Comment c’est à côté des lois que se glisse le coup d’état ?
Tant d’histoires parallèles, enchevêtrées, divergentes, invasives, ou bien dissimulées, embarrassées, qui ne se rencontrent pas, qui restent monopolisatrices, excluantes, sans aucuns points communs. Et pas assez de voix pour tout dire, tout unir et mettre en harmonie. Pourquoi alors ce monologue unique qui s’enfonce, sans cesse, dans ses multiples erreurs ? Est-ce que la première et efficace approche n’est pas de commencer par les histoires secrètes ?
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Ne serait-ce qu’afin de dépasser l’obsession du monologue, monologue qui ne peut qu’être « antirépublicain ». Oui, nous devons dire tout le possible de la manière la plus consensuelle à notre portée. Soit surtout ne rien cacher de tout ce qui peut augmenter la conscience de la collectivité sociale.
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1 )) –Comment aura été non conforme à la Constitution la fausse excuse des Jeux Olympiques ?
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Attention la démonstration souveraine qui suit peut donner le vertige, des pauses peuvent être nécessaires. Mais nous sommes déjà passés par là, avons tout lu, et nous vous authentifions que l’on en sort grandis ! « Emmanuel Macron ne se préoccupe pas davantage de la Constitution – alors qu’il en est solennellement le « garant ». Et qu’il doive donc, inflexiblement, se l’obliger à lui-même d’abord la Constitution, avant que de l’appliquer aux autres.
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« La trêve (sic) olympique », le trop faux prétexte qu'Emmanuel Macron a invoqué pour justifier ( ?) sa décision de ne pas nommer de Premier Ministre, n'est aucunement un cas de figure qui permet au Président de le faire. Et pour cause ! En fait, la Constitution ne définit aucun cas de figure dans lequel le Président peut… ne pas nommer de Premier Ministre, et donc laisser le pays sans Premier Ministre et sans Gouvernement, et avec pour conséquence qu'aucun citoyen n'est habilité à « déterminer et conduire la politique de la Nation » (article 20 de la Constitution), ni à « assurer l'exécution des lois » et « la Défense nationale » (article 21 de la Constitution). Donc, l’excuse (sic) n’est pas acceptable puisqu’elle demeurera à toujours anticonstitutionnelle. Qu’est-ce à dire ?
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La Constitution prévoit uniquement que le président de la République peut se substituer au Premier Ministre et au Gouvernement dans ces deux domaines, s'il fait application de son article 16, à savoir « les pleins pouvoirs » donnés au Président. Donc il fallait les «pleins pouvoirs » (article 16) pour oser « la trêve (sic) olympique ». Or ceci n’a pas eu du tout lieu. Puisque, tout simplement la Constitution l’empêche.
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Cependant, le recours à l'article 16 est impossible sans Premier Ministre en fonction. Pourquoi ? Parce qu'aux termes de l'article 16 de la Constitution, le Président ne peut s'arroger ces pouvoirs exceptionnels, qu'après « consultation officielle du Premier Ministre » :
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« Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la Nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacés d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président prend les mesures…exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des Présidents des Assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.»
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Ces motifs de « menaces » n’existant pas puisque, ici, ce sont juste des Jeux (sic) qui interrompent la procédure essentielle des suites d’une élection qui engage tout le pays. Ce qui n’est pas rien, de la toute première importance. Enfin, la Constitution est subtile (c’est–à-dire qu’elle représente un tout uni qui se tient et maintient dans chaque détail !). Subtile afin que rien n’y puisse subtiliser quoi que ce soit.
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FranceSoir--édito-de-haute-tenue-de la-rédaction-20-août-2024
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Voyez et amplifiez.
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« Or, pour que consultation « officielle » du Premier Ministre il y ait, il faut qu'un Premier Ministre ait été nommé par le Président, et qu'il soit… en fonction. Un Premier Ministre démissionnaire ne saurait suffire. Sauf bien sûr à considérer que participer à la décision de conférer les pleins pouvoirs au Président, fait partie de la gestion « des affaires courantes », celles dont un Premier Ministre démissionnaire « peut » (doit) s'occuper en attendant la nomination de son successeur. Donc la véritable « urgence » salubre était de nommer ce premier Ministre joker, non d’éviter surtout de le faire !
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Constitutionnellement, sans Premier Ministre et sans Gouvernement, le pays se retrouve à l'arrêt. Bloqué au niveau de l'article 20 (c'est-à-dire pour ce qui est de « déterminer et conduire la politique de la Nation »), l'article 20 définissant que c'est un pouvoir conféré uniquement au… Gouvernement. Et, bloqué au niveau de l'article 21 (autrement dit, pour ce qui est d'« être responsable de la Défense nationale » et d' « assurer l'exécution des lois »), l'article 21 définissant qu'il s'agit là de pouvoirs conférés…uniquement au Premier Ministre. Et pas de Gouvernement sans Premier Ministre.
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Nous sommes déjà dans un sac de nœuds pleins de vertiges et nous devons avancer vers la clarté des Lumières. Lumières très non dionysiaques, au sens de « Dionysos qui signifie les désordres partout autour de lui» de si mauvais augure. D’où, dans le même temps ces si sérieuses « Histoires de Frances : Juin 2024 à Août 2024 inclus »
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Par conséquent contre le chaos d’obscurités s’atteler à tracer des voies d’accès très ordonnancées. Tels les si mondialement connus « jardins à la française ». Voyez à quel point unitaire et subtile s’épanouit la Constitution de 1958. Faut l’aimer pour la comprendre vraiment. Tout absolument tout s’y tient. Rien ne peut en mésuser.
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.2 )) – C’est bien la victoire de la Constitution de 1958 qui a lieu
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« Pourquoi ? Essentiellement parce que cette décision (de reporter sans vrai motif la nomination d’un Premier Ministre) intervient en violation manifeste de l'obligation, oui obligation, que l'article 5 de la Constitution, fait au Président de veiller « au fonctionnement régulier des pouvoirs publics. » Et, accessoirement, parce que les deux prétextes, en fait, invoqués par Emmanuel Macron pour justifier cette décision, sont totalement… infondés. Le premier prétexte, l'officiel, « la trêve olympique ( ?) » constitutionnelle qu'il a décrétée, souvenez-vous, n'est nullement définie par la Constitution comme étant un cas de figure dans lequel le Président peut ne pas nommer un Premier Ministre. Tout au contraire, très expresse fut l’obligation même de nommer un Premier Ministre puisqu’aucune « menace » n’existait. Jouer n’est pas un motif d’alerte suffisant pour stopper quoi que ce soit dans «la procédure solennelle des vraies élections». D’autant plus que, dans la hiérarchie des actes « républicains », le décret reste très au-dessous de la Constitution qui « oblige », elle, aux actes « républicains ». Et il en est de même du second prétexte qu'Emmanuel Macron a invoqué, certes moins intensément, mais tout autant… officiellement. À savoir l'impossibilité « mathématique » d'avoir un Premier Ministre bénéficiant d'une majorité à l'Assemblée nationale, vu sa composition à l'issue des élections législatives anticipées intervenues suite à la dissolution décrétée aussi. Historiquement, et en Europe, nombres de cas de figures semblables n’empêchent pas du tout la constitution de gouvernements sans majorités absolues, gouvernements qui doivent « s’adapter » à cette situation par des alliances et des coalitions. En Belgique, actuellement, cette situation exemplaire existe. On ne voit pas pourquoi la France serait un cas si à part : une « majorité relative » est bien une majorité. Cela ne se discute pas. Sinon plus jamais aucune élection pourra avoir encore lieu ! Soit le pire des pires coups très antidémocratiques portés à cet ex-grand pays !
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Diable ! Tout d'abord, c'est là…préjuger du vote des députés, et deuxièmement - ET SURTOUT ! – le principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs oblige (posé par l'article 17 de la Déclaration des droits de 1789 auquel renvoie le préambule de la Constitution), le président de la République (pouvoir exécutif) a interdiction de s'immiscer dans la décision que prendra l'Assemblée nationale (pouvoir législatif), de valider ou non, conformément à l'article 50 de la Constitution, la nomination du Gouvernement qui aura été formé consécutivement à... la nomination d'un Premier Ministre : l'acte constitutionnel que le président de la République… doit accomplir par application impérative de l'article 8 de la Constitution et pour le respect de son article 5.
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Article 50 de la Constitution : « Lorsque l'Assemblée nationale adopte une motion de censure ou lorsqu'elle désapprouve le programme ou une déclaration de politique générale du Gouvernement, le Premier ministre doit remettre au président de la République la démission du Gouvernement. » Tout se tient et tout s’y tient. Y déroger c’est comme foutre le bordel, la chienlit non ? Vérifié depuis le 7 juillet, non ou oui ? Trop d’articles exigeants de la Constitution n’ont pas été respectés !
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« Je résume. Le président de la République ayant l'obligation de veiller au fonctionnement régulier des institutions (article 5), il doit nommer un Premier Ministre sans attendre (article 8) et sans tenir compte du fait que, comme la Constitution le prévoit (article 50), son choix de nommer tel citoyen Premier Ministre puis nommer avec lui les autres membres du Gouvernement, peut être désavoué par l'Assemblée nationale.
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Oui. Pour empêcher tout cela, il aurait suffi, par exemple, qu'après la démission du Gouvernement, Laurent Fabius fasse une déclaration publique officielle, consacrant le fait qu'aux termes des articles 5, 8, 20, 21 et 50 de la Constitution et de son préambule, la composition de l'Assemblée nationale n'a aucune incidence sur le fait que le président de la République doit nommer un Premier Ministre. Qu'il ne peut pas laisser le pays sans Gouvernement. En tout cas pas au-delà du temps de la mûre réflexion qui est nécessaire, évidemment, car la décision est lourde de conséquence, pour le citoyen qui exerce la fonction de président de la République, concernant donc le choix de celui qu'il décide de nommer Premier Ministre. »
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Rien de ceci n’a été fait : alors que le simple usage de la Raison, voire du bon sens, traçaient une route claire. Et qu’en procédant pas à pas et en s’obligeant « aux devoirs qu’une fonction oblige » (les respects successifs des devoirs inscrits dans la Constitution) il n’est guère difficile de faire un sans-faute face aux vraies lois.
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Et pourquoi cela ne marcherait pas, ne fonctionnerait pas ?
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...3)) – Le comportement autodestructeur de ne pas reconnaître les les majorités reconnues comme telles ?
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Alors que la Constitution de 1958 clarifie que les majorités existent bien qu’elles rendent même possible la tenue d’élections dites « sincères ». Et que les résultats « sacrés » des élections sincères doivent se voir très sérieusement respectés. Puisque ces élections demeurent si au-dessus de toute fonction politique. Et qu’il faille, de ce fait, se comporter en anarchiste très négatif pour remettre en question ces résultats si au-dessus de toute fonction politique !
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FranceSoir--édito-de-haute-tenue-de-la-rédaction-20-août-2024
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« Son truc à lui : c'est discriminer les majorités. Toutes les majorités. La majorité dite « civique » (le corps électoral), la majorité « identitaire » (le Français né de deux parents Français), la majorité « sociale » (les ménages les plus pauvres), et, surtout la majorité « sexuelle » que sont les hétérosexuels. Oui, en un mot (trois plutôt), la majorité qu'Emmanuel Macron s'emploie à discriminer, maltraiter, emmerder, exploiter et insulter sans relâche depuis sept ans, c'est « le Français moyen. » Le citoyen lambda.
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Remarquez, une partie de ces citoyens-là ont voté pour lui en 2017 et en 2022 (ils le regrettent tant !). Donc, quelque part, ils ont ce qu'ils méritent. Le problème, c'est que leur choix a… impacté les 66 autres % de Français. J'entends par là les 66 % de Français en âge de voter, qui n'ont pas voté pour Emmanuel Macron, l’éternel minoritaire. Soit parce qu'ils ne sont pas inscrits sur les listes électorales (16 %), soit parce qu'ils se sont abstenus (20 %), soit puisqu'ils ont voté Marine le Pen (30 %). Cette majorité (deux tiers de Français), Emmanuel Macron n'en a cure. »
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Sauf que ce comportement comme antisocial reste sans issue, une impasse, sans sortie, sans solution.
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>>>>>> - Si vous ne respectez pas les majorités, eh bien vous les minoritaires réfractaires, vous ne pouvez exiger...
….que votre minorité, et elle seule, soit respectée.
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Exiger que vos « décisions », ne reposant sur plus rien de constitutionnel, ne peuvent « obliger » quiconque à les respecter. Puisque ne représentant pas une majorité. Le principe d’universalité de la loi existe bien : si vous ne le respectez pas, plus rien ne peut être officiel, plus rien ne peut être dit non légal. Ou bien le réglementairement « obligatoire » ne peut invoqué. A peine évoqué, puisque c’est vous-mêmes qui affirmiez que les majorités « se décrètent » uniquement mais sans exister. Donc plus rien n’est (donc de par la loi falsifiée !), plus rien n’est plus vraiment républicain. Fin de l’officiel, fin des pouvoirs établis, fin des légitimités (puisque plus rien n‘est légal faute de respects des majorités), fini l’obligatoire réglementaire, finie la police, aussi, puisqu’elle ne peut rien faire respecter…légitimement, etc. Etc. Voici ce que c’est « d’avoir laissé faire » les vrais ennemis de la réPublique publique. Ces dangereux extrémistes fanatiques de « l’extrême centre ». Dont le seul but aurait été de tout casser, tout casser L’auraient-ils si complètement réussi ?
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Ouf, ils l’ont raté d’avoir été si peu exigeants envers eux-mêmes !
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Les indices ne sont plus indicibles !!! Grâce à leurs incroyables accumulations d’erreurs !
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Dont la plus énorme aura été de ne pas reconnaître les majorités …
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Ce qui, trop imprudemment aboutit à ne
… plus pouvoir être « reconnus » eux-mêmes !
…..…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
.. Que la gigantesque fraternité affective et mentale nous grandisse et nous nourrisse!!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer),onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Lutter POUR va plus loin que lutter seulement Contre !
La fausse Dette publique = la somme des gains du privé
Ceux qui votent l’impôt doivent le payer
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
La Bourse ne s'insère nulle part dans la théorie économie
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ? Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
beymedias.brightspotcdn.com…Le Sphinx ne « peut plus » répondre. Il n’a donc aucune réponse. L’imposture doit cesser. Dissolution enfin du Conseil Constitutionnel grand fauteur de troubles par non intervention ?
insurgenciamagisterial.com Hannah Arendt : « S’il cesse de penser, chaque être humain peut agir en barbare ».
Le dol définition, conditions et sanctions (article 1137)
Dol définition et exemples - Les conditions du dol - Les sanctions encourues par l'auteur du dol - Différence avec le vice caché.
le DOL comme dans doléances !
Arguments pour la cohabitation en cours - Le blog de imagiter.over-blog.com
" Législatives " les élections ! Vos oreilles viennent ainsi de se déboucher. Ceux qui légifèrent, font les lois, sont les députés et pas les gouvernementaux... Ces gouvernementaux qui veule...
https://www.imagiter.fr/2024/08/c-est-le-cote-legislatif-donc-parlementaire-de-la-constitution.html
Un délai de dix jours suivant la proclamation des résultats est ouvert aux personnes inscrites sur les listes électorales et aux candidats pour les contester devant le Conseil constitutionnel. ...
L’Histoire --- « Un délai de dix jours suivant la proclamation des résultats est ouvert aux personnes inscrites sur les listes électorales et aux candidats pour les contester devant le Conseil constitutionnel. À l’expiration de ce délai, le Conseil a enregistré 81 recours contre les résultats des élections législatives des 30 juin et 7 juillet 2024.
La liste de ces recours peut être consultée sur la page des affaires en instance du site internet du Conseil constitutionnel (rubrique AN).
Le Conseil constitutionnel examinera la recevabilité des recours ainsi enregistrés, de manière à écarter dès les semaines à venir ceux qui seraient manifestement irrecevables.
Les autres recours seront jugés dans les meilleurs délais, après une procédure contradictoire qui pourra prendre en considération les décisions de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques concernant les comptes de campagne des élus.
« Et, enfin, notons également que le Conseil constitutionnel aussi s'emploie à faire traîner les choses. Alors qu'il a été saisi de 81 recours contre les résultats des élections législatives, immédiatement après la proclamation de ceux-ci (à savoir le 7 juillet 2024), le Conseil constitutionnel n'a toujours pas statué sur ces recours, c'est-à-dire là aussi plus de six semaines plus tard, et série en cours.
Entre autres incongruités constitutionnelles qui en découlent, cela permet à certaines « personnes » (« des copains des copains ») de cumuler, jusqu'à ce qu'intervienne la décision du Conseil constitutionnel, des fonctions qui normalement sont incompatibles, tels Présidents de collectivités et Président de tel groupe politique à l'Assemblée nationale, en tant que député. »…20 août 2024…