Pourquoi ce qui en premier apparaissent sont la spirale et la ritualité dans la spiritualité ?

La « conscience phonologique » serait toute une succession hallucinée de mots abstraits, très en retraits, comme si nous étions carrément…séparés du langage. Comme si ce langage n’était pas nôtre, charnel, sensuel, sensitif, vibrant, aimant, ému, sonore, etc. -mais la description extérieure d’une machine glacée. Au sens papier glacé, imperméable à la con – et de porteur de froids extrêmes brrrrr…apporté par ces faux spécialistes qui n’ont rien à partager. Genre expérience directe de mots ! A la place ils fourguent des listes de définitions hors contextes, hors propos, hors sujet, hors sol, hors vie, etc. Qui, à l’évidence, n’ont rien à voir avec le langage vivant…mais tout avec une langue morte qui ne sert que de décor. Mais ne doit plus être utilisée. Et une langue de fraudes, maquillée, viendrait la remplacer dans l’ombre ?

Ils en sont à délirer que le mot cheval ne correspond pas…à cheval. Que le son ne décrive rien, n’est rattaché à rien. Or qui irait, à part eux, penser à ces stupidités (pour eux, tous les sons ne sont là que pour rien, il ne faut surtout pas les écouter !) ? Le son cheval est choisi en tant qu’éclat, reflet, rayon, vecteur directionnel par rapport au langage complet. Pas de mots isolationnistes mais toutes en archipels réunis. Mieux ? Si vous parcourez en survol des listes de mots, vous ne pouvez qu’y trouver bien plus de ressemblances frappantes que de…différences qui éloignent inhumainement. Le langage rests complet et ne se complait pas dans les mots séparatistes.

……….......……..--- Les correspondances ?

Les exemples fourmillent. Un seul et tirons sur le fil ? Co-respondance qui souligne la participation active de ces co-, coprésents et coactifs, à cet évènement commun. Respondance c’est de l’ancien français de respondre…et co- souligne l’immense foule des participants. Co- c’est tu n’es jamais seul, jamais abandonné. Les co- resteront la foule qui t’entoure spatialement et au sens des affectivités ressenties…Lorsque cette ampleur toute va même jusqu’à co-incidences – ce mot du futur qui remplacera le trop vague car magique, de sacré de pacotille, coïncidences, hasard, chaos, incompréhensions, fatum, destin et autres…approximations !

Incidences ? Tout à la fois, et dans le même temps, collisions visées, buts poursuivis, télescopages carambolages résultats, fins espérées, inter-chocs, inter-transformations. Le tout très animé !

La magie surpassée ? L’incidence tel l’effet sans filtre, très direct même, sur les événements. Tout impacte tout. Les résonances deviennent aussi des incidences. Les volontés individuelles idem. Saurons-nous alors surpasser le faux destin si bloqué « actions-réactions » / Et ce gigantesque tableau des incidences et co-incidences unifiées jusqu’aux infinis ? La seule image vraiment à la taille du phénomène devient de se rendre capable de vivre la transmutation du langage telle la plus démesurée métaphore spatiale. Métaphore qu’un jour nous comprendrons et ressentirons pleinement. Tous ensembles. Tous ensemblables.

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…………-- Comment le hasard ferait bien les choses

Ce pourquoi l’activité intense, jusqu’à ce jour méconnue, des co-incidences nous rapproche de ce moment de libération collective. Par sa lucidité multipliée. Les faits y sont qualifiés « comme se percutant entre eux, comme laissant des marques d’efficacité, comme des preuves tangibles de transformations » S’entrechoquant, le sort commun de transmutation les uns par les autres apparait dans sa splendeur.

Revenons là où ils en sont à continuer de délirer que le mot cheval ne correspond pas…à cheval. Cette anormale hargne contre le «son flagrant» vient du plus grave défaut de la si mauvaise « pensée bourgeoise »(celle qui insiste « pour nommer toute chose sans s’occuper des humains » ! Comme s’ils n’existaient pas…). Ce défaut majeur ?

Comme celui qui tient à tout casser par abus d’individualismes (aussi accros à cette maniaquerie, ils sont, que d’autres à des drogues dures !). Chaque mot serait séparatiste ennemi de tous les autres. Ne désirant que d‘être « à part », de tirer toutes les couvertures à soi ! Ce pourquoi, et vite, il faille tout de suite rétrograder à fond, quitter l’idée de mots isolationnistes, de l’arbitraire du signe sans « arbitre », de l’infantilisme signifiant-signifié qui ne mène nulle part qu’à se répéter sans fin, à refuser cette déshumanisation périlleuse du langage, sans nous avec/ dedans, etc…pour revenir...au puissant tout reste lié et relié. Le langage reste un ensemble très efficace. Et chaque mot n’en est qu’un aspect, un aspect nécessaire mais qui ne fonctionne que par rapport au tout. Au grand tout.

Soit nous sommes au « moment » où nous devons nous désintoxiquer et produire du vrai nouveau. Le langage a été mal traité. maltraité par ses faux spécialistes mêmes. La sécheresse infertile même. La langue doit revenir à si ses nécessaires émotions, sentiments et sensations. L’insertion du son-mot dans « l’harmonie langagière » sera comme la vrille fouisseuse, elle creusera les galeries, et galeries, et nous parviendrons, à un moment ou à un autre, à l’air libre. Pourquoi « libre l’air » ? En effet, vont fleurir de millions d’interrogations. Interrogations en foules fraiches comme la joie de vivre. La fin enfon de la « congélation des consciences » et des cœurs desséchés annonce que l’Humanité va vivre enfin son printemps nouveau. Et nous aussi

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…....…………………--- Le juste son !

Et le tout avec l’appui équilibré du « juste son ». Le son fait tonalité, tonalité reproduite, tonalité poursuivie, tonalité continuée, mais ne cherche pas à imposer son monologue ; il fait partie d’un tout mais ne veut pas le remplacer – en fait les fantasmes de la bourgeoisie, si inadaptée à tout, envers le son des mots n’a que reflété, et avoué, son insupportable autoritarisme de déments pris au piège. Le son n’est pas tout, il s’exprime par le tout mais c’est pour mieux enchanter les diversités. Et les futurs diversitaires (succédant aux obsolètes universitaires) vont vivre tout autre chose. Le son n’est pas tout puisqu’il fait place au tout. Et les diffamations des linguistes-nous-seuls-savons tombent à la flotte.

……………………--    Flotte qui flotte.

C’est que nous sommes à un moment où nous ne comprenons pas le langage comme un ensemble entièrement relié de sens. Que nous comprenons que nous ne le comprenons pas. Mais que nous allons commencer à mieux le ressentir-comprendre.

Surtout si nous nous y mettons tout de suite !

Flotte qui flotte sur/avec la flotte. Celle qui flotte, surnage, flottilles.

....Nous accompagne jusqu’au bout…

…(la suite fidèle au prochain épisode)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

.. Que la gigantesque fraternité affective et mentale nous grandisse et nous nourrisse!!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer),onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Lutter POUR va plus loin que lutter seulement Contre !

La fausse Dette publique = la somme des gains du privé

Ceux qui votent l’impôt doivent le payer

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

La Bourse ne s'insère nulle part dans la théorie économie

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Vous changez vos mots, vous changez vos vies

………………………

Trouver ce que nous ne cherchons pas ? Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Des yeux pour le croire ?

1 ----  Le pire de ses leurres c'est l'incitation insidieuse et obsédante à lâcher prise (on pense plus, on n'analyse plus, on déduit plus, on ne vérifie plus, on s'anesthésie, on se routinise, on ressent plus !). Les résultats s'étalent plutôt pitoyables.

2  ---- La suite de ce leurre surgit comme la paresse mentale et affective qui se répandent…Qui fait encore l'EFFORT D'AIMER (et, dans son alignement parfait, l'effort de penser ) ? L'image nous sous–humanise, elle nous rabaisse, nous fait, plutôt, régresser.

3 ----  L'effondrement vers la "croyance". "Croire" que l'image est... l'accès impeccable au réel c'est très dangereux: on glisse, trop vite (sans rien à quoi se raccrocher!), vers l'auto-enfermement, l'aliénation, la déréalisation et les hallucinations trop aisément. Non, "voir" une image ce n'est pas du tout comprendre le réel  !!!

4  --- L'oubli (trop sélectif) de ce que l'image est une "construction" d'un bout à l'autre, un montage, une fabrication, que c'est le centre des trompes l'œil, des manipulations, etc. Et que son raccord avec le réel n'est pas du tout automatique. Même très exceptionnel. PUISQUE L'ON GLISSE TOUJOURS SUR SA SURFACE INDIFFERENTE. Et que, dans ces conditions, seul le savoir peut transpercer, trouer, perforer, pénétrer, entre dans le réel. Seul le savoir conduit au réel complet, l'image en détourne !!!

5 ---  Que nous devrions nous MEFIER sans cesse de toutes les images. Comme si elles étaient des sables mouvants, des zones irradiées, des déchets toxiques ou autres. Et que, tout au contraire, vu sa facilité paresseuse de glisser dans l'œil en tout laxisme séducteur, alliée avec la sur-évaluation de chacun-e par rapport à soi-même (moi je "sais" voir et l'image c'est mon truc, je la domine, elle ne peut me manipuler, etc…et autres délires et "dénis du réel" en veux tu en voilà !) –la maladie s'étend faute d'être... nommée.

6 --- La maladie s'étend (faute d'être nommée!) et provoque, en plus, de graves dégâts…elle rejette l'intelligence perspicace, les raisonnements charpentés, les fulgurances verbales, les textes écrits…etc. En bref, tous les instruments exigeants et taraudants du savoir…QUI LUI PERMETTRAIENT DE S'EN SORTIR. De retrouver les accès au réel. Grave puisque sans autre issue que suicidaire !!!

7  --- Sans oublier, que la réalité c'est toujours la moitié manquante de l'image (voir le Bonus joint). Rare, en effet, l'image complète du réel. Nous n'en avons, la plupart du temps,  que la moitié tronquée, amputée, soustraite. Apprendre la technique de "la moitié manquante de l'image" parvient à en garder toute la chatoyance ou la sensualité mais en ne la considérant pas comme une méthode fiable et efficace d'accès au réel… 

Etc.

larealitecacheedumondeactuel.com

LE PÉTROLE ET LE GAZ NE SONT PAS DES COMBUSTIBLES FOSSILES, C’EST UNE SOURCE D’ÉNERGIE RENOUVELABLE CRÉÉE PAR UNE RÉACTION GÉOTHERMIQUE ENTRE LE MANTEAU SOLIDE ET LE NOYAU LIQUIDE

Le pétrole est le 2eme liquide le plus abondant sur terre et il est produit par la combustion du manteau terrestre… :
« Origine profonde abiogénique de la formation d’hydrocarbures et de gisements de pétrole et de gaz »

Ainsi, n'ont-ils pas défigurée toute la pensée de de Saussure? La thèse centrale de "L'essai sur les langues" n'est-elle pas qu'en partant de l'analyse de n'importe quelle langue il est possible de remonter à des racines bi et tri-consonnantiques COMMUNES, à condition de postuler que p=b=f=v=k=g=ch, et t=d=th ? Les "preuves" étaient nombreuses, par exemple R-k comme signe universel de prépotence ou de puissance violente: rex, regis, rache, rûgen, king etc etc, comme le rappellera de Saussure lui même dans ses souvenirs .

Bel exemple de la dénaturation acharnée d'une pensée, puisque de Saussure maintenait que les ressemblances entre toutes les langues sont beaucoup plus nombreuses que leurs dissemblances, qu'il existe de nombreux schèmes universels, et, qu'en fin de compte, "l'arbitraire du signe" était...seulement une saine réaction contre une exagération platonicienne qui prônait que dire le mot c'est posséder l'objet. C'est dans cette unique perspective qu'il s'agit de placer ce concept.

(– L’accent du souvenir, 1995)

Studio-Faire-du-Stop-Wonderfool-concert-en-voiture

« Armés de leurs sourires, de leurs voix et de quelques instruments, ces musiciens voyageurs offrent des concerts à bord des voitures de celles et ceux qui acceptent de les prendre en stop. Résultat ? Un superbe moment de partage, de rire et d’émotion…Comment ont réagi les conducteurs qui les ont pris en stop ? »

passetemps.com…Différences sons- phonèmes ? Les sons, étudiés par la phonétique, sont concrets, tandis que les phonèmes, étudiés par la phonologie, sont abstraits (la phonèménologie !). Le phonème est la plus petite unité distinctive de la chaîne parlée. Les phonèmes sont représentés entre crochets quand on les analyse d'un point de vue phonétique (comme dans l'API).

« La théorie de l’origine profonde abiogénique des hydrocarbures reconnaît que le pétrole est un matériau primordial d’origine profonde [Kutcherov, Krayushkin 2010]. Cette théorie explique que les composés hydrocarbonés se génèrent dans l’asthénosphère de la Terre et migrent à travers les failles profondes dans la croûte terrestre.

Là, ils forment des gisements de pétrole et de gaz dans n’importe quel type de roche, dans n’importe quel type de position structurelle."

Qui ne connaît le mot "détresse" ? Oui, mais qui connaît le verbe qui va avec "détresse" ? Là, c'est une colle, cherchons et percherons, creusons et excavons…pas la peine, de nombreux essais ont prouvé qu'il n'y a toujours pas de verbe pour détresse… la table périodique des mots va permettre de prédire ce verbe et de l'officialiser ! Comme de faire apparaître les règles PHYSIQUES et physiologiques des mots !!!

Dernier tâtonnement – il s'agit du verbe qui n'existe pas encore de "détresser", d'être en détresse. Ce qui nous offre des images dont la plus claire reste de liens sociaux, de liens tressés, noués, entrelacés, entortillés, assemblés, attachés ensembles, que nous voyons se dé-Tresser, se défaire, se découdre, s'effilocher, s'effranger, diminuer, se délier, jusqu'à ne plus tenir qu'à un mince fil…et…se rompre. Tout le film complet de la détresse en un seul mot ?

Confinements et couvre-feux imposés aux populations lors de l’épidémie de Covid ont focalisé l’attention sur ce sujet. « En janvier 2021, 24 % de la population âgée de 15 ans et plus est en situation …d’isolement relationnel et n’a plus aucun lien avec son entourage ou de très rares échanges. Ce taux a augmenté de… 10 points en un an », s’alarme en décembre 2021 le site officiel vie-publique.fr.

34 % il a 2 ans et demi...donc nous nous approchons des...50 % ? Des solitudes concrètes...

La peu de lutte contre la solitude, tellement minuscule, constitue en effet un laboratoire des politiques de protection sociale publiques-privées en vogue depuis le début des années 1980 dans les sociétés capitalistes : la mobilisation générale contre l’isolement est l’œuvre conjointe d’administrations toujours plus enclines à réduire leurs dépenses (donc ne luttant pas !) et d’associations de solidarité privées de moyens. Toutes alertent sur les dangers inhérents à la solitude (dépression, suicide, pathologies chroniques, etc.), proposent des « bonnes pratiques » et imposent un discours ambiant : des jeunes absorbés par les réseaux sociaux aux vieux délaissés en maisons de retraite, la solitude toucherait tout le monde, sévirait partout et se propagerait comme une « épidémie » : la « maladie du siècle ».

Pour ces institutions, ne pas rater le train de la solitude revient à investir dans une cause consensuelle et économique. Pas un mois ne passe en France sans une annonce des forces philanthropiques et associatives spécialisées, ou sans un cri d’inquiétude de chercheurs :

14 mn.. un CRISTAL rare et précieux DÉCOUVERT sur la LUNE ! - Le Journal de l'Espace #250…à ne pas rater.

Et à joindre aux vertus du graphène plus pur dans la non atmosphère lunaire…

« Pourquoi personne ne demande-t-il pourquoi nos politiciens ont fermé les écoles alors que d’autres pays ont réussi à les garder ouvertes – et ont obtenu des résultats comparativement meilleurs ?

Pourquoi ne demande-t-on pas pourquoi les hôpitaux Nightingale ont été construits à grands frais pour ne jamais être utilisés dans leur fonction de centres de triage et de traitement de masse ?

Où est l’indignation face à la manière dont les résidents des maisons de soins ont été traités ou dont les protocoles « Ne pas réanimer » ont été mis en place dans de nombreux établissements de soins de santé ?

Comment nos gouvernements ont-ils pu adopter un programme conscient de « Project Fear » (projet de peur) pour nous pousser à l’obéissance – dénoncer nos voisins parce qu’ils promènent leurs chiens, porter des masques alors qu’il n’y a aucune preuve de leur utilité, adopter une distanciation sociale totalement arbitraire pour que nous ne puissions pas voir nos proches mourants ou assister facilement à leurs funérailles ?

Eh bien, je n’ai pas oublié cette époque et je suis absolument certain que nos hommes politiques ne l’ont pas oubliée non plus.

C’est sûrement parce qu’ils savent que ce qu’ils ont fait était dévastateur sans gain évident, conclut Monteith – et l’opposition était entièrement complice, se contentant souvent de critiquer le gouvernement pour ne pas être allé plus loin."

Notre forme proprioceptive – notre corps tel que nous le sentons et ressentons de l'intérieur, sans que ceci ait quoi que ce soit à voir, obligatoirement, avec le schéma extérieur…notre forme de santé qui correspond à un alignement des différents niveaux de forces – oui oui musculaires, les muscles bien tendus, sans effort, ne contribuant à aucun malaise mais diffusant une onde en sourdine de bien-être permanent…forme nerveuse.

Oreille en exemple. Jusqu'à ce que la forme du son (ce qui parvient à l'oreille) dépasse le seuil du désagréable. Redescendre les marches et se retrouver dans le très agréable. Et se planter, nez à nez, avec la création et la sculpture du son par ses artistes mêmes. Formes partout etc…etc. C'est d'abondance que les spiritualités s'éclairent de leurs fondations en spirales !!! Ceci ajoute beaucoup et ne retranche rien…

Parce que fort justement – les solutions se tiennent dans ces " images trop dociles et mots justes indociles "…

"On ne peut apprendre que ce que l'on ne connaît pas encore " nous avertissait Krishnamurti…beaucoup trop ne veulent plus apprendre (sic) que ce qu'ils/ elles savent déjà…les images sont bien trop dociles, elles aveuglent d'évidences qui se font croire éblouissantes (et le sont – vous ne voyez plus rien !) - Voir n'est surtout pas savoir : en réalité, l'image demande un apprentissage encore plus ardu que les mots – puisque tous les trompes l'œil s'y sont engouffrés. Mais qui veut l'admettre ? Images trop dociles, soumises, maniables, oui disciplinées, qui semblent obéir au doigt et à l'œil… mais de fait, c'est plutôt nous qui leur obéissons et à l'œil…nous laissant engluer dans leurs sables mouvants d'inerties…et de convictions à si courtes vues – qu'elles ne savent jamais s'expliquer !!!

Les périodes dites de crise (du grec krisis, décision) voient, aussi, naître une exubérante créativité. Les bourgeois nomme artistes ce que vous pouvez nommer autrement. Les questions se concentrent ainsi autour d’observer la joie artiste tel un instrument de mesure du séisme social.

  Un léger mouvement s’établissait dans les manifs autour de « les musiciens dans la rue ». En effet, même à titre utilitaire, la rue et les manifs sont de prodigieux lieux de répétition. Vous pouvez y lâcher entièrement  votre voix. Que du bénéfice apparent à ne pas rester en retrait. Ensuite, c’est du désir existant en nous. Se rappeler à quel point la musique précéda, illustra, rythma, devança nombre de mouvements du passé – fait se demander mais dans leur vie quotidienne sont-ils tous passés à droite ?

  Sauf en 1995, nombre de mouvements (qui n’ont pas manqué de créativités spontanées), depuis, semblent se passer grandement des artistes (à moins que ce soient ces artistes qui se passent d’eux ?). N’est- ce pas des intérêts bien mal compris ? Qui font fausse route ?

  N’empêche que lorsque la joie artiste va coïncider avec un moment historique – le mouvement risque de devenir « irrésistible » !!!

Le pétrole est le 2eme liquide le plus abondant sur terre et il est produit par la combustion du manteau terrestre… :

« Origine profonde abiogénique de la formation d’hydrocarbures et de gisements de pétrole et de gaz »
« La théorie de l’origine profonde abiogénique des hydrocarbures reconnaît que le pétrole est un matériau primordial d’origine profonde [Kutcherov, Krayushkin 2010]. Cette théorie explique que les composés hydrocarbonés se génèrent dans l’asthénosphère de la Terre et migrent à travers les failles profondes dans la croûte terrestre. Là, ils forment des gisements de pétrole et de gaz dans n’importe quel type de roche dans n’importe quel type de position structurelle

Ainsi, l’accumulation de pétrole et de gaz est considérée comme faisant partie du processus naturel d’enherbement de la Terre, responsable de la création de son hydrosphère, de son atmosphère et de sa biosphère. Jusqu’à récemment, l’obstacle à l’acceptation de la théorie de l’origine abyssale et abiogénique des hydrocarbures était le manque de résultats expérimentaux fiables et reproductibles confirmant la possibilité de la synthèse de systèmes complexes d’hydrocarbures dans les conditions de l’asthénosphère de la planète Terre."