Le récit qui englobe le maximum de problématiques ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Le récit qui englobe le maximum de problématiques ?

Déjà, en ouverture, ce récit nous rallie au fait que le trajet de vies des autres nous aide déjà amplement !

Surtout s’il est connu : donc diffusé. Et tellement plus dès que tout ce texte va se déplier…. 

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Lorsque l’authenticité est « juste être soi-même » (son étymologie).

Et qu’il parait bien trop tordu d’être soi en étant toujours... quelqu’un d’autre – mais jamais soi ! l’inauthentique donc. Oui, alors, comment faisons-nous afin de rencontrer la réalité d’autrui ? Et où ? Et quand ?

Et comment ? Le spectacle est une vraie misère. La pire de toutes !

Arrêtez, stoppez tout : il n’y a, enfin, plus de films, que la juste réalité !!!

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..........…01 === Un/ des exemple à suivre ?

Nous, en tout cas, nous le/ les suivons. Les humains qui savent vivre «échappent » carrément à tous les hors-courses médias, médias si lourdauds et sourdingues. A cela nous reconnaissons qu’ils savent vivre !!!

Venez donc voir avec nous.

Carrément, ce récit qui englobe le maximum de problématiques !

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Imaginons un nommé Bill circulant en tous lieux de notre Société. Son expérience paraît, déjà, fortement inestimable. De plus, il sait répondre à "comment peut-on être Persan" ? De sa perspicacité, il semble bien, aussi, avoir tout percé. C'est donc un des êtres les plus précieux porté par la Terre que nous venons de croiser. D'autres que nous vont-ils le reconnaître et l'admettre sous cet angle ?

Et Bill de marcher, encore marcher, cheminer, toujours avancer. Que voit-il ? Que rencontre-t-il ? Sur quoi tombe-t-il ? Toutes portes closes !!! Partout, ouvertures murées !!! Que ce soit des portes d'extrêmes gauches ou des droites ou des "gauches gouvernementales", toutes les entrées sont fermées. Ils faisaient les barricades, maintenant, ils barricadent leurs seules portes. Ils prônaient, ouvertement, l'ouverture, désormais, ils calfeutrent leurs embrasures. Ils étendaient les draps du social pour un toujours plus sociable festin, de nos jours, ils murent, toujours mieux rétrécis, tous leurs accès. Vous pouvez parcourir leurs têtes, habillées de leurs demeures si parlantes, vous n'y trouverez plus qu'obstructions et obturations ! Bill, un des êtres les plus passionnants de la planète, ne peut même pas capter une seconde de chance de le prouver, lorsque l'aliénation, en tous lieux, règne. Essayez de prouver l'inverse – pour, une fois, soyez honnêtes dans votre vie. Nulle parole nouvelle ne peut davantage se clamer : ils ne cuvent plus que leurs vieilleries rances, qu'ils proclament – le culot! - "modernes". L'Alien aurait-il tout contaminé (l'alién-ation) ? Ne considèrent-ils pas, imperturbablement et sérieusement, qu'une Société peut encore exister si tout le monde reste, massivement, passivement, enfermé chez soi ?

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Parfois, hasard des incertitudes, une ouverture portaire (portuaire ça navigue plus!) ne permettait-elle de chuter dans un vacarme télévisuel. Bill constatait à quel point la télé est devenue le membre le plus important de la famille. Mères, pères, enfants ou bien enfants et parents – tout le monde dehors, viré tout un chacun, plus de chez soi, plus d'intime, nous "occupons" tout, plus de résistances ; tout le monde s'écrase quand télé paraît. Votre intériorité, après les sommations extrêmement peu amicales de la con-sommation (avec sommations!), se montre expulsée de partout. Chez vous c'est chez eux, uniquement. Communication était tout ce qu'il y a en commun : ils en ont fait un monologue unilatéral. Aparté c'est tout arte : faux nez d'une télé autre, c'est tout l'alibi qu'ils ont mégotté pour ne plus participer à la Société. Arte serait-ce le pire qui veut se faire passer pour le meilleur ?

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Le meilleur sort n'est-il pas celui de Bill, entièrement libre puisque libéré, et qui - le réel prouvant le substrat, le sous-jacent ou le fonds des fondations toutes – le vit pleinement au lieu de le dicter. L'infrastructure qu'est le quotidien dévoilant la superstructure invisible ? Pour lui, les mots ne cachent strictement rien, c'est un avantage stratégique que rien ne peut surpasser (puisque tout le monde de se tirer dans les pieds oubliant le piédestal qui empêche de tendre vers entendre!), et il se dit, devant les despotiques télés, "Non seulement ils ont une "chaîne", mais c'est qu'ils en réclament plusieurs !!!". Quel masochisme déchaîné. La servitude s'accumule en ces milles détails, rarement visités (quelle étourderie!), de la vie de tous les jours. Assujettissement : c'est que vous avez préféré l'individualisme à la subjectivité irréductible et qu'aucune télé ne pourra dévier de cette vie "d'un luxe inouï" qu'un vieillard calme et beau vient de réussir à mener jusqu'au bout. La vraie sensualité débordante, de laquelle les grossiers et frustes hédonistes n'ont rien reçu. Asservissement : c'est que vous avez privilégié l'égocentrisme au service des autres, et pas d'anti-poisons contre les médias solitaires...

Bill déambulait partout et ne trouvait que folie ambulatoire. Le premier symptôme fut l'incommunicabilité mais bien peu furent assez appliqués et vigilants pour en porter témoignage. L'incommunicabilité n'est pourtant pas une métaphysique. Elle est bien générée (causée, mûrie et produite) par un ensemble de processus. Préambule esquissé : l'incommunicabilité se montre engendrée par le haut de la société. Les élites qui délitent tout.

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Comment cela fonctionne ? Nous nous doutons bien (impostures inexcusables des télés qui font croire que l'on puisse dire quelque chose de vrai "en 40 secondes" ! donc jamais de "vrai" aux télés ?) qu'il va falloir plusieurs paliers de décompression, que la réponse (ou les polyfactorielles pistes de réponses!) appelle plusieurs étapes. Que nous n'obtiendrons pas tout en une fois. Que, si vous aviez opté pour l'optique, vous aviez reçu, en même temps (sans même le savoir), l'optimum lové dans l'optimisme (la meilleure façon d'opter, donc le plus prolifique des choix). Optique optée, vous possédez la plus gigantesque métaphore géométrique qui soit (l'ensemble du langage qui connaît, actuellement, la plus grande diffamation de tous les temps : les gauches méritent bien plus qu'une ferme engueulade – à cause d'elles, et leurs inexcusables conformismes, beaucoup plus de souffrances sur Terre!!!), mais c'est un bien de lien, un charnel avoir qui vous implique tout le corps. Vous tenez déjà les écoutilles de l'écoute tandis que les "réalistes toujours plus irrationnels" s'enlisent dans leurs généralités discrétionnaires…Nous avons adopté d'opté afin de poser un certain nombre de jalons pour pister, au plus juste, la yourte d'une honnête réponse. Jalonnons !

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I -  La volonté de ne pas savoir : ou la vraie "ignorance" pétrie de mauvais vouloir           

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                                     Les faits écartés

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Pour ce premier jalon, nous nous inspirons, carrément, de la B.D. de Philippe Squarzoni "Dol", aux Requins Marteaux, 4éme trimestre 2006, en en extrayant les citations paginées. Pour les médias dits de "gauche", en effet, " l'ordre libéral correspond en quelque sorte au bon sens (…) pour eux, gauche-droite ce ne sont plus des projets philosophiques fondamentalement opposés, ce sont juste des boutiques partisanes qui ne s'opposent plus mais ne différent que sur le saupoudrage d'un peu plus ou moins de social (p 77)" (…) Mais l'idée de ne serait-ce que réfléchir au libéralisme ne peut même plus atteindre leurs cerveaux frivoles (…) "Un projet radical qui mettrait en cause l'économie de marché ne correspond pas du tout à leur vision qui a même tendance à penser que c'est quand la gauche s'attache à ce type de projet qu'elle échoue (p 78)". N'est-ce pas l'illustration d'une descente permanente dans le "déni du réel" ? Le tout "tendance", tout n'est qu'une mode et nous ne vivrons que dans nos maisons de poupées, âreu, aurait-il détruit leurs cerveaux ? "Il y a cette idée que la gauche est engoncée, et que pour qu'elle ait une chance de revenir au pouvoir, il faut qu'elle entre dans la "modernité" libérale. La vision des journalistes dominants est une vision très parisienne, d'état-major, qui décrète qu'il n'y a pas d'alternative au marché et que le marché est plutôt une bonne chose (…) et ils évoluent dans un univers où le projet social, économique et philosophique des décideurs va de soi …Leur référence ce n'est pas du tout l'enquête sociale qui leur permettrait de mesurer les dégâts du libéralisme…Leur référence c'est la lecture des éditoriaux des autres (p 79)". Et ces plus que ploucs osent appeler cet enlisement dans la bêtise crasse du nom "d'élite"? Devant une telle chute hors du réel, la volonté de ne plus jamais savoir, de ne rien savoir, ne peut fonctionner qu'à coups de mauvaises volontés et s'étaler qu'en mauvaises fois. Le ridicule de leur fragilité mentale, alliée à un manque de fondation existentielle, esquisse une caricature burlesque du fanatisme. Scoop : les médias comble de fanatismes. Nous repérons bien ces insurgés contre le réel, ces barricadiers s'opposant à tout fait argumenté, ces émeutiers contre toute vérité : ce sont bien eux les fauteurs de troubles (qui surgissent lorsque tout est trouble). La volonté de ne pas savoir constitue la vraie "ignorance" : dédaigner, ne pas regarder, faire semblant de ne pas s'apercevoir, négliger et mépriser, être souillon et brouillon, forment socle de la pire "ignorance". La plus pernicieuse et toxique puisque le malheureux qui en est contaminé croit tout savoir. Et du haut de son aliénation "élitaire" juge et condamne tout le monde. Sans jamais rien savoir, ce qui ôte tout fondement à son jugement et le dévoile comme hystérie échevelée d'un effondré existentiel. La pire des "ignorances" se montre comme cette volonté de ne pas savoir, que pratiquent, à fond et en grand, la majorité des dirigeants (dirigeants c'est en tous domaines puisque politiques c'est gouvernants : capté?).

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Êtes-vous au courant qu'un alcoolique, qui "ignore" son addiction, ne peut envisager de se soigner : défaut d'optique, tant qu'il n'a pu trouver l'angle d'incidence aucune incidence n'est possible ? Comment l'élite qui se délite peut-elle se présenter toute uniment contaminée sans s'en apercevoir ?

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           Destruction de leur espace psychique : leur peu d'exigences envers eux-mêmes met en danger la survie de l'Humanité        

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Notre périple nous centre, ici, sur un constat d'effroyable médiocrité. Les "élites" c'est très minable : cela flirte avec tous les sordides. Vie intellectuelle déplorable, débats bâclés, déficit global d'entretiens, pertes de rigueur scientifique dans les non-choix de société, chutes d'exigences morales, affectives et spirituelles…etc., plus le versus psychiatrique de l'usage des refus massifs de conversations, les mots rétrécis à des marqueurs machinaux d'appartenance, qui supposent la présence d'un être ubiquiste et omniscient (un mot, une tournure et vous sauriez tout de l'autre, soit "idéaliste, utopiste, pas réaliste", alors qu'une vraie analyse nous a démontré que l'unilatéralisme de ces attributions était, presque toujours, non fondé et définissait, plutôt l'esprit qui ose fonctionner ainsi!)  : un ensemble d'effondrements, en série, qui peuvent prendre sens à l'aide de deux petits exemples. Julia Kristeva, dans son travail de psychanalyse a relevé ceci. "La destruction de l'espace psychique est un des dangers à venir, qui met en jeu des questions d'éducation, de culture et de politique. Une des conséquences est la difficulté à lire, à écrire, deux aptitudes très dépendantes de l'espace psychique (…) Je vous surprendrais peut-être, mais j'ai sur le divan des personnes qui  travaillent dans les médias, maison d'édition, chaînes de télévision, et qui me disent qu'elles ne peuvent plus lire ; elles commencent, deux minutes, une page, et elles ne savent pas ce qu'elles ont lu, parce que l'espace psychique ne s'y recueillent plus, il n'est pas assez serein et solide pour assimiler tout cela et le restituer" ( p. 209, Le livre des savoirs, conversations avec …). Ces personnes qui peuvent être très arrogantes se dévoilent en pleine régression vers le plein handicap identifiable, ou du moins, l'amoindrissement de leurs facultés intellectuelles. Le hiatus est qu'elles travaillent dans la culture, l'information, la diffusion et la communication, où elles osent censurer des millionnaires de "l'espace psychique". Ils s'autorisent à priver la collectivité de ces esprits "en technicités de pointe", celles qui ne coûtent rien à la planète. Et de poursuivre : "(…) cela signifie également qu'il n'y a pas d'"autre", il n'y a pas de lien, lien d'amour et lien social, pour assurer cet espace psychique. Toujours est-il que (…) notre civilisation est en train de se fissurer en raison de cette mise en difficulté, voire de cette destruction de l'espace psychique !". L'intelligence du capitalisme se démontrant par "destruction de l'espace psychique", rabougrissement de nos facultés, n'est-ce pas confirmation de nos analyses ? De plus, des personnes chargées de "communication" aussi infirmes de correspondances, châtrées de tout amour et sociabilité, par solipsisme et hypertrophie des égoïsmes, est-ce que cela ne fait pas très désordre ? Tandis que les derniers porteurs de "l'espace psychique", ces fortunés de la vie intérieure, se montrent toujours monstrueusement pourchassé-e-s par la médiocrité médiatique !!! Si le capitalisme ne ressemble pas à un suicide collectif, daignez nous expliquer un peu…

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Comment s'est effectué le début des crispations qui laisse penser qu'ils préféreront mourir plutôt que de lâcher prise (ils ont lâché la proie pour l'ombre!) ? En fin de compte, ils s'exhibent comme les tonitruants perdants : leurs trahisons nargueuses ne récolteront que l'inéluctable folie...

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"Non seulement il y a des marges de manœuvres, mais il y a des alternatives. Simplement, elles n'ont pas été évoquées par les grandes plumes de la presse. Et ces propositions très peu relayées par les médias, n'ont fait l'objet d'aucune négociation, d'aucune discussion (p 76 - Philippe Squarzoni "Dol")". Clairement, il n'y a eu aucun débat démocratique : avec de tels médias nous ne sommes plus du tout en démocratie, et ils rajoutent l'outrecuidance de donner des leçons. ..

"Comme ces médias sont branchés directement sur la…non- pensée capitaliste, ils ne voient que la surface des choses finalement. Pour les médias l'ordre capitaliste correspond en quelque sorte au bon sens et lorsque le gouvernement entreprend des réformes allant en ce sens, tout cela rentre dans le cadre qu'ils ont accepté depuis des années…Pour eux, la société de marché ne fait absolument plus débat depuis longtemps (p 77)". "De temps en temps il faut qu'ils feignent une certaine opposition…", à force de feindre c'est soi seul que l'on a embrouillé!  Zoom sur la vie quotidienne…

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                   Zooms sur leur vie quotidienne

"D'ailleurs ils en profitent personnellement, individuellement, bénéficiant de rémunérations très coquettes qui les apparentent davantage aux patrons d'entreprise qu'aux ouvriers ou employés. Et naturellement ils évoluent dans un univers où le projet social, économique et philosophique des décideurs va de soi. Ils ne se retournent pas en arrière pour regarder ce qui se passe (p 77)". "Pourtant depuis 40 ans les mêmes hommes politiques occupent le pouvoir. Depuis que je suis gamin, on voit quasiment les mêmes, que ce soit à droite ou à la soi-disant gauche. Les hommes n'ont pas changé, et pourtant leurs idées n'ont plus rien à voir…En 1970, ils étaient tous keynésiens, en France comme aux Usa. Aujourd'hui, ils sont tous férocement pro-capitalistes…Comment est-on passé en 40 ans d'un consensus à l'autre ? (p 86)". De l'intérêt du plus grand nombre aux seuls intérêts de l'infime minorité des seuls trop riches ? Bref, à de l'anti-politique. N'être qu'un chef de bande ce n'est plus faire de la politique ! Le P.S. pratiquera précisément les politiques contre lesquelles il a été élu. Ils chutent dans la fange la plus collante en s'exhibant, ridiculement, "de gauche mais moderne". La vraie gauche de 1789 serait donc "un archaïsme" et de débiter un ensemble de lieux communs comme unique pensée. Ils savent que s'il y avait débat leurs étourderies ne tiendraient pas 2 minutes, mais croient, qu'à coups de répétitions et répétitions, de matraquages et matraquages, cela squattera quelque peu les oreilles. Surtout lorsque toute autre parole reste interdite. Ne sommes-nous pas dans un monde de modernité économique, où il n'y a qu'une seule politique possible (sic) ? Comment ce miracle a-t-il été possible sinon parce que "la gauche de gouvernement" défend les mêmes intérêts que la droite. Et donc que "la gauche de gouvernement" constitue bien un parti de droite. Et, qu'au pouvoir, il n'y a plus que la droite : sinon comment expliquez-vous une "pensée unique" avec un fonctionnement qui serait réellement bipartite ?

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DSK cracha, sur sa lancée, que ce n'est pas la peine de s'occuper des plus pauvres parce que ceux-là ne votent pas. Double aveu : pourquoi ne votent-ils pas sinon par la précise prescience que les imposteurs, déguisés en politiques, n'ont plus rien à promettre et plus rien à offrir ? Et que s'ils ne votent pas c'est une silencieuse condamnation de leurs trahisons à ceux-ci ? Pas de quoi pavoiser, pourtant ils ne font que pavoiser, puisque sachant pertinemment pourquoi les pauvres ne votent plus pour eux, ils les abandonnent sans espoir de retour. On ne "s'occupe" plus que des classes moyennes : résultat 2002 où Le Pen lamine ces enfantillages. Preuve que les 60 %, qu'indécemment, l'INSEE chiffre en pourcentage de classes moyennes se dénombrent strictement faux. Pas de classe moyenne sans "la distinction". De 1175 € à 2600 € mensuels: impossible, avec de tels revenus, de pratiquer la si onéreuse "distinction". Ce serait, plutôt, sociologiquement et financièrement parlant, de 10 à 20 % : dans les 40 % restant, beaucoup d'esprits s'illusionnent d'idéologie consommatrice et, ne sont, économiquement, que des petits bourgeois. Clair que l'INSEE triche en définition (toute absence de frontière marquant début et fin de la "classe", mise en chiffres, porte à soupçonner votre pensée de malhonnêteté intentionnelle: le flou statistique ne peut exister!)... …

"C'est aussi en adoptant des luttes plutôt portées par les classes moyennes, féminisme, antiracisme, condition des homosexuels (p 96)" que leurs impostures s'étalent partout (relayées par les gogos bobos ?). "Plus on renonce au combat politique et social, tout en voulant se persuader qu'on reste de gauche, et plus on se raccroche à la lutte pour l'avortement ou pour le mariage homosexuel, pour se persuader qu'il reste quand même quelque chose de ce vieux corps de gauche". Le "conformisme économique se dissimule derrière une panoplie d'audace et de modernisme sur les questions de mœurs (p 96)". Tandis que sur l'essentiel ils reculent partout. "Les accents progressistes servent d'alibi à une réaction générale, alliant la régression économique et le vernis rétro culturel, la trahison idéologique et la transgression sexuelle (p 97)". "On transforme des enjeux politiques en questions morales", ce qui permet de semer, partout, brouillage, confusion et chaos, sur les frontières qui séparent gauche de droite. Ils se sont déconnectés du pays, enfermés dans leur petit monde, ignorants des réalités. Ce sont donc eux qui nous "informent", qui nous font tout savoir sur la réalité du monde. Où siège l'anomalie ?

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         Où trône l'anomalie ? Dans ce qui va se retourner contre eux

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"Dans l'état où se trouve le débat politique comment s'étonner qu'on préfère le simulacre à l'authentique, les plumes du costume de clown, le télévisuel et l'immense bêtise à l'esprit adulte ? (p 267)". "Dans n'importe quel autre type de contrat, cette manipulation frauduleuse aurait valu révocation (p 270)". Mais pas de révocation du si peu social dispositif politique-culture-média, qui fonctionne d'une façon très plouc et d'une inexcusable stupidité. Ce qui est essentiel, primordial, central, n'appartient plus à la réflexion ; uniquement, le superficiel, le farfelu, le frivole, l'étourdi, parviennent à toucher ces cerveaux irrémédiablement médusés et immobilisés dans un âge mental de 16 ans.  "Une reconversion menée par des anticonformistes bourgeois, qui n'ont pas l'impression d'avoir changé de camp, mais d'être "modernes", puisque, animés par des valeurs D'AVANT 1789, ils ont le regard tourné vers 2010 (p 97)". Le renoncement farfelu aux luttes sociales et économiques pour le domaine déconnecté et narcissique des questions de société, brouille l'authenticité de l'appellation "gauches" et même (nous sommes en train de le comprendre ) "d'extrêmes gauches". Dans la balance, audace sur les questions de mœurs contre très réactionnaires et encore plus rétrogrades sur les questions économiques, le curseur établit bien que, si vous ne vouliez pas la très rapide abolition du capitalisme, vous ne pourrez plus vous prétendre de "gauche"…Ni aujourd'hui ni demain!

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                   ....Ils sont donc gravement atteints

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Ces responsables se montrent, partout, très irresponsables, bouchant l'avenir social (le sang de la société, non ? Sinon prouvez-nous que le social n'a strictement rien à voir avec la Société!), censurant le futur (faut le faire! Ils le font!), ne nous offrant comme avenir que le suicide collectif. Les insectes de la secte! Barrons-nous : y'a plus personne à la barre!

Vous vous doutez bien que Bill, projet direct d'acte du Parlement britannique, poursuive son éclairante démarche. Le capitalisme c'est foutu : définitivement tourné vers la minorité, il va se rétrécir en peau "sans chagrin", non ? Toute nouvelle aventure se passe, désormais, en dehors de lui: comment vous n'étiez pas au courant ? Décidément, vous ne serez jamais "tendance"!!! Oui, oui, Bill c'est le billet (même en langue anglaise où l'amérindien a ouvert "billion" là où vous souscrivez milliard) ; Bill le seul qui touche encore une bille, les "trois bandes du billard" pour extraire l'info. Le "trois bandes du billard", pour info, ça vient directo des services dits secrets. Bye bye buy! Et qui nous vous laissera que vos billevesées… Quel serait notre prochain relais ?

Conclusion d'étape : curieusement c'est au sommet de la Société que nous trouvons le plus d'idées fausses: jusqu'à 70 %. Alors qu'elles ont été démontrées inexactes récemment ou de nombreuses années auparavant. Le mode de fonctionnement (cercle de flatteurs sans esprits critiques possibles) n'épuise pas à lui seul l'explication. Il existe aussi, chez eux, cette dramatique "ignorance" (regarder ailleurs, dédaigner de voir clairement les conséquences de ses paroles et actions, mépriser tout ce qui n'est pas en "rapports de pouvoir")- alors que l'intelligence, de structure englobante, ne participe pas, mais est méta-cadre, aux rapports de pouvoir. Minable pouvoir, ce sous-système de dépendance à la bonne volonté de quelques uns, ce jeu artificiel qui ne peut répondre, pertinemment, d'aucune de "ses" règles etc.."Ignorer" ainsi représente le plus grand non-savoir qui existe!

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II -   Trop riches, tous crispés sur leurs archaïques "acquis" si corporatistes

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                            ...Et plus encore que nous le croyions

Nous venons, éblouis, d'accéder au profond savoir : l'ignorance, une des causes essentielles de tous les malheurs du monde, ne siège pas dans l'analphabétisme, puisque y brûle, encore, une volonté de connaître. Mais, précisément, dans la volonté de ne pas savoir, qui se montre dans la posture physique de boucher toutes les issues et de ne plus croupir que dans sa tanière. Position d'effondrement telle que Krishnamurti a dû engueuler fermement les "élites" avec son "on ne peut apprendre que ce qu'on ne connaît pas encore", lorsqu'ils ne veulent plus apprendre que ce qu'ils connaissent déjà.  Cette terrifiante "ignorance" (dédaigner, regarder ailleurs, faire comme si vous n'existiez pas) infecte, en effet, essentiellement le "haut de la société". Nous venons de voir l'étiopathie de cette altération, et surtout les catastrophiques conséquences pour la civilisation.

Ils sont déconnectés du pays réel, enfermés dans un très petit monde, ne circulant plus dans la société que comme des infirmes bardés de prothèses techniques. Aucune information ne peut plus les toucher. Dans une bulle ils attendent nos bulletins. Euphorisés au vent (mauvais) des unilatéralités, ils perdent un des trésors du réel (le feedback) et se sont, eux-mêmes, dépossédés de l'espace intérieur qui peut, seul, accueillir le nouveau et le différent. Vacuité, isn't ? Ils planent dans un réel hors sol, une antinature à haut potentiel toxique, sans régénérescence possible. Tout comme s'ils étaient éternellement couchés, ils ne supportent plus, épidermiquement, la moindre perturbation à leur train train, à leur ron ron. A leur routine maniaque qui a tout envahi. D'où surgissements, comme de diables de leurs boîtes, d'inadaptées réactions. Rappelez-vous cette extraterrestre "lettre à un ami", lors du rejet massif de la (non) Constitution européenne. Comme si les engagements les plus forts étaient rétrécis à des mondanités euphémisantes! Ou encore, ce torchon nommé "Le Monde" si totalement mondain et pas du tout mondial (un monde à une seule version cela ne peut exister!). Pareillement, les symptomatiques titres de leurs journaux, "La Joconde a déménagé" et "Les équilibres économiques mondiaux se sont rétablis", qui forcent au diagnostic "on se contente de constater le fait sans l'attribuer à une cause particulière". La déréalisation devient dangereuse  lorsque "les conséquences dommageables d'une décision peuvent passer à la trappe par la magie de l'intransitivité (pp 68-69 La langue du capital – décodeur du sabir politico-médiatique" Raoul Vilette – Les nuits rouges, août 2009)". Ce n'aura été, de bout en bout, que des maniaques…

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...........Capitalisme, le plus grand idéalisme n'ayant jamais existé

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Tout flotte dans un idéalisme absolument complet (si loin de "l'idéalisme" attribué à ceux qui sont assez raisonnables pour vouloir mettre fin à ce système de perversions généralisées!), tout volette dans des nuages d'idées qui ne planteraient jamais de souffrances et de destructions dans le corps d'autrui. Un idéalisme (le capitalisme, le pire! ) sans aucune segmentation ou liaison avec le réel commun. Ses rapports restent de dépendance déguisée : parasitismes vrais et attitudes d'enfants tyranniques. Cette demande non-dite de maternage biaisé peut se symptomatiser en de nombreuses cruautés puisqu'elle ne tolère pas le non, la négation ou la négativité. Une pulsion de contrôle total mais un style de vie qui dérive, matériellement, des autres. Néoténie très prolongée. Nous maternons par trop ces ploucs "médiatisés". Les adaptations se montrent rétrécies au plus aseptisé, inhumain, artificiel et stérilisé (donc sans possibilités d'engendrements nouveaux). N'oubliez pas que "(…) cela signifie également qu'il n'y a pas d'"autre", il n'y a pas de lien, lien d'amour et lien social, pour assurer cet espace psychique." ( cité p 3,  destruction de leur espace psychique). Nous obtenons le somnambulisme social de ces phrases réellement prononcées : "si je suis riche il n'y aura plus de pauvres" ou bien, à une star qui répond à "que peut-on faire contre la pauvreté", et qui solutionne, très robot, par " mon succès, mon succès ". Le circuit, clairement anticommunicationnel, disruptif, se réduit au solipsisme intégral, hypostase d'égocentrisme antisocial : que n'y soit inclut que ceci supprime (juste de sa conscience) les pauvres ou qu'il suffise du succès solitaire et auto-bouclé pour que s'évapore la pauvreté – l'inaptitude au réel devient flagrante et bée. Le trait attaché à ce que leurs "raisonnements" scindent, schizent la présence d'autrui et l'expulse hors de leur aire d'attention, ne leur octroyant que le statut d'objet entièrement voué à leurs caprices, n'est grave facteur d'insécurité collective, que parce qu'ils sont dirigeants. Pas de pire choix ne pouvait être arrêté !

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Mais quels dirigeants ? Les symptomatiques titres de leurs journaux nous les démasquent, "La Joconde a déménagé" ou "Les équilibres économiques mondiaux se sont rétablis", qui contraignent au diagnostic pathognomonique de fuite panique devant le réel, de refus compulsif des responsabilités, d'anxiété extrême devant toute imputabilité (genre coupable et/ou responsable). La terreur affolée devant toute implication affleure devant "ce qui explique par ce qui implique" : tout contact, connexion, jonction, attouchement, frôlement, liaison, relation avec quoi que ce soit provoque la débandade maniaque. On ne dira pas "La Joconde a été déménagée" mais bien "La Joconde a déménagé" : comment, en talons hauts, à quatre pattes, en métro, en manteau etc. puisque la naturalisation exagérée d'une fiction "plus vivante que les vivants" prouve la déréalisation, la perte du sens des mesures, comme de toutes les facultés d'adaptation. Pareillement, "Les équilibres économiques mondiaux ont été rétablis" ne seront pas nommés mais, plutôt, "Les équilibres économiques mondiaux se sont rétablis" : comment, à la barre fixe, en survêtement, bien rétablis ou après une convalescence, etc. Surtout jamais d'intervention humaine : tout n'est que métaphysique dans la compulsion capitaliste. Seule terreur : que personne ne pige que "l'argent tombé du ciel", l'argent venu de nulle part, la création de richesse "par" la spéculation sont bien de "hautes trahisons" comme tous les parasitismes qui représentent la seule substance réelle du capitalisme. Le capitalisme ne crée pas, il vit sur le dos des autres. D'où effacer (même inconsciemment) toute trace d'intrusion humaine : seule existe (sic) la "main invisible"! La déroute devant les scansions de la réalité émerge dans "cette peur panique de nommer" : au lieu de soigner ces malheureux, la pression sociale en fait ses leaders entraînant, par là, la Société au suicide par déperdition grandissante de réel. Nous reconnaissons même leurs "réalistes" à ce que ce soient ceux qui nagent le plus dans l'irréel…

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         Sans fous du roi on devient fou : "leur" machine à "s'auto"- rendre fous (sans nous) !

Plus personne de sain, de raisonnable (plus performant que "seulement" rationnel - qui  peut virer au carrément incohérent et déraisonnable), de circonspect ou de sensé (soit sensible, sensitif, sensuel et "sensationné"), ne peut plus rompre le cercle de "la folie à plusieurs", de l'effort pour rendre les autres fous. Qu'un des hallucinés nomme, fantaisistement, "le cercle de la raison", alors qu'un autre empile que si vous n'êtes pas dans ce cercle vous êtes en dehors (La Palice en lice!) mais (gravissime: la "falsifiabilité" de Karl Popper piétinée!) que vous "n'avez plus le droit de parler d'économie". Pas mal comme auto-folie, non? S'il existait des positions sociales qui favorisent la propagation de la pandémie, ce sont bien celles de l'information, de la culture et de la transmission. Or, tragiquement (et bouffonnement), nous ne venons que de constater leur syndrome de déréalisation, sans doute irréversible puisque plus personne de valide, de sensé et sain ne peut accéder à leur entourage. Et que, faute de bon diagnostic, aucune posologie sérieuse n'est possible. Max Weber notait, utilement, que le capitalisme n'avait pu poindre que par la présence de qualités préexistantes n'ayant rien à voir avec son idéologie, comme le sens de la parole donnée, du travail bien fait, la probité intellectuelle et l'autorestriction, pour résumé. L'actuel capitalisme, autoaveuglé par le seul fait qu'il manipule l'émergence des systèmes alternatifs (ce qui ne préjuge pas de leur futur, de la force de leur implantation dans le réel ni de leur apport de solutions) – semble détruire tout futur possible, le pire barbare de la terre brûlée. Il ne privilégie plus que les êtres "sans espace psychique préservé", très dépendants des vrais adultes (eux, ligotés dans l'impossibilité d'agir), et donc en déréalisation chronique. Inconscient et irresponsable, ce système tue les meilleurs d'entre nous.

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Leur manque d'esprit pratique signe leur grandissante inadaptation au réel (c'est un devoir exigeant que de mettre ces handicapés du social sous tutelle!). Ainsi communication : tout esprit concret sait qu'il s'agit d'une mise en RELATION. Deux personnes (ou plusieurs) peuvent participer à l'égale utilisation du média médian (au milieu). Dont la fonction sonne bien comme "médiation", le médiateur. Par l'angle, par exemple, de rendre médiat, immédiat (ici et aujourd'hui) tout ce qui se débat vers la sortie du débat : de médiatiser. Le média c'est l'artefact de tous les accords, le conciliateur, le négociateur. L'inter-médiaire : user de cette maîtrise de l'optique d'opter l'isotropie pour résoudre tous les conflits, se montrer suffisamment diplomate pour faire respecter chaque parole (les minoritaires sachant mieux le "poids des mots" et permettant à tous d'éviter "les mots qui tuent"!), partager l'aire médiane du média (médium, uniquement moyen et pas fin!) entre chaque groupe d'opinion (la démocratie didactique). Bref, participer à fond "à l'élucidation permanente de la Société par elle-même". Merveilleux outil ? Que croyez-vous que les barbares au pouvoir, les insurgés ricanant contre le réel, en aient fait ? Une inversion perverse : le média n'est plus au milieu de rien, il a été tordu d'un seul côté; Plus aucune information, que de la propagande. On aiguise partout les conflits. Plus de débat, du fanatisme qui fabrique, de toutes pièces, des reportages "contre". Leur idéologie asphyxie tout. Pas de partage de l'espace médian : la télé étale la plus incroyable pathologie (les mêmes qui "invitent" les mêmes qui le leur "rendent" excluant tout le monde de leurs monologues narcissiques et fortement irréalistes – comme si "la" télé leur appartenait" !) . La civilisation se voit, ainsi, privée d'un outil de régulation sociale : les fous de pouvoir, irréalistes et furieusement irresponsables, empêchent toute cohésion sociale. Leur affligeant usage des médias les révèle comme les plus purulents ennemis de notre Société. Ceux qui méritent les plus fermes réprimandes. Depuis que le mur de Berlin serait tombé et que les débats se dévoilent partout interdits: clair, que tous les malheurs du monde c'est eux seuls qui les causent…Recettes? Eh bien, cette, pour commencer.

Donc une "communication" sans relation : quand la télé, partout, fait taire, télé très solitaire, lorsque la pub ne supporte personne d'autre qu'elle même en boucle, identiquement ces journaux qui ne sont qu'exclusion de tout sauf de leurs monologues (plus jamais de présentations de l'ensemble des thèses) etc. Devant une telle "structure de psychose" (résumé en tant que vous ne devenez pas aussi "fou" que moi je n'écouterai pas !) l'acte sain est de quitter le "cercle des poisons". Cette maniaquerie psychotique, en économie, s'affiche outrageusement par l'enfantillage tautologique du "cercle de la raison", soit vous êtes dedans soit vous êtes dehors (admirez la profondeur du renseignement!). Le premier acte de ce prétendu "cercle de la raison" dérive donc vers le trop déraisonnable. Karl Popper et Kurt Gödel ont, de toute façon, rendu impossible "toute posture de non réfutabilité". Le binaire ne peut plus participer aux prises de décisions. Ce pourquoi la vraie  Raison (admettant la vérifiabilité, l'imputabilité, la responsabilité, donc la réfutabilité), dans ses méthodologies, n'exclut rien ; et que la vérité reste un permanent processus, une expérience à partager et pas un dogme indiscutable à cogner. Mieux de se cogner au cognitif. D'où communication sans "relation" (toute "réponse comme droit" "équivalent" et aussi exigeant que la "liberté de la presse", plus de déséquilibres relationnels nommés "diffamations dans un seul sens et sans droits de défense" etc.) apparaît surtout telle le signe clignotant de maladies graves. Symétriquement, ils osent encore nommer "contrat" de travail ce qui n'est qu'unilatérale non relation, obligations à sens unique…Ces fous furieux ont détruit le fragile outil du média : il s'agit de les en dessaisir dans les plus brefs délais!!!

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L'anticommunication, comme ferment très  destructeur de la société, a clairement été semée par les dirigeants eux-mêmes. Cela ne dévoile que leurs abyssales maladies (la pandémie n'est, in extremis, pas collective!). Restons sains : tournons-leur le dos et ne les écoutons plus!!!

Pourtant, n'omettons aucune attention: puisque l'ampleur du circuit de la "consultation" n'est pas, encore, achevée. Nous ne savons pas  tout de leurs maladies.
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                  La finance comme maladie

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Tous les jours, journaux, radios ou télés s'unifient, lorsqu'elles parlent des Bourses et circuits financiers, dans le choix de tels mots : crises de nerfs, affolements, hurlements, agitations, déséquilibres, vapeurs, hystéries, paniques, bouffées délirantes, exaltations, rumeurs, mimétismes, extravagances, frénésies irrationnelles, mais, aussi, "marchés hyperémotifs" qui ne font que des placements "aventureux" etc: alors que, pour les particuliers, les mêmes comportements sont décrits comme une "peste émotionnelle", une absence de contrôle qui vous dirige droit chez les psys, une immaturité qui repousse la confiance, une superficialité sans sagesse, une impossibilité de prise de décision raisonnable – ici, c'est un summum de savoirs qui "rapporte" tant d'être (ou de se montrer?) "affolé", de "tanguer" à la dérive, sans personne à la barre et sans boussole. Également - "on ne sait pas qui vend, qui achète et quels sont les montants des transactions" (des C.D.S. credit default swaps, contrats censés assurer l'acheteur d'un emprunt d'Etat contre tout risque de non-remboursement)- ce qui ressemble à la structure d'opacité du gangstérisme. Et reprend, tel quel, toujours plus irresponsablement, la monumentale divagation des subprimes. C.D.S. instruments de pures spéculations utilisés pour créer de la fausse panique et gonfler les inquiétudes sur un risque de défaut. Résultats: les difficultés des budgets des Etats augmentent sans aucun bénéfice collectif (les états se voient contraints de nourrir ces "parasites" au détriment du plus grand nombre). Le but suprême se profile comme "rassurer" les marchés (comme s'ils étaient divinités tutélaires à qui nous "devrions" de nombreux sacrifices: rappelons que ces "marchés" ne sont que des banques d'affaires et des fonds spéculatifs, pas des dieux mais que de piteux personnages!) ou les "calmer" à tout prix comme s'ils étaient des enragés exaltés.

L'accumulation hallucinée de ces diagnostics (folie incontrôlable et opacité typique des gangsters) n'aboutit qu'à toujours plus de maladies, de "dangers boursiers et de déséquilibres financiers". Ces malades des nerfs, dans la même seconde, semblent crédités d'un savoir omniscient puisqu'ils "doutent de la capacité financière des Etats à assainir leurs budgets, qu'ils ont contribué à couler. Voire spéculent sur ces difficultés et enfoncent un peu plus ces Etats en leur faisant payer plus cher leurs emprunts." (extrait d'un journal écrit laissé, volontairement, sans précision de titre). Ce qui alignent le gangstérisme attitude, alliée à la folie inconsciente (scier la branche où vous êtes assis) et à l'hébétude de la dépendance (les Etats c'est "juste bon" à les aider, eux). En découlent les symptômes d'un monstrueux irréalisme, d'un égoïsme utopique, d'une irresponsabilité qui se montre dans le mépris antisocial pour leurs concitoyens. Mais si les médias constatent le chaos, amené par "les ennemis du genre humains" que sont les financiers, croyez-vous qu'il leur viendrait à l'idée de stopper l'épidémie (mise en quarantaine) de contrecarrer le "terrorisme financier" (mise sous contrôle par une tutelle ou une curatelle) ou de, plus simplement, fermer les bourses et autres "maladies financières graves" ? Médias et finances lequel rend l'autre fou ?

A ne pas planquer ces perles d'euphémisations journalistiques lorsque les Bourses "attaquent" l'Europe (par des spéculations toujours aussi illégales, sur la Terre entière!). "D'où cette situation incroyable mais vraie: les Etats ont sauvé la finance à coup de milliers de milliards. 18 mois plus tard, ces finances utilisent ces mêmes fonds pour tenter de ruiner les peuples". Le dérangement règne donc dans ces têtes journalistiques : la finance a été et reste, viralement, prédatrice et parasitaire, soit le mot pour "très gangstérisée", non ? Le même journaliste va singer une colère vertueuse envers le minuscule délinquant. Ici, nous avons la plus haute délinquance possible sur Terre ; il ne trouve plus que du vocable inadéquat de b.d; "incroyable mais vraie" d'un laxisme suicidaire. Un enfant désarmé face à un raz de marée. D'une façon ou d'une autre, il s'agit de les "arrêter", les financiers : la finance trahira toujours, ne respectera jamais rien, n'a jamais eu la moindre parole, continuera à falsifier et tout truquer. Encore, utilisera vos fonds pour vous ruiner, tout est frauduleux chez elle, d'elle-même jamais ne se "réformera" (toutes "réinsertions" vouées à l'échec) ; irrécupérable finance, l'aider c'est s'anéantir, se tirer une balle dans la tête. Son autorégulation, en français courant, c'est "hors la loi", tout comme pas de règles ou "dérégulé" constituent le même mot, non régulier. Dans un contexte où Etats, médias et cultures lui abandonnent toutes latitudes pour détruire la planète, sans laisser passer, par exemple, les auteurs qui les "ringardisent" entièrement, tellement leurs activités sont "minables", pitoyables, incompétentes et sordides, dès que décrites. Où, encore, aucunes règles ne limitent leurs activités uniquement nuisibles (pollueurs, casseurs, terroristes, attenteurs aux sécurités – les législations ne manquent pas pour les freiner et endiguer en les interdisant!). Où, pareillement, les médias en parlent toujours "comme dans un état second" (comme drogués!), enfilant, à leur égard, des perles d'irrationalismes et de divagations alarmantes. Dans ce contexte montrant, clairement, les rages de destructions des financiers,  les irresponsabilités mortelles des Bourses, exhibant de réels comportements de "braqueurs" – pallier à la vacance aboulique de ces pouvoirs, devient un exigeant "devoir constitutionnel". Vite! faut "arrêter" les finances folles, les stopper net : le plus grand danger que court l'Humanité vient d'elles!!!       

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Bref, la finance comme une maladie. Mais une maladie grave dans le contexte, puisqu'elle trouble les facultés de raisonnement, de pondération et de mesure de la majorité qui, malgré l'ampleur des nuisances financières leur laisse toutes les libertés de continuer encore pire. Puisqu'elle semble évider de toute réflexion personnelle pour un suivisme, à la longue aussi autodestructeur que "les moutons de Panurge" de Rabelais, se décervelant tous jusqu'à l'irréversible noyade collective. Tous ces symptômes irréfutables porteraient le discrédit sur toute autre activité. Une telle maladie appartient bien à ceux qui mettent "la vie d'autrui en danger" : en ce sens, les finances devraient être psychiatrisées. Mais les soi-disant "réalistes" (qui interdisent tout débat de fond pour qu'il ne puisse être vérifié l'inverse) abandonnent, irresponsablement et piteusement, le sort du monde à ces détraqués visibles. Dans le pire des deals : ces forcenés sont non élus, et refusent tous contrôles (à l'image de tous les tyrans de l'Humanité), omettant de paralléliser que "dérèglements" et "dérégulations" appartiennent à la même causalité. Dérégulations créent dérèglements eux-mêmes déréglementés etc. Ces furieux fanatiques "croient" que l'argent "existe" alors que l'auteur de la "main invisible" – Adam Smith - l'avait placée dans "l'argent n'est que la mesure de la richesse et pas la richesse", au même titre que mètre et kilogramme restent des mesures de la richesse : ce qui disqualifie tout fondement rationnel aux Bourses.

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......Le processus médias-finances, finances-médias, à qui rendra le plus fou l'autre

Leur pandémie de déréalisations a atteint une telle profondeur, qu'ils adorent (archaïquement et en fuyant tout modernisme) l'argent qui n'existe pas : ils vont nous ramener à l’âge des cavernes et de la bougie !!! D'autant plus, que la réalité se signale fermement en soulignant que s'il y a "économie réelle" il en découle la présence d'une "économie irréelle". Elle en rajoute même en segmentant le descriptif, de telle sorte que ce soit la finance qui agisse "au détriment toujours de l'économie réelle ", en "parasitant l'économie réelle", en "ruinant l'économie réelle" etc. La réalité clairement identifiée comme  détruite par la fiction : si ce n'est l'exacte définition de la maladie mentale (qui n'accepte pas son diagnostic – en parallèle avec les Bourses refusent d'affronter les conséquences de leurs "dommages aux tiers"!) que vous faut-il ? Jusqu'où irez-vous pour dénier les catastrophes réelles causées par vos cerveaux détraqués ?

Un des sommets de la terreur demeure de découvrir "la folie collective" dans la vie quotidienne. Ici nous en avons un effroyable exemple : l'unanimité des médias reste, pour une fois, inhabituelle. Tous ils décrivent les Bourses comme des agités, sans aucun contrôle d'eux- mêmes, des bulles amphétaminées, ne pensant jamais, incapables de réfléchir, agissant dans l'arriération inacceptable d'un troupeau, ne poursuivant que des buts antisociaux. Des fous furieux, non ? Bref, qu'un ramassis d'écervelés, que dans d'autres lieux du social on "oblige à se soigner". Les actes de ces inconscients maniaques aboutissent, systématiquement, à la destruction forcenée de la vie du plus grand nombre, tandis que les médusés (ou fascinés ?) des médias ne sortent, à aucun moment, de cette folie collective. Ces barbares financiers qui ne pratiquent que la "terre brûlée" restent les seuls à pouvoir tout se permettre. Grâce à la dangereuse schizophrénie des médias. Médias tous coincés? Uniquement s'ils refusent d'être déshypnotisés. A leur portée ? Reprendre, par exemple, le chemin du bon sens et ses toujours profondes questions : avons-nous, collectivement, vraiment besoins des Bourses ? leur hégémonie incontrôlable sert combien de personnes ? combien de victimes et combien "ça coûte réellement à la société que la folie financière" ? n'est-ce pas le pire des systèmes possibles ? comment sortir de cet appel à la destruction collective ? etc. Non, les médias (donc fous!) continuent, hébétés (puisque sans cesse ils disent que la finance est folle et sans cesse il agissent comme si de rien n'était!), à confier le sort du monde aux pires fous furieux que la Terre ai porté. Ce processus média-finance, finance-média, à qui rendra le plus fou l'autre, ressemble, bestialement, à de l'anticommunication. Non ? Nous devons, impérativement, distribuer, massivement, les antipoisons!!! Ne voyez-vous pas d'abord la folie à laquelle conduit, inéluctablement, tout binaire ? Passez donc directo au ternaire!!!

…                        

....Les déréalisés (qui se croient "tendance") créent partout l'immobilisme suicidaire

Ce dernier exemple entérine que ce sont les "déréalisés", les plus irresponsables et, collectivement, les plus incompétents,  les plus détraqués, sans plus de solidité mentale ou morale, qui (ne) dirigent (pas) le monde. Uniquement, par immobilisme : la Société semble, gravement, bloquée. Tout changer pour ne rien changer : ayant perdu toute capacité d'agir sur le réel, ils changent, seulement, les mots, manipulent les concepts (augmentant la confusion générale) et diffament, diffament, partout diffament. Bref, nous ne rencontrons que de petits esprits, trempant dans les seules mesquineries et sordides manœuvres. Chaque époque a eu ses "grands esprits" où sont donc les ¨nôtres ? Strictement pas dans les soi-disant élites. Oui, alors où ?

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Face à un tel tableau, l'attitude prioritaire ne serait-elle pas le découragement devant le fait que les êtres les plus incompétents, les plus démunis pour cette tâche, les plus structurellement proches des dérives vers l'inhumain – sont précisément ceux qui bloquent toute la Société dans son accès information-culture-transmission. Auto-aveuglés par leur fonction (qui, tout le monde le sait, magiquement, vous insuffle les capacités que vous n'aviez pas), ils détruisent tout ce qu'ils ne comprennent pas (comme ce qu'ils assimilent s'avère très minuscule vous voyez l'hécatombe!) ? Devant un tel panorama, ne glisserions-nous pas dans l'accablement devant le fait que l'échec le plus flagrant domine : et ses exactions afin de parvenir à cette médiocrité affleurent comme d'avoir détruit (ou annihilé) tous les génies, les grands esprits et esprits forts,  dans le but que nul ne puisse rendre compte de leur règne piteux  ? Tout de même, vous aviez bien observé ces attitudes sournoises, ces poses chafouines, ces évitements paniques… Devant un tel panoptique, ne nous laisserions-nous pas gagner par le désespoir de vérifier que la lie de l'Humanité dirige le monde ?

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Alors que, en tous lieux, ils se vantent de réformer, faire bouger, amener "la" croissance (tout ce qui est décontextualisé, en mathématiques, n'a aucune "valeur"), se "réunir", remuer, déplacer etc. – nous n'avons observé qu'un figement suicidaire de la Société "bloquée". Paralysie de toute vie intellectuelle, aucune diffusion médiatique autre que le vide, une vie sociale sclérosée et hautement régressive, partout des enfermements tels qu'il paraisse incroyable de trouver des "prisonniers plus libres que nous" – bref, ceux qui, si bruyamment, se prétendent dirigeants, se montrent comme les pires ennemis de la Société qu'ils conduisent à la destruction. C'est très grave de se tromper d'admiration: vous écrasez vos vrais amis et ne secondez que vos (nos) pires ennemis!!!

             Le décodeur de "leur" monde irresponsable                               

Nous - nous ne cesserons jamais (même si nos amis nous écrasent, même si les médias semblent contre nous – un jour ils changeront!) de tenter de protéger ce monde de leurs folies. Un adulte n'a plus de temps à perdre avec les gamineries actuelles, même et si surtout, beaucoup de 50-60 ans y succombent, si trop de femmes déçoivent tant, en secondant ce direct suicide. Comment protégeons-nous ? Par une remise à l'endroit de leurs perverses inversions, par exemple. Et cela donnerait abondamment :

-    Economiquement, les riches vivent sur des dérogations du régime général. Ce qui les met en positions de "corporatismes" complets, avec des corps et des ordres de métiers rigides, aux droits d'accès très hermétiques. De cet ensemble d'habitudes ils ont, mentalement, créés des "acquis". Immédiatement, nous pouvons noter que ces acquis sont, clairement, antirépublicains et dénient la valeur de la Constitution. Ensuite, ils forment un bloc aussi archaïque que les "droits féodaux". Cela paraît furieusement anti-moderne et sonne comme un refus entêté du Progrès.

-     Refusant toute évolution qui tende au partage le plus raisonnable des richesses (dans le but de préserver de toute force la planète !) – nous les voyons crispés sur leurs "acquis anciens et surannés", très dommageables à l'ensemble de la collectivité. Ils constituent un bloc d'immobilisme extrêmement rétrograde. Figés autour de leurs corporatismes fermés, nous les percevons incapables de comprendre le destin du monde et, même, par leurs postures psychorigides, portant atteinte à sa sécurité.

-    Ont-ils des difficultés d'adaptation par leurs manques de flexibilités évidentes ? Nous nous devons, nous, de ne pas courber devant leurs courbatures : nous  accompagnons, droitement, l'évolution naturelle de l'Humanité et ne pouvons nous occuper de ceux que le Progrès abandonne au bord de la route. Leur arriération ne doit plus être "assistée". L'élite est trop précieuse pour l'abandonner aux mains de ces grossiers personnages. L'économie est trop à économiser pour la lâcher aux mains des détraqués des finances. La culture est trop cruciale pour la déposer aux mains des solipsistes, l'information trop sociale pour la laisser trahir et défigurer par les grotesques journalistes et l'acte de transmettre trop généreux pour le poser dans les mains des barbares pervers capitalistes.

Que ce descriptif méticuleux paraisse correspondre à ce qu'ils déversent sur le dos des personnes raisonnables – représente, limpidement, le refus du diagnostic propre aux pathologies mentales. La maladie mentale signe qu'elle refuse de se reconnaître elle-même. Tout en renforçant l'impression de trop riches "enfermés" dans l'illusion de leurs "acquis". D'où leurs postures passéistes de corporatistes bornés. "Acquis" qui s'avèrent, d'ailleurs, sans aucun fondement ni légitimité et s'ôtent, en conséquence, de toute nécessité de perdurer. Ce ne sont que des maniaques pas des citoyens imbus du bien public!

Conclusion d'étape : les médias, faute d'ancrage dans la vie quotidienne la plus majoritaire, se trompent fréquemment d'analyses. Les corporatistes les plus durcis dans le refus de tout changement, de remise en question de leurs acquis restent (comme le dénonçait, clairement, Adam Smith, soi-disant fondateur du capitalisme, lorsqu'il arguait que d'illégaux regroupements de patrons cherchent, déjà en 1750, sournoisement, à empêcher tout regroupement des travailleurs!) les trop riches. Eux seuls peuvent et doivent changer. Radicalement et pas en surface. La survie de la civilisation en dépend: ne pas hésiter à placer sous "tutelle d'incapables majeurs" ses membres les moins raisonnables!!!

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III -    Une ère sans communication : pourquoi donc l'ensemble de la Société  censure tant l'intelligence ?

Comment ?

Comme comment ?

Comment commenter ? Comme le commentaire du comment ?

Comme mémorer ou comme unique ?

Le comment siège dans le comme : alors comme ceci ou comme cela ?

Le comme siège dans le comment : alors commenter le comment comme le proverbe du côté du verbe ou comme le pronom serait pour le nom ?

Comme commun ? Communiquer sur/par ce que nous avons en commun ?

Que collecte le collectif ? Communiquer comme (une trame préexistante, un palimpseste ?) transmettre, soit propager, soit publier, confier, étendre, répandre, élargir le cercle ?

Comment ? Comme commun : le commun communique, sans le commun rien ne peut plus communiquer …

Cette porte communique avec cette autre pièce (l'inconnu, l'invisible) : communiquer n'est pas encore advenu ?

Communiquer appartient au comment (la méthode : que faire ?) mais au comme (également, pareillement ou semblablement : donc au partage !)

Communiquer nous rejoint et nous conjoint, nous réunit et nous prolonge : le début du monde était déjà présent dans ce mot ou ce mot était-il déjà présent au début du monde ?

 

Lorsque le trajet de vie des autres nous aide vraiment amplement ?

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.........C'est bien le récit qui englobe...

.....le maximum de problématiques !!!

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…..(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

      Que toute l’union si solide comme tout le solidaire du monde nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/ onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 Nous sommes la santé de la société

 …les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

………………………

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Couverture de thumbs.dreamstime.com….éclat d’esprit-et...ici...thumbs.dreamstime.com

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media.istockphoto.com

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lundi.am…Trajet de vie Parcours de vie

lundi.am…Trajet de vie Parcours de vie

Le récit qui englobe le maximum de problématiques ?

https://kajabi-storefronts-production.kajabi-cdn.comg

La liberté qui change le trajectoire d’une vie

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soit

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soit

 

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ConscienceU12 «  En attendant ses décrets ça reste du vœux pieux ; tant que ce n’est pas validé par le congrès ça vaut quetchi ! – [Et même si le congrès est Républicains {tous les Républicains ne sont pas pro-Trump} la validation d’un décret peut prendre des mois, voire des années (et donc trainer jusqu’aux midterm) avant de pouvoir être réellement applicable]. »

institut.neurosens.fr

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freepik.com….décisionnelles problématiques

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horizon-europe.gouv.fr/

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lesmoutonsenrages.fr

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recits.lorganon.ca

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51 mn…Trajets de Vie ; Trajets de Ville

Danseurs Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot, Corinne Pontana et Rolando Rocha/Patrice de Benedetti /Hugues Pomiès
Musique Yves Miara

"Trajets de vie est un parcours informel qui se découvre dans la ville, pour les passant.e.s, habitant.e.s, aux heures calmes de la journée, le matin, avec des présences singulières sur des bancs publics. Plus qu’un spectacle, il s’agit plutôt d’une invitation à s’arrêter un instant, pour regarder la danse de ces gens, exposés, attentifs aux allées et venues… Sur les bancs, ou autour, au milieu du passage des piétons, des voitures, des bus, 4 solitudes esquissent une gesticulation parfois acrobatique, parfois au bord de l’invisible : trouées poétiques où le grésillement d’une radio sortira d’un cabas, où des feuilles de journaux se colleront au visage comme un masque de fanfaron, où des capsules de bouteille colorées se disperseront comme une pluie d’enfance."

L’écrivain représente la boussole d’une société...

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Swinton a alors irrité ses collègues en répondant : « Il n’y a pas de presse indépendante dans l’histoire américaine. Vous le savez aussi, et je le sais aussi. Aucun d’entre vous n’ose exprimer honnêtement ses opinions dans le journal pour lequel vous écrivez. Je suis payé précisément pour ne pas exprimer mes opinions honnêtes dans le journal pour lequel j’écris. Le reste d’entre vous est payé pour faire de même, et n’importe lequel d’entre vous qui deviendrait assez fou pour écrire honnêtement ses opinions serait immédiatement envoyé à la rue, à la recherche d’un travail. Si je me permettais une opinion honnête dans l’un des numéros de mon journal, mon travail disparaîtrait dans 24 heures. Le travail du journaliste est de détruire la vérité, de mentir sans ménagement, de pervertir, de dénigrer, de lécher les bottes de Mammon, de vendre son pays et sa nation pour leur pain quotidien. Vous le savez aussi, et je le sais aussi. Et alors pourquoi adorer la presse indépendante ?! Nous sommes les outils soumis et les serviteurs des riches dans les coulisses. Nous sommes Hopa-Mitică : ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies appartiennent à d’autres personnes. Nous ne sommes que des prostituées intellectuelles. »

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Mammon est un terme qui vient du grec. Les Grecs de l’Antiquité avaient de nombreux dieux pour chaque chose ou état. L’un de ces dieux était Mammon, qui était responsable de l’avidité pour l’argent, de la course folle pour les choses matérielles et les possessions. Dans le chap. 6, vers. 24 de l’Évangile de saint Matthieu, Jésus-Christ fait référence à ce démon, nous disant que lorsqu’il possède les hommes, ils ne peuvent plus voir ou servir Dieu, ils ne peuvent pas coexister dans la vie d’un homme. De plus, dans le satanisme, il est parlé de lui comme d’une entité qui répond au nom de « Zeus ».

16 mn…LES 10 PLUS BEAUX TRAJETS EN TRAIN DU MONDE !

Bercy veut fliquer les indépendants pour taxer leur patrimoine

Bercy fomente un nouvel impôt sur le patrimoine. Officiellement, il s’agit de lutter contre la « sur-optimisation » fiscale, tant décriée. Dans la pratique, il s’agit surtout de justifier des mesures scélérates d’inquisition fiscale et sur-taxation pour faire payer la crise des finances publiques, créée la lâcheté de la caste et l’incompétence d’une bureaucratie pléthorique, à ceux qui prennent des risques pour faire vivre leur entreprise.

Surtout lorsque rallié à ces 2 faits très, oui très…dissimulés !

"La France est devenue le deuxième pays exportateur d'armes, derrière les États-Unis, selon le rapport annuel de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI). Au cours des cinq dernières années, soit entre 2019 et 2023, les États-Unis ont représenté 41,7 % du total de la valeur des exportations d'armes dans le monde, la France 10,9 % et la Russie 10,5 %. La Chine (5,8 %) et l'Allemagne (5,6 %) complètent le top 5.

Triste record ! » …Triste record puisqu’il conduit à l’explosive conclusion. Laquelle?  Que la France macroniste reste le « régime » (régime au sens de Pétain) qui a le “plus d’intérêts direct à ce que partout explosent des guerres irresponsables" ! Avec seconde conclusion qui découle de la première : c’est cette France collabo qu’il faut empêcher de nuire. Et « le nouvel ordre mondial », justement, le…permet…

ET ? Zelensky ne fait surtout pas l’unanimité en Ukraine ! Preuves directes ? …« La Verkhovna Rada d’Ukraine n’a pas soutenu la prolongation des pouvoirs présidentiels de Volodymyr Zelensky. Lors d’une réunion à laquelle ont participé des représentants de la Commission européenne, la résolution correspondante a été rejetée.

Le député ukrainien Yaroslav Zheleznyak l’a rapporté sur sa chaîne Telegram.

Le Parlement souligne que Volodymyr Zelensky doit exercer ses pouvoirs jusqu’à sa prise de fonctions en tant que nouveau président élu de l’Ukraine
– cette formulation a été mise au vote.

Le président Donald Trump avait auparavant déclaré que le niveau de soutien à Zelensky parmi les citoyens ukrainiens n’était que de quatre pour cent. »

La folie administrative…les logos locos empêchent vraiment la vie !!!

Discours choc : la macronie perd le contrôle ? Augmentation brutale de la dette à plus de 3400 milliards !

33 mn…LES MILLIARDAIRES : POURQUOI C'EST BIEN PIRE QUE CE QU'ON IMAGINAIT

TERRIFIÉ PAR LE SYSTÈME FINANCIER, Robert Kiyosaki EXPOSE CE QUE LES PAUVRES SUBISSENT

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