux qui nous "informent", qui nous font tout savoir sur la réalité du monde. Où siège l'anomalie ?
Où trône l'anomalie ? Dans ce qui va se retourner contre eux ?
"Dans l'état où se trouve le débat politique comment s'étonner qu'on préfère le simulacre à l'authentique, les plumes du costume de clown, le télévisuel et l'immense bêtise à l'esprit adulte ? (p 267)". "Dans n'importe quel autre type de contrat, cette manipulation frauduleuse aurait valu révocation (p 270)". Mais pas de révocation du si peu social dispositif politique-culture-média, qui fonctionne d'une façon très plouc et d'une inexcusable stupidité. Ce qui est essentiel, primordial, central, n'appartient plus à la réflexion ; uniquement, le superficiel, le farfelu, le frivole, l'étourdi, parviennent à toucher ces cerveaux irrémédiablement médusés et immobilisés dans un âge mental de 16 ans. "Une reconversion menée par des anticonformistes bourgeois, qui n'ont pas l'impression d'avoir changé de camp, mais d'être "modernes", puisque, animés par des valeurs D'AVANT 1789, ils ont le regard tourné vers 2020 (p 97)". Le renoncement farfelu aux luttes sociales et économiques pour le domaine déconnecté et narcissique des questions de société, brouille l'authenticité de l'appellation "gauches" et même (nous sommes en train de le comprendre ) "d'extrêmes gauches". Dans la balance, audace sur les questions de mœurs contre très réactionnaires et encore plus rétrogrades sur les questions économiques, le curseur établit bien que, si vous ne vouliez pas la très rapide abolition du capitalisme, vous ne pourrez plus vous prétendre de "gauche"…Ni aujourd'hui ni demain !
Ils sont donc gravement atteints…
Ces responsables se montrent, partout, très irresponsables, bouchant l'avenir social (le sang de la société, non ? Sinon prouvez-nous que le social n'a strictement rien à voir avec la Société!), censurant le futur (faut le faire! Ils le font!), ne nous offrant comme avenir que le suicide collectif. Les insectes de la secte! Barrons-nous : y'a plus personne à la barre!
Vous vous doutez bien que Bill, projet direct d'acte du Parlement anglais, poursuive son éclairante démarche. Le capitalisme c'est foutu : définitivement tourné vers la minorité, il va se rétrécir en peau "sans chagrin", non ? Toute nouvelle aventure se passe, désormais, en dehors de lui: comment vous n'étiez pas au courant ? Décidément, vous ne serez jamais "tendance"!!! Oui, oui, Bill c'est le billet (même en langue anglaise où l'amérindien a ouvert "billion" là où vous souscrivez milliard) ; Bill le seul qui touche encore une bille, les "trois bandes du billard" pour extraire l'info. Le "trois bandes du billard", pour info, ça vient directo des services dits secrets. Bye bye buy! Et qui nous vous laissera que vos billevesées… Quel serait notre prochain relais ?
Conclusion d'étape: curieusement c'est au sommet de la Société que nous trouvons le plus d'idées fausses: jusqu'à 80 %. Alors qu'elles ont été démontrées inexactes récemment ou de nombreuses années auparavant. Le mode de fonctionnement (cercle de flatteurs sans esprits critiques possibles) n'épuise pas à lui seul l'explication. Il existe aussi, chez eux, cette dramatique "ignorance" (regarder ailleurs, dédaigner de voir clairement les conséquences de ses paroles et actions, mépriser tout ce qui n'est pas en "rapports de pouvoir")- alors que l'intelligence, de structure englobante, ne participe pas, mais est méta-cadre, aux rapports de pouvoir. Minable pouvoir, ce sous-système de dépendance à la bonne volonté de quelques uns, ce jeu artificiel qui ne peut répondre, pertinemment, d'aucune de "ses" règles etc.."Ignorer" ainsi représente le plus grand non-savoir qui existe!
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II - Trop riches, tous crispés sur leurs archaïques "acquis" corporatistes
...Et plus encore que nous le croyions…
Nous venons, éblouis, d'accéder au profond savoir : l'ignorance, une des causes essentielles de tous les malheurs du monde, ne siège pas dans l'analphabétisme, puisque y brûle, encore, une volonté de connaître. Mais, précisément, dans la volonté de ne pas savoir, qui se montre dans la posture physique de boucher toutes les issues et de ne plus croupir que dans sa tanière. Position d'effondrement telle que Krishnamurti a dû engueuler fermement les "fausses élites" avec son "on ne peut apprendre que ce qu'on ne connaît pas encore", lorsqu'ils ne veulent plus apprendre que ce qu'ils connaissent déjà. Cette terrifiante "ignorance" (dédaigner, regarder ailleurs, faire comme si vous n'existiez pas) infecte, en effet, essentiellement le "haut de la société". Nous venons de voir l'étiopathie de cette altération, et surtout les catastrophiques conséquences pour la civilisation.
Ils sont déconnectés du pays réel, enfermés dans un très petit monde, ne circulant plus dans la société que comme des infirmes bardés de prothèses techniques. Aucune information ne peut plus les toucher. Dans une bulle ils attendent nos bulletins. Euphorisés au vent (mauvais) des unilatéralités, ils perdent un des trésors du réel (le feedback) et se sont, eux-mêmes, dépossédés de l'espace intérieur qui peut, seul, accueillir le nouveau et le différent. Vacuité, isn't ? Ils planent dans un réel hors sol, une antinature à haut potentiel toxique, sans régénérescence possible. Tout comme s'ils étaient éternellement couchés, ils ne supportent plus, épidermiquement, la moindre perturbation à leur train-train, à leur ron ron. A leur routine maniaque qui a tout envahi. D'où surgissements, comme de diables de leurs boîtes, d'inadaptées réactions. Rappelez-vous cette extraterrestre "lettre à un ami", lors du rejet massif de la (non) Constitution européenne. Comme si les engagements les plus forts étaient rétrécis à des mondanités euphémisantes! Ou encore, ce torchon nommé "Le Monde" si totalement mondain et pas du tout mondial (un monde à une seule version cela ne peut exister!). Pareillement, les symptomatiques titres de leurs journaux, "La Joconde a déménagé" et "Les équilibres économiques mondiaux se sont rétablis", qui forcent au diagnostic "on se contente de constater le fait sans l'attribuer à une cause particulière". La déréalisation devient dangereuse lorsque "les conséquences dommageables d'une décision peuvent passer à la trappe par la magie de l'intransitivité (pp 68-69 La langue du capital – décodeur du sabir politico-médiatique" Raoul Vilette – Les nuits rouges, août 2009)". Ce n'aura été, de bout en bout, que des maniaques…
Capitalisme, le plus grand idéalisme n'ayant jamais existé …
Tout flotte dans un idéalisme absolument complet (si loin de "l'idéalisme" attribué à ceux qui sont assez raisonnables pour vouloir mettre fin à ce système de perversions généralisées!), tout volette dans des nuages d'idées qui ne planteraient jamais de souffrances et de destructions dans le corps d'autrui. Un idéalisme (le capitalisme, le pire! ) sans aucune segmentation ou liaison avec le réel commun. Ses rapports restent de dépendance déguisée : parasitismes vrais et attitudes d'enfants tyranniques. Cette demande non-dite de maternage biaisé peut se symptômiser en de nombreuses cruautés puisqu'elle ne tolère pas le non, la négation ou la négativité. Une pulsion de contrôle total mais un style de vie qui dérive, matériellement, des autres. Néoténie très prolongée. Nous maternons par trop ces ploucs "médiatisés". Les adaptations se montrent rétrécies au plus aseptisé, inhumain, artificiel et stérilisé (donc sans possibilités d'engendrements nouveaux). N'oubliez pas que "(…) cela signifie également qu'il n'y a pas d'"autre", il n'y a pas de lien, lien d'amour et lien social, pour assurer cet espace psychique." ( cité p 3, destruction de leur espace psychique). Nous obtenons le somnambulisme antisocial de ces phrases réellement prononcées : "si je suis riche il n'y aura plus de pauvres" ou bien, à une star qui répond à "que peut-on faire contre la pauvreté", et qui solutionne, très robot, par " mon succès, mon succès ". Le circuit, clairement anticommunicationnel, disruptif, se réduit au solipsisme intégral, hypostase d'égocentrisme antisocial : que n'y soit inclut que ceci supprime (juste de sa conscience) les pauvres ou qu'il suffise du succès solitaire et auto-bouclé pour que s'évapore la pauvreté – l'inaptitude au réel devient flagrante et bée. Le trait attaché à ce que leurs "raisonnements" scindent, schizent la présence d'autrui et l'expulse hors de leur aire d'attention, ne leur octroyant que le statut d'objet entièrement voué à leurs caprices, n'est grave facteur d'insécurité collective, que parce qu'ils sont dirigeants. Pas de pire choix ne pouvait être arrêté !
Mais quels dirigeants ? Les symptomatiques titres de leurs journaux nous les démasquent, "La Joconde a déménagé" ou "Les équilibres économiques mondiaux se sont rétablis", qui contraignent au diagnostic pathognomonique de fuite panique devant le réel, de refus compulsif des responsabilités, d'anxiété extrême devant toute imputabilité (genre coupable et/ou responsable). La terreur affolée devant toute implication affleure devant "ce qui explique par ce qui implique" : tout contact, connexion, jonction, attouchement, frôlement, liaison, relation avec quoi que ce soit provoque la débandade maniaque. On ne dira pas "La Joconde a été déménagée" mais bien "La Joconde a déménagé" : comment, en talons hauts, à quatre pattes, en métro, en manteau etc. puisque la naturalisation exagérée d'une fiction "plus vivante que les vivants" prouve la déréalisation, la perte du sens des mesures, comme de toutes les facultés d'adaptation. Pareillement, "Les équilibres économiques mondiaux ont été rétablis" ne seront pas nommés mais, plutôt, "Les équilibres économiques mondiaux se sont rétablis" : comment, à la barre fixe, en survêtement, bien rétablis ou après une convalescence, etc. Surtout jamais d'intervention humaine : tout n'est que métaphysique dans la compulsion capitaliste. Seule terreur : que personne ne pige que "l'argent tombé du ciel", l'argent venu de nulle part, la création de richesse "par" la spéculation sont bien de "hautes trahisons" comme tous les parasitismes qui représentent la seule substance réelle du capitalisme. Le capitalisme ne crée pas, il vit sur le dos des autres. D'où effacer (même inconsciemment) toute trace d'intrusion humaine : seule existe (sic) la "main invisible"! La déroute devant les scansions de la réalité émerge dans "cette peur panique de nommer" : au lieu de soigner ces malheureux, la pression sociale en fait ses leaders entraînants, par-là, la Société au suicide par déperdition grandissante de réel. Nous reconnaissons même leurs "réalistes" à ce que ce soient ceux qui nagent le plus dans l'irréel…
Sans fous du roi on devient fou : "leur" machine à "s'auto"- rendre fous (sans nous) !
Plus personne de sain, de raisonnable (plus performant que "seulement" rationnel - qui peut virer au carrément incohérent et déraisonnable), de circonspect ou de sensé (soit sensible, sensitif, sensuel et "sensationné"), ne peut plus rompre le cercle de "la folie à plusieurs", de l'effort pour rendre les autres fous. Qu'un des hallucinés nomme, fantaisistement, "le cercle de la raison", alors qu'un autre empile que si vous n'êtes pas dans ce cercle vous êtes en dehors (La Palice en lice!) mais (gravissime: la "falsifiabilité" de Karl Popper piétinée!) que vous "n'avez plus le droit de parler d'économie". Pas mal comme auto-folie, non? S'il existait des positions sociales qui favorisent la propagation de la pandémie, ce sont bien celles de l'information, de la culture et de la transmission. Or, tragiquement (et bouffonnement), nous ne venons que de constater leur syndrome de déréalisation, sans doute irréversible puisque plus personne de valide, de sensé et sain ne peut accéder à leur entourage. Et que, faute de bon diagnostic, aucune posologie sérieuse n'est possible. Max Weber notait, utilement, que le capitalisme n'avait pu poindre que par la présence de qualités préexistantes n'ayant rien à voir avec son idéologie, comme le sens de la parole donnée, du travail bien fait, la probité intellectuelle et l'autorestriction, pour résumé. L'actuel capitalisme, autoaveuglé par le seul fait qu'il manipule l'émergence des systèmes alternatifs (ce qui ne préjuge pas de leur futur, de la force de leur implantation dans le réel ni de leur apport de solutions) – semble détruire tout futur possible, le pire barbare de la terre brûlée. Il ne privilégie plus que les êtres "sans espace psychique préservé", très dépendants des vrais adultes (eux, ligotés dans l'impossibilité d'agir), et donc en déréalisation chronique. Inconscient et irresponsable, ce système tue les meilleurs d'entre nous.
Leur manque d'esprit pratique signe leur grandissante inadaptation au réel (c'est un devoir exigeant que de mettre ces handicapés du social sous tutelle!). Ainsi communication : tout esprit concret sait qu'il s'agit d'une mise en RELATION. Deux personnes (ou plusieurs) peuvent participer à l'égale utilisation du média médian (au milieu). Dont la fonction sonne bien comme "médiation", le médiateur. Par l'angle, par exemple, de rendre médiat, immédiat (ici et aujourd'hui) tout ce qui se débat vers la sortie du débat : de médiatiser. Le média c'est l'artefact de tous les accords, le conciliateur, le négociateur. L'inter-médiaire : user de cette maîtrise de l'optique d'opter l'isotropie pour résoudre tous les conflits, se montrer suffisamment diplomate pour faire respecter chaque parole (les minoritaires sachant mieux le "poids des mots" et permettant à tous d'éviter "les mots qui tuent"!), partager l'aire médiane du média (médium, uniquement moyen et pas fin!) entre chaque groupe d'opinion (la démocratie didactique). Bref, participer à fond "à l'élucidation permanente de la Société par elle-même". Merveilleux outil ? Que croyez-vous que les barbares au pouvoir, les insurgés ricanant contre le réel, en aient fait ? Une inversion perverse : le média n'est plus au milieu de rien, il a été tordu d'un seul côté; plus aucune information, que de la propagande. On aiguise partout les conflits. Plus de débat, du fanatisme qui fabrique, de toutes pièces, des reportages "contre". Leur idéologie asphyxie tout. Pas de partage de l'espace médian : la télé étale la plus incroyable pathologie (les mêmes qui "invitent" les mêmes qui le leur "rendent" excluant tout le monde de leurs monologues narcissiques et fortement irréalistes – comme si "la" télé leur appartenait" !). La civilisation se voit, ainsi, privée d'un outil de régulation sociale : les fous de pouvoir, irréalistes et furieusement irresponsables, empêchent toute cohésion sociale. Leur affligeant usage des médias les révèle comme les plus purulents ennemis de notre Société. Ceux qui méritent les plus fermes réprimandes. Depuis que le mur de Berlin serait tombé et que les débats se dévoilent partout interdits: clair, que tous les malheurs du monde c'est eux seuls qui les causent…Recettes? Eh bien, cette, pour commencer.
Donc une "communication" sans relation : quand la télé, partout, fait taire, télé très solitaire, lorsque la pub ne supporte personne d'autre qu'elle même en boucle, identiquement ces journaux qui ne sont qu'exclusion de tout sauf de leurs monologues (plus jamais de présentations de l'ensemble des thèses) etc. Devant une telle "structure de psychose" (résumé en tant que vous ne devenez pas aussi "fou" que moi je n'écouterai pas !) l'acte sain est de quitter le "cercle des poisons". Cette maniaquerie psychotique, en économie, s'affiche outrageusement par l'enfantillage tautologique du "cercle de la raison", soit vous êtes dedans soit vous êtes dehors (admirez la profondeur du renseignement!). Le premier acte de ce prétendu "cercle de la raison" dérive donc vers le trop déraisonnable. Karl Popper et Kurt Gödel ont, de toute façon, rendu impossible "toute posture de non réfutabilité". Le binaire ne peut plus participer aux prises de décisions. Ce pourquoi la vraie Raison (admettant la vérifiabilité, l'imputabilité, la responsabilité, donc la réfutabilité), dans ses méthodologies, n'exclut rien ; et que la vérité reste un permanent processus, une expérience à partager et pas un dogme indiscutable à cogner. Mieux de se cogner au cognitif. D'où communication sans "relation" (toute "réponse comme droit" "équivalent" et aussi exigeant que la "liberté de la presse", plus de déséquilibres relationnels nommés "diffamations dans un seul sens et sans droits de défense" etc.) apparaît surtout tel le signe clignotant de maladies graves. Symétriquement, ils osent encore nommer "contrat" de travail ce qui n'est qu'unilatérale non relation, obligations à sens unique…Ces fous furieux ont détruit le fragile outil du média : il s'agit de les en dessaisir dans les plus brefs délais!!!
L'anticommunication, comme ferment destructeur de la société, a clairement été semée par les dirigeants eux-mêmes. Cela ne dévoile que leurs abyssales maladies (la pandémie n'est, in extremis, pas collective!). Restons sains : tournons-leur le dos et ne les écoutons plus!!!
Pourtant, n'omettons aucune attention: puisque l'ampleur du circuit de la "consultation" n'est pas, encore, achevée. Nous ne savons pas tout de leurs maladies.
La finance comme maladie
Tous les jours, journaux, radios ou télés s'unifient, lorsqu'elles parlent des Bourses et circuits financiers, dans le choix de tels mots : crises de nerfs, affolements, hurlements, agitations, déséquilibres, vapeurs, hystéries, paniques, bouffées délirantes, exaltations, rumeurs, mimétismes, extravagances, frénésies irrationnelles, mais, aussi, "marchés hyperémotifs" qui ne font que des placements "aventureux" etc. : alors que, pour les particuliers, les mêmes comportements sont décrits comme une "peste émotionnelle", une absence de contrôle qui vous dirige droit chez les psys, une immaturité qui repousse la confiance, une superficialité sans sagesse, une impossibilité de prise de décision raisonnable – ici, c'est un summum de savoirs qui "rapporte" tant d'être (ou de se montrer?) "affolé", de "tanguer" à la dérive, sans personne à la barre et sans boussole. Également - "on ne sait pas qui vend, qui achète et quels sont les montants des transactions" (des C.D.S. credit default swaps, contrats censés assurer l'acheteur d'un emprunt d'Etat contre tout risque de non-remboursement)- ce qui ressemble à la structure d'opacité du gangstérisme. Et reprend, tel quel, toujours plus irresponsablement, la monumentale divagation des subprimes. C.D.S. instruments de pures spéculations utilisés pour créer de la fausse panique et gonfler les inquiétudes sur un risque de défaut. Résultats : les difficultés des budgets des Etats augmentent sans aucun bénéfice collectif (les états se voient contraints de nourrir ces "parasites" au détriment du plus grand nombre). Le but suprême se profile comme "rassurer" les marchés (comme s'ils étaient divinités tutélaires à qui nous "devrions" de nombreux sacrifices: rappelons que ces "marchés" ne sont que des banques d'affaires et des fonds spéculatifs, pas des dieux mais que de piteux personnages!) ou les "calmer" à tout prix comme s'ils étaient des enragés exaltés.
L'accumulation hallucinée de ces diagnostics (folie incontrôlable et opacité typique des gangsters) n'aboutit qu'à toujours plus de maladies, de "dangers boursiers et de déséquilibres financiers". Ces malades des nerfs, dans la même seconde, semblent crédités d'un savoir omniscient puisqu'ils "doutent de la capacité financière des Etats à assainir leurs budgets, qu'ils ont contribué à couler. Voire spéculent sur ces difficultés et enfoncent un peu plus ces Etats en leur faisant payer plus cher leurs emprunts." (extrait d'un journal écrit laissé, volontairement, sans précision de titre). Ce qui alignent le gangstérisme attitude, alliée à la folie inconsciente (scier la branche où vous êtes assis) et à l'hébétude de la dépendance (les Etats c'est "juste bon" à les aider, eux). En découlent les symptômes d'un monstrueux irréalisme, d'un égoïsme utopique, d'une irresponsabilité qui se montre dans le mépris antisocial pour leurs concitoyens. Mais si les médias constatent le chaos, amené par "les ennemis du genre humains" que sont les financiers, croyez-vous qu'il leur viendrait à l'idée de stopper l'épidémie (mise en quarantaine) de contrecarrer le "terrorisme financier" (mise sous contrôle par une tutelle ou une curatelle) ou de, plus simplement, fermer les bourses et autres "maladies financières graves" ? Médias et finances lequel rend l'autre fou ?
A ne pas planquer ces perles d'euphémisations journalistiques lorsque les Bourses "attaquent" l'Europe (par des spéculations toujours aussi illégales, sur la Terre entière!). "D'où cette situation incroyable mais vraie: les Etats ont sauvé la finance à coup de milliers de milliards. 18 mois plus tard, ces finances utilisent ces mêmes fonds pour tenter de ruiner les peuples". Le dérangement règne donc dans ces têtes journalistiques : la finance a été et reste, viralement, prédatrice et parasitaire, soit le mot pour "très gangstérisée", non ? Le même journaliste va singer une colère vertueuse envers la minuscule délinquante. Ici, nous avons la plus haute délinquance possible sur Terre ; il ne trouve plus que du vocable inadéquat de b.d; "incroyable mais vraie" d'un laxisme suicidaire. Un enfant désarmé face à un raz de marée. D'une façon ou d'une autre, il s'agit de les "arrêter", les financiers : la finance trahira toujours, ne respectera jamais rien, n'a jamais eu la moindre parole, continuera à falsifier et tout truquer. Encore, utilisera vos fonds pour vous ruiner, tout est frauduleux chez elle, d'elle-même jamais ne se "réformera" (toutes "réinsertions" vouées à l'échec) ; irrécupérable finance, l'aider c'est s'anéantir, se tirer une balle dans la tête. Son autorégulation, en français courant, c'est "hors la loi", tout comme pas de règles ou "dérégulé" constituent le même mot, non régulier. Dans un contexte où Etats, médias et cultures lui abandonnent toutes latitudes pour détruire la planète, sans laisser passer, par exemple, les auteurs qui les "ringardisent" entièrement, tellement leurs activités sont "minables", pitoyables, incompétentes et sordides, dès que décrites. Où, encore, aucunes règles ne limitent leurs activités uniquement nuisibles (pollueurs, casseurs, terroristes, attenteurs aux sécurités – les législations ne manquent pas pour les freiner et endiguer en les interdisant!). Où, pareillement, les médias en parlent toujours "comme dans un état second" (comme drogués!), enfilant, à leur égard, des perles d'irrationalismes et de divagations alarmantes. Dans ce contexte montrant, clairement, les rages de destructions des financiers, les irresponsabilités mortelles des Bourses, exhibant de réels comportements de "braqueurs" – pallier à la vacance aboulique de ces pouvoirs, devient un exigeant "devoir constitutionnel". Vite! faut "arrêter" les finances folles, les stopper net : le plus grand danger que court l'Humanité vient d'elles!!!
Bref, la finance comme une maladie. Mais une maladie grave dans le contexte, puisqu'elle trouble les facultés de raisonnement, de pondération et de mesure de la majorité qui, malgré l'ampleur des nuisances financières leur laisse toutes les libertés de continuer encore pire. Puisqu'elle semble évider de toute réflexion personnelle pour un suivisme, à la longue aussi autodestructeur que "les moutons de Panurge" de Rabelais, se décervelant tous jusqu'à l'irréversible noyade collective. Tous ces symptômes irréfutables porteraient le discrédit sur toute autre activité. Une telle maladie appartient bien à ceux qui mettent "la vie d'autrui en danger" : en ce sens, les finances devraient être psychiatrisées. Mais les soi-disant "réalistes" (qui interdisent tout débat de fond pour qu'il ne puisse être vérifié l'inverse) abandonnent, irresponsablement et piteusement, le sort du monde à ces détraqués visibles. Dans le pire des deals : ces forcenés sont non élus, et refusent tous contrôles (à l'image de tous les tyrans de l'Humanité), omettant de paralléliser que "dérèglements" et "dérégulations" appartiennent à la même causalité. Dérégulations créent dérèglements eux-mêmes déréglementés etc. Ces furieux fanatiques "croient" que l'argent "existe" alors que l'auteur de la "main invisible" – Adam Smith - l'avait placée dans "l'argent n'est que la mesure de la richesse et pas la richesse", au même titre que mètre et kilogramme restent des mesures de la richesse : ce qui disqualifie tout fondement rationnel aux Bourses.
Le processus médias-finances, finances-médias, à qui rendra le plus fou l'autre
Leur pandémie de déréalisations a atteint une telle profondeur, qu'ils adorent (archaïquement et en fuyant tout modernisme) l'argent qui n'existe pas : ils vont nous ramener à l’âge des cavernes et de la bougie !!! D'autant plus, que la réalité se signale fermement en soulignant que s'il y a "économie réelle" il en découle la présence d'une "économie irréelle". Elle en rajoute même en segmentant le descriptif, de telle sorte que ce soit la finance qui agisse "au détriment toujours de l'économie réelle ", en "parasitant l'économie réelle", en "ruinant l'économie réelle" etc. La réalité clairement identifiée comme détruite par la fiction : si ce n'est l'exacte définition de la maladie mentale (qui n'accepte pas son diagnostic – en parallèle avec les Bourses refusent d'affronter les conséquences de leurs "dommages aux tiers"!) que vous faut-il ? Jusqu'où irez-vous pour dénier les catastrophes réelles causées par vos cerveaux détraqués ?
Un des sommets de la terreur demeure de découvrir "la folie collective" dans la vie quotidienne. Ici nous en avons un effroyable exemple : l'unanimité des médias reste, pour une fois, inhabituelle. Tous ils décrivent les Bourses comme des agités, sans aucun contrôle d'eux- mêmes, des bulles amphétaminées, ne pensant jamais, incapables de réfléchir, agissant dans l'arriération inacceptable d'un troupeau, ne poursuivant que des buts antisociaux. Des fous furieux, non ? Bref, qu'un ramassis d'écervelés, que dans d'autres lieux du social on "oblige à se soigner". Les actes de ces inconscients maniaques aboutissent, systématiquement, à la destruction forcenée de la vie du plus grand nombre, tandis que les médusés (ou fascinés ?) des médias ne sortent, à aucun moment, de cette folie collective. Ces barbares financiers qui ne pratiquent que la "terre brûlée" restent les seuls à pouvoir tout se permettre. Grâce à la dangereuse schizophrénie des médias. Médias tous coincés? Uniquement s'ils refusent d'être déshypnotisés. A leur portée ? Reprendre, par exemple, le chemin du bon sens et ses toujours profondes questions : avons-nous, collectivement, vraiment besoins des Bourses ? leur hégémonie incontrôlable sert combien de personnes ? combien de victimes et combien "ça coûte réellement à la société que la folie financière" ? n'est-ce pas le pire des systèmes possibles ? comment sortir de cet appel à la destruction collective ? etc. Non, les médias (donc fous!) continuent, hébétés (puisque sans cesse ils disent que la finance est folle et sans cesse il agissent comme si de rien n'était!), à confier le sort du monde aux pires fous furieux que la Terre ai porté. Ce processus média-finance, finance-média, à qui rendra le plus fou l'autre, ressemble, bestialement, à de l'anticommunication. Non ? Nous devons, impérativement, distribuer, massivement, les antipoisons!!! Ne voyez-vous pas d'abord la folie à laquelle conduit, inéluctablement, tout binaire ? Passez donc directo au ternaire !!!
Les déréalisés (qui se croient "tendance") créent partout l'immobilisme suicidaire
Ce dernier exemple entérine que ce sont les "déréalisés", les plus irresponsables et, collectivement, les plus incompétents, les plus détraqués, sans plus de solidité mentale ou morale, qui (ne) dirigent (pas) le monde. Uniquement, par immobilisme : la Société semble, gravement, bloquée. Tout changer pour ne rien changer : ayant perdu toute capacité d'agir sur le réel, ils changent, seulement, les mots, manipulent les concepts (augmentant la confusion générale) et diffament, diffament, partout diffament. Bref, nous ne rencontrons que de petits esprits, trempant dans les seules mesquineries et sordides manœuvres. Chaque époque a eu ses "grands esprits" où sont donc les ¨nôtres ? Strictement pas dans les soi-disant élites. Oui, alors où ?
Face à un tel tableau, l'attitude prioritaire ne serait-elle pas le découragement devant le fait que les êtres les plus incompétents, les plus démunis pour cette tâche, les plus structurellement proches des dérives vers l'inhumain – sont précisément ceux qui bloquent toute la Société dans son accès information-culture-transmission. Auto-aveuglés par leur fonction (qui, tout le monde le sait, magiquement, vous insuffle les capacités que vous n'aviez pas), ils détruisent tout ce qu'ils ne comprennent pas (comme ce qu'ils assimilent s'avère très minuscule vous voyez l'hécatombe!) ? Devant un tel panorama, ne glisserions-nous pas dans l'accablement devant le fait que l'échec le plus flagrant domine : et ses exactions afin de parvenir à cette médiocrité affleurent comme d'avoir détruit (ou annihilé) tous les génies, les grands esprits et esprits forts, dans le but que nul ne puisse rendre compte de leur règne piteux ? Tout de même, vous aviez bien observé ces attitudes sournoises, ces poses chafouines, ces évitements paniques… Devant un tel panoptique, ne nous laisserions-nous pas gagner par le désespoir de vérifier que la lie de l'Humanité dirige le monde ?
Alors que, en tous lieux, ils se vantent de réformer, faire bouger, amener "la" croissance (tout ce qui est décontextualisé, en mathématiques, n'a aucune "valeur"), se "réunir", remuer, déplacer etc. – nous n'avons observé qu'un figement suicidaire de la Société "bloquée". Paralysie de toute vie intellectuelle, aucune diffusion médiatique autre que le vide, une vie sociale sclérosée et hautement régressive, partout des enfermements tels qu'il paraisse incroyable de trouver des "prisonniers plus libres que nous" – bref, ceux qui, si bruyamment, se prétendent dirigeants, se montrent comme les pires ennemis de la Société qu'ils conduisent à la destruction. C'est très grave de se tromper d'admiration: vous écrasez vos vrais amis et ne secondez que vos (nos) pires ennemis!!!
Le décodeur de "leur" monde irresponsable
Nous - nous ne cesserons jamais (même si nos amis nous écrasent, même si les médias semblent contre nous – un jour ils changeront!) de tenter de protéger ce monde de leurs folies. Un adulte n'a plus de temps à perdre avec les gamineries actuelles, même et si surtout, beaucoup de 50-60 ans y succombent, si trop de femmes déçoivent tant, en secondant ce direct suicide. Comment protégeons-nous ? Par une remise à l'endroit de leurs perverses inversions, par exemple. Et cela donnerait abondamment :
- Economiquement, les riches vivent sur des dérogations du régime général. Ce qui les met en positions de "corporatismes" complets, avec des corps et des ordres de métiers rigides, aux droits d'accès très hermétiques. De cet ensemble d'habitudes ils ont, mentalement, créés des "acquis". Immédiatement, nous pouvons noter que ces acquis sont, clairement, antirépublicains et dénient la valeur de la Constitution. Ensuite, ils forment un bloc aussi archaïque que les "droits féodaux". Cela paraît furieusement anti-moderne et sonne comme un refus entêté du Progrès (social et humain s’entend – pas technique ni d’argent sale…).
- Refusant toute évolution qui tende au partage le plus raisonnable des richesses (dans le but de préserver de toute force la planète !) – nous les voyons crispés sur leurs "acquis anciens et surannés", très dommageables à l'ensemble de la collectivité. Ils constituent un bloc d'immobilisme extrêmement rétrograde. Figés autour de leurs corporatismes fermés, nous les percevons incapables de comprendre le destin du monde et, même, par leurs postures psychorigides, portant atteinte à sa sécurité.
- Ont-ils des difficultés d'adaptations par leurs manques de flexibilités évidentes ? Nous nous devons, nous, de ne pas courber devant leurs courbatures : nous accompagnons, droitement, l'évolution naturelle de l'Humanité et ne pouvons nous occuper de ceux que le progrès abandonne au bord de la route. Leur arriération ne doit plus être "assistée". L'élite est trop précieuse pour l'abandonner aux mains de ces grossiers personnages. L'économie est trop à économiser pour la lâcher aux mains des détraqués des finances. La culture est trop cruciale pour la déposer aux mains des solipsistes, l'information trop sociale pour la laisser trahir et défigurer par les grotesques journalistes et l'acte de transmettre trop généreux pour le poser dans les mains des barbares pervers capitalistes.
Que ce descriptif méticuleux paraisse correspondre à ce qu'ils déversent sur le dos des personnes raisonnables – représente, limpidement, le refus du diagnostic propre aux pathologies mentales. La maladie mentale signe qu'elle refuse de se reconnaître elle-même. Tout en renforçant l'impression de trop riches "enfermés" dans l'illusion de leurs "acquis". D'où leurs postures passéistes de corporatistes bornés. "Acquis" qui s'avèrent, d'ailleurs, sans aucun fondement ni légitimité et s'ôtent, en conséquence, de toute nécessité de perdurer. Ce ne sont que des maniaques pas des citoyens imbus du bien public!
Conclusion d'étape: les médias, faute d'ancrage dans la vie quotidienne la plus majoritaire, se trompent fréquemment d'analyses. Les corporatistes les plus durcis dans le refus de tout changement, de remise en question de leurs acquis restent (comme le dénonçait, clairement, Adam Smith, soi-disant fondateur du capitalisme, lorsqu'il arguait que d'illégaux regroupements de patrons cherchent, déjà en 1750, sournoisement, à empêcher tout regroupement des travailleurs!) les trop riches. Eux seuls peuvent et doivent changer. Radicalement et pas en surface. La survie de la civilisation en dépend: ne pas hésiter à placer sous "tutelle d'incapables majeurs" ses membres les moins raisonnables!!!
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III - Une ère sans communication : pourquoi donc l'ensemble de la Société censure l'intelligence ?
Comment ?
Comme comment ?
Comment commenter ? Comme le commentaire du comment ?
Comme mémorer ou comme unique ?
Le comment siège dans le comme : alors comme ceci ou comme cela ?
Le comme siège dans le comment : alors commenter le comment comme le proverbe du côté du verbe ou comme le pronom serait pour le nom ?
Comme commun ? Communiquer sur/par ce que nous avons en commun ?
Que collecte le collectif ? Communiquer comme (une trame préexistante, un palimpseste ?) transmettre, soit propager, soit publier, confier, étendre, répandre, élargir le cercle ?
Comment ? Comme commun : le commun communique, sans le commun rien ne peut plus communiquer …
Cette porte communique avec cette autre pièce (l'inconnu, l'invisible) : communiquer n'est pas encore advenu ?
Communiquer appartient au comment (la méthode : que faire ?) mais au comme (également, pareillement ou semblablement : donc au partage !)
Communiquer nous rejoint et nous conjoint, nous réunit et nous prolonge : le début du monde était déjà présent dans ce mot ou ce mot était-il déjà présent au début du monde ?
Vous aimez ce texte ? Sachez qu'il a été écrit (avec beaucoup d'autres) il y a plus de 35 ans : pas de quoi pavoiser, la plupart des autoproclamés de gauches et d'extrêmes gauches ont "aidé", participé, soutenu, oui secondé, la censure massive (non diffusion, refus de relayer, superflues désinformations sur "les auteurs", etc.) liée au seul éloge de leurs (nos) ennemis, et à la guerre à l'intelligence (pour que nous ne puissions pas "sortir" du système) en cours. Temps de passer un sérieux savon aux autoproclamés de gauches et d'extrêmes gauches qui, eux seuls, ont empêché les gauches de vivre à plein temps et en tous lieux. Combien de projets ont-ils fait foirer depuis plus de 25 ans ?
La parole "privatisée"
Nous chutons dans le phénomène de l'anticommunication, nommée, frauduleusement, communication : mais sans réelles conversations, sans aucun partage d'idées ni échanges de dialogues – personne de raisonnable n'y trouve autre chose que de l'assourdissant silence. Tout n'y est qu'une flèche directionnelle qui s'enfonce dans la chair (aimée du parle-ment). En un seul sens, c'est une propagande unilatérale, la présentation outrageusement publicitaire (et ne laissant aucune place à l'autre) ; c'est le dire autoritaire qui martèle, espère écraser, pilonner et rester seul, oui seul…tout lui appartiendrait dans son triomphe suicidé. Ce n'est que cela leur "interactivité". Ayant éliminé tout locuteur, tout interlocuteur, le désert trône. L'incommunicabilité finit en meurtres multiples. Le sommet de la civilisation n'aura été que d'interdire toutes conversations : nos maîtres se révèlent pires que sordides – lourds, arriérés, attardés, grossiers, sans élégance, grandeur ni grâce. Les signes avertisseurs : parole "privatisée", persécutions de toute "parole publique (qui ne parle que pour l'intérêt général)". La genèse : la parole "privatisée" ne dit rien, elle s'entête frénétiquement à empêcher toute "parole publique". Et, ainsi, tout le monde ne s'entend pas pour "croire" que la parole "privatisée" (muette hors des monologues unidirectionnels), engloberait (comment ?) tout l'intérêt général…Chomsky et Galbraith nous avaient esquissé les débuts d'une privatisation de la communication, qui n'est qu'une publicité commerciale se déguisant, sournoisement, en parole objective. Strictement aucun échange : il n'existe que le guichet de la dictature commerciale qui, en illustration, expulse bien toute autre parole. Cette escroquerie se montre, incroyablement, protégée par la "liberté de la presse" (qui n'est donc là que pour supprimer toutes les autres libertés!). Cet amoindrissement dramatique du "réel collectif" (le seul "incompréhensible" demeure pourquoi le peuple supporte de tels minables ?) ouvre le règne de la multiplication des incompétences :
Très peu conserve l'intelligence globale, la compréhension de la chaîne des causalités, l'objectivité bénéfique à tous et la faculté si délicate de jugement (dont la métaphore reste "l'éléphant qui se déplace dans un magasin de porcelaine sans en briser aucune). Ces talents qui peuvent passer et réparer tout, sans laisser la moindre trace…
A force de ne plus utiliser ses facultés intellectuelles, l'atrophie collective (plus d'écoute, de débats, de raisonnements articulés, d'objectivité argumentée etc.) se montre dans une société sans plus de lien social (exactement, comme un corps vidé de sang). Et Bill (qui soliloquait "quand feront-ils de tous les billets des billets d'amour ?") de nous sonner les cloches " si tout le monde reste, passivement, massivement, enfermé chez soi, est-ce qu'une Société existe encore ?" Ainsi, Bill l'avait-il observé partout : qui enferme si facilement les pauvres en prison, vit, à fond, tous les enfermements. Combien de trop riches se montrent barricadés dans leurs prisons mentales? Société et social allant de pair, pas de respect du social chez les arriérés qui prétendent diriger. Avec eux, aucun fonctionnement sociétal n'est plus possible (une société sans social n'est qu'une coquille vide). Il faut de toute urgence "republiciser" la parole. Soit, tout simplement, revenir à la publique République (entièrement trahie par ses dirigeants mêmes). Et, donc, reprendre à la publicité déshonorée, l'usage massif et public (ité) de la parole publiée (rendue publique). Chaque nouvelle analyse convergeant vers le même bloc de conclusions : le privé montre une unanime incompétence pour diriger le monde. Il faut lui porter aide, en lui reprenant toutes les rênes ! Les garanties d'objectivité (donc de justice!) ne résident que dans une parole publique et désintéressée.
Parole "publique" ou l'esprit de géométrie
Difficile de rencontrer quelqu'un qui possède l'esprit de géométrie, c'est à dire qui sache l'activer en lui et le mettre en pratique dans les labyrinthes de la vie quotidienne. Ces êtres, représentent, pourtant, le summum actuel de la réussite humaine : les médias dominants leur tournent tous le dos, vous y comprenez quelque chose, vous ?
En stock, nous avons bien de prétendus "réalistes" : ils ne fonctionnent qu'à coups de "dénis du réel" et de volontés fanatiques de ne rien savoir. Ce serait plutôt des répétitifs maniaques compulsifs : aucun espace en eux pour accueillir les germes du futur et les paradigmes nouveaux. "Réalistes" sans réalité ça ressemble à de l'imposture: leurs argumentaires n'avancent qu'en monologues et ne supportent aucune conversation, tout comme leurs pratiques piteuses s'avèrent, souvent, sans congruence aucune. Toutes deux alignent des incompatibilités structurelles (par exemple, un extérieur voulu de gauche et un fonctionnement cérébral interne de droite!) qui rangent ces "réalistes" dans les "irrationnels" évaporés. Nous y trouvons, également, les esprits techniciens ou les experts qui usent d'une exigence analytique (de bon aloi) sur une minuscule parcelle de savoir et abusent d'attitudes très déraisonnables sur le reste de leurs activités sociales. Expert sur rien (une minuscule parcelle de savoir) et crétin sur tout le reste ? Se méfier de ce qui, en eux, fait la parole ex-perte ? A tel point qu'il a été, trop modestement, observé que "ce n'est pas très scientifique qu'un scientifique conformiste" : z des "ça ne se fait pas" carrément illogiques, des pertes de rigueur d'analyse plaçant votre intérêt (très local) avant l'intérêt général de l'honnêteté intellectuelle (global) qui font se méfier de votre fonctionnement (jugement détérioré ne sachant plus distinguer l'essentiel de l'accessoire, peser les arguments, estimer l'ensemble du "champ" de savoir etc.). Le fonctionnement de ces "scientifiques" s'affiche clairement anti-scientifique, et leur fait perdre toute crédibilité, fiabilité, vraisemblance. Et même sérieux : vous ne pouvez pas prôner la Science sur une minuscule parcelle de matière et vous comportez en vandale irrationnel sur l'ensemble de votre style de vie : le savant s'avant tout! Nous trouvons, aussi, dans le déraisonnable capitaliste, des gestionnaires prétendus "rationnels" qui osent exclure des comptes de résultats les "externalités", les "services gratuits offerts par la Nature", le coût du pillage des ressources non renouvelables, et leurs diffamations "intéressées" de l'Etat : un tel esprit brouillon range ces êtres de Progrès dans la catégorie des dangereux incapables. "C'est l'homme qui porte la chaussure qui sait le mieux qu'elle fait mal et où elle fait mal, même si le cordonnier est le meilleur juge pour savoir comment y remédier (…). Une classe d'expert est inévitablement si éloignée des intérêts communs qu'elle en devient une classe avec un intérêt privé et un savoir privé, ce qui en matière sociale est l'équivalent d'un non-savoir" (p.207 John Dewey The public and its problem) CQFD! Pour toute prise de décision les plus raisonnés raisonnables demeurent ceux qui ont la culture générale la plus vaste possible. Soit les "sacrifiés" de la connerie monstrueuse nommée capitalisme. Etc. Ceux que la parole privatisée nous présente comme des "réalistes" ressemblent à de grands délirants, handicapés du social, complètement inaptes à l'objectivité, et à la scientificité "élargie" (à tous les domaines de la Société). Bref, des êtres dépourvus de toute honnêteté intellectuelle et sans aucun sens de l'intérêt général. Les qualités que la parole privatisée nous disait sans valeur, s'avèrent le summum du social et de la vraie pensée. Ce furieux handicap à se tromper sur tout se démasque grâce à l'esprit de géométrie.
Oui, nous, les pauvres vrais démocrates, subissons tous les jours ces êtres dénaturés qui, du haut de leur montagne (d'extrêmes gauches comme de droite), nous écrasent de leurs colossales ignorances, celles qui refusent de s'expérimenter dans des conversations ouvertes. La libre entreprise (si elle existait sous l'illégal règne des multinationales) se prouverait dans la libre parole. Laisser faire, laisser passer les vraies conversations ! Le libéralisme se montre très liberticide, ennemi de toutes les formes d'émancipations et notamment culturelles. N'aimant pas les humains, il les prive de la conversation sociale généralisée, la meilleure thérapie pour une Société qui se fait connaître à elle-même. Partout les miasmes de l'anticommunication…Nous n'y croisons que de poussiéreux esprits bien archaïques, crispés sur leurs mécanismes passéistes, sans aucune ouverture sur le nouveau, le non connu et le futur – et qui s'affublent du vocable illogique de "modernes" et "tendances". Pour des comportements centripètes, autodestructeurs, dépassés et arriérés de ploucs confirmés (ils ne se trouvaient pas dans les campagnes mais dans les quartiers huppés des villes, les ploucs!), cela semble franchement inapproprié.
Résultats : le modernisme du modernisme. Le modernisme ne peut absolument pas fonctionner en binaire: seul le ternaire, la ternité (et plus) peut alimenter sa pensée. N'y trouvons-nous pas, d'ailleurs, des énigmes telles ma-ternité, pa-ternité, fra-ternité ou é-ternité, dont le fonctionnement au rythme de 3 ne nous semble pas, encore, accessible. Al-terne? L'hypothèse pourrait être que le langage reste en avance sur nous, et qu'un fonctionnement social adéquat nous ouvre à l'entendement (il y a bien sûr ces pionniers du "avoir raison tout seul, et même en avance, cela reste avoir raison" qui ont, déjà, sensualisé le tendre entendre !). Autres processus énigmatiques : toute alternance et alternative contient, précisément, ce tern- qui signe, mystérieusement, trois…Toute dialectique (à l'image du triptyque pour contre synthèse) se devant d'être, charnellement, revisitée (déjà fait…par…voir plus haut!). Toute dialectique revisitée ne forme, encore, qu'un balbutiement du futur ternaire universel.
La pensée ne fonctionne pas du tout comme un "récit"
C'est ici même que nous rencontrions (surtout Bill !) ces êtres ultra-modernes qui ont unifié leurs sentiments (savoir objectif corporel) leurs émotions (é-mouvoir fait mouvoir) et leurs raisonnements (seuls les "raisonnables" savent utiliser la raison puisqu'ils en participent corporellement : le capitalisme (cette tête coupée) représente, en conséquence, la pire déraison qui soit puisque, seul, il délire "que nous puissions "avoir" raison sans "être" raison, soit raisonnés »). En ces êtres "ultra-modernes" de raison (donc) nul besoin de continuité, de l'archaïsme intolérable (puisque massivement d'usage" médiatique!") du "récit", de l'histoire (story telling) qui aveugle cent fois plus que ne dessille. Ces êtres fonctionnent en discontinuités : les "trous blancs", qu'un récit arriéré "reboucherait", si étourdiment, ne gênent absolument pas la pensée à l'âge quantique. De plus, les médias se sont, très largement, démasqués comme les ennemis de l'intelligence, des argumentaires objectifs comme de l'université désintéressée. Les médias c'est réacs et régressifs : qu'ils se planquent derrière les histoires prouve à quel point ils ne savent RIEN de la pensée. Le pot aux roses reste que, par pure facilité méthodologique, le savoir a été "divisé" en droit, chimie, sciences naturelles, génétique, topologie etc., mais en n'omettant jamais de se souvenir que la réalité ne connaît aucune de ces "divisions". La réalité, tout le temps et partout, mélange (et est à la fois) droit, histoire, sciences naturelles, biologie, mathématiques etc. Tous les savoirs indissolublement mêlés et rien ne peut les séparer : le "réalisme" est, obligatoirement, unitaire, métis, sensuel, transdisciplinaire, mélangeur, anticonformiste, holiste et fuit "l'intérêt trop individuel". Ne pas savoir cela signe votre fonctionnement hallucinatoire. Or, bingo, les médias ne fonctionnement que sur ces "divisions" irréelles. C'est un monde inversé, à l'envers, toujours dans la déraison, puisque le moins sachant, en 2 secondes, "juge" (grossièrement barbare) le travail de 20 ans d'un savant ; que le moins expérimenté "contrôle" l'expérience qu'il ne comprend même pas ; que le corniaud étalé "note" le génie ; que l'inculture piétine, sans discernement, les connaissances (celles "pour faire connaissance" !). Est-ce pour cela que les médias semblent vides, ennuyants sur le fond de n'être "que" diffamations de la vraie perspicacité, puisque sans maîtrise possible : juste des impulsions électriques, des sillages browniens, des clignotements lumineux ou des éclairs d'éclats vibrionnant - qui vous prennent bien plus qu'ils ne vous donnent. D'un vrai livre il vous reste beaucoup, de leurs défilements creux moins que rien. Se méfier, à fond, de toute personne qui vous "raconte des histoires" (story telling) : elle ne saura que vous faire chuter dans les médias-ennemis-de-toute-intelligence-donc-de-vous-aussi…Qui n'a pas assisté à un colloque, une conférence, une manifestation (ou n'a été partie prenante d'un de ces événements) - et n'a consulté, atterré, le compte (non)rendu médiatique, a compris que qui était absent n'a aucune chance d'y percevoir, même un pâle reflet, de ce qui s'y est réellement passé? Qui a su, habilement, faire parler le journaliste (et son dogme irrationnel "il faut que ça raconte une histoire"!), résout l'énigme "pourquoi les articles les plus longs ne concernent que des personnes qui ont si peu à dire?". Un être et sa complexe poly-activités, doublée de poly-engagements, n'est, en effet, pas réductible à "une histoire" (soit un continu "arbitraire" et farfelu posé sur sa trajectoire). Tandis que l'être uni-activital, mono-engagé, peut donner lieu à toutes les dérives d'un contenu continu "arbitraire" et futile…D'où scientifiques, penseurs, responsables associatifs, vrais écrivains ou authentiques artistes- sont, clairement, expulsés de l'orbe restreinte des médias ahuris. Le durcissement de la croyance (non démontrée) du "il faut que ça raconte une histoire" – a, ainsi, transformé l'esprit journalistique (cette idéologie devenue incapable des réelles investigations ou des enquêtes anti-idées reçues qui honorèrent cette profession) en un boulet d'incompréhensions têtues à traîner par les déjà surchargés esprits libres…Bref, "il faut que ça raconte une histoire" signe que vous êtes un(e) arriéré(e)…
Tandis que, les "discontinus" (l'esprit ne raconte pas une histoire, mais tellement et en simultanée) forment les pionniers du futur " esprit de géométrie ", cette majestueuse aventure. Discontinu, en mathématiques, c'est la qualité "discrète", opposée à la quantité continue, puisque composée d'éléments séparés, répartis en plusieurs points non contigus de l'indénombrable en fait. Or, il faudra bien admettre que "nombre" eh bien! c'est "nombreux", qu'au final, les mathématiques restent très imprécises, floues ou nébuleuses. Du grossiste pas du tout détaillant : tous les détails lui échappent. Approximatif environnement – où est-ce : oh! c'est environ par là, grosso modo hein,…Accepter, aussi, qu'il faille bien plus d'intelligence pour dé-chiffrer que pour chiffrer. Puisque l'impasse des maths reste leurs obligatoires "contextualisations" : par exemple, la pub "la rentrée moins chère" appelle un "par rapport à quand" : 1 an ou 10 ans (il y a 8 ans elle fut bien plus chère !), dans une indétermination trop grossière (ne pouvant "intégrer" aucun cas particulier!). Quantité n'apporte donc pas de précisions suffisantes : cela forme même la base des escroqueries politiques avec "le taux de chômage baisse", par exemple. Quel taux ; quelle liste de chômeurs, combien d'exclus de ces comptes, où se trouve la probité d'un taux "unifié" et unifiant tous les comptages. L'info : t'es exclu lulu de l'exclu! Eh oui ! comme nous vous chutez dans le flash de la brute si sale qui se cache dans la salle de montage des médias piteux. Ou encore, le "nous avons besoin de croissance" qui "omet" de souligner que cette "croissance" reste, majoritairement, destructions, décroissances des ressources et énergies non renouvelables, diminutions et déperditions. Que, de plus, cette "croissance" de 2020 est devenue, qualitativement, différente de celle de 1960: dans ce registre, la "croissance" baisse "tendanciellement" depuis les années 1980 : comment pourrait-elle, ne serait-ce qu'une seule année croître depuis? Voyez avec les escrocs au pouvoir. De vos dérélictions actuelles vous en demeurez, étourdiment, coupables. Vous aviez des êtres hors du commun parmi vous: vous les avez, frivolement, (voir Arte) piétiné. Alors que (possédant l'esprit de géométrie) vous vous auriez pu vous extraire de cette ornière sans issue, et parvenez à l'abondance des solutions. En alimentaire, les gaspillages de production, vont de 40 % à 65 %, selon secteurs alimentaires. En distribution, la fourchette semble assez identique. En industrie, détruire tout ce qui n'est pas renouvelable semble l'insurpassable délinquance : les délictueux dirigeants nuisent, alors, à quelle majorité de citoyens ? Délictueux dirigeants que nous ne trouvons pas dans "ces faux discours uniquement faits pour les médias". Ne pas pratiquer "l'utilisation rationalisée" de ces gaspillages (avec pillages) en évitant les recyclages partout comme nouvelles bases du fonctionnement social – provient de cerveaux cramés par la quantité. Intensifier l'agriculture pour nourrir la démographie des populations qui augmentent demeure 1000 fois plus déraisonnable que d'éviter les 40 % à 65 % de gaspillages des productions et distributions. Clairon clair que l'agriculture très intensive c'est 40 % à 65 % de gaspillages et que le seul rationnel reste de . Adieu les gaspillages et vive l'agriculture du recyclage et de la taille humaine (celle qui ne gaspille pas!). Des pans entiers de raisonnements s'effondrent (le capitalisme c'est que de l'irrationnel, que des gaspillages qu'une planification raisonnée éviterait etc.), ne le vivez-vous pas intensément?
Outre la lâcheté morale absolue (rappeler que qui chiffre tout représente le veule intégral) de se cacher derrière "la croissance" (l'ordinateur qui décide à votre place oui mais du sort "des autres"), de l'irresponsabilité de mettre le mécanique (un chiffre sans son mode d'emploi) au centre de tous les taux (Smic, retraites, Dge, santé, Rsa, fonds compensatoires, dettes illégales etc.) – ce qui a tant sali l'acte politique. La quantité ressemble à la barbarie. Et la pensée comme "récit" s'effondre dans des esprits paresseux et dépendants (ils masquent les "esprits mères" auxquels ils sont accrochés "en douce" – ces "esprits mères" faisant tout le boulot - comme le film Matrix avait juste commencé à le montrer, avant que de bifurquer dans le spectacle inefficace). Pourquoi ?
Le récit conserve une productivité négative, accumulant les malentendus, équivoques et autres quiproquos (d'où manipulations potentielles) – lorsque son fonctionnement a "besoin" de l'irrationnel. Au contraire, le non-récit du discontinu augmente les liens, connections et réactivités lorsqu'une des définitions du "génie" demeure de "savoir relier tout ce qui est séparé". La gravité (lien entre ce qui "semblait" séparé) aurait dû vous amener un peu de "gravité" dans vos jugements. Vous préférez toujours sombrer dans l'irrationnel et l'irréalisme des récits flous afin de persister "à ne pas penser par vous-mêmes". D'où chaos des chaînes causales : décidément le "récit" c'est vraiment ce qui empêche de comprendre à fond les évolutions. Autant les oiseaux, les poissons savent bifurquer, monter, descendre, se retourner "ensembles". Dans une grâce infinie. C'est l'Evolution qui…"évolue" (comme une danse d’harmonie) et aucun récit (parasitaire et sans gain collectif – à arrières pensées de manipulations) ne saura même esquisser ce nouveau savoir…Autant les individualistes fermés (et tous sans issue, individuellement, justement!) du capitalisme ne font que s'entrechoquer, bêtement et douloureusement. Ils ne montrent qu'un chaos anarchiste incohérent et gaspillant tout le monde. La vision claire que ce sont eux les vrais et troubles fauteurs de troubles, les réels barricadiers, les insurgés permanents, les ennemis complets de la société etc. émerge lumineusement !
Les "ensembles" collectifs oiselés constituent le sens fort et juteux du mot "évoluer". Oui, devant les individualistes hallucinés (sourds et aveugles à tout) ils "évoluent" dans la géométrie complète qu'est le mot Evolution…
Conclusion d'étape: la Société ne "bouge" plus depuis trop d'années. Le suicide collectif pointe à l'horizon: la Société "bloquée" ne l'est par ce que délite l'élite auto-proclamée. Qui empêche toute réelle concurrence, discréditant l'appellation libérale du "laisser faire, laisser passer". Au niveau global, ils ne laissent rien faire (interdits maxima sur les êtres, seules "leurs" marchandises ont d'illégales aises : la honteuse pub sur "no piracy" avec 300 000 € d'amende comme modèle!), et surtout, ils ne laissent rien passer (s'il n'y pas de réelle concurrence dans la culture, le système se voit complètement disqualifié et discrédité: c'est bien le cas, aucune concurrence!).
L'anticommunication demeure imputable aux trop riches,
les fauteurs de troubles de notre civilisation.
Ne pas chercher à atténuer leurs nuisances c'est cela même "l'irréalisme"…
..(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La Rage créée pour que vous refusiez toujours de prendre des décisions par vous-mêmes. D’autres DOIVENT (sic) les prendre à votre place. Ah bon, ce n’est pas ce qui se passe ?
pubs.rsc.org—Idéologie des si mal pensants au pouvoir, se croyant des bien-pensants…même pas le 30 Février !
Tout n'est que superficiel = la réalité n'y a pas cours. L'idéologie malade du tout positif = tout va toujours bien sauf...les utilisateurs qui "n'obéissent pas" (et provoquent donc les pannes (sic) ). Bien leur en prend de refuser les dérègles...
les 12 obstacles...idem, décryptages de l'escroquerie au final...
52 mn…TON ENNEMI N'EST JAMAIS LOIN HD ??? et tes amis alors ? non-sens qui cherchent à faire chier…
L'art de la critique positive - communication positive ? 15 mn… Pour eux, la critique positive c’est AUCUNE critique…exemple ? Vous cherchez à « anti-communication », genres communications empêchées sabotées interdites brouillées, etc. Genres anti-communications dissimulées puisqu'elle sont les armes des ennemis de la communication se prétendant les défenseurs de la communication. Omerta sur les faits parlant clairement de ces activités d’anti-communications des pouvoirs. Bref, moteurs de…recherches vous n’avez…rien.
Sinon ultra positivité absolue de la communication. Seul « dérangement » ? Qui n’appliquent pas bien les « bonnes » règles (sic) de la communication. Les pouvoirs les bafouent sans cesse mais impossible de détecter comment ils font…Nous avions donc bien une anti-communication complète qui empêche de comprendre et d’analyser. Un objet fermé de SECTE…
D’où un bien informé sur l’anti-communication oui comment ça fonctionne ? Oui ça ne fonctionne que très cachée, honteuse, dissimulée, jamais avouée…sauf par les analyses (pas les images...les mots et concepts)...
Capté ?