Comment le français reste extraordinaire ?
L’invitation est ici. Évidement ce n’est pas assez de le dire, encore faut-il le démontrer. Ce pourquoi de nombreux textes vont s’y efforcer…
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Le-français-est-une-permanente-surprise
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Aussi (d’après le modèle des dissidents), profitez des textes que l’on voudrait – avec ces si hystériques acharnements – que vous ne voyiez ni ne lisiez jamais (demandez-vous pourquoi ??)…ou bien que vous ne répondiez jamais en vous-mêmes à : « mais pourquoi je me punis moi-même, pourquoi je m’auto-punis de me priver ainsi de ces sucs incroyables et…accessibles » ? N’obéissez plus à ceux qui ne vous veulent que du mal, vu les décryptages de leurs comportements envers vous.
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Pourquoi ?
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Vous n’êtes pas seulement cet untel…
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….cet Untel qui n’est pas que… un tel tel… un tel untel jeté en vrac !
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Mais tellement plus et et tellement mieux !
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<<<< -- Vous vous doutez bien que nous ne faisons qu’effleurer le dix millième des potentialités des surprises incluses dans le français. Une langue si féconde en ce domaine. Et ? Vous ? Vous tels des boudeurs bouddhas de boudoirs, vous croyez que ne pas entrer « dans » (et dans danse !) la langue (ce trésor sensé insurpassable de sensualités) nous affecterait, au point de nous assécher ? Que non point : depuis tant d’années que nous pratiquons la d.d.d. (diction du dictionnaire) nous ne sommes qu’enchanté.e.s. jusques aux cieux.
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Puisque c’est bien, là, le royaume des Qualités si diffamé par les quantités. Un court récit le dit : le parfum puissant d’une fleur est une qualité. Eh bien, qu’il y ait 100,…1000, 50 000, ou 1 million, même plus d’humains à sentir la fleur – rien en elle ne diminue. Rien ne se perd, rien ne disparait à donner tant de joies aux autres. La qualité demeure inépuisable, inextinguible, comme l’amour. Au concret, c’est la véridique richesse qui jamais ne nous laisse tomber…Pareil pour la langue lorsque vraiment vécue.
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En fait, nous assistons à la même incompréhension ahurie que la censure. Censure qui «croit», plus que stupidement, nuire aux auteurs. Alors qu’ils poursuivent leurs routes créatrices. Rien n’est atteint en eux ! Seul.e.s les immenses nombres qui « auraient dû » recevoir ces talents en sont…privés. A chaque fois, nous voyons identiquement le ridicule épais recouvrir ces si absurdes censeurs. Ils «croient» avoir une seconde l’appui des humains. Surtout pas
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Pourquoi-les-plus-grands-tabous-entourent-ils-le-langage-
Pour Jean Schneider, il faut cerner, en premier lieu, l'origine de l'origine. Ce questionnement offre la preuve qu'il n'y a pas de temps avant le langage. C'est le Verbe qui commence et, ensuite, le temps, pur concept mathématique, devient psychologique, c'est-à-dire nous fait croire qu'il existe. En effet, si nous abandonnions un instant, notre point de vue, nous saurions que, de tous les points de vue complets et joints de l'Univers, le temps n'existe pas. Oui, oui, le début de l'univers est toujours là à 13,8 milliards d'années-lumière de distance. Le temps est donc une distance et, si l'on admet que toutes les métaphores du temps sont spatiales (le temps est… proche, lointain, court, long...etc.), le temps c'est bien de l'espace espacé. Les conséquences de cette compréhension nouvelle, pour la civilisation, la vie en Société, sont innombrables.
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Un seul exemple. Le commencement est la moitié de tout. C'est-à-dire, l'Être n'explique pas l'origine c'est l'origine qui pose l'originalité de tout être. Unique et irremplaçable. Son impossibilité à (être) imité, son sain anticonformisme, son éthique refus de la photocopie. Le commencement commence tant que toute Société persiste à ignorer ce dé-part. Partir étant partager : sinon répartir, se mit-il à répartir ses réparties. Partir étant participer, faire partie de l'ensemble des parts. Le dé-part se dessine, pour lors, comme ce qui se dessaisit de ses propres parts, se …départage. Le départ c'est comme quitter sa part : et, à partir de là tout peut commencer car pas de part possible s'il n'y avait, précédemment, partage. Dans la connaissance de la causalité le partage est premier : pourquoi s'être permis de tant l'oublier ?
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Les noms sont-ils des mots ? Et pourquoi, alors, ne disons-nous pas « motés » puisque nous disons…nommés. Oui nom-mer : donner un nom. Tout ce qui est nommé englobe alors tous les mots ? Ou, encore, sans nom originel pourrions-nous encore nommer quoi que ce soit ensuite ? Et plus rien ne serait nommé ? Puisque, dans le la langue, tout s’accepte nommé…communément, en commun.
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Le langage possède, en effet, la construction la plus ambitieuse de tout ce qu’un humain a à découvrir – un peu comme si sa compréhension intégrale se situait dans un post-quantisme à venir, la grande unification de la Physique ou les méta-cordes ! – Ce n’est pas en fuyant la problématique, en clouant un panonceau malhabile « arbitraire du signe » (comme signe de l’arbitraire ?), que nous évoluerons vers le monde carrément enthousiasmant du langage matérialisé. Sa double hélice (son-sens), tout juste entrevue, nous tire le signal que nous pourrons tout résoudre oui tout par cette double hélice même. Ainsi la formule d’un mystère cherché apparait dans la formulation. La « formule » se formule. Et nous sommes d’autant plus « résolus » (soit…solutionnés comme problème existentiel) que nous sommes « résolus », déterminés, convaincus, proactifs, engagés d’une seule pièce…à la (ré)solution des problèmes…Etc. En fait, les… formulations soniques des mots sont si précises que nous y entrevoyons une supra-science. Une science au-dessus des sciences. Il y a de tels déplacements corporels, d’actions du corps qui, lui aussi, articule chaque mot à l’aide de ses articulations – que nul doute le langage universel nait…après l’épisode de glaciation de l’arbitraire du signe. Qui n’aura jamais été « dans » la photo, mais s’est maintenu tellement éloigné qu’il n’a pas pu entrer dans le plus petit détail.
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Les mots se trouvent concrètement dans une spatialité opérante aussi grande que l’univers. Et ce n’est qu’un début : vous entrez dans les surpassements permanents !
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Là le Quoi ? De « quoi » s’agit-il vraiment ? De quoi l’époque s’interroge ? De quoi l’époque a besoin sans s’en rendre compte en avoir besoin ? Dis-moi pour qui pour quoi, l’humain ne passe pas en premier ? Pourquoi ? Pourquoi, ne sont-ce pas les raisons sociales qui priment ? Le but mis aux frontons de la société ? Son structurant essentiel ? Toute une foule d’interrogations (mais pourquoi…) tendues vers l’essentiel : l’intention, l’intention de tout, le motif, la cause du pour cela que…Le « quoi » qu’il faut comprendre POUR qui ou quoi il roule : voyez comment la question dit déjà la réponse. Elle dit « pour», vecteur directionnel et vecteur intentionnel qui contraignent à nommer à fond les « quoi »…quoique ? que quoi qui que, quoique, rien ne reste coi là-dessus !!!
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"Ce qui est taillé en sens contraire s'assemble" savait déjà aimer Héraclite. Le cadre est tellement fondu en profondeur qu'il en sort complètement. Du cadre, tiens ! Les époques, derrière les apparences, se ressemblent. L'essentiel reste toujours évité. Jamais…invité !
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Quel qu’un serait quelqu’un, à l’unité près ? Que une, que un…Personne n’est quelqu’un, un, mais quelqu’un reste une personne, avec une personnalité, une particule particulière, une individualité renforcée ? Quoique quoi ? Que découvrons-nous ici ? Oui rester coi coince quoi ? Encore que ! Le quoi comme coincé en quelle conque ? Conque quelconque qui en résonne si fort ? Car quoi de moins pratique que de ne pas avoir de… carquois. Car quoi ? Pour toutes les flèches lancées, aussi pour les flèches fléchées, les directions prises ou bien les dires aux syntaxes comprises ! Nous avons déjà assez parcouru un certain nombre de textes sur les pronoms, prépositions et les conjonctions pour avoir ressenti à quel point (avec les verbes) le langage s’y dénoue devant nos yeux…Le langage tel qu’en lui-même : le seul qui nous intéresse ici…C’est bien là qu’il avoue le plus jusqu’où sa structure nous mène, jusqu’où nous transporte le gigantisme de sa métaphore même. Et aveu c’est avoir…2 liens afin de vérifier mais en tant que dé-lectée lectrice ou dé-lecté lecteur (un tout de suite – et l’autre vers la fin !), vérifier toutes nos avancées existentielles ensembles !
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Faire-en-sorte-qu'on-s'en-sorte-
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>>>> - Entrer dans le sort fait qu'on s'en sort. S’en sorte même. Y accéder de la sorte aboutit, aussi, qu'on s'en sorte. Comme un guide écrit à l'encre sympathique permet de synthétiser tous les paysages d'existences. Bon, nous avons un début de mécanismes. Des sortes de sortes peuvent se déployer au complet. Nous pouvons, en même temps, pencher, accompagner et soutenir ce vers quoi nous tendons à ce que ça sorte – c'est "faire en sorte" l'expression qui ne s'est pas toute faite mais a bien été polie et peaufinée au cours des nombreux usages
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La-langue-française-est-une-langue-pour-le-futur-1/2
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Devant le gigantisme du synoptique, la problématique appartient encore à la méthode. Nous en avons l’habitude et obtenons, toujours, la chance insolente de dénicher les raccourcis…significatifs…Aussi, au lieu de 100 pages, nous le disons en 3…D’abord, la substance. Loin de n’être qu’une langue d’action, de guerre, de commerce et matérialisme (comme l’anglais qui voudrait tout « fonctionnaliser »), le français englobe si bien sentiments, émotions, sensations et sensualités, etc. Et ce de manière toujours plus vaste que chaque nouvelle découverte le laisse percevoir. Sa complexité vient de ces subtilités sans fin : et subtilités qui savent subtiliser (acte du subtil même) toujours le maximum du Sens aux…voleurs indignes de vie. Zones d’ombres, aussi, du fait qu’en très peu de mots, peuvent se voir soulevées des immensités de pourquoi ??? Tel ? Dictons nos dictons. Du genre éclaboussant de que dicte la dictature ? Et il y en a des kilomètres, ainsi que tous nos livres gratuits sur « freethewords.org ». L’historique des étymologies qui nous ouvre des milliers et des milliers de cadeaux (les nectars mêmes des dieux). Comme ? Comme les saveurs des savoirs. Les savoirs ont des saveurs différentes. Et le bon lecteur se dé-lecte sans fin de le découvrir. Les cinq sens s’en mêlent tout autant que les synesthésies. C’est que les conSensualités (le collectif social qui s’enflamme d’un unisson-consensus qui masse tous les cœurs) n’ont même jamais été tentées. En très grand. Tout comme la puissance si démonstrative du français ? Trop rarement utilisée ou alors en toute inconscience jamais vraiment lucide…
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Pas à un seul seul, à tous. Et cela donne ? Le contact avec ce qui manque beaiucoup à l’époque : la prise de conscience heureuse de la puissance de l’intelligence collective. Que cela pénètre tout le corps et tout le cœur. Ce que nous disons – pour le langage, nous nous le sommes vraiment réapproprié. Et les collés à la nov’ langue oublient que ce constat fut un point de…départ et non un point d’arrivée figé à jamais. Depuis, tout aura bien bougé et 2025 n’est plus 1984. Nous allons même en faire une petite démonstration. Oui ici même !
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L'apparition et le développement de ces politiques [[ donc faussement publiques…puisque ce ne sont que maladroites tentatives de privatisations rampantes, si l’on peut dire ]] publiques sont dus, d'une certaine manière, à l'existence d'un flagrant échec du… marché qui nécessite une intervention publique pour résoudre les problèmes spécifiques de la société [[ très bien vu et bien formulé…]]. Cependant, avec le temps, les conditions de départ changent et apparaissent des nouvelles circonstances économiques et sociales qui ont fait de ces programmes ces dernières années le sujet d'un débat intense dans tous les pays.[[ c’est cette Unité mondiale contre l’échec par inhumanité du si minable néolibéralisme qui n’est pas assez synthétisée, ni diffusée comme telle !]]. L'attrait du thème réside non seulement dans tout ce qui précède, mais est aussi une question dans laquelle on s’intéresse aux instruments analytiques utilisés par le transfert : incidence, efficacité, effets économiques, principes de l'équité, etc. »…Dont tous les procédés…d’évitements, de non-réponses, de fuites et de dénis devant les exigences des réalités…pratiques, justement signent…la nécessité du nouvel esprit mondial. Qui va nous englober toutes ces problématiques dans une Résolution infiniment plus vaste…
……………………………………………………….Ce qui veut dire ?
….Que de déjà QUITTER (mentalement et affectivement) les archi vieilleries si régressives du néolibéralisme…
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……….c’est apporter (en une seule fois) la moitié des solutions !
…dont le « la cinglante preuve que ces imposteurs ne savent surtout pas…diriger. Pour de prétendus dirigeants cela tombe vraiment très mal ! »
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>>> ---- *** Oui, par les scrupuleux faits ils sont refaits. reFaits ! –
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……Et voici comment « prendre aux mots » c’est les…prendre par les mots !
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>>>>-- Raconte le conte ? Sauf que ce n’est plus un conte s’il contient tous les contenus. Et que sans lui plus rien qui ne puisse continuer (de…conter !) ! Il y a, ainsi, des mots croisements, des mots rébus du complexe, des mots réfléchissants (qui nous ramènent aux pensées primordiales) ou tant d’autres pistes à copistes ? C’est que le mot - sens conduit par le son - aura été trop peu exploré. Par préJugé, qui juge sans rien savoir en prétendant tout savoir. Tout comme ce cardinal à qui Galilée proposait, en toute honnêteté, de regarder dans son télescope et qui reçut, en substance, cette réponse : « afin de mieux vérifier, je ne vérifierai pas, et j’aurai conservé, ainsi, purs tous les moyens de vérifier ». Bref, dans ce fatras de fat c’est non, carrément non - la chute arrive, la chute arrive par ce je ne veux pas savoir pour prétendre tout savoir. Ce qui, ajouté à tant d’autres reniements et dénis du réel, font une épaisse zone d’ignorances qui emplit quasiment toute la personne. Allons-nous agir ainsi ? Nous entendons déjà tout l’unisson noooon – et, bien que ne cédant pas ordinairement aux pressions, nous nous unissons à ce son, et c’est son son, qui devient (dès lors) l’uni son ! Unissons-nous‘(pour le ressenti tellurique) autour de cet uni- son…Démonstration !
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Oui, il faut entrer « dans » le son si nous voulons Vivre physiquement le sens. Sens tout entier, sans n’en rien omettre…Sens qui se rappelle à nous comme sens sensible, sens sensitif, sens sensationnel, sens sensuel ET sens sensé (inSensé donc qui refuse ses propres sens parce que des linguistes pisses-vinaigre auraient follement décrété qu’il n’y aurait « aucun » sens dans les sons. Le sens est ailleurs ! chuintent-ils. Que dans les signifiants et signifiés (avec le « référent » en troisième, mais cet intermédiaire biface va rester toujours omis, flouté, blousé !). Le sens n’est alors qu’une abs-traction retirée d’elle-même, le sens toujours en retrait de son trait, abs-trait du trait qui le trace dans tout le réel…le Sens ne sera que dans le charabia abstrait de qui va nous le pondre (moi expert-toi maboule). Invérifiable sens (dès lors) qui pontifie sa ponte…Oui la trajectoire de la déduction nous transporte ainsi : que, donc, le langage appartiendrait tout entier à un espace insonorisé où le son ne serait plus sondé. Ni des sons, plus de sonde de son. Plus de vérifiable, trop pratique pour les escrocs du savoir…Puisque le Sens - si noble et donc séparé de la valetaille sonore - se trouverait non ici et maintenant nous le maintenant ici…mais carrément dans un infini extraterrestre. Infini insonore où des spécialistes (ou experts de la…perte) viendraient nous «traduire» le son (ben tiens, puisqu’il « ne peut pas » se situer dans le son, le son qui concrétise le sens …mais que le sens restera entre les sons pas « dedans ». Ni tout à fait ici ni pas encore un autre maintenu pas dans le maintenant, chacun ayant la maintenance qu’il peut…Tu y entres entre ? Et plouf, plooouuuuf, nous venons de prendre en flagrant délit….1) les faussaires de la non-politique pour tous, bref la plouctocratie si inculte…et 2) les trafiquants du savoir, savoir aisé qui doit rester inaccessible au plus grand nombre (et les archi crétins conformistes les aident dans ce grave kidnapping !).
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Mais à qui reprendre notre temps ? Qui l’avait donc interrompu ? Bon, S’engouffrer dans le vent aventure ? Il y a d'autres façons de vivre. De le dire ne doit pas suffire. Faut aller les découvrir en direct. Ce qui demande un petit effort. Et pour ce « petit effort » de rien du tout, combien vont enterrer leurs vies sans la vivre à 100% ? Ce que nous pouvons faire, alors, c’est « juste » mettre des peps, faire sauter les bouchons, faire pétiller les joies, et danser les bulles ? Et danser les bulles. Ce qui inclut (selon les humeurs, les moments de la journée/nuit et la diversité de qui s’intéresse à nous) de mettre dans le même sac - images détournées, vidéos attrapées au passage du train, musiques toujours inattendues avec mots et raisonnements et avec sens et…libertés de comprendre ce que l’on veut)…Ce qui en est ? Hop pas là ? Pas par… là !!! Hopala plutôt, un retentissant ça t’a… plu, tôt ou tard il le fallait bien…Quel travail mérite nos vies ?
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Et vlan, nous voilà en laissés en plan, vlan…« Quand le travail occupe chaque espace de notre vie, qu’il nous oblige à courir sans cesse vers un objectif devenu flou et qu’il nous fait sentir tel un hamster prisonnier de sa roue, condamné à toujours avancer pour toujours rester sur place, c’est qu’il est temps de faire une pause [[…pause…]], de prendre du recul et de s’intéresser à d’autres façons de vivre et de travailler… C’est ce qu’a fait Pauline, et le fruit de ses rencontres est des plus inspirant [[…inspireeeez….]]. Pauline, 30 ans, a quitté son « travail à douleur indéterminée » et a fui Paris à bord d’un van aménagé pour « vagabonder toute seule sur les routes de France. » Son objectif ? Partir à la rencontre de ceux qui ont fait le même choix qu’elle [[ mais qui ne pouvaient pas le savoir à ce moment là ¡]], s’enrichir de nouvelles expériences puis partager le tout grâce à de superbes portraits filmés. Exemple avec Gregor, ex-monteur vidéo pour la télévision à Paris qui est devenu permaculteur dans un écovillage alternatif du Lot-et-Garonne.” La vidéo jointe termine la démonstration…
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Par les temps qui courent ceci peut, effectivement, servir. Puisque si nous rattrapons les discours en cours – nous ne leur serons plus en rien asservis. Ce qui mérite tout de même d’y mettre un peu d’ordre. Sacrément même. Alors, un petit cours de discours ?
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*** déjà) – Veuillez veiller à la logique, la logique qui loge tout.
Soit ?
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Le-langage-un-trésor-trop-méconnu
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« La langue est l’outil transdisciplinaire par excellence, mais il ne faut pas la disséquer, la tronquer, la couper en rondelles ; il faut se laisser porter par elle, par ses propriétés, dont les métaphores qui régissent la poésie et sont la voie royale de la création (p. 149 - Marcel Locquin – Quelle langue parlaient nos ancêtres préhistoriques, 2002). »*** Le langage stupidement déprécié, trivialisé, stéréotypé, banalisé, dépersonnalisé – oui considéré comme sans importance – est tout l’inverse. C’est le plus incroyable… outil humain. La machine extraordinaire que rien ne pourra surpasser. L’englobant qu’aucune imagination ne peut embrasser. Le vouloir marié harmonieusement avec le pouvoir. L’extension infinie de la mémoire, etc. (dérouler ce qu’il n’est pas demeure aussi inutile, le langage semble tout contenir !, etc.… Il ne coûte pas un centime (comme l’eau, l’air ou les sols) mais sa valeur dépasse l’entendement. Il est un …moteur noétique…, soit issu de nos pensées ou les faisant naitre à la vie (mais tellement d’autres choses à la fois). C’est donc bien le langage qui permet notre évolution collective, ensembles.
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Le langage ?
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Oui qui le fait vivre, l’originise, le madure et mature et le surgit au très grand- jour ? Resplendissant ? S’il y avait des officiels, ils officient vraiment bien mal – leur culte fait infiniment groupusculaire. En plus que de se révéler en carence d’ardeurs et d’enthousiasmes…Les médias dominants éteignent, eux, toute vie : vivre c’est « ne pas » vivre, pour eux. Soit consommer passivement sans se permettre une subjectivité. Payer toujours et se taire encore plus. Ne pas compter sur la moindre inventivité généreuse. Où est donc la langue là-dedans ?
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Premier savoir ? Le langage n’appartient absolument pas au sommet, il ne participe ni à sa conservation ni à son épanouissement…au contraire, les prétendus dominants (dominant quoi ? la flaque de leurs effondrements intellectuels ?) font tout afin d’empêcher de …parler ! Aucune liberté d’expression n’est digne de ce nom sans moyens matériels afin de diffuser. Ni sans reconnaissance officielle de sa nécessité vitale pour le futur de la civilisation…que tout le monde puisse atteindre la joie de PARTAGER la parole sociale. Indissociable !
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Afin de produire du fluide et de l'anamorphique - chacun-e y voit sa propre interprétation et personne n'a tort, ce qui ajoute beaucoup d'interprétations et n'en retire aucune – le tout choix de la lettre MAJUSCULE et minuscule semble adéquat…à moins que vous ne prouviez un refus catégorique (soit une catégorie de refus qui n'implique pas tous les refus possibles !)…
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être intérieur
étreinte intérieure
être étreinte
être inter rieur
étreinte rieur qui le vit ce…
- tu m'as saillie de l'intérieur !
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Entre enlacements, embrassades ou accouplements – les étreintes !
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Carambolages-télescopages-le-langage-comme-vous-ne-l'aviez-jamais-vu-
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Selon que la personne use de tels ou tels pronoms personnels – la phrase change du tout au tout. Un exemple ?
- On devrait pouvoir avancer
- Je ne voudrais pas trop m'avancer
Comment avancer si, dans le même mouvement, on ne veut pas s'avancer ?
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Ce que cela veut dire ? Ce qui est impliqué ? Ce qui pourrait changer ? Ce que nous n'avions pas compris ?
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…Outre que n'avons pas, encore, découvert la table périodique des mots à l'image de la "table périodique des éléments", d'après leur numéro atomique et leurs propriétés selon Mendéléev. Tableau qui offre de la place à ce qui n'est pas encore connu, formulé, articulé – mais suppose (jusqu'ici avec raison) que la réalité est, entièrement constituée de tant d'éléments avec numéro atomique prédéterminé !)… les règles PHYSIQUES et physiologiques des mots !!!
Tout d'abord, la table périodique des mots ne possède comme principale règle basique que "chaque nom a son verbe qu'il doit trouver ou bien il nous faut l'inventer"…comme si la place de ce verbe existait déjà à l'avance - même si le langage courant ne l'a pas encore formulé ni prononcé. Un exemple plaidait mieux que touts les généralités. Il s'agit du mot "détresse" ? Oui, mais qui connaît le verbe qui va avec "détresse" ? Là, c'est une colle, chercherons et percherons, creusons et excavons…pas la peine, de nombreux essais ont prouvé qu'il n'y a toujours pas de verbe pour détresse… la table périodique des mots va permettre de prédire ce verbe et de l'officialiser !
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Tout dernier tâtonnement – il s'agit du verbe qui n'existe pas encore de "détresser", d'être en détresse. Ce qui nous offre des images dont la plus claire reste de liens sociaux, de liens tressés, noués, entrelacés, entortillés, assemblés, attachés ensembles, que nous voyons se dé-Tresser, se défaire, se découdre, s'effilocher, s'effranger, diminuer, se délier, jusqu'à ne plus tenir qu'à un mince fil…et…se rompre. Tout le film complet de la détresse en un seul mot ?
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A pour ouvrir la bouche et ce que bouche la bouche A…
…en être bouche bée de voir à ce grelot qu’A a déjà cet acte le plus simple;
avoir. Savoir étant tout aussi bien, s’avoir. Ce qu’A a.
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Et de savoir que s’avoir reste encore à voir, A se les a toutes prises les pro-visions des visions. Et se les a A, pas à pas, prises les apprises orientations des câbles du vocable. Dans TOUTES les directions. Dans TOUS les temps. Et juste à temps, mais à cent mille lieues : le pivot voilé…
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Le pivot voilé
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A, n’étant point issu d’une lettre le précédant, selon la figure de l’univers même, irradie donc toutes ses lumineuses trajectoires DANS (c’est-à-dire DANSE) tout l’alphabet. A tire sur TOUS les câbles qui tressent physiquement le vocable ; il pétrit et brasse l’espace espacé de toute la langue, lorsque le temps, depuis longtemps, est bien plus, un temps, un rythme, une cadence, qu’une vague et creuse substance à dénotation magique. A semble créer, ainsi, à lui seul, seul à lui, toute la langue, il est le gouvernail même du navire. Par conséquent, de mettre lettre à lettre dans A éprouve que la première lettre (celle du non a priori), la plus ouverte, le son palatial le plus énergétique, est bien cette voyelle - entravée ou libre, avec un vélaire libre ou atone après une consonne palatale qui offre le plus de possibilités à la langue.
A est l’exact pivot qui exhume le sens des mots (je veux dire que l’image se tient claire : A surgit et la langue s’y love déjà toute entière) ; et nous avons humé tous les mots, goûté à leurs charmes, dégustés, parlé la bouche vraiment pleine, caressés tous leurs sucs internes,
écouté aux écoutilles de ce vaisseau de lumière.
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Tout-va-de-travers-faut-traverser-2-
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La traversée a été entièrement effectuée. Et sous nous yeux. Tout a traversé à travers les travers. Et comme rien ne va plus de travers plus rien ne va de travers : nous avons vécu une sacrée leçon d'optique. Les mots qui possèdent un si fort gradient d'optiques, de visées avisées, une visualisation qui nous permet d'échapper aux tropismes pesants qui nous ont été légués. Lorsque tous jeunes bébés…
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Et le chant nouveau est arrivé …comme la fraîche saison délivre les vins encore verts et jeunes… Et le chant nouveau chantonne…
Tout se tient ! Tout s'y tient dans les mots !
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Tout se tient ! Tout s'y tient et nous y tenons !
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Tout spectacle subit une transformation puisque d'y assister explique, en impliquant, que ça soit, irrémédiablement, devenu… d'y porter secours et aide. Dès que vous assistez à un spectacle vous devez l'assister, le secourir et l'aider. Chaque terme est appelé à parvenir à son « terme ». Ce qui va annuler, du même coup, sa fixité et la nôtre, au spectacle. La diction du dictionnaire explore, explose, toutes les étagères du rangement et rayonne, soleil de chaleur et de clarté, que le seul rangement possible, le seul rationnel, devienne celui de la diction juste. Dico, en latin, c'est je dis. Le dictionnaire savait tout cela déjà ! C'est pour cela qu'il le dit bien mieux que nous.
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Le réveil du réveil ?
Il grelotta ses aiguilles
toussota son tic tac
fit ses élongations
en jouxtant les deux
fit tic tapa tac
avaient tricotées
les aiguilles à deux impact
tic tac le réveil se réveille
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Et du tac au tac
les tics du matin
firent sonnerie
c’est quoi encore cette connerie
se dit l’appareil
peu réveillé
les bâillements triphasés
plein la boite
à tactiques euh…enfin à tic tac
fit tic tapa tac
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Après le toussotement
le réveil s’ébroua
se fut le brouhaha
qu’il broua donc débrouillardise
s’ébroua oh un peu plus loin
…
fit tic tapa tac
…
Conquestion-or-the-quest-of-questions-
Working in progress : changing must yet be very into the way you explain it. New words, new ideas, new questions & answers drive us to the mainstream of future. Solutions lay in the precise words used to express the problems. Accordingly - open your pen ? Every question is a quest so "conquestion" (become your conquest). Who privet the deprives, who disinherit the disinherits, who do the undo, who is able to disable, who trim the detriment, who possess the dispossess, who spot the despot, who drain the brains, who unscrew the crew, who unsolder the soldier & oldier the soldier, who torture the distort, appropriate the too easy misappropriate, who miss the dismiss, who vert the divert, (how many) set to upset, who vide the divided, who loose the loosen, who order the disorder, fiddle the idle or draw the withdraw, whom tress of distress, who hattered the shattered, yes who "derangies", the "abover"…etc; all that just showing clearly a true action hidden into the result word (precise term – inology !!!).
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Ce-qui-n'est-jamais-dit-entre-hommes-et-femmes-4-
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Filer le parfait amour. En filature qu’ils le prirent les ennemis du parfait amour. Le ténébreux souffla à son acolyte "the guy pit".
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-- Ces connards s'aiment, suis-les ! filature discrète (discrète = qui sait garder un secret) mais encore, chuchotait-il, affublé de discrétion (discernement), c'est à dire judicieuse RETENUE dans les paroles. Chaque phrase qu'ils laissent ECHAPPER nous révèle quelque peu la société ! Faut savoir choisir ses cibles. Nous, on veut abattre la société, en lui démontrant qu'elle n'existe pas. C'est à dire que le mot société masque comment vivre en société, en n'en faisant qu'en parler. Nus, nous on veut abattre le mot Société pour que télé, radio, journaux, pub, politique, ne puissent plus jamais en parler. C'est pour cela que nous sommes commandités ! Nous on veut abattre la société pour qu'il soit appris, compris que ce mot, ce seul mot n'existe pas. "Société" : fini ! On va désormais vivre entre nous, comme on peut, rafistolage, mais plus "avec" la société qui n'existe pas. Les amoureux nous tournent encore le dos, il faut les suivre ! Ils ignorent donc ils font durer un de ces mots qui ont duré quelques siècles pour le pire sans le meilleur. Nous sommes les pires pour que vous soyez les meilleurs, tel est le slogan de notre agence ! Hors de nos jeux malsains (filatures pour ne pas perdre le fil) - le meilleur fut bien celui qui est le meilleur, avec le plus de bonté, d'attention. Et non par le détournement vénéneux du mot, le plus riche, célèbre ou salaud ! Le meilleur s'enracine de toute éternité en celui qui a le plus de bonté. Le Bon et le Beau sont toujours restés couplés dans les ombres de la caverne de Platon ! Ces connards s'aiment suis-les donc !
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Si Pan c’est le tout, comment peut-il y avoir des pans du Pan, des pans du tout – soit de lui-même ? Le tout laissé en…pan. Un pan de soi-même qui conserverait, alors, son identité intégrale ? Un pan pantelant ? Comment un seul côté peut-être toute la surface, une partie le tout, un morceau le monceau, un bout toute la superficie, un morceau l’entier gâteau ? Toute l’étendue pourrait se voir représentée par un seul de ses pans ? Incertitudes de langage ?
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Les-sentiers-battus-extrait-de-l-Amour-Social-existe-
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Sentiers battus, pourquoi seraient-ils battus les sentiers battus, qu'ont-ils donc fait, aussi quelle violence à leur égard. Mais s'ils sont battus c'est signature de l'échec, puisqu'ils se voient surpassés, supplantés par quels autres de sentiers ? Parce que si l'on argumente toujours avec les lieux communs il reste extrêmement rare que l'on argumente sur des lieux communs. Parler en connaissance de causes !
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<<<<< ---Tricheur de la causalité, le cynique comme l'égoïste ou le conformiste, est au sens fort un ir-responsable. Un dangereux irresponsable même puisqu'il crée tout l'irrationalisme contemporain. Toutes les pratiques sociales mentent, désormais, chronologiquement, prennent sciemment l'effet pour la cause, le résultat pour le déclenchement, la spéculation pour le moteur et l'économie réelle pour virtuelle, ceux qui subissent pour les diffamateurs, les diffamés pour les responsables, les non-rêveurs pour les utopistes et les auteurs pour les fauteurs; la chaîne logique reste toujours subvertie. La déraison partout règne. Nous connaissons les ir-responsables responsables! Ainsi sont-ils contraints de détruire le monde: la conscience c'est son contenu, la leur reste une casemate aux cases mates, où leur pauvre rangement les oblige, faute d'accès au réel, à ne faire que torturer ceux qui connaissent l'intégrale image du réel. Ce savoir, cette expérience appartiennent à l'Humanité entière, vous percevez le degré de nocivité de ces marginaux autoproclamés élites. Ainsi, à côté du Mal comme thèse d'État, le Bien doit se maintenir en une abnégation totale, se laisser faire dans les mains de ces sordides puritains, terrifiés que le réel puisse, un jour, les interpeller. "Le dépouillement de la violence est l'abondance du bien", le Bien resterait abnégation de la rancune, Évidemment, cela arrange, reste donc rangé. Le problème toujours pour ces incompétents du réel c'est que leur vision admet, fait l'implicite aveu, de ce que le Bien reste toujours intact, ni brisé, ni fragmenté, un bien absolu, irrévocable autrement dit un ordre. Si cette déviation du Bien était pénétration dans le champ du mal, que le mal puisse être nourri, le mal tel une diminution du bien qui lentement se termine dans le mal (thèse des cyniques, corrupteurs, fanatiques de la Religion masquée du capitalisme), le Bien ne saurait se maintenir dans l'abnégation, il userait de toutes les ruses du mal. Or le Mal n'est pas absolu parce que cumulatif, toujours porté à un degré ou à un autre, et pour cela reste sombre, tordu, déformé, volontairement blessant puisqu'il ne sait rien d'autre, tandis que le Bien apparaît toujours dans son entièreté. Le Mal a donc besoin d'une longue accumulation afin de s'autoprétendre équivalent du Bien. Le malheur de ce pitre c'est bien qu'il ait absolument besoin de l'abnégation du Bien, qu'il reste dans son coin, afin que ses maigres calculs puissent se faire tranquillement, sans être dérangé. Bref, ce pitre ne peut supporter l'entière image de la réalité. Les mots le terrifient: le mot goodness (Bien) se source-t-il en God (Dieu), Di-eu, plusieurs biens, plusieurs façons de se porter bien en dieuphories...etc remet en question tous les petits rangements et arrangements de l'égoïsme. Le Mal n'est pas perfectible, l'Évolution le condamne, le progrès progressif et progressiste aussi et donc le Mal se rétrécit, se racornit, à dire qu'il y a un mal absolu, un péché définitif, irrémédiable. Tout ce qui est irrémédiable est diable. Le Bien qui ne peut s'épanouir et fleurir que dans la liberté non la tradition disqualifie donc si aisément les fanatiques du Mal comme thèse d'État. Qui a tout faux sur tout? Le Mal n'est pas du tout malin, seul lui reste la lourdeur du diffameur, du menteur, du corrupteur, du diviseur, du semeur de confusion: et rien d'autre. Nos élites autoproclamées semblent tellement attachées à ce maigre héritage pas malin qu'elles risquent de récolter un gigantesque et gargantuesque rire. Puisque de se croire madré de cynisme, péremptoire égoïste et propagandiste des lieux communs les accule dans la pitrerie du tout ce qui n'est pas conforme est, par eux, dénoncé (délation) comme déraisonnable, irresponsable ou insolent. Or nous venons de parcourir jusqu'à l'écœurement que le conformiste est plus que déraisonnable, proprement ir-responsable, totalement incompétent en ce qui regarde le réel, "ignorant" des mécanismes de la pensée, d'une prétention ridicule dans son autosatisfaction stérile. D'ainsi de n'avoir plus pour troupe pour la Religion masquée du capitalisme, va leur faire retomber dessus tout le poids de ces êtres étriqués, pétris de nœuds psychologiques, irrespirables, sans issue, sans grandeur ni noblesse. Le rire va drosser dur: le tri étant fait, les propagandistes des lieux communs ayant avec une telle finesse et une si brillante intelligence, dessiné leur camp vont devoir apprendre la réalité. Les créatifs diffamés tenaient à bout de bras la Société, maniant l'énergie et les flux d'opinion seulement domptables par qui a eu l'humilité de comprendre que les mots ont un sens, maintenant, cette poigne devient inutile, tout va retomber et les imposteurs ne pourront réclamer ce qu'ils ont sans cesse dénigré. Comme disait un cynique ils se sont baisés tout seul. Nous disons plutôt autopiégés! Chacun ayant charge de son choix; bien du courage à ceux qui ont tout faux sur tout. A vouloir trop gagner ils se voient perdre le fil de la réalité, cette poule aux œufs d'or. Seul, qui agit et pense toujours pour le bien collectif possédait toute chance de le maintenir. L'égoïsme est une prison dont l'égoïste est lui-même le gardien: tout se passant en dehors du réel, le réel ne peut plus rien pour lui. La phagocytose n'absorbera personne d'autre !
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Dans l'Histoire, ce sont les plus faibles (penseurs, écrivains, vrais savants) qui ont toujours gagné,
.....pourquoi voulez-vous qu'il en aille différemment, aujourd'hui ?
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………(à suivre)
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https://www.imagiter.fr/2019/09/les-faits-parlent-aux-faits.html de Septembre 2019...
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, aussi, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêtons de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
s' entretenir..
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Porque la INTERACTIVA ¿ Pourquoi INTERACTIFS? Why to be INTERACTIVE ?
Porque la INTERACTIVA ¿ Pourquoi INTERACTIFS? Why to be INTERACTIVE ?
https://youtu.be/ZrEgt8v7pmU?si=c6qibObfP0M0VuTB
Porque la INTERACTIVA ¿ Pourquoi INTERACTIFS? Why to be INTERACTIVE ?
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Du bon usage de l'intelligence
Plus moyen de se cacher derrière la science. Ne demeure que le piteux préjugé. Ce préJugé qui juge ainsi à l'avance (hors toute probité intellectuelle) que ces êtres soient supérieurs et ...
Du bon usage de l'intelligence
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Peu de vidéos et d’images ?
C’est tout le contraire !
La prodigalité surabondante de vidéos et d’iconographies vous sont directement accessible dès que …
….vous cliquez sur les liens !!!