Ils recommenceraient la crise des subprimes ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

 Ils recommenceraient la crise des subprimes ?

2008 l’année où la Bourse a viré grands gangsters. Tout y fut très illégal que les faux états complices, ont déversé tant d’argent public sur ces voleurs sans dignité, que nous savons, simultanément, que ces états que frauduleux ont très mal tourné. Nouvelles preuves ?  2024 c’est la commission européenne, illégale en tout, qui se met au grand banditisme. Sauf que, les détails qui tuent, là ils sombrent dans les trop grands ridicules. A part s’esclaffer de leurs puérilités babillantes, que faire ?

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La menaaaace des je-m’en-foutistes c’est… mutualisations des pertes Et titrisation de l’épargne (oui comme en 2007-2008 – où les junks bonds (créances douteuses) des mensualités immobilières que nul ne pouvait rembourser devenaient des « titres…boursiers» que l’on peut vendre comme de l’irrespect complet. Seuls de truands (« en bandes organisées » s‘abaissent à cela. 2008 la ruine par le haut où qui « gagne » (sic) est bien qui triche, fraude et ment le plus vite… Vous entrevoyez la sortie ?

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............1 )) -- Mutualisations très désolidarisées des pertes

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-- Le « On change rien » bute enfin sur le «mais justement nous changeons tout ce qui empêche les bonnes transformations »

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Mutualisations des pertes ? 5 secondes à peine d’analyse et rien ne reste cette arrogante connerie d’emmerdeurs certifiés. Car ? Ce ne sont pas « vos » pertes, ni nos pertes, les pertes de la collectivité, mais uniquement les « leurs » de…pertes. Peut-on se montrer plus cons que ces avides à vides ? Ils font, ces benêts de « leurs seules » pertes « les » pertes globalisées. Quels étourdis non ? Ces branleurs congelés dans la stupidité ahurie « vendent » la République (liberté et égalité pour tous et fraternité recommandée) ; oui ces immenses ennemis de la vraie république, ces affreux voyous, incapables de la moindre solidarité solide (soit les si sensés impôts progressifs du « plus vous avez de moyens plus vous payez vos impôts dus » et non le trop dérisoire « plus vous avez de moyens Moins vous payez vos impôts obligatoires. » Ce qui est – si momifié d’égoïsmes durs – le trop contraire braillard de « mutualisations ». Soit nous partageons tous en commun. Pas de privilégiés séparatistes factieux, tout le monde avec les mêmes droits. La société de « répartition » comme le dit la Constitution ce n’est pas se désolidariser, se… démutualiser, se déchainer en monstrueux égoïstes, ce n'est pas se la péter d’avarices, ce n'est pas se la faire voyous désolidarisés antisociaux, ce n'est pas se dénuder très ennemis réfractaires de la vraie société. Qu’ils déboulent poussiéreux avec la trop anachronique « mutualisations « des » de leurs seules pertes », voici qui prépare un hiver de frais rires

 (ah oui que les vôtres de prétendues …pertes ? Ce n’est pas, plutôt, le sens commun que vous avez «perdu » ? La raison aussi alors ? Donc vous ne payez pas d’impôts, traitres fiscaux « perdant » leur « citoyenneté », et les contribuants-contribuables, dont vous ne faites pas partie, « devraient » payer « vos petits frais de parasites » ? Non mais vous vous croyez où sur-assistés, voleurs de l’argent public vous vous croyez où ?  Non mais vous vous entendez dégoisez ? Pires ploucs que vous non cela ne se trouve plus. Tout est obsolète en vous. Tout est démodé et désuet chez vous. La répartition « des bénéfices » de l’argent de tous, de l’argent public se trouve bien dans la Constitution. Et pas du tout la Mutualisation des pertes.

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Ce qui ressemble trop à des propos « pas sérieux » d’ivrognes, des propos d’imbus de qui ont trop bu. Si loin du solennel de la loi, tous ces éméchés de mèche font penser « qu’il est temps de leur foutre d’énergiques douches glacées ». Grand temps qu’ils redescendent sur terre ces loufoques des Mutualisations de « leurs pertes ».Cet abrutissement de privilégiés en fin de débauches, ces gueules de bois puantes, le trop inverse de la vraie justice qu’ils ont assez insultée…

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Finis donc ces bafouillements de cancres incachables, prétendant aux trop idiotes Mutualisations des pertes. Ce n’est qui pas même recevable « en langage juridique sensé ». La vraie République rejette ces dégueulis de souillons. Et voilà tout !

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……2 )--- Comme en 2008 le grand banditisme des financiers fous ?

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Et titrisation de l’épargne. Là nous sommes en plein dans le grand banditisme. En bande organisée qui plus est. Passible de la vraie loi qui sanctionne. Oui la Commission européenne doit se voir enfermée en forteresse. Que propose-t-elle ? Le grand banditisme de titriser, soit de transformer en « titre » boursiers toute l’épargne. Comme si toute l’épargne du monde était à eux. Juste pour « jouer » irresponsablement avec l‘argent qui n’est surtout pas à eux. La propriété privée de l’argent. Et cette manie insupportable de tout « maquiller », déguiser, travestir comme si c’était « normal » ce qui est carrément dévaler dévaliser autrui. 2008 on a déjà donné. Rien n’y fut normal ! On sait à quel point « effondré » des banksters sont les pires des voleurs. Il n’y aura pas de nouveau 2008. Méfiances totales sur ces financiers internationaux occidentaux. Ces dépravés incorrigibles. La lie de la société.  Seules les sanctions dures font reculer ces malfrats. Qui volent les médias pour se faire un ridicule cinéma en boucle. Non la société n’est pas là « pour réparer leurs conneries », non la stupidité du « rien ne changera jamais » n’est pas un dogme crédible ni sérieux mais un effondrement d’ex-adultes retournés à l’enfance...Assez de ces...parasites qui ne savent que nuire, qui ne méritent que la prison ferme. Et qui voient toutes les portes se fermer face à leurs vandalismes. En tout ils n’auront été que des lâches sournois et des planqués fuyards.

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Ce qui représente une décivilisation. Un retour moisi vers l’âge des cavernes. Ce qui ne va pas ? Leur unilatéralité récidiviste. On ne pourrait pas leur faire ce qu’ils font si illégalement ?. Un peu que c’est possible et toutes les douches glacées sont dirigées contre ces néfastes. Stoppons ces graves malades. Ils croient qu’ils « ont tous les droits ». Prouvons-leurs qu’ils n’en ont plus aucun. Donc plus de droit fou furieux de clamer que « personne ne peut leur résister ». Lorsque leur résister prouve la bonne santé mentale. Et donc ? Mises sous tutelles juridiques et psychiatriques de ces dangereux malades. Dépravés jusqu’aux cous. Plus de « titrisations 2008 », ce début de destruction de la société par de faux dirigeants. La Commission européenne s’est démasquée comme très ennemie de la société. Société qui a le droit « de se défendre ». Et use tout de suite de ce droit. Lois contre les banksters (ces ennemis des banquiers honnêtes), lois contre les financiers fous, lois pour défendre la société, lois contre les politiciens factieux !!! Tout existe pour repousser ces maniaques désaxés. Tout changera lorsque le rien ne changera jamais sera reconnu comme un suicide collectif. La messe est dite. Les macronistes sont de lourds délinquants anti-républicains ! Tout se fera sans eux…

 

………………Ils ne savent plus sur quel pied mentir !

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

           Que toute l’union si solide comme tout le solidaire du monde nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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le casse du siècle : SUBPRIMES 2008

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 Ils recommenceraient la crise des subprimes ?

Retrouvez une seule fois la « réalité » sociale de mutuel, solidaire, partage, équitable et parité…Ils disent des mots et font tout l’inverse. Nul ne croit plus rien venant d’eux !!! Mutualisation des pertes : atténuer l'impact des revers en tant que collectif (sic)

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1. Qu'est-ce que la mutualisation des pertes ?

Dans le monde d’aujourd’hui, les entreprises, les gouvernements et les particuliers sont confrontés à de nombreux défis pouvant entraîner des pertes. Ces pertes peuvent survenir pour de nombreuses raisons, notamment les catastrophes naturelles, les ralentissements économiques et les circonstances imprévues. Pour atténuer l’impact de ces pertes, la mutualisation des pertes s’est révélée être une stratégie efficace. La mutualisation des pertes fait référence au processus de répartition du fardeau financier des pertes entre un groupe d’entités, plutôt que de laisser une seule entité supporter la totalité du coût. Cette approche permet de réduire l'impact des pertes sur une entité particulière et d'éviter son effondrement.

Voici quelques aperçus approfondis (sic et sic) du concept de mutualisation des pertes :

1. La mutualisation des sinistres est une pratique courante dans le secteur des assurances. Les compagnies d'assurance mettent en commun les primes payées par les assurés et les utilisent pour payer les pertes subies par certains assurés. Ce faisant, les pertes sont partagées par l’ensemble des assurés, réduisant ainsi le fardeau de chaque individu ou entité.

2. La mutualisation des pertes est également utilisée sur les marchés financiers. Dans ce contexte, il fait référence à la pratique consistant à partager les pertes subies par les investisseurs dans un véhicule d'investissement particulier. Par exemple, si un fonds commun de placement subit des pertes en raison d’un ralentissement du marché, les pertes sont réparties entre tous les investisseurs du fonds, réduisant ainsi l’impact sur chaque investisseur individuel.

3. La mutualisation des pertes peut également être observée dans le contexte des plans de sauvetage gouvernementaux. Lorsqu’une institution financière ou une grande entreprise fait face à des difficultés financières, le gouvernement peut intervenir pour lui apporter une aide financière. Dans de tels cas, les pertes subies par l’institution ou la société sont partagées par les contribuables, réduisant ainsi le fardeau de l’entité défaillante.

4. La mutualisation des pertes peut également être observée dans le contexte des programmes de protection sociale. Par exemple, dans certains pays, le coût des soins de santé est partagé par l’ensemble de la population via les impôts. Cette approche garantit que le coût des soins de santé n’est pas entièrement supporté par les individus qui en ont besoin, ce qui réduit la charge financière qui pèse sur eux.

La mutualisation des pertes est une stratégie efficace ( sic !!!) pour atténuer l’impact des revers. En répartissant le fardeau financier des pertes sur un groupe d’entités, l’impact sur chaque entité est réduit, évitant ainsi son effondrement. La mutualisation des pertes est une pratique courante dans divers secteurs, notamment l’assurance, la finance et le gouvernement, et peut être considérée comme une forme de gestion des risques. »

Clair qu’ils sont tous Drogués durs  à l’idéologie perverse. Oui ils voient des éléphants roses. Moins c’est mutuel Et solidaire, plus ils…délirent que ça l’est. Le niveau d’intoxication est donc maximal…Oui oui, ils…nuisent trop aux autres et à eux-mêmes =  Mises sous tutelles de ces discours pernicieux ???

Tenir compte du principe de responsabilité (archi faux, ils n’en tiennent jamais compte – ce sont des barbares si incultes ces faux dirigeants !)

« C’est précisément le phénomène la perversité malsaine de «privatisation des bénéfices, socialisation des pertes» qui suscite à juste titre l’indignation. En période de prospérité, les entreprises réalisent des milliards de bénéfices grâce à des stratégies risquées et versent des salaires et des bonus à leurs managers ainsi que des dividendes de plusieurs millions à leurs actionnaires. Toutefois, lorsque les temps sont durs, l’Etat est appelé à la rescousse et l’argent des contribuables est utilisé pour sauver les entreprises. » Entreprises qui jamais ne socialisent les bénéfices dus, aussi, à Toute la société. Ces mendiants structurels ne veulent que tout détourner pour eux= donc rien de mutuel, rien de solidaire, rien de partage en commun ? Il en découle que d’aller  chez eux, et « nous servir (en tant que contribuables-contribuants) pour « reprendre les trop perçus de nos mutuels versements déversements forcés », est bien la forte justice, la nécessaire. Juste non à leurs fuites devant les légales socialisations des…bénéfice et qu’ils gardent « leurs » pertes… injustifiables et injusticiables ). Assez de leurs mots en folies. Des faits et des preuves !

On ne le dira jamais assez clairement : ce mécanisme agace non seulement les détracteurs du capitalisme, mais aussi les libéraux. La différence entre les deux : alors que de nombreux critiques du capitalisme auraient préféré que les bénéfices soient également socialisés afin de créer une symétrie, les libéraux insistent sur la privatisation des pertes. Cette approche peut être douloureuse à court terme, y compris pour la société, mais peut conduire, à long terme, à une économie plus résiliente et plus juste (sic). Elle permettrait de lutter de manière efficace contre le phénomène du «Charity Hazard» : si les entreprises (qu’il s’agisse d’une grande multinationale ou d’une boulangerie) savent qu’en cas de doute, l’Etat leur viendra en aide, elles prendront moins de précautions en cas de crise et développeront donc moins de résilience étayée par des fonds privés.

Être prêt à affronter une crise et à renoncer à la sécurité aussi étendue que possible de l’Etat, cela demande du courage. Il y’a quelques années déjà, l’homme d’industrie (et ancien président du Conseil de fondation d’Avenir Suisse) Rolf Soiron adressait à ce sujet des critiques jusque dans ses propres rangs : «Ce fut également le camp libéral lui-même qui a fourni une partie des munitions pour ces demandes constantes de nouvelles réglementations : (…) Les carences et faillites d’entreprises modèles comme Swissair, UBS, Deutsche Bank etc. ont créé un sentiment de dysfonctionnement dans les systèmes, d’insuffisances dans les cercles dirigeants et nourri l’idée de la nécessité d’«intervenir», en toute inexpérience et ignorance du fait que la réglementation ne fait que masquer des dysfonctionnements – enveloppées dans de petites structures d’employés administratifs et dans des règles, qui sont bientôt systématiquement détournées à leur tour.»

Conclusion ? Le (néo-)libéralisme « concentre » les sombres ressorts de l’être humain : l’avidité, la cupidité, le népotisme. C’est la lie de la société. Son pire…L’erreur est encore plus grande concernant le népotisme. Celui-ci est bien plutôt l’adversaire de l’économie de marché que son assistant. » (voir la folie furieuse des macronistes du « on casse tout » ! Même les pieds... Les macronistes les adversaires farfelus de l’économie de marché ? Absolument : « avec ces seulement 3 % d’investissements » - et 297 % d’improductives dividendes = c’est bien l‘anti-économie suicidaire des rentes improductives. Que du ringard, du dépassé désuet, de l’obsolète. Tout est archi vieillot chez ces rances macroriens !)

11 mn…LE VRAI VISAGE DU MACROLEPÉNISME

« Emmanuel Macron voulait une cohabitation avec le RN pour l’affaiblir en vue de 2027. C’était sans compter avec l’arrivée en tête du NFP qu’aucun politicien de droite, éditorialiste et sondagier n’avait anticipé. Après avoir réussi à se maintenir deuxième force politique en nombre de députés grâce au barrage anti-RN, les macronistes devaient donc organiser le barrage bourgeois, anti-gauche, en faisant une coalition avec le RN. »

Les effets hyper négatifs des sanctions contre la Russie ? Les européens en sont les « principaux » archi PERDANTS, béats d’être les gros perdants !...« La guerre voulue par l’occident crétin pour tenter de maintenir sa position hégémonique ne se limite pas aux opérations militaires dans une économie mondialisée elle atteint tous les échanges et a des conséquences tant dans les parts de marché perdus que dans les effets inflationnistes. On le mesure en matière d’énergie mais les implications peuvent atteindre d’autres ressources nécessaires et nul doute que la concertation des BRICS se fera en tenant compte d’un tel contexte alors que les citoyens ne sont pas consultés simplement.. invités (sic) à subir les effets en terme d’emploi, de niveau de vie et de services publics sacrifiés.

Il fut un temps où les États-Unis, avec l’URSS, figuraient parmi les leaders mondiaux de la production d’uranium. Contrairement à la Russie, qui est devenue un leader mondial de l’industrie nucléaire, les États-Unis… ne figurent même plus parmi les 15 plus grands producteurs d’uranium et toute la matière première est importée.

« Lorsque nous parlons de réduction de l’approvisionnement en uranium, nous entendons une réduction des services d’enrichissement. Notre pays représente plus de la moitié de la capacité mondiale d’enrichissement de l’uranium, la Russie étant… le principal fournisseur de ces services. Il convient de noter que, selon les prévisions de l’Enrichment Market Outlook, d’ici 2035, la Russie fournira jusqu’à 30 % de l’uranium enrichi dans le monde », a déclaré M. Ramazanov.

« La Russie fait partie des trois principaux importateurs d’uranium sur le marché américain. états-unien. Les prix du combustible lui-même et de son traitement ont déjà augmenté de plus de 40 % depuis le début de l’année… aidés fortement par les sanctions contre la Russie. Si la Russie impose une interdiction des exportations d’uranium et d’autres métaux de terres rares, cette mesure va tout d’abord secouer les marchés et porter… l’inflation à un niveau supérieur », déclare Tatiana Skryl, professeur associé de théorie économique à l’université économique russe Plekhanov. Elle ajoute qu’il ne faut pas oublier les partenaires BRICS de la Russie, qui pourraient soutenir l’initiative russe d’imposer des mesures restrictives sur l’approvisionnement en ressources rares. Dans ce cas, une interdiction conjointe pourrait créer un déficit mondial sur les marchés des terres rares. »

Ce sont les BRICS qui ont le « vrai » pouvoir pas les drogués à l’idéologie stupide d’Europe. Dont les plus largués et hors coups sont chez les non élus de la CE…

« Car c’est l’autre point délicat souligné par ces bisbilles. Le Premier ministre n’a pas de programme sur lequel… appuyer sa légitimité et rassurer ses partenaires, faute de majorité stable et choisie par… les électeurs. Ce que lui reproche (sic) désormais le délirant camp présidentiel, en refusant d’acter leur participation au gouvernement avant de connaître le « cap » du capitaine.

Sur le débat fiscal, la hausse des impôts est refusée du côté de Renaissance, des Républicains et du Rassemblement national. De quoi réduire drastiquement les options et marges de manœuvre à Matignon, comme à Bercy. Et ce, rappelons-le, alors que les finances publiques dans le rouge.

--- La Macronie passéiste et obsolète ne veut rien lâcher. La Réalité va donc les lâcher de haut…

 

Dans ce contexte, la Macronie ambitionne (sic) clairement de rester au centre des non crédibles. Sans le soutien des 100 députés du groupe présidé par Gabriel Attal, la majorité relative et supposée de Michel Barnier se réduit à peau de chagrin. Et pas question, pour les soutiens d’Emmanuel Macron, de remettre fondamentalement en cause sa politique (sic).

Sur la question fiscale, le chef de l’État et Bruno Le Maire ont mis un point d’honneur ( ?!) à stabiliser ou baisser les impôts depuis sept ans, même pour les plus aisés, au nom de la politique du Coffre et de la théoruie du ruissellement (après 7 ans d’examen des non crédibles ruissellements les preuves flagrantes que les pauvres Toujours Plus s’appauvrissent DONC qu’il n’y a pas…de ruissellements. Donc que les dérisoires néo-libéraux doivent tout « rembourser » " sur leurs fortunes personnelles » !...« Il ne faut absolument pas casser (sic) cette machine économique », a encore fait valoir Gérald Darmanin, ce mercredi, sur France 2, en soulignant (si faussement) la « baisse du chômage » et l’« attractivité de la France ». Difficile de lâcher les rênes surtout lorsque le likoud est là.

En ce sens, la composition du gouvernement est l’autre point de crispation (sic) au sein des macronistes. Ceux-ci craignent (sic) d’être relégués à des postes de ministres délégués ou de secrétaires d’État (---d’autant plus QU’AUCUN macronistes, ces « perdants de élections » ne devait « participer au gouvernent ». Paroles, paroles. Aucun c’est aucun. Zéro pointé ! : sous tutelle (sic) de ministres LR, la droite ne cachant pas son appétit (sic) (Intérieur, Justice, Bercy, Éducation, Agriculture…). L’offensive contre la piste fiscale évoquée par Matignon est donc aussi à lire à l’aune d’un rapport de force s’installant en vue du futur casting (sic) gouvernemental. Le bras de fer ne fait que commencer. » Les bras d’honneur se trouvant étourdiment omis ?

Les contribuables dans le collimateur du nouveau gouvernement

Seize ans après le début de la crise financière, pourquoi rien n'a changé (le suicidaire « on ne change rien » n’est plus acceptable !)

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« En 2009, à l'occasion d'une conférence internationale, le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz s'enthousiasmait, estimant que la crise avait permis de changer le regard sur la manière dont l'économie fonctionne: «il y a un véritable changement dans notre façon d'appréhender l'économie de marché. Il y a aussi une prise de conscience que le capitalisme actuel qui consiste à privatiser les profits et mutualiser les pertes n'est pas un capitalisme qui assure le bien-être des populations du monde entier», déclarait-il alors.

À l'époque, les dirigeants des principaux pays du monde se réunissaient régulièrement à l'occasion de G20 extraordinaires, annonçant de grandes résolutions, promettant que plus rien ne serait comme avant. La crise économique qui avait fait suite à l'effondrement de l'immobilier américain en 2007 et à la faillite de la banque Lehman Brothers en septembre 2008 devait être l'occasion de tout remettre à plat. «Il n'y a plus de paradis fiscaux!», proclamait Nicolas Sarkozy à l'automne 2009. Le choc de la crise avait été dévastateur. Les flux commerciaux mondiaux s'étaient effondrés de plus de 10%.

 

La crise avait révélé l'extrême opacité de la finance internationale.

« Face, j'assume le risque et j'empoche l'argent. Pile, l'État assume les risques et éponge les pertes. » Telle était la logique de la spéculation bancaire de ces années-là. À ce jeu, évidemment, on trouve toujours les mêmes gagnants : les actionnaires des banques, et les mêmes perdants : les États et les contribuables.

Au plus fort de la panique, les banques elles-mêmes étaient devenues incapables d'évaluer leurs propres pertes. Les titres financiers sophistiqués qu'elles avaient conçus durant les années d'exubérance étaient devenus incompréhensibles pour leurs propres experts. Les assurances souscrites pour couvrir leurs pertes s'avéraient illusoires car les assureurs eux-mêmes pouvaient à tout moment faire faillite (..). Cela ne pouvait durer. Il était urgent de «moraliser» le capitalisme, entendait-on. Il fallait que les banques assument leurs risques et ne comptent plus trop sur la garantie des États, contraints de les sauver pour protéger l'épargne des ménages et les systèmes de paiement.

Ainsi en 2008-2009 l'édifice entier avait menacé de s'écrouler et personne n'était capable d'anticiper quel serait le pilier qui lâcherait en premier. Cette situation ne concernait pas que les pays dont la finance était la moins réglementée et la plus opaque. Car, et ce fut la seconde leçon de la crise, il s'avéra très vite que les frontières des systèmes financiers nationaux ayant été largement démantelées, l'effondrement d'une grande banque sclérosée par les créances douteuses dans un paradis fiscal était susceptible d'entraîner, par contagion, l'effondrement de banques tout à fait saines et soumises à une législation pointilleuse.

….

La finance est aujourd'hui dans le même état qu'il y a 16 ans et les marchés financiers tout aussi exubérants. Notre système économique est toujours assis sur une montagne de dettes en partie insolvable. L'opacité a néanmoins changé de nature.

Empêtrés dans des dettes publiques bien plus importantes aujourd'hui qu'à l'époque (leg de la crise précédente) les capacités budgétaires des États sont insuffisantes pour faire face à une nouvelle crise. Quant aux banques centrales, elles n'ont toujours pas cessé les perfusions de liquidités.

Cette grande crise du capitalisme sans cesse repoussée par l'«achat de temps», pour reprendre l'expression de Wolfgang Streeck , est devant nous. Le monde financier danse à nouveau sur un volcan.

La question qu'on peut légitimement se poser est de savoir pourquoi la panique de 2008 n'a pas permis une profonde transformation du monde de la finance comme cela avait été le cas à la suite de la crise des années trente. La réponse est simple: c'est parce que la finance fait système. Aussi, toute tentative de reprise en main de la seule finance entraînerait un bouleversement global de l'ensemble des rapports de force qui existent aujourd'hui dans l'économie réelle. Car l'économie réelle, celle des entrepreneurs qui commercent et produisent, celle des ménages qui consomment et travaillent, est entièrement organisée pour répondre aux besoins et à la logique d'une finance dérégulée. On ne peut donc changer la finance sans devoir en même temps changer tout le reste.

Préserver à tout prix l'ordre le grand Désordre économique mondial

Au cours des années 1980, l'économie américaine est devenue une économie de rente. Un processus qui s'est accéléré avec la fin des régimes communistes et l'avènement de l'économie digitale. La maîtrise du dollar, la toute-puissance des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) et la maîtrise de l'industrie des loisirs (Disney, Netflix…) permettent aux États-Unis de vivre en grande partie de leur patrimoine immatériel et culturel. Un patrimoine qu'ils échangent contre le travail des ouvriers du monde entier.

Mais pour que ce système puisse se maintenir, il faut des flux financiers qui aillent en sens inverse de celui des marchandises. La finance a en effet un rôle spécifique dans l'économie mondiale: elle permet de «boucler» les déséquilibres commerciaux. Aussi, plus ces derniers sont importants, plus les déséquilibres financiers le sont. C'est donc l'hypertrophie de l'industrie financière américaine qui a permis que se creusent sans cesse les déficits des uns et les excédents des autres. Aussi, toute tentative de corsetage de la finance ne peut aboutir qu'à l'effondrement du système commercial mondial. C'est à peu près ce qu'il s'est passé en 2009 lorsque la paralysie du système financier a entraîné la paralysie des flux commerciaux.

Un vrai changement de système économique nécessiterait de s'engager dans un processus de démondialisation. Mais c'est une perspective qui effraie les responsables politiques. C'était déjà le cas en 2009. Lors des réunions du G20, on ne promettait pas simplement de «moraliser la finance» ; les déclarations finales affichaient aussi solennellement un attachement viscéral au libre-échange en condamnant par avance toute mesure protectionniste. »

Déficit : « L’UE voudrait faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée » ??…sauf que la dépense publique n’est pas un…déficit mais bien un salutaire…investissement sur le futur commun ! Donc oser « la mutualisation des dettes’ c’est bien s’avouer très grands gangsters antisociaux..

N’omettons pas que la pire des arrogances… Actuelles se nomme… : « La CE va faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée ». Soit le retour du Grand Banditisme de 2008 !!!
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« Les finances de la France sont donc paralysées d’une part par la santé économique précaire de notre pays et d’autre part par les mauvaises décisions budgétaires. Je regrette que les décisions prises sur le plan purement économique et financier ne soient pas propices à relancer l’économie, et que les économies évoquées par le gouvernement soient totalement marginales. Je parle bien entendu des économies et pas des nouvelles taxations puisqu’il faut s’attendre à des réductions, par exemple au taux réduit de la TVA sur certains produits ou certaines catégories de produits. Plus largement, ce qui me préoccupe est que pour sauver l’euro, l’UE va faire passer en force la mutualisation des dettes et la titrisation de l’épargne privée. Parce que, sans cela, jamais l’Allemagne, le Luxembourg ou l’Irlande n’accepteront de faire pot commun avec des pays comme la France ou l’Italie.

L’ancien président du conseil des ministres italien, Mario Draghi a rendu ces derniers jours un rapport de 400 pages avec 170 propositions à la Commission européenne dans lequel on nous dit que l’Europe doit être davantage intégrée, c’est-à-dire une Europe qui s’endette comme un seul État pour tous les États, qui décide comme un seul gouvernement pour tous les gouvernements nationaux, avec d’une part, des émissions des titres obligataires communs à l’Europe et d’autre part, avec des commissaires européens, notamment à la Défense comme le souhaite Mario Draghi, très prochainement aux Finances, mais aussi au commerce intérieur.

Nous aurions alors des ministres de la Commission européenne qui seront en quelque sorte les ministres uniques de tous les États européens avec des dépenses décidées bien loin des territoires et des collectivités territoriales.

Deuxièmement, notre économie libérale, c’est-à-dire d’entreprises, est de plus en plus ankylosée par un commerce intérieur paralysé (la faute à 100 % aux macronistes compulsifs aux idées que fiixes !) Ce qui par ailleurs n’est pas le cas chez nos voisins allemands qu’on cite souvent comme exemple. Et on constate aujourd’hui que les Allemands sont en dure récession. Officieusement, la France l’est déjà. Elle ne l’est pas par rapport à des dépenses publiques faramineuses, mais sur un plan purement nominal, officiel et comptable. »

L’offre qui tue la demande intérieure c’est de la bêtise en barre. De l’incompétence tonitruante. Le « que » 3 % d’investissement trop omis (et pas les 3 % européens sans fondements rationnels Contre les états souverains !) sont l’aveu flagrant, recevable en Justice que les macronistes ne pratiquent pas du tout la politique de « l‘offre » mais bien… la Destruction. La politique de la ruine nationale. Le « marché intérieur » sacrifié aux « rentiers illégaux non productifs" (ces non-résidents anglosaxons qui n’ont pas à venir voler « dans les poches des français»...sans se faire sanctionner…énormément !)... Avec l’aide du RN, si pro…milliardaires. ? Donc ces dirigeants RN très contre le pouvoir d’achat si légal de leurs ex…électeurs

Les « riches extérieurs » ne viendront plus nous voler ? …

OFFICIEL : Le gouvernement russe prend une décision audacieuse en annulant toutes les dettes, hypothèques et prêts de ses soldats blessés ou décorés lors de l’opération militaire spéciale. Ce geste illustre un engagement profond envers ceux qui ont risqué leur vie pour leur pays. En mettant fin à leurs obligations financières, la Russie ne se contente pas de soutenir ses héros, elle renforce également le moral des troupes et celle de leurs familles, montrant un niveau de solidarité que peu de nations peuvent égaler. ⚡️Voilà comment on soutient vraiment ses combattants. Un mouvement stratégique de haut niveau qui redéfinit le soutien aux forces armées.

 

L’Etat profond états-uniens : mythe ou réalité? par Jean Goychman

L’Etat profond états-uniens : mythe ou réalité? par Jean Goychman

28 mn…Une vue d'ensemble de la crise des subprimes

Vidéo : la crise des subprimes expliquée en six minutes

« Il y a seize ans, Lehmann Brothers faisait faillite. Décryptage des pratiques qui déclenchèrent la crise, et qui menacent de laisser l’histoire se répéter. » 

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I
"Quand vous écrivez simple , vous pouvez être excellent et là il y a du fond et quel fond ! Cette question de forme est votre dada préféré , mais en fait elle est plus rebutante qu’autre chose à mon avis et vous devriez soigner vos explications , car même dans ce texte qui me convient bien on voit tout de même que vous butez sur la question d’une certaine clarté . Je ne vous en fait pas grief , parce que j’ai le même problème . Mais à mon sens c’est plus dans ce sens que vous devriez vous orienter ."
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I
de Vanda « En 4 ou 5 lignes j’ai compris que ça serait fatigant à lire et que le fond partait de traviole .<br /> ....<br /> Je m’explique . Ce n’est pas à partir de 2000 que les bourses se sont mis à générer des » Crises de subprimes » les unes après les autres , c’est à partir de la création des bourses et c’est leur fonction première (avec une parenthèse en France qui correspond aux 30 glorieuses durant lesquelles la bourse fût très peu rentable pour la spéculation (Tiens , tiens ! comme par hasard : Quand l’économie va bien et génère de la production , de l’activité et de l’emploi , la spéculation n’aime pas du tout et se rétracte ….ça ça mériterait un article ). Avoir des actifs boursiers ou plutôt des actions , ça rapporte des dividendes c’est à dire que l’entreprise dont vous êtes actionnaire va diviser les bénéfices par le nombre d’actions existantes de l’entreprise et vous distribuera les dividendes suivant le nombre d’actions que vous possédez .<br /> Mais les capitalistes qui sont de fins limiers (pardonnez moi , mais ne prenez pas les capitalistes pour des imbéciles …des sales khons très certainement , mais on a jamais vu un imbécile baiser la gheule de quelqu’un de très intelligent )se sont aperçus qu’en achetant à pas cher et en revendant à très cher (principe de la spéculation ), ils pouvaient se faire des coj ….s en or .Soit les cours montaient régulièrement d’un point A à un point B situé légèrement plus haut grâce à une perspective de dividendes plus alléchante , soit les cours allaient du point A au point B avec de temps à autre des « crises » lors desquels avant les cours montaient haut régulièrement , puis brusquement chutaient puis remontaient très progressivement pour rechuter et ainsi de suite .<br /> ...<br /> Et cela est tout sauf du hasard : Si vous possédez les médias , c’est un jeu d’enfant de faire chuter les cours quelques articles pessimistes sur l’activité à venir et c’est embarqué pour une baisse avant la quelle vous avez pris soin de vendre ce qui accentue l’effet baissier …..puis avec les liquidités obtenus pendant la vente vous rachetez au moment que vous jugez bon( lorsque vous sentez que ça ne baissera plus et surtout ne le dîtes à personne ) et là vous pouvez doubler le nombre d’actions possédées (ou plutôt vendues au départ de la « crise » ) et comme vous avez pris soin de vous être appropriée les banques centrales , vous faîtes remonter les ou la bourse en prêtant aux boursicoteurs ou encore en faisant une réforme des retraites supprimant le régime par répartition jusqu’ au jour où tout le monde a oublié le coup de la chute précédente et vous pensez que l’opinion publique est mûre pour se refaire baiser la ghueule .<br /> …<br /> C’est avec des astuces de ce genre qu’ils sont devenus si riches ! Un jour c’est les subprimes , une autre fois il la baptise autrement , mais c’est toujours le même principe .<br /> .....<br /> La dernière fois qu’ils ont tenté c’était en 2020 ils ont cru qu’avec le COVID (une des raisons majeures pour lesquelles l’affaire a été mise sur pied ) c’était un fameux coup , sauf que les chinois ont compris le stratagème et ont racheté avant eux et les capitalistes occidentaux ont racheté tout de suite pour gagner un peu quand même . Ce qui montre que les chinois ne fonctionnent pas en accord avec eux et sont capables de leur baiser la gheule aussi ! »
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I
De… claire « Retenons la fin : « tout changera lorsque le rien ne changera jamais sera reconnu comme un suicide collectif »… ça s’appelle la prise de conscience, la résistance et l’action quand nous serons suffisamment nombreux. »<br /> ....<br /> Réponse :<br /> ...<br /> Le difficile c’est de résister aux phases toute faites qui bloquent toute possibilité de s‘en sortir ensembles. Puisque tant qu’une majorité radotera ce mots (sans action à l’intérieur, nous ne pourrons parler de solutions pourtant à notre portée.<br /> Le prétendu « évident » évide. Puisque ? Tout ce qui parait « pertinent » commence par être impertinent ! Ce pourquoi j’aime ces commentaires « ouverts » qui laissent de la place aux opinions diverses ! Comme le vôtre !
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I
de Vanda <br /> "Ce n’est pas mal écrit , c’est écrit de manière à mettre la forme avant le fond . Lorsqu’on est sûr du fond qu’on présente , on n’a pas besoin d’essayer d’accrocher le lecteur avec le forme .<br /> Ce n’est pas spécialement gentil de dire ce que je dis , mais je le lui ai déjà fait remarquer et il ne veut pas trop en tenir compte . En fait , c’est son problème pas le mien !"
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