L’histoire d’un résident en la république ?
Ceci reste une fiction. Grâce à/au D…il demeure impossible que ce soit autre chose qu’une fiction ! Texte écrit le 31 Juillet, ce qui peut intéresser certains d’entre vous. Attendu que deux faits flagrants dénouent l’actuelle situation disons « psychologique anormale ». Puisqu’absolument rien de juridique ni d’état de droit n’y figure. Soit, afin de résumer, un personnage, pour lui-même, refuse toute règle. Mais, dans le même temps, exige hystériquement que tout le monde obéisse à toutes les règles. Sauf lui. Tout le monde comprend, à la seconde, que c’est le comportement ultra dissymétrique de cette personne qui ne va pas du tout. Et que, dans cette situation verrouillée par la mauvaise volonté, seul ce comportement « solipsiste » peut et doit être modifié :
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Deux conduites peuvent vite y parvenir : « par la volonté du chef de l’état, le pays tout entier est bloqué, et il refuse de nommer un premier ministre, alors que dans bien d’autres pays, c’est le parlement qui nomme le chef du gouvernement. » Ce qui ne colle pas et de manière flagrante reste ce cumul anti constitutionnel qui confond agir en tant que chef de gouvernement et agir en tant que chef de l’état. Les deux à la fois.
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C’est aberrant que personne n’ait réagi en clarifiant que nulle part dans la Constitution il ne soit dit que « la gauche ne peut gouverner », que l’alternance soit prohibée, que seule la droite de l’illégal « extrême centre » aurait tous les pouvoirs (alors que 3 votes énergiques viennent de les...lui retirer !) et que la présidence de la République nomme selon ses caprices, son auto-auto-apartheid. Rien, dans la République ne tourne le dos à l’universel, nul étant citoyen ne doit être racisé ni abusivement méprisés. Il n’y a pas un vote qui vaille + 10 et l’autre moins 10. Or ? L’égalité fait le Droit, en aucun cas le vrai droit ne parle d’inégalités…Rien donc n’est « juridique » dans les préjugés de l’auto-proclamé haut. Préjugés qui doivent être très fermement rejetés. Ils font de la vraie loi républicaine un marché anti-universel d’argent que la Constitution refuse avec énergie. Tout doit échouer dans ce si faux raisonnements qui veulent « faire de tours de passe-passe avec les vraies lois ». Voyez comment leur montent même à la tête folle que tous les pouvoirs anticonstitutionnels n’existeraient que pour eux seuls : même celui d’interpréter tout de travers ? Oui surtout ces mésinterprétations ! Celles qui, malgré tout, ne se prouvent que falsifications et qu’actes de faussaires très anti…républicains ! Juste le temps d’examiner ceci : « Le président de la République n’a la liberté de nommer une personnalité qui ne soit ni député ni sénateur avant sa nomination à la tête du gouvernement : c'était le cas de Georges Pompidou, de Raymond Barre, ou plus récemment, de Dominique de Villepin. Toutefois, le président disposait d'une majorité parlementaire à chaque fois. Puisque cette liberté ne peut être exercée en… période de cohabitation. » (source Wikipédia).
En conséquence ne disposant d’aucune majorité parlementaire, même pas la majorité relative du NFP, il n’a de liberté que très restreinte. Et surtout pas celle de nommer qui il veut. Surtout en période de cohabitation… D’où carrément des exercices de trop mauvaises fois, malheureusement relayées par des médias irresponsables…Seule la « majorité relative » du NFP peut servir de vivier à une/un Premier ministre légal. C’est infiniment clair…C’est cet ensemble aberrant de subversions anti-juridiques que nous allons, patiemment, défaire directement.
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………..1) – Comment Karl Popper défait le vain macronisme ?
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Que donc un dit chef de tout peut dissoudre capricieusement l’assemblée, puis dissoudre les électeurs ayant par trois fois rejeté limpidement l’ex-parti au pouvoir, et, enfin dissoudre la Constitution même. Constitution qui ne parle pas de pleins pouvoirs d’un chef d’Etat pour désigner un Premier ministre selon ses seuls vœux, sans tenir compte des résultats des vraies élections. Et ce dans un « monologue ajuridique » vaseux qui l’auto-désignerait comme seul républicain et les autres non. Tout le monde reconnait là un procédé ultra sectaire, que rejette la vraie démocratie universaliste.
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Ainsi que par « la solide non falsifiabilité » (ou, en français, « le critère de réfutation ») de Karl Popper … Soit si ne peut être réfuté ce que vous dites, nous ne sommes plus du tout ni dans la science ni dans la rationalité. Donc ni dans la « science politique », ni dans la « raison » d’état. Juste dans les rêvasseries inconsistantes de voyageurs solitaires ! Comme exemple de « non falsifiabilité » Karl Popper donne la psychanalyse. Celle qui braille qu’elle a toujours raison, que personne ne peut la réfuter, que sa déraison devient la seule raison, et même plus. Un maigre club privé « sectariste » aurait-il donc remplacé tout un pays ?…Bref, tout ce qui vous rendrait comme divin et cela sans aucune démonstration sérieuse ne se passe uniquement qu’au royaume des immatures fantasmes. Pas dans le véridique Droit !
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La vraie science accepte de rester tout le temps réfutable, discutable, contestable, oui en quelque sorte incertaine : tout le monde peut (et a le droit de) tenter de défaire le consensus actuel et d’en créer un nouveau par principe de… falsifiabilité (là où réfuter c’est légal et « ne pas » réfuter serait irrégulier !). En politique c’est très exactement pareil : si vous restez dans la non réfutabilité, vous n’êtes plus dans la légalité. Et donc ne pouvez rien… imposer aux autres.
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Le second fait c’est le grotesque mensonge des médias d’argent que le gouvernement actuel (démissionnaire – non démissionnaire à la fois, comme ça arrange ! « arrange » les caprices des cancres en pleines « attaques anticonstitutionnelles »…)…« aurait » tous les droits. Parce que ? « Puisqu’aucun texte juridique n’encadre avec précision les missions d’un gouvernement post-dissolution ». Ce qui est faux et archi faux. Un gros mensonge de dangereux voyous ! Un gouvernement dit « démissionnaire » ne peut rien… faire de nouveau, tout au contraire !
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Mais (1) « juste veiller au bon fonctionnement ordinaire de l’Administration, dépourvu de toute initiative nouvelle » Donc n’avoir aucune initiative nouvelle. Les textes suivants vont prouver qu’ils en prennent et à la pelle des initiatives… initiatives donc non légales
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(2) « L’équipe sortante ne doit pas présenter de mesures qui engagent ses successeurs. » Cela exclut donc des textes nouveaux. Or l’a fait le dernier conseil des ex-ministres : et s’ils l’étaient encore, ministres, et agissant comme tels, ils ne pourraient pas…voter comme députés. Et ils l’ont fait, tout en agissant comme ministres. Cela fait bien 17 votes à décompter pour l’élection de la Présidence de l’Assemblée nationale !!! A annuler tout de suite dans ce cas précis…Le « en même temps » reste, alors, un mauvais acte de rébellion de factieux !
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…. 2 )) – Conséquence pratique du « On ne peut se dire à la fois ministres et députés » ?
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« On ne peut se dire à la fois ministres et députés ». C’est écrit noir sur blanc. Mais très mal interprété noir sur noir. Le Conseil constitutionnel est plus que compétent pour le souligner. Un gouvernement démissionnaire qui n’est pas démissionnaire…en actes, voit le temps jouer contre lui : il ne peut que commettre des erreurs. Ce pourquoi l’habitude sage reste de passer les pouvoirs le plus vite possible. Qui ne lisent pas les vrais livres d’Histoire s’auto-punissent.
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Est de trop un des deux 2 abus de pouvoirs (voter en tant que députés « en même temps » que prendre des décisions de ministres, décisions qui ne peuvent être dites « affaires courantes »). Comme celle de Le Maire qui, le 31 Juillet, « propose une baisse « significative » des crédits alloués aux ministères pour 2025 » - sachant que tout gouvernement demeure « solidaire » des décisions gouvernementales : sinon on « démissionne » (comme Chevènement !!!). Question : un des deux 2 abus de pouvoirs devrait se voir abrogé. Lequel, lequel (puisque, au final, ce sera les deux…) ? C’est devenu…inextricable ! Voici la patate chaude définitivement jetée dans «le mauvais camp ». Pendant les jeux non nécessaires, la vraie République incontournable a continué. Elle a horreur du marais, des tièdes, des raseurs de murs et des sinueux ! Qui ose encore que les actes d’un ex-gouvernement démissionnaire ne soient pas encadrés ? Un peu qu’ils le sont, et bien encadrés, tout comme les avides baveux se font toujours arnaquer par eux-mêmes : trop pressés, les citrons ! Ces précipitations trop précipitées les auront perdus.
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En effet, le vrai Récit conte et raconte : « durant les jeux (sic) les lois républicaines n‘ont pas été respectées par les ennemis réels de la République, de sa constitution et de ses institutions qu’ils cherchent sans cesse à détruire. Ils sont toujours mais illégalement au pouvoir »…Les a voir subis depuis plus de 7 ans le prouve chaque nouvelle seconde.
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Conclusions : sortons complètement les… déjà sortants ! Ils seraient devenus…hors la loi (voir cette incroyable assertion plus loin) !
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Comme nous l’avions prévu : tout se sera « passé » sans eux, en dehors d’eux. Et pourquoi SVP : parce que tous les arts sont…martiaux. Donc des actes de maîtres ! Lorsque, à distance, vous pouvez si votre cœur est pur, vous pouvez faire tomber les impostures, quelles qu’elles soient, et ce par…les faiblesses mêmes des corrompus. Aimer les arbres, ça aide vous savez. Mais si vous êtes « hors sols » et que vous ricaniez de la formule, aucune chance, pour vous, de vous en sortir !? Coucou le « sort » c‘est par où on… sort. Et tout bloquer a toujours été la plus claire absence de toute stratégie (du mot strate)………….
……………..3 ) - Lorsque tout se Libère ! (en 5 mouvements)
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1- « Comme le précise, l’avocat Patrick Lingibé, le Président de la République « est tenu politiquement de choisir » un 1er ministre qui sera accepté par une majorité de députés le cas échéant coalisés sur des projets partagés. lien. » Aucun encore de nommé et… « le temps est toujours contre les flous trop prolongés »…
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2 – Le gouvernement actuel règne alors qu’il ne dispose « d’aucune majorité même relative ». Cependant nul n’y est et n’y sera… primoministrable. Seul le NFP détient une majorité relative (le plus grand nombre de députés)…Eux seuls restent primoministrables. Le Président de la République « est tenu politiquement de choisir » entre les primoministrables d’après la loi. Soit ceux détenant la « plus grande » des majorités relative (le plus grand nombre de députés). Aucun monologue, se prétendant irréfutable, ne peut changer une telle règle impérative. Qui dissout légèrement l’assemblée est « tenu légalement d’en accepter le résultats ». Er ne pas se distraire dans « une majorité relative la plus nombreuse est moins… majorité que celles à plus petits nombres ». Oui ? L’arithmétique et la loi disent la majorité est celle du nombre de députés. Et aucun « dépit-déni » n’importe alors. Ce fait massif prend tout l’écran. En cas de refus réitérés il faut remplacer immédiatement le gouvernement actuel qui, lui, n’a aucune majorité. Surtout pas la majorité relative. Tiens la seule qui compte au final.
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3 - C’est le parlement qui nomme le chef du gouvernement ?
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Quelque part, oui c’est bien le Parlement qui nomme le chef du gouvernement ? Ce sont « ses » majorités chiffrées, appuyées sur des élections « légales et réelles » qui seules comptent. La Constitution de 1958 est semi-parlementaire et semi-présidentielle. On ne touche donc pas à la moitié parlementaire.
« En effet, qu’il soit appelé premier ministre, ou chancelier (en Allemagne ou Autriche), ou président du conseil des ministres (en Italie, Liban, Pologne…) ou président du gouvernement (en Espagne, Russie, Tchéquie, Croatie…), ou ministre président (aux Pays Bas, Länder allemands, région et communautés de Belgique…), etc., c’est le parlement qui décide de nommer le premier ministre, mais le maquignon de Matignon qu’est finalement Macron, entend tout régenter, se mettant ainsi quasi hors la loi. Lien. »…(source Wikipédia)
Lien à voir absolument à la rubrique « France» …Et le pays serait alors quasiment hors la loi, lui aussi ? La Constitution a prévu que dire non, dans ce cas, soit non aux dérives si irrationnelles des dirigeants, reste la meilleure solution !
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4 – Il ne fallait surtout pas faire les élections « avant » les J.O. ?
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Clair et archi clair que…non. C’est donc une grave faute que de l’avoir fait… avant (…et qui signe la masse énorme « de ce que l’on a à cacher » apparaît alors tel le « gagner du temps quel qu’en soit le prix ! ») !! Voici pourquoi et comment cela s’est noué :
« Principal argument avancé : il faudrait (soudainement) attendre la fin des Jeux Olympiques. Mais, dans ce cas, pourquoi avoir dissous dans la précipitation à la veille des Jeux Olympiques ?
Pourquoi ne pas avoir annoncé la dissolution après cet évènement, ce qui aurait d’ailleurs permis aux forces politiques d’organiser les élections dans de bonnes conditions comme cela est normalement la norme dans une démocratie ? »…etc. Le normalement serait donc toujours absent dans ces miasmes non…juridiques. Jamais juridiques ??
refus-de-lucie-castets-le-coup-d'état-continue/
Ces questionnements calmes, sérieux, très respectueux de chacune et chacun, et tournées vers les meilleures solutions pour toutes et tous - tiens, très soudain prennent tout l’écran. Vous savez pourquoi.
Eh bien, nous toujours pas. Si vous vouliez éclairer donc nos lanternes ?
5 --- Faire que l’Assemblée Nationale soit Respectée une bonne fois…et ne serve plus de paillasson illégalement réduit au silence. Rien que la Constitution pourrait avouer x 000 infractions gravissimes, depuis le 9 juin, oui à cette « Constitution semi parlementaire et semi présidentielle ». Et pas QUE présidentielle, cause directe du maximum des x 000 des infractions gravissimes … !
« il peut sembler inadéquat de saisir le Parlement alors même qu’il est privé de sa prérogative la plus forte, à savoir la possibilité de renverser le gouvernement », explique le SGG. » Nouvelle insulte grave que le Parlement puisse sans cesse être piétiné sans la moindre réaction…normale alentours !
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Tiens, puisque l’insulte grave 49-3 reste une lâcheté anti républicaine inexcusable contre la bonne Constitution. Ce pourquoi ce 49-3 ne peut servir que pour « 1 » dans le chiffrage des infractions gravissimes. Il y en a eu bien trop de ces fuites dératées…
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… 4 )). Textes qui ont tant consolidé un vrai débat ?
Textes qui ont tant consolidé un enfin très vrai débat ? C’est-à-dire, des articles mainstream une fois remis bien à l’endroit…Et qui étaient déjà annoncés en intro …
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« La valorisation des services publics élargit la mesure de la redistribution et de la réduction des inégalités ». Cela a de la sacrée gueule, non ?
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emmanuel-macron-profite-de-la-trêve-politique-pour-mûrir-son-plan-pour-matignon
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« Emmanuel Macron « mâchonne », selon sa propre expression, ses idées. Il compte nommer, d’ici à la mi-août, un premier ministre capable de composer avec une Assemblée nationale bigarrée, sans aucun groupe majoritaire (…faux et trop faux : « la majorité relative est la vraie majorité » ). Le chef de l’Etat aurait, selon ses proches, quelques pistes. Et il profite de la « trêve politique » qu’il a lui-même décrétée (donc qui « n’est pas » une trêve…Trêve inconcevable si elle reste…unilatérale. Sans jamais la possibilité qu’une majorité concrète s’y agrège un jour ! ) pendant les Jeux enjeux pour mûrir son plan.
Emmanuel Macron a fini par admettre sa défaite aux législatives, reconnaissant, le 23 juillet, lors d’un entretien à France 2 et à Radio France que la majorité sortante avait « perdu cette élection ». « Macron est sorti du déni tout en y… restant pire qu’avant», salue le directeur général de l’IFOP, Frédéric Dabi. »
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Mais jusqu’où peut aller un gouvernement démissionnaire ? Les frontières sont floues (faux : c’est de ne pas en parler, ou mal en parler, qui « rend » flou. Sinon tout est très clair : voir le texte ci-dessus !). Et le temps joue pour contre lui. Plus le nouveau gouvernement retarde à se constituer, plus le champ d’actions est large restreint pour les sortants. De fait, le nombre de dossiers à gérer augmente avec le temps. Puisqu’aucun texte juridique n’encadre avec précision (faux et très faux : voir le texte ci-dessus) les missions d’un gouvernement au bord de la démission (« au bord » : démission non effectuée, alors ?), c’est à la bonne appréciation de celui-ci (archi faux : voir le texte ci-dessus).
Bruno Le Maire, à Bercy, est-il encore dans son bon droit quand il indique, ce 31 juillet, qu’il va proposer une baisse « significative » des crédits alloués aux ministères pour 2025 ? Le sénateur communiste Ian Brossat ne s’y est pas trompé, faisant mine d’interroger face à cette annonce : « Qui est cette personne ? » :
Un sortant qui n’en est pas sorti ! Non non il n’a « pas le droit » de gouverner : « L’équipe sortante ne doit pas présenter de mesures qui engagent ses successeurs. » Il engage tous ces autres derrière leurs dos. Et cela s’est abondamment passé, non ? Les flagrants délits sont tous bien visibles !
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« Gabriel Attal se trouvera à la tête d’un gouvernement démissionnaire, uniquement chargé des « affaires courantes ». Un gouvernement démissionnaire « reste en place, tant qu’il n’est pas remplacé par un nouveau gouvernement, pour assurer, au nom de la continuité, le fonctionnement… minimal de l’État », explique une note du secrétariat général du gouvernement (SGG) datée du 2 juillet, dont l’AFP a obtenu une copie.
Le principe « des affaires courantes » ne figure pas dans la Constitution de 1958. Le terme est en revanche mentionné dans la Constitution de 1946 de la IVe République et défini par le Conseil d’État dans un arrêt de 1952 qui fait toujours autorité. Deux catégories sont établies : les mesures « nécessaires au bon fonctionnement ordinaire de l’Administration, dépourvues de toute initiative nouvelle » et celles qui doivent être prise au regard d’une situation d’urgence
Le gouvernement démissionnaire peut-il présenter un projet de loi ? Dans la mesure où elle n’est en charge que des affaires courantes, l’équipe sortante ne doit pas présenter de mesures qui engagent ses successeurs. Cela exclut donc des textes nouveaux et aucun gouvernement en affaires courantes n’en a présenté sous la Ve République (sauf les macrorisques ?). D’une part, parce que toute mesure législative est tenue « pour importante et politiquement sensible » et, d’autre part, « il peut sembler inadéquat de saisir le Parlement alors même qu’il est privé de sa prérogative la plus forte, à savoir la possibilité de renverser le gouvernement », explique le SGG »… Y a-t-il quoi que soit qui vous reste obscur ? Obscurantiste, le lieu qui ressemble à « leur » futur, l’obscur !
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conseil-d'état-ppl-la-gauche-ne-digère-pas-les-cumuls-et-le-maintien-du-gouvernement-attal
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Cet article et la loi organique qui en définit les modalités interdisent d’être à la fois ministre et parlementaire... sauf si le gouvernement est démissionnaire. C’est sur ce fondement que les 17 ministres-députés (nous avons vu qu’ils ne le pouvaient pas…voter. Restant « trop...ministres d’après les modalités de démissionnaires ! ».) ont pu prendre part à l’élection pour la présidence de l’Assemblée remportée par Yaël Braun-Pivet à 13 voix près. Alors qu’ils n’en avaient pas, manifestement, le droit, comme pas assez députés et bien trop ministres.
Mais les interprétations divergent et les communistes veulent donc clarifier la règle, en ajoutant dans la Constitution que l’incompatibilité perdure même en cas de gouvernement démissionnaire. « Il apparaît nécessaire de préciser la Constitution pour échapper aux interprétations qui mettent en péril l’équilibre même de nos institutions », écrit le groupe.
« Le législateur organique a, d’une part, dénaturé le sens de l’article 23 de la Constitution en prévoyant que l’incompatibilité ne prenait pas effet en cas de gouvernement démissionnaire et, d’autre part, méconnu l’étendue de sa compétence en ce qu’il n’a pas institué de procédure permettant de sanctionner l’immixtion de l’exécutif dans l’exercice du mandat parlementaire », a expliqué la députée écologiste Léa Balage El Mariki qui a déposé le recours. »…
Il reste vrai, qu’en aucun cas, aucun, un gouvernement ne peut « intervenir » dans le fonctionnement intérieur et le règlement de l’Assemblée Nationale. Il l’a déjà fait voir le « recours LIOT » de de Courson contre les Retraites. Ce recours est très recevable et doit passer : car « s’il augmente les dépenses », tout le processus de la fausse réforme des retraites figure, lui aussi, au sein d’une loi de financement rectificative…de la sécurité sociale…Donc cette fausse réforme « augmente aussi les dépenses ». Et doit se voir déclarée irrecevable puisque rétrécie à cette voie de garage où ne peuvent être prononcés que les… « augmente ou diminue, la dépense… Le passif est déjà lourd, vous voyez.
« Si le Conseil d’État juge cette QPC (question prioritaire de constitutionnalité) recevable, il la transmettra au Conseil constitutionnel qui devra s’y pencher. Saisis par LFI, les Sages se sont déclarés incompétents pour valider ou pas le vote des ministres députés mais « on essaie de trouver une autre voie » pour qu’il tranche, a expliqué l’écologiste.
La veille, c’est le chef des socialistes Olivier Faure qui a alerté le Conseil d’État sur de possibles « abus de pouvoir du gouvernement » au vu de certains actes réglementaires, notamment une série de nominations, qui, à ses yeux, « excèdent les prérogatives du gouvernement » démissionnaire.( l’équipe sortante ne doit pas présenter de mesures qui engagent ses successeurs. Cela exclut donc des textes nouveaux…Ce qu’ils n’ont pas vraiment cessé de faire !)
« Cela montre que la Ve République est fragile, et qu’elle n’a pas tout prévu. Il faut réparer les fragilités de la Ve République. Il y a un trou dans la raquette dans la séparation des pouvoirs », estime Léa Balage El Mariki, quand les sénateurs CRCE-K évoquent des « failles juridiques » à combler. »
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Vous voici à la tête objective de ce qui se nomme un vrai débat.
Un vrai débat pacifie toutes choses (se dé…battre c’est le après se battre !)) et arrive enfin aux solutions…
…solutions les meilleures pour les flagrantes majorités (le plus grand nombre !).
..…...(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
.. Que la gigantesque fraternité affective et mentale nous grandisse et nous nourrisse!!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer),onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Lutter POUR va plus loin que lutter seulement Contre !
La fausse Dette publique = la somme des gains du privé
Ceux qui votent l’impôt doivent le payer
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
La Bourse ne s'insère nulle part dans la théorie économie
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ? Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Qu’est-ce qu’un énoncé falsifiable au sens de Karl Popper ?
La falsifiabilité de Karl Popper ? Soit, dit autrement, le critère de réfutabilité. Si vous n’acceptez pas d’être objectivement réfutés, jamais vous ne pourrez vous prétendre scientifiques. ET donc ?
19 mn…Karl Popper : Le Vigilant Gardien de la Méthode Scientifique
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