La mémoire humaine augmente tout - et aucune autre n’y parvient !

Publié le par imagiter.over-blog.com

La mémoire humaine augmente tout - et aucune autre n’y parvient !
La mémoire humaine augmente tout - et aucune autre n’y parvient !

Tu te souviens et moi je viens.

Sache, désormais, qu’à chaque souvenir je peux venir.

Pour le moment, nul autre ne le peut. Voici pourquoi…

Tu te crois si loin de tes origines mais c’est parce que tu ne veux plus être entièrement ouverte comme un sain enfant, totalement à l’extérieur de lui, sans arrière- pensée, déployé sans recul ni hésitation, devant la beauté de l’univers et de la vie. Oui de plein pied avec tout. Pas comme les faux adultes-d’adultères ! Tu t’étais avancée (souviens-t-en !) – et, immédiatement, tu avais reçu trop de coups, tu avais rayonné, à l’instant, tu as été pollué, tu t’étais surpassée, à la seconde, on t‘a diffamé – tu brûles encore et ne trouves, tout autour de toi, que viles mesquineries, tu aimes sincèrement et, sur le champ, sont cherchés tous les moyens de te blesser et, pour tout cela, tu t’es crue séparée, coupée de tes origines, éloignée de l’enfant éternel que tu aimas être !!

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Oui ? Tout cela, eh bien, c’est jusre « leur » vrai malheur. Celui d’être si hors du réel, hors des mémoires de la Terre, de l’unis vers et de la vie. Tel n’est pas ton cas.

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Puisque, tout simplement, tu fais un tout autre usage de ta mémoire !

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Aussi, ils ne peuvent strictement rien contre toi. Plonge dans tes sources vives, et tu vas le vérifier. Amplement ! C’est qu’ils ont – désastre - perdu toute mémoire active, celle de la vraie vie, qui se vit sans autre ambition que de la vivre. Celle qui se vit dans le maximum de partages…sociaux. Tu restes hors de portée de ces sinistres « hors du réel ». Chacun de leur mot d’égarés, chacun de leurs comportements de zombis hallucinés te le confirme sans efforts (de ta part).

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……Tellement mieux de mémoriser à l’aide de tout le corps !!!!

L’instinct, le véridique c’est juste garder l’âme des enfants, comme guide sûr de nos vies. Oui la chance de rester complets, toujours à se sentir quelques spirales au-dessous – mais (en même temps) dans toutes les spirales de ta vie entière. Vécue tout le temps. Tu ne quittes jamais rien – tu retrouves tout, tout bien heureux de te revoir. Rien ne te sépare de toi  = c’est cela réussir « sa » vie. Ne pas en perdre une miette. Tu as donc échappé à la version tyrannique de la vie de certains autres (toujours sur leur propre dos à s’empêcher de…vivre. Oui tu n’as jamais souffert « par » toi-même. Une vraie amie pour toi ! Jamais contradictoire-séparée de tout ne serait-ce qu’une seconde.)

Ton « unité » intérieure reste la fondation même de ton immunité unité naturelle.

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La mémoire humaine accroît, amplifie tout – mais uniquement si tout le corps participe aux mémorisations. En fait, nos corps impriment très fortement les souvenirs. Le corps se prouve très mnémotechnique : un parfait conservateur de mémoires ! Voici qui change carrément le socle à toutes les pensées autour de la mémoire !

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Y inclus ceci : oublie, aussi, les pensées et retrouve les sensations toutes. Sensations sensationnelles ! Le propre des vies « réussies ». Jamais les pensées ne te persécutent, sont contre toi. Ni ne te foutent de douloureuses inflammations d’être trop imbue de toi. Les passions tristes tyrannisent surtout les tyrans ! Toi, ta mémoire à laquelle participe tout ton corps, ton corps en accord avec tout de toi. Mémoire fantastique qui « n’oublie rien » de tous les chemins intérieurs qui te conduisent à la véridique paix intérieure. Paix intérieure que l’on reconnait du fait remarquable d’être toujours d’accord avec soi. Jouissances souveraines s’il en est ! L’autre reste de ne « jamais avoir besoin des hiérarchies », de n’avoir jamais racisé personne, que tout le monde te paraisse aussi égal, le clochard ou le  ministre - c’est délicieux à goûter : la douceur si appétissante de vivre (pleinement) ceci ne peut se trouver nulle part dans la société qui tacle le spectacle. Souverain aussi oui partout. L’erreur majeure de l’Occident reste de ne jamais avoir compris ce qu’est « réussir » sa vie. Déjà, avoir quitté toutes les…médiocrités, mais toutes. L’argent ne peut réparer cette grave erreur de méthode. Aussi sommes-nous toujours restés…en dehors (par exclusions illégales des hypers racismes pitoyables des prétendus sommets - ou par choix heureux de nos parts !).

Puisque ?

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Rien de ce qui « leur » parait comme petit, insignifiant, pauvre, sans moyen, minime se trouve négligé ou méprisé. Or ? c’est l’essentiel, le trésor trouvé. Ces puceaux de la vie jettent tout cela à…la poubelle. Ce qui a le plus de valeur ? Exact- faut donc s’écarter au maximum de ceux qui ne savent vraiment pas choisir. Qui n’ont aucun goût à avoir du goût !!! Leur vie intérieure ressemble trop à un désastre. Qu’ils boivent leurs calices sans nous ! Soulagés et heureux, nous sommes…que leurs échecs massifs dégoulinent de partout à la fois.

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Quitte les pensées, préfère les émotions. Il y a autant d’émotions que de mots pour les ouvrir.  A profusions d’émotions (et les émotions négatives sont la malédiction exclusive de bourgeois absolus, ces si « misérables » !) oui la profusion d’émotions appartient à la corne d’abondance.

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L’âge du sentiment surpassera, en l’englobant, l’âge que rationnel !!! Tu t’es sentie mentale ? Approche doucement de ton secret, qui reste que tu n’avais pas perdu ton âme d’enfant. Et ça se voit ! Dès que tu m’entends, tu te tends et tu te suspends à l’écoute du bateau de ton entend®ement.

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…………………Définissons la réalité !

De quoi s’agit-il ? De rester, puissamment, les plus proches possibles de la réalité, des réalités ! Et que notre thèse devient : qui ont gardé leurs âmes d’enfant dans un adulte hyper responsable (et des autres, et de soi-même) – oui ceux-là, sont, en fait, les plus lucides les plus conscients, les mieux éveillés. Ce paradoxe se fera comprendre un jour proche. Oui, leurs regards sont les plus incisifs, pénétrants, elles et eux ne fuient rien. En plein cœur du réel ! Voilà qui promet du…meilleur !

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Surtout si nous ajustons les définitions du réel !

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La réalité est à 100 % féminine, et elle est à 100 % masculine. Les deux à la fois et dans le même temps. Cette acceptation d’un androgynat naturel la rend sûre et fiable, cette réalité. Nouvellement mieux définie. La réalité est tout et n’exclut ni ne rejette rien. Acte magistral de souveraineté, devant lequel les faux dirigeants ne savent plus que ramper. Perdant à 100 % les confiances des populations ! La réalité - au lieu de faire le face à face « naturel » avec les majorités – réarrange et réorganise tout, et sa hiérarchie (hors des faussées hiérarchies humaines, frauduleuses le plus souvent)  tient solidement la route. Et qui n’a jamais quitté « l’économie de la Nature » des Physiocrates… Oui, l’économie de la Nature qui « contient toute l’économie humaine ». Et sûrement pas l’inverse !

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Ce pourquoi la réalité ne sépare rien, ne divise jamais, ne privilégie rien, ne supplante pas bêtement l’un au détriment de l’autre. La réalité est l’exact inverse de la compétition, ce cruel et stupide enfantillage. Alors que c’est une posture geignarde toujours avec ses pétitions ces com-pétitions ! Ces hébétées plaintes continues qui se placent au…dessous de tout. Ne nous montrent que le pire de chacun, se placent au-dessous de leurs compétences, plus bas que tout - bref, la médiocrité suicidaire en marche !

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Au lieu de marcher directement vers les émulations, celles qui valorisent tout le monde, place chacun au meilleur de lui/ elle-même. Oui « pour le plaisir de tous » tire toutes ses compétences, ses ardeurs, ses qualités vers le haut. Entrainant toute la société dans son sillage. Les émulations offrent le « meilleur » = soit le plus rempli de bontés ! Il n’y pas de mystère !!!

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…………………De Jean Francis EVENOU

……………….… « On nous l’a volée

…………………..Quoi ? – L’Éternité.

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«  Je n’accepte pas de ressasser ce que je viens de vivre. Je ne laisse pas cette soi-disant mémoire me grignoter le cerveau (p 24). »

 

« C’est quoi cette mémoire, Mathieu ? Cette chose épouvantable qui permet à olibrius de se faire appeler Monsieur le Directeur, Monsieur le Chef de ceci ou cela, cette mémoire-là, l’idée que l’on se fait de soi-même et des autres, c’est cela que tu veux retrouver ? Grand-père et moi avons une mémoire prodigieuse, comme la tienne (ibidem). »

 

« Regarder, écouter, toucher, sentir, goûter sont les actes premiers de la vie. Écouter, s’oublier soi-même, regarder, voir ce que dit l’autre, sans se laisser distraire, sans emboîter le pas. Celui qui s’agite en pensée n’écoute pas. Il est aux abonnés absents de la vie. Écouter c’est faire l’essentiel, bien avant de savoir faire une multitude de choses pour lesquelles ta mémoire cette fois est là, qui veut bien t’aider (ibid.). »

 

« Qui lui apprendra à gommer cette mémoire inutile qui ne sait retenir que ce qui peut flatter ou blesser ? (ibid.). »

 

« Si tu sais faire quelque chose, c’est comme de savoir écouter, c’est ça ta mémoire : tu n’as pas besoin d’y penser au moment où tu le fais (ibid.). »

 

« Ce sont les trois sources, les eaux vives de ta chair, ta mémoire, ton esprit à toi aussi. C’est comme si dans la « source du milieu », celle de ta mémoire, il y avait encore les eaux de la première, que leurs eaux mêlées coulaient vers la troisième source, la source du ciel, jamais dans l’autre sens (p 28). » Ici intervient la métaphore de « la tricoteuse ». Soit il ne s’agit surtout pas de vouloir se contraindre à se souvenir de toute force, comme s’il ne fallait rien oublier. Ce qui est bien se tricoter des souvenirs, pas tous utiles et les entasser dans une sorte de réserve exigeante, dans laquelle ils vont plutôt nous desservir, ces souvenirs !

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« Puisque les aiguilles s’y agitent interminablement, la source du milieu coule à l’envers pour que tu puisses (bien inutilement) remonter le fleuve du temps ! » C’est bien que la vie la plus ample et intense ne se vit pas à l’envers. Mais bien en allant de l’avant. En avançant à l’endroit. Le Grand-père dit encore que « l’homme n’est pas ce qu’il dit, c’est pour cela qu’il doit tenter de dire ce qu’il est ». Et ne le peut qu’en n’ayant plus « les mains liées par la tricoteuse ». Ce qui est exactement et bêtement avoir « le regard tourné vers le dedans. » (p.29 )

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Et nous allons découvrir que, d’avoir ce regard tourné vers le dedans, est bien un très mauvais usage de la mémoire, celui qui immobilise tout, celui qui, employé au détriment de tout autre usage, nous font tourner le dos à la vie. Pas besoin d’aller très loin, afin de trouver un argument de poids : « Les enfants, pas tous, mais de nombreux, peuvent perdent très tôt ce qu’ils avaient de mieux, leur regard, un regard sans mémoire (p. 30) » Ce qui représente merveilleusement le… loisir complet de l’œil, oui « l’œil libre » qui peut regarder à sa convenance, sans l’obstacle pervers des habitudes, de croire voir sans savoir, de le savoir concrètement. Et dont l’absence (puisque pas de regard… libéré !!!) va boucher, obturer, obstruer, désormais, toutes les possibilités de découvrir…l’inconnu, le non connu, le pas encore connu, le non pensé ni encore ressenti. Nous enfermant dans les ressassements perpétuels (alors que chaque jour est neuf et détient ce « nouveau » continu). Celui que cette phrase décrit si bien : « Cet exercice sur l’amande de l’œil, œil qui laisse passer la lumière, qui dans toute la vie d’un homme devrait  laisser passer la lumière , rester transparente comme sa mémoire (ibid.). » Pour aller plus vite, disons que ces regards sont de ceux qui ne cachent pas nos amours, regards d’amour qui peuvent, envers certaines personnes, se faire ressentir tels de « dérangeants regards », et, parfois, parviennent même à interrompre les conversations !

Disons que ces regards sont le contraire des regard tournés vers le dedans. Soit, précisément, avoir perdu « ta propre vision de prés ». Celle des enfants encore enfants et qui ne ratent aucun « détail », mais entrent bien tout  à l’intérieur et n’en perdent rien, aussi infime que soit la chose regardée. Soit que, là, regarder reste re-garder, le garder, le sauvegarder très précieusement ! Donc savoir où se trouvent les véritables trésors qui aident à vivre…

 

« Car c’est dans la distance qui te sépare de ta main que l’œil doit travailler le plus (p. 31). » Parce que ? Parce que nous sommes bien là avec la mémoire qui sait…regarder !  Et ? « Quand la mémoire qui sait regarder te reviendras, tu sauras que tu n’as pas besoin de te souvenir pour savoir que tu as été heureux (p. 31). » Vu que c’est l’heure d’être heureux et que cela restera toujours l’heure d’être heureux ! Et le restera toujours ! Ce n’est plus un souvenir, mais ce qui demeure solidement posé dans ton horizon ! Le changement revient bien pour toujours, puisque changer convient très bien à la vraie vie ! Et le que le non changement n’appartient qu’aux faussaires !

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« Mais Jimmy est comme tout le monde, tu ne peux pas lui demander de lâcher son tricot. Si Mathieu le fait sans attendre, il aura trouvé la seule façon de voir tout cela sans avoir à le…subir. La source du milieu coulera transparente, tous les jours, dans tous les gestes de sa vie, pour le nourrir, le vêtir, lui permettre aussi de se déplacer bien sûr. Beaucoup de gestes tomberont d’eux-mêmes, qu’il n’aura plus à faire (p. 32). » ll se sera libéré de n’être plus réduit à ce que la mémoire sait faire « répéter, ressasser, refaire, rechuter, se soûler du toujours même, et exclure le geste neuf, le geste jamais tenté (ibidem). »

 

Encore ? «L’esprit se tient à l’extrême pointe du présent. Être le mouvement et pourtant se tenir immobile (p. 33). »

 

Puisque ? « Comme on fait le guet. Il n’y a pas ici de proie, seulement la beauté du monde (p. 33). » Qu’y a-t-il donc  là? « Regarder plus loin que soi-même. Surtout en ne pensant pas à réussir. C’est impossible avec la volonté. Ça demande l’immobilité, le calme, l’attention complète, totale, toutes choses que nous ne savons plus faire (p. 36). » 

 

Et qu’entraine donc ce nous ne savons plus faire ? « Si la mémoire veut couler à l’envers, si elle s’acharne à vouloir remonter le cours de la vie, elle affronte les eaux vives de la source chaude (la rouge, la première source, tandis que la deuxième est comme l’air qu’on respire !). Ce qui provoque le plus grand tumulte. La troisième source est alors comme une flamme qui vacille. Sans lumière la mémoire s’agite, fait n’importe quoi. C’est comme la peur d’avoir à se tenir immobile dans l’obscurité (p. 32). » Nous en sommes comme là, non ?

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Sauf que, sauf que certains à force d’efforts à trouver, et d’ardeurs à chercher, ce si cher chercher (précieux entre tous !), sont bien parvenus à être, à la fois, dans le même temps, le feu et l’eau, et vivent, actuellement,  la fin…des séparations. La disparition de ces dualismes sans issue. Tellement ils restent, stupidement, imbriqués, enchevêtrés, intriqués et embrouillés d’indivis dualismes d’individualismes oui obsolètes. A la place, nous vivons cette irrésistible unité, unité qui n’est plus intéressée ni par les divisions ni par les antagonismes, ni encore par les conflits et encore moins les affrontements...

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Puisque l’unité a trouvé et retrouvé tellement mieux !

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 …………………Oui nous l’avons retrouvée

 

……………………..Quoi ? – L’Éternité.

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La mémoire humaine accroît, amplifie tout – mais uniquement si tout le corps participe aux mémorisations, C’est que la mémoire humaine augmente nos intensités de vie - et rien d’autre, rien n’arrive à sa hauteur !

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Aller plus haut ? Devenir les premiers à ressentir combien la réalité est complète entière, unanime compacte, sans dehors conquérant. Elle englobe tout et ne rejette pas, elle ne sépare rien et ne privilégie rien, ne supplante pas l’un au détriment de l’autre. A la place, elle unit tout !!! Ce pourquoi les vraies minorités (du fait illégitime que la minorité bourgeoise tyrannise tout le monde – même eux-mêmes) oui les vraies minorités ne vivent pas une seconde dans la solitude – les bourgeois absolutistes, eux, oui, tout le temps seuls. C’est qu’ils demeurent incapables de faire venir au monde l’enfant qu’ils ont toujours refusé de laisser vivre !).

L’amour inconditionnel qui se conjugue au présent (non au conditionnel ) réconcilie tout, et les contraires s‘allient. Et ouvre tous les cœurs à l’inépuisable corne d’abondance, lorsque les cœurs chantent « l’un anime. ».

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….l’Un anime, l’un anime… l’un Anime unanimement !!

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………... La mémoire humaine augmente tout

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La mémoire humaine augmente tout - et aucune autre ne peut l’accomplir !

Mais amplifie comme ceci.

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Formés aux sciences sociales et humaines, la mémoire, vue par la science psychologique, nous convient dans sa composition et son fonctionnement, dans les descriptions précises de ses mécanismes –

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-- mais pas du tout dans sa liste de pratiques, dans ses utilisations trop limitées, bien trop restreintes et sans imaginations aucunes. Sans la verve du verbe !

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Ce texte vous/ nous a fait découvrir, avec quelle facilité (une fois les apprentissages effectués) nous avons modifié, radicalement, nos mentalités et nos styles de vie ! Et qu’une fois que c’est fait, c’est très bien fait !

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Transformation qui commence par la base :

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Les mémorisations doivent être effectuées avec tout le corps. Tout. Le corps entier, décliné par ses sens, au moins les 5 sens (sans omettre les intuitions, etc.)

Afin, justement, que 5 immenses racines nous innervent tout le corps en efficace réceptacle de la mémoire vive !

Aller plus haut ? Oui tout se rappeler par les parfums, par se souvenir à travers les goûts, par les réminiscences des touchers, à l’aide des mémoires par les sons, ainsi qu’avec les souvenances par la vue ! Le tout à la fois, mêlé, et sans séparation aucune !l!

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La mémoire en devient un gigantesque déroulement, déploiement, essor,

………. qui fait corps avec l’univers entier !

 

……………….Bien impossible de trouver mieux.

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

           Que toute l’union si solide comme tout le solidaire du monde nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

………………………

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

 

Couvertures d’impresum.es et de.. museumtv.art - -le-jardin-des-diversités-par-Roberto-Cabot – Ici c’est de previews.123rf.com-… moire de la mé- moire

Couvertures d’impresum.es et de.. museumtv.art - -le-jardin-des-diversités-par-Roberto-Cabot – Ici c’est de previews.123rf.com-… moire de la mé- moire

i.pinimg.com/…ne pas perdre le fil, fil dont serait constituée toute la mémoire ?  Le Fil qui guide les destinées… ?

i.pinimg.com/…ne pas perdre le fil, fil dont serait constituée toute la mémoire ? Le Fil qui guide les destinées… ?

L’excellence n’est pas ce qu’on croit ! C'en est même tout le...contraire !

« Le langage quotidien est trompeur à cet égard. Une excellente mère, n’est-ce pas une mère qui joue son rôle à la perfection ? Et qu’est-ce qu’excellent magistrat, sinon celui fait irréprochablement son devoir civique ? Si l’on privilégie de telles images, on pourrait être tenté d’assimiler toute excellence à l’exercice d’une vertu ou au respect d’une règle morale. Mais ce n’est qu’une forme possible d’excellence. La conformité pure et simple à une règle commune… ne suffit pas d’ailleurs à garantir l’excellence. La vertu ordinaire est à la portée de tous. ..

L’excellence morale ou civique exige une conformité exemplaire, témoignant d’une maîtrise ou d’un… oubli de soi sans pareil, d’un courage ou d’une grandeur d’âme… hors du commun. L’excellence est dans la difficulté à …se vaincre soi-même ou à résister à la tentation ! Cette maîtrise de soi, comme toute autre, résulte d’un apprentissage plus ou moins long, entretenu par un entraînement, un travail, un perfectionnement continus. »

imgv2-1-f.scribdassets.com

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« Et oui Monsieur Macron, professeur Trouposol débutant, Mozart de la finance pour un requiem de la dette, on ne finance pas les guerres avec des emprunts fussent-ils obligatoires sur les Français, non, en général on utilise la planche à billets et pour cela il faut une banque centrale que nous n’avons plus puisque c’est la BCE qui désormais dirige notre monnaie.

Mais ce n’est pas tout.

Pour faire une économie de guerre il faut être en mesure de rentrer en économie de guerre. Manque de bol, l’Union Européenne interdit aux banques de financer autre chose que les activités écolos et de transition verte qui nous coûtent un pognon de dingue et ne servent à rien, mais nous mettrons des années à faire marche arrière, en attendant, personne ne peut financer facilement l’industrie militaire.

Industrie militaire que vous avez vendue depuis 7 ans à nos amis les Américains par morceaux entiers (le désastre d’avoir donné Alstom et Cie reste irréparable !).

Avec la plus forte pression fiscale du monde “libre”, nous savons tous déjà ce que nous faisons pour le pays et combien cela nous coûte pour que notre grand timonier du palais, ce phare éteint de la gestion budgétaire, réussisse à nous accumuler une dette de 3 400 milliards d’euros. Ces inadmissibles dettes des vrais Incapables !

Une dette qu’il voudrait faire encore grossir en nous passant le budget de l’armée de 2.1 % du PIB à au moins 5 % ce qui impliquerait de passer de 50.5 milliards d’euros à plus de 130 milliards d’euros d’argent.. que nous n’avons pas. »... Retour immédiars sur Terre. L’Ukraine n’est surtout pas à notre charge !!! Nous oui.

« Nous avons déjà 6 % de déficit +5 % = 11 % !

Mais qu’à cela ne tienne… les dépenses militaires ne seraient plus comptabilisées dans le déficit au sens du pacte budgétaire ( les hypocrises des destructeurs vont trop loin !).

Enfin et pour terminer les réflexions, si les guerres enrichissent les marchands de canons, elles appauvrissent les nations…

Durablement.

Totalement.

Le miracle économique allemand et japonais s’explique par l’absence de dépenses militaires consacrées justement au développement économique pendant que la France faisait la guerre en Indochine, en Algérie, puis un peu partout en Afrique. Pendant ce temps-là les USA faisaient la guerre en Corée, au Vietnam etc.. »... Voilà ce que c’est de FUIR tout le temps le réel !!!.

48 mn…Vidéo essentielle… Macron confirme l’inexcusable supercherie de l'Union Européenne. Basée sur l’ignorance inexcusable de la vraie Histoire. Et sur 3 mensonges niais, lorsqu’Asselineau ridiculise les européens va-t-en-guerre complètement hors sujets.

1 ) - En 1774 le traité de Kutchuk Kainarji où l’empire ottoman de Constantinople ( à 3 mm 20) a « cédé la Crimée, Sébastopol et le Donbass à la Russie ». Donc ? Les Russes sont « chez eux », ils ne peuvent rien envahir, voyons !

2 ) les 3 mensonges ? Ensuite la « Révolution CIA de Maidan » en 2014. Et l’installation immédiate de 14 stations CIA juste aux…frontières russes. Et le fait que Poutine n’ait réagi que le 24 Février 2022. Preuves que tous les…  torts ne viennent que du menteur Occident, hypocrite agresseur !

3 ) - La folie furieuse c’est l’enfantillage phantasmé que la Russie veut « envahir » l’Europe, alors que la majorité des français sympathise avec les Russes et admire leur culture.

L’Europe désunie et l’Otan embrouillé, embarqués dans ces trop gros mensonges, exhibent qu’ils sont les agresseurs et ont…archi tort ! Magistrale démonstration ! Basta ces nullités…

Le français est en train d’entrer dans une période de grande vitalité. Son verbe se fait verve. L’originalité de l’information c’est que ce sont des magazines financier et économique (la banque Natixis et Forbes) qui font état de cette étude. Et le Business Herald au titre limpide qui relaie l’information. Voyons de près cette intéressante analyse

De son côté l’Association des démographes du Québec indique que d’ici 2050 la population francophone aura été multipliée par quatre alors que dans le même temps, la population mondiale sera multipliée par 1,5.

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Chaque mot contient l’équivalent d’un film d’heures et d’heures de bonheurs sans effets secondaires nocifs. Un sain retour au naturel. Comprendre c’est entendre et apprendre tout en même temps. Que des cercles vertueux. Cercles vertueux qui abrogent les obstacles malsains aux envols collectifs. Abrogent et abrègent les autoritarismes si suicidaires. Non, ce n’est pas par la force forcenée que le Sens de tout peut nous parvenir. Uniquement par l’ouverture entière de nos sensibilités. Sensibilités qui ne s’ouvrent pas à coups de matraques et de répressions…les bourgeois ont absolument tout faux. Comprendre c’est entendre et apprendre tout à la fois. Les bourgeois ne comprennent rien au langage. Vous oui. Nous oui. D’où leurs usages insensés des mots…Mettons-y fin : offrons du sens partout…Ceci en devient un devoir enchanté d’inventer de Nouveaux mots. Mots qui…manquent – sinon la civilisation irait bien mieux…

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Ne vous bridez plus, ne vous sentez plus bridés. Vos… apports ardents deviennent infiniment plus précieux que tous les mensonges mal fagotés des faux dirigeants. Vrai de vrai. Vous essayer, c’est vous adopter et s’adapter…

Nous sommes encore à l’aube des langages du futur. Et comme dans toutes découvertes, il y a les précurseurs. Oui, celles et ceux qui font, d’abord, les découvertes par eux-mêmes. Et, ensuite seulement, les transmettent aux autres. Or, depuis quelques années – nous sommes dans un monde à l’envers où les non découvreurs, ceux qui ne savent rien car ils ne vivent rien (les médiocrates – ces conformistes indignes) font comme s’ils pouvaient nos transmettre des…découvertes qu’ils/elles n’ont jamais faites…Ce qui explique la régression grave des absurdes politiques actuelles et le vide sidérant des médias incultes qui soutiennent ces trahisons du genre humain. Puisque ? Toute intelligence et vive sensibilité s’y voient écartées : pas de pionniers, de précurseurs, de découvreurs, de surdoués, de génies – le monde n’appartiendrait plus qu’aux médiocres. Médiocres avec une vulgarité de cœur…repoussante ?

(de Jean-Claude Leroy )

… il faudrait établir, à côté du catalogue des livres publiés par un éditeur, le catalogue des livres refusés par celui-ci, le catalogue des livres qu’il a donné envie à d’autres éditeurs de publier ou encore le catalogue des projets de livres non aboutis. »

(François Maspéro  - Cité in Anthony Glinoer, Être éditeur )

Parmi les moins avertis, des auteurs entretiennent des idées fausses sur le métier d’éditeur, et dès lors qu’un de leurs textes a éveillé l’intérêt d’un professionnel, les voici aveuglés pour ce qui concerne les modalités de la publication. Ils se refusent à considérer l’abnégation de l’éditeur, et simplement le fait qu’il va tout entreprendre pour fabriquer l’objet livre et le mettre à la disposition du public. Égarés par une certaine réussite, ils n’ont guère conscience des difficultés rencontrées par celui qui va leur assurer un lectorat, une attention multipliée, et qui doit être obligatoirement méticuleux, partageur et passionné, sauf à n’être qu’un « publieur » opportuniste (et bien sûr qu’il y en a). Ont-ils assimilé, ces écrivains confinés, du fait que, de par les rayonnages saturés des librairies éclairées, un livre qui trouve assez de lecteurs pour être un succès est moins une rareté qu’une exception ?

 

Anthony Glinoer fait état d’un large panorama d’ouvrages assez récents où sont en jeu les mœurs éditoriales, dont certains succès de librairies (signés Daniel Pennac, par exemple), « Ces fictions présentent fréquemment l’éditeur soit comme la victime d’un meurtre, soit comme le meurtrier, soit encore, mais c’est nettement plus rare, comme l’enquêteur. Tuer un éditeur dans un roman revient forcément à tenir un discours sur le livre et sur la littérature dans ses rapports au réel. Dans Lectio Letalis de Laurent Philipparie, un assistant d’édition tout juste embauché se tranche les veines à la lecture du manuscrit qui lui est confié. Dans Le sang des éditeurs de Mehdi Omaïs, un jeune écrivain assassine froidement le responsable d’une grande maison d’édition parisienne, le décapite et écrit avec son sang une lettre expliquant son geste. Verjt et l’affaire de JC de Valéry G. Coquant pousse la métaphore jusqu’à faire mourir l’éditeur Jean Carvin écrasé par ses propres livres, dans un mausolée de papier.  » ( Être éditeur).

Loin des outrages que permet et même encourage la fiction, et en guise de conclusion à cette promenade en compagnie des éditeurs, voyons plutôt ces mots de Jean-Luc Nancy à propos d’un métier souvent gérant des ponctualités les plus fertiles :

« En son principe, le livre est illisible, et c’est au nom de l’illisible qu’il commande ou qu’il appelle la lecture. […]
L’éditeur a déjà lu cette illisibilité ; il n’a lu que cela, il est le lecteur de l’idéogramme caché dans le texte. L’éditeur est celui qui a rapport avec l’auteur plutôt qu’avec le livre, avec celui ou bien cela qu’un mouvement d’écrire, une pensée, porte et emporte vers le livre sans qu’il sache très bien lui-même quel est ce mouvement. L’éditeur accompagne cette dérive, lui donne une issue, la capte et la laisse aller en même temps vers ce qui ne succède pas mais qui a déjà précédé : ‘‘le public’’, sans lequel il n’y aurait pas eu le geste de l’adresse ni le tracé de l’écriture. »
Jean-Luc Nancy, Sur le commerce de la pensée, 2005

Les Moires, les couturières de la vie (mythologie grecque)...les mémoires !!!

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I
Noureddine@ …«Oui c’est vrai rien ne me sépare de moi ou de toi ou d’elle ou de nous tous, mais les sionistes font tout pour nous mettre hors de nous. Ils utilisent tous les moyens pour qu’on ait jamais de paix intérieure. Tous les jours les journalopes te font vomir, les sinistres aussi, les dirigeants encore plus. Tu te dis que tu va sortir pour changer d’air. tu trouve que tout le monde se méfie de tout le monde. Personne ne regarde plus personne. Tout le monde est dans sa propre bulle quotidienne dodo,métro, boulot. Loyer, maison, voiture études des enfants a payer. Le soir après avoir préparé a manger et manger , tu te reposes un peu, tu regardes la télévision ou ton téléphone, tu ne vois que du sang presque partout et des nouvelles lois qui vous dégoûtent de la vie.<br /> ..<br /> Le soir tu te couches fatigué et le matin tu te lèves fatigué, dégoûté de cette vie. <br /> ..<br /> Et le peu de gens qui sortent de la spirale ou les sionistes nous ont enfermé, ils sont regardés comme des extraterrestres par ceux qui se plaisent dans cette spirale sioniste. Ils aiment bien se voir au-dessus des autres. Pire encore ils deviennent les défenseurs de leurs propres bourreaux : <br /> ..<br /> Ils n’arrivent pas à avaler qu’ils se sont fait avoir par cela même qui ne leur ont jamais appris à penser par eux même. Bonjour la Dissonance cognitive »
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I
Bonjour très intéressantes analyses. Le côté un peu « outré » des mots garantit, justement, la sincérité complète sur le fond. Les fascinés par le Mal sont des malades : la profondeur des dommages semés par les sionistes, outre de rester impardonnables, ne peut trouver d’issue que par un gigantesque mouvement de répulsions aigües à leurs égards. Grand merci d’offrir, ici, tous les arguments afin d’y parvenir. Ensembles.