Le contraire des fascismes c’est la beauté la plus simple
Œil pour œil et le monde finira aveugle*. Et de ressurgir brutalement ces cultes… antiques qui nous ramènent très en arrière ? Plusieurs siècles ou millénaires ? Cultes antiques que nous croyions oubliés, disparus, grâce à l’évolution. Alors que les faux dirigeants régressent et, pour cela, ne peuvent être dits diriger. Qu’égarer. L’intelligence collective entre, elle, dans la sagesse. Chaque jour nous offre des formules qui résolve, dissolve les faux problèmes.
Comme deux pays auraient encore « des permis de tuer », permis basés seulement sur des gamineries inacceptables. Ils ne les ont pas, l’opinion mondiale n’accepte plus !
Le Droit international est en train de triompher. Et ramène, à de l’antique quitté, les suprématismes états-uniens et sioniste. Ces agitations du passé si dépassé.
Et il faudrait laisser ces pays forcer le monde entier à…régresser. Régresser pour rien ?
« Ma voix me parut étrange": radier/irradier selon Suel, par Claro
Nous sommes tellement persuadés qu'écrire c'est choisir ses mots avec prudence et clairvoyance que nous finissons par oublier qu'en nous un crible terrible, un tamis par d'autres trafiqué, nous assiste obscurément dans ces choix.
Pourquoi ? Parce que nous écrivons avec la mémoire des choses lues, entendues, répétées. « Parce que les mots que nous croyons sortir de notre chapeau ont déjà fait leurs armes sous des légions de crâne. Nous sommes inspirés ? Non, plus vraisemblablement aspirés, notre langue prise à jamais dans le siphon de la redite, du formaté, de l'usé. Dans ces conditions, que peut la poésie ? » D’inventer le prétendu impossible. De ne pas baisser les armes pacifiques.
>>> -- Qu'est-ce qu'un "poème express" signé Lucien Suel ? Prenez une page de livre et frottez, grattez, occultez plus des trois quarts des mots pour n'en laisser flotter à la surface que quelques-uns, plus ou moins épars, et laissez un sens nouveau défaire la belle cohésion originelle. Il existe un terme pour désigner l'acte de biffer, de noircir mots ou lignes: caviarder. Ce verbe, longtemps réservé à la censure, le voilà depuis quelques décennies mis en pratique par la poésie, dans la troublante lignée du fameux cut-up inventé par Burroughs et Gysin.
L'apparente modestie du procédé, qui retourne les armes de la censure contre elle-même, ne doit pas faire oublier la savante malice du geste. Il ne s'agit pas de clamer que la poésie se dissimule dans n'importe quel texte mais de montrer comment, au moyen d'une vision-crible, il est possible d'arracher à la page saturée des bribes échappant aux diktats de la narration, de la description (lorsque décrire c’est ne jamais….expliquer ! Mais bien noyer le poisson ! Devenir ennemi de soi-même et des autres….), du dire. Le poème, s'il avance troué,
……c'est pour mieux faire résonner zones d'ombre et espaces vierges »
Là où rebâtir une véridique nouvelle civilisation. Que certain.e.s. vivent déjà
...
Bâtir ? Déjà en commençant par quitter complétement cette dite « intelligence » figée dans sa configuration préhistorique. Qui nous fait tant dysfonctionner par tous nos biais cognitifs. Vitrifiée, très barrée, obstruée, immobilisée, rendue obsolète ! Voici l’index de nos biais cognitifs : là où ils perturbent les plus nos adaptations aux transformations :
mémoire –
raisonnement –
jugement –
gestion de la réalité sociale –
personnalité
Pas moins de 49 biais cognitifs très étudiés :
Biais acteur/observateur
Attribuer plus de poids aux explications externes (environnement) pour les succès des autres et internes (dispositions personnelles) pour leurs échecs.
Erreur d'attribution de responsabilité injustifiée
Blâmer les victimes d'un accident qui vient de leur arriver.
Erreur ultime d'attribution
Appelée aussi biais pro-endogroupe ou d'ethnocentrisme. Favoriser systématiquement son groupe d'appartenance lors de l'attribution causale, par rapport à un autre groupe.
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“Nos moyens tendent à devenir fins en soi. Et du coup la fin – l’homme – devient moyen.” Bernard Charbonneau – tristes campagnes (1973, rééd.2023). Un moyen qui tue les autres comme sans y penser. Une nuisible régression causée par les si faux dirigeants !
Le-capitalisme-détruit-les-campagnes-donc-la-vie-!
“Rien n’est plus universel que l’originalité et l’autonomie locales : en étant elle-même, la plus petite des patries témoigne contre un monde pour un autre (…) Un pays de plus est une chance de plus pour l’humanité. ”Bernard Charbonneau – tristes campagnes
>>> Mais alors comment changer la donne ? Dans un chapitre intitulé de manière équivoque « pour une guerre d’indépendance du Béarn », l’auteur donne un certain nombre de pistes, légales ou illégales, avec différents niveaux de radicalité (indiquant même les peines encourues pour chaque). Il incite par exemple fondamentalement à s’en prendre directement aux responsables : « je ne vois pas pourquoi on ne polluerait pas la face désinfectée à l’after-shave des pollueurs en leur crachant cette colère à la figure ». Il tente toutefois de se distinguer d’un « terrorisme vulgaire qui s’attaque volontiers à des sous-fifres ou à des innocents », là il faudrait cibler les vrais coupables. Cette incitation à l’action concrète peut avoir quelque chose de cathartique.
Tristes Campagnes est paru en 1973. Cinquante ans plus tard, nos campagnes sont toujours tristes car les causes n’ont pas changé : le capitalisme s’étend et les détruit. Bernard Charbonneau donne l’exemple d’une critique non-réactionnaire de défense de la ruralité qui semble plus nécessaire que jamais. »
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Il faut bien que – de temps en temps – du véritable nouveau survienne.
Du nouveau non connecté avec ce qui le précède. Du jamais éprouvé avant Un évènement majeur qui naît sans passé.
--- Le voici ce tout neuf : le langage est un tout uni, où tout se prouve et trouve lié et relié, unitaire et solidaire, compact et indissoluble. Et pour cette toute autre fertilité (qui nous dépasse tant), ne peuvent qu’exister des mots « racines » de beaucoup d’autres.
De mots-souches.
Des mots fondateurs.
Des mots fondations sur lesquels se fondent tant de charpentes costaudes. Architectures qui élèvent tout l’édifice.
Un exemple percutant ?
Le mot nom ; ce patriarche très fécond qui nous ouvre toute la langue. Ce mot extrêmement important sans lequel rien ne peut continuer. Après lui survient une ribambelle de nouveaux nés. Qui vont grandir dans toutes les directions. Se diffuser généreusement.
Puisque la fécondation la plus forte se trouve en ce mot-souche. Forte puisque ayant un impact gigantesque. Nous le retrouvons dans tout le langage. Le fond des problèmes, le fond des réponses, le fond des nouvelles interrogations, jamais encore pensées avant – le nom y est déjà.
Oui ce nom NOMme .
Et son envers encore plus irradiant : sans le nom l’impossibilité de nommer. Cela en est à ce point.
Et votre nom lui-même vous insère, vous accueille dans ce grand prodige : le langage a « besoin de vous » afin de se déployer en son entier. Nul n’est inutile, personne n’est rien, l’économie monstrueuse reste une nuisible filouterie. Et ce syntexte (qui décrit les paradigmes en formations sont des syntextes, un nouveau mot !) va nous parler de ce… prodige. D’avoir, à travers les si nombreuses interrogations qui ouvrent tant de portes.
Sans le nom impossible de Nommer. Il n’y aurait que -mer. Et tout se verrait immobilisé, figé. Ce sont bien les noms unis et réunis qui nomment, désignent, font signes, disent et prédisent.
Et ce nom nom permet à tant de mots d’exister
---- Encore de renommer la renommée.
Le prénommé n’ouvre rien d’autre que d’être prénommé, dénommé. Personnes par qui naissent et…connaissent. Co-naît. Participer des naissances verbales des verbes. Et être des co-créateurs. Tous responsables de tout et responsables des autres.
Bref, un immense monde nouveau s’ouvre à nous, à tous, pour la toute première fois.
L’adéquation du nom et de ce qu’il nom-me (donne ou prête son…nom) oui implique que ce n’est pas un « jeu de mots ». Mais bien la véridique structure du langage toute entière contenue dans chaque mot. Pas un jeu superficiel. Mais que toute la chair du langage apparaisse dans cette…émergence des racines. Nous vivons et sommes ces mots- racines. Et c’est un honneur que de participer aux naissances en direct. Parce que vous le voulez bien ! Les prodiges n’apparaissent qu’à qui se sont, avec entrainements préalables, transformés pour les accueillir et les comprendre.
Tout le monde peut suivre ces modèles en les adaptant à lui/eux. N’empêche que le prodige a bien eu lieu. A trouvé son lieu qui a encore lieu. Tout le contraire d’un jeu de mots externe et étranger. Ici, la rencontre qui rend tout contre, qui rend compte, qui fait front et frontières. La fin, le but du vrai langage tout un et uni est tout différente de ne «s’en tenir qu’en dehors de la vraie vie et des authentiques Nous ». Mais de vivre et de vibrer avec (donc) les racines-sources génératrices de pleins d’autres petits mots. Chaque mot (qui n’est pas verbe) a son propre verbe. Ici qui nomme. Et ce verbe féconde le langage ; le fait sortir et ressortir de son ombre et le pousse à rechercher la lumière.
Ce qui prouve visuellement et auditivement sa structure particulière. La «nomination» de chaque mot (le triomphe du nom que cette «nomination» du nominé !) c’est d‘avoir le particulier et ses particularités…cette particule. Vous entendez.
Et nommer (acte fort !) devient mettre l’action en tout. Mais d’agir à fond, nommer va trouver tous les noms, donc les noms, donc de tout le monde. Toutes les boucles se montrent bouclées à la fois. Puisque eh bien écrire c’est tout traduire et sous toutes ses facettes dans le même temps. C’est, et grâce à la syntaxe, de guider et de faire découvrir l’entièreté de tout, qu’écrire !
Un autre exemple ici :
Les noms sont-ils des mots ? Et pourquoi, alors, ne disons-nous pas motés puisque nous disons…nommés. Oui nom-mer : donner un nom. Tout ce qui est nommé englobe alors tous les mots ? Ou, encore, sans nom originel pourrions-nous encore nommer quoi que ce soit ensuite ? Et plus rien ne serait nommé ? Puisque, dans le/ la langue, tout s’accepte nommé…communément, en commun.
>>> Nous voyons à quel point l’arbitraire du signe, qui conserve le grave défaut de n’en rester qu’à l’aspect extérieur du langage, aura surtout été un grand confusionniste. En ce sens qu’il aura tout figé, immobilisé, pétrifié, médusé autour d’une impression d’avoir tout compris. Ce qui ramène à Karl Popper et sa «réfutabilité » (to falsify) – si un système ne peut être réfuté, remis en question, interrogé autrement, il n’est tout simplement pas une science. L’arbitraire du signe se répète en boucle mais ne fait découvrir rien d’autre. Or, toute découverte ne peut que demeurer fertile, déboucher sur du refertilisable à l’infini.
Point de nouvelle récolte ici : juste une porte fermée qui ne résout plus jamais rien. Qui fuit tout débat et ne correspond pas au mot respons-able, qui est apte et abilité aux réponses (respons en vieux français)…donc qui a perdu la responsabilité de nous faire «comprendre» le langage. D’en répondre. Ce n’est plus la bonne méthode d’interrogation.
Sans nom – plus de possibilité de …nommer. Ce n’est plus alors un son qui ne répond pas seulement à un sens, mais une structuration organique, descendant jusqu’à l’infime grain très matériel de la langue et du langage. Il y a limpide visibilité de la faculté « d’incrustations » du langage. Tout y devient sens dans le son, tout s’y répond et se répand. Le mot « nom » ou le nom « mot » fertilise, ainsi, de gigantesques pans du langage. Voire tout. Avec une nécessité inclusive. Si nommer vient de nom, nom n’est pas une lubie arbitraire. S’il n’y a plus nulle « racine », nul préfixe ou suffixe, affixe, etc. donc aucune famille lexicale, aucun « lignage », si rien ne procède de ce qui le précède – tout n’est plus que chaos. Rien qui informe, tout qui reste informe. Le langage est tellement plus immense que le flou imprécis de l’arbitraire du signe (il répond à quoi concrètement ? A un ennemi inexistant à qui on ferait dire un trop improbable le son « est » le sens ?).
Et tellement plus subtil, le langage, que si cet arbitraire du signe avait pu subtiliser tout accès au sens, le subtil lui-même aurait débusqué la trace de cette subtilisation. Puisque, au fond, si le sens du langage n’est pas du tout dans la matérialité du son – où serait-il alors ? Dans d’évanescents nuages extraterrestres ? Dans un vide insonorisé inaccessible ? Dans une autre lubie ?
« Les mots aussi volent au dehors et rendent possible la constitution et l’examen du dedans. »..C’est de François Dagognet – Les Noms et les Mots, Septembre 2008), ouvrage étrangement très …dissimulé…
..
Ce pourquoi nous pouvons transformer le monde
…en partant de nos propres vies intérieures…
………….enfin unies vers un même But !
…… (à suivre)
...Nous ont offert une citation // En avons fait ceci :
Contre le sens commun, Théodore Roszak insiste sur le fait que le meilleur moyen de lutter contre des fascistes n’est pas de montrer tous leurs méfaits et sadismes. Ils se repaissent de « ce qu’ils sont ». Ils sont si contents de ce qu’ils font. Vous allez donc renforcer leur esthétique : l’atroce au-delà de toutes hontes.
>>> -- « La seule façon de traiter avec le fascisme est de montrer et remontrer aux gens ce qu’il n’est pas. La joie, l’amour, la paix, l’innocence, l’honnêteté, etc. »
De les placer en mauvaises postures et les faire se sentir dépassés, patauds, et empotés, dans des situations qu’ils ne connaissent pas. Qu’ils n’ont jamais vécu. Ce qu’ils ne sont pas reste le moyen de les détruire à petit feu - même si, au départ, nous avons du mal à le croire. Ils en perdent la face. Perdent leur propre estime de soi, etc. Difficile à résumer sauf si vous avez expérimenté, au préalable, cette expérience en direct ! (à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, aussi, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêtons de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce texte a su retenir votre attention dans les 5 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Couvertures de magazine.education.investing.com---1 )- bored panda Between-Two-Worlds et 2 )-- -Melting-Pot.jpg Piotr Parzybok....ici... Le Grand Virage de l’ Humanité que cite Béatrice Rosen
cqfd-journal.org….Colloghan -lempeduza : les médias menteurs emplissent le lieu de leurs bruyantes folies. Et osent qu’ils décrivent – là - les immigrés !!
cqfd-journal.org/… Alex Less…Paradis fiscal, enfer social.. ils gaspillent le ¼ du budget commun « juste » pour protéger les plus grands vrais bandits de la planète ! Que ne fait PAS la police ?
32 mn…l’énergie Gratuite pour tous par le vide….
11 m, Le GRAND VIRAGE de l'humanité vers un éveil de la Conscience
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" Il faut cesser de céder aux caprices d'Ursula von der Leyen ! " - Fabien Bouglé
Expert en politique énergétique, Fabien Bouglé est l'auteur de " Nucléaire, les vérités cachées " (éditions du Rocher, 2021) et de " Éoliennes, la face noire...
Ne plus céder à la CE ! Nous sommes souverains pour l’énergie : dehors ces illégaux parasites.
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Quels scandales se cachent derrière l'échec du "notwitter day" ? | I. Aberkane avec Béatrice Rosen
Au même moment où le nouveau Speaker of the House des Etats-Unis confirmait publiquement, et au nom du Peuple américain, que Twitter avait opéré comme une "f...
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1 h 24 mn…Quels scandales se cachent derrière l'échec du "notwitter day" ? | I. Aberkane avec Béatrice Rosen
17 mn…VOUS ÊTES L’ÉVOLUTION : MR MONDIALISATION LÈVE LE MASQUE
Le génie agit, il génère donc régénère : il vous offre le gîte et la gite ! la surface et le refuge.
11 mn…La Russie et la chine bannissent le dollar de leurs échanges : persona non grata dépourvue de toute honnêteté…
16 mn…Camille réenchante la réalité en réalisant des œuvres interactives poétiques
11 mn… L'Ancienne Carte de l'Afrique Va Vous CHOQUER !
L'image peut-elle tout maîtriser ?, François DAGOGNET
Les mots contenant, et à rabord, les images primordiales, donc primales, premières, primitives – nous pouvons compter dessus. Utiliser les conclusions des philologues afin de fuir les conséquences antisociales des images…de plastiques – les disqualifie suffisamment pour que la vigilance soit allumée…