Que des dissymétries ?
Si ensevelis sous des tonnes de règles que les braves gens qui respectent vraiment la démocratie – et n’ont nul besoin de ces règles. Tandis que s‘auto- dispensent (sic) des escrocs pervers, qui auraient, eux, tant besoin de fermes règles. Vu qu’ils crachent des illégalités à chaque minute. Et que les « guimauves internet » semblent comme couvrir ces irrégularités.
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Mais, enfin, des lueurs d’espoirs ? Ils auront mis le temps (dix mois !) mais tout est bien arrivé : voici (voir le texte joint) qu’ils nomment de « faux » gouvernements, « faux » ministres, voire « faux » présidents, qui le sont si concrètement. C’est, que partis à la recherche des filiations des traitres macronistes, anti-républicains en diable, nous avons trouvé, pile, les traitres Pétainistes. Voyez plutôt, le 10 Juillet 1940 « abolition de la République »…oui oui si vite, c’était donc « l’urgence la plus urgente» d’alors ?? (et « l’abolition de la République », chez les macronistes, c’est bien tous les jours qu’ont lieu leurs si délinquantes destructions des institutions…républicaines. Les pires antirépublicains sont donc exactement les macroriens ! Ne pas le dire devient une complicité impardonnable !!!). Et, à la place de la République, en 1940, un « vague régime», jamais vraiment défini,…mais un « régime » de…collaborations. Lorsque le drame de la France, en 2025, ce sont les héritiers des traitres pétainistes. Pour qui, il n’y a jamais eu vraiment d’épurations des sommets collaborationnistes en 1945. D’où les successeurs actuels des collabos de 1940-1945, gavés de monnaie publique, qui utilisent désastreusement cet argent public, afin de pourrir l’Information « sacrée », la mentir partout, pour monopoliser illégalement les médias « du pays légal », détruire l’édition des vrais livres, etc. – bref, se prouver vrais ennemis du parfait C.N. R. Conseil National de la Résistance. Dissymétries ? Les collabos 2025 prédominent et les Résistants sont très maltraités mal traités !
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……1 )) -- Entendre l’entendement ?
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Ce qui dépasse tellement l’entendement ? Toujours se subdiviser juste parce qu’il faudrait conserver son dur individualisme – tout détruire et rien n’importe si vous vous momifiez trop individualistes ? Comme si nous ne pouvions pas, à la fois, juxtaposer cet individuel (non attaqué) et l’Unité enroulée autour d’un but commun : mettre une fin concrète aux dictatures déployées, sans issue, actuelles ! Et n’avoir que ce but commun, de tous, à tous – jusqu’à fins des dictatures qui, apparemment, bloquent tout. Ce choix se montre effectué sur le modèle des amérindiens, qui ne veulent pas de chefs permanents, mais admettent que certaines situations graves y obligent. Ce sont, alors, des chefs transitoires et révocables qui ne durent que le temps de la crise à traverser. A la seconde où la problématique n’existe plus : plus de chef unique mais l’ordre habituel des Conseils et des pow-wow au consensus.
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Et ne venez pas prétendre que les détraquées situations actuelles ne méritent pas des réactions et actions très immédiates : depuis la perte de nos libertés actives, ou bien contre l’Information vitale abandonnée entre les mains d’ incapables ( incapables déjà par la mentalité si bornée de leur faux droit à rester dictateurs – et, ensuite, si incapables par les survalorisations démentes de leurs propres capacités à gérer ces situations non supportables), ou bien encore les sourdes oreilles de mettre en commun (sans noms d’auteurs autres que d’assumer les responsabilités légales) le meilleur des idées et nous éloigner, en parallèle, de tout ce qui représente, alors, une gestion trop perverse des écrits. Encore, la fin de la mise en inefficacités des personnes toutes séparées pour le choix tellement mieux adapté d’un collectif Unitaire (et ce jusqu’aux expulsions bien concrètes des trop nuisibles dictateurs). Juste en montrant tous les « avantages » flagrants de quitter ces autobloquants individualismes non attaqués (dans ces contextes) et de mettre, alors, en œuvres les immenses unités l
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……….2 ))--- Tous pris la main dans les …saccages ?
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« À force de mensonges, de posture guerrière et de servilité vis-à-vis de l’OTAN, Macron et ses acolytes atlantistes inversent les valeurs les plus fondamentales.
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Depuis 2017, ce n’est pas un mandat présidentiel que nous vivons, c’est un règne tyrannique. Macron n’a pas reçu le pouvoir, il l’a capturé. Son rapport au pouvoir n’est pas politique, il est psychiatrique. Son autorité, froide, verticale, intransigeante, n’est pas celle d’un chef d’État, mais d’un manager halluciné par sa propre importance.
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Il ne s’agit plus d’adapter la France au monde, mais de l’effacer du monde. D’en faire un terrain d’expérimentation pour les délires technocratiques de minorités hors-sol.
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Depuis son apparition sur la scène politique, Macron n’a cessé de confondre la France avec un lab-Oratoire, et les Français avec des cobayes qui bâillent. Dès son arrivée à l’Élysée, ce faux président hors-sol, formaté dans les salons feutrés du globalisme technocratique, a imposé une verticalité glaciale, une autorité qui ne négocie pas, mais qui ordonne, exige, et punit. Avec la… froideur d’un entomologiste observant une fourmilière en feu, il contemple le …chaos qu’il provoque et jubile avec l’arrogance d’un roi sans couronne. Il ne doute pas, car il n’a pas d’âme politique, seulement une vision. Une vision de déracinement, de dissolution, de soumission, forgée par une présidence de la domination irresponsable, du trop de mépris et de la mise en scène.
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Macron surplombe, juge, et manipule. Il ne parle pas aux Français, il leur parle dessus. Son pouvoir n’est pas légitime. Parce qu’il est juste …un produit. Une grave anomalie fabriquée par les laboratoires du globalisme, où la souveraineté est une gêne, la tradition une erreur, et l’identité nationale un bug à corriger. Macron, c’est le fossoyeur de la France vue depuis Davos. Des citoyens réduits à des ressources humaines. Pire ? Des enfants reprogrammés pour oublier d’où ils viennent. Aussi, ce pays est devenu un centre de services à la… botte du marché mondialisé, son peuple réduit à une masse administrée, calibrée pour… l’obéissance. D'ailleurs, il n'y a plus de peuple, plus de racines, seulement des flux, des chiffres, des protocoles. Macron n’exerce pas le pouvoir pour servir, mais pour… asservir. Il n’incarne pas la République : il la vampirise. Il n’a pas de… fidélité au peuple (peuple qui n’a donc…aucune obligation envers lui - le quitter à la seconde est donc…très Possible) !!! Puisque ?
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Depuis 2020, le masque est tombé ou plutôt s’est imposé. La crise sanitaire a servi de laboratoire pour une reprogrammation comportementale inédite. Sous couvert de Covid-19, Macron a expérimenté un modèle de contrôle total basé sur une peur omniprésente, des contradictions absurdes et des rituels d’humiliation. Masques, pass, confinements, Qr codes sont autant de tests de soumission, autant d’outils pour imposer la docilité collective que de leviers pour briser les résistances. Il ne s’agissait pas de santé, mais bien de soumission. C’était une opération psychologique de grande ampleur, menée avec le cynisme inhumain d’un stratège sans scrupules, et l’aval d’un appareillage d’État réduit à un outil de dressage mental. L’État n’éduque plus, il conditionne. La République ne protège plus, elle oriente, façonne, reformate.
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La politique de Macron ne réforme pas la France, elle la dissout. (ce pourquoi elle est si…dissolue !). Les traditions nationales sont méprisées, l’identité française est jugée archaïque et sa culture ancestrale est considérée comme un obstacle. La nation est méthodiquement vidée de sa substance, réduite à une plateforme logistique où seules comptent les données et les profits (niveau mental 10 ou 12 ans ???). À ce projet de… suicide collectif. Car en franchissant les portes de la Grande Loge de France, Macron ne célèbre pas la neutralité de l’État, il sacralise une idéologie Luciférienne. » Absolument aucune excuse ne vient donc diminuer l’impact moral de cette bonne analyse !
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…………….3 )) - Les « guimauves internet »..
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Si absous, quasi complètement, les « trop milliardaires » de l’optimisation fiscale (où l’argent illicite seul peut « blanchir » toutes ces…illégalités et insultes à magistrats fiscaux) ? Plus jamais accusés « les Trop riches » - tant internet affaiblit les populations de la trop anesthésiée formule « les ultras riches » - sans impacts concrets. Sinon celui de féliciter les « dormeurs » dans leurs inacceptables « zones de conforts »
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Si sabotée aussi, par ces guimauves, la langue française, si Frexit pourtant – celle la mieux placée pour vraiment changer les choses. Oui au niveau mondial !!!
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Et, enfin, la guimauve ennemie qui veut ôter des mémoires vives que le peuple peut tout reprendre en main (comme la gestion concrète des fleuves et des rivières, le retour dans le giron du très bon EDF-GDF donc épaulé par la population etc. -bref tout ce qui fait des incompétences des faux gouvernements…un pâle souvenir de leurs si grands ridicules)…
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Avec en cerise sans gâteau, les anti-commentaires collabos, qui en un mot, tentent d’empêcher l’accès directs aux si bonnes analyses. Et ce sera un bœuf char-Abia – d’ailleurs jamais prouvé ni démontré – lorsque leurs guimauves éteignent tout. Un exemple ?
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En France nous avons eu un escroc malfaisant qui avait tant nuit aux jeunes « talents torrentueux » de son époque. Et ce par juxtapositions des diffamations. Genre « Qui conçoit bien l’énonce aisément ». Que nous avons remis à l’endroit de la Très grosse arnaque en « qui ne conçoit Rien, Renonce aisément »…En effet, avec « un sujet, un verbe, un complément », vous ne pourrez Jamais raisonner complètement, jamais démontrer le difficile à dire. Qui nécessite, au moins, des assertions adverbiales et de charnus déploiements d’adjectifs. Se limiter au trop simplet « un sujet, un verbe, un complément » c’est ne pouvoir répéter que ce qui a déjà été dit. Tout bloquer dans les routines des trahisons ! Ce que Boileau, l’imposteur, tente dans ses « petits ruisseaux tranquilles » - soit des soumissions à l’ordre aux désordres établis. La grande pensée avarement limitée à un infécond transat qui vous endort…puisque le but réel de Boileau c’est de contraindre aux pires conformismes et aux sujétions aux pouvoirs officiels : comme qui radote ce qui a été mille fois redit, redit oui comme reddition. Par, justement, ce trompeur du « si facile à comprendre» pour « il faut, avant tout, tout décomprendre, ne plus pouvoir jamais rien comprendre. Ce qui oblige à retourner aux « talents torrentueux ». Ceux qui ouvrent à savoir analyser…sérieusement. Ce à quoi ces « talents torrentueux » ne renoncent pas aisément, eux !!!
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……........4 )) – Plus jamais de zones de conforts?!
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Plus de zones de conforts ? Depuis les assos de terrain, qui se préoccupent des humains en danger, je n’ai plus de zone de confort ? Plus placé à distance, mais en direct avec les horreurs, le nez dessus ces « réalités que la plupart ne veulent pas connaitre » ! Mais encore ? Il n’y a pas de protection, d’éloignement par « la surélévation de l’estrade (comme les profs !) ». Non, nous sommes surexposés à tout. Ce qui implique ? Que, parfois, qui souffrent pensent avoir toutes les priorités et ne pensent qu’à eux. Donc ne prennent pas de gants avec ce qui est autour d’eux. D’où apprendre vite les astuces afin de se glisser hors de leurs pattes. Autres éclairages sur plus de zones de conforts ? L’idéal reste un esprit calme et actif, offrant l’« apaisant naturel » : soit « l’empathie », de en et pathos (soit « souffrir ensemble »). Pour aborder toutes les pathologies du pathos ! Que faut-il apprendre avant d’oser ? Le simple apprentissage de « se mettre en-dessous de l’humain afin de le relever en actes ».
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Se préparer avant tout acte : soit se dégager de tout problème personnel, afin de ne pas emberlificoter qui a déjà ses problèmes – pleins de technique existent, nous c’est le yoga. L’idéal recherché c’est une communication « sans bruit » : soit un cerveau libre relié à une sensibilité qui ne juge pas ! Il ne s’agit pas de donner de bons points mais bien de le/la sortir de l’ornière. Ne pas avoir de zone de confort – à ce stade – vous fait, effectivement, « partager » leurs ressentis. Comme si vous y étiez – puisque vous y êtes au réel. Où donc ? Exactement où est la source « qui fait trouver les mots pour bien expliquer ». Oui dire le chemin de la sortie. Les sensations vécues restent inoubliables…Par contre, qui auront fui cette chance de manier les pathos-pathies (même sympathies vient de pathos-pathies, c’est dire !) : Et donc ?
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Qui n’auront pas quitté d’un centimètre, leurs zones de conforts ? Même s’ils ne s’en rendent pas compte leur parole demeure glaciale et glacée, sans chaleur humaine, dépourvue de résonances, reflétant leurs indifférences d’égoïstes, convaincu de ne pas l’être. Ils disent les mots de la compassion (mais ne vient pas la compassion, la souffrance avec- de pouvoir se mettre à la place des autres !)…Or, les souffrants possèdent, en eux-mêmes toutes les solutions à leurs problèmes. « Savoir écouter » c’est entendre limpidement ces mots. Et juste les leur restituer, fidèlement, ces réponses directes à leur propre problème. D’où l’essentiel est bien qu’il n’y ait aucun « brouillage », ni « parasite » très bruyant - afin qu’il n’y ait pas la moindre ambiguïté à la réception !
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D’où (d’après nous), passer directement à l’étape sans zones de conforts, c’est être devenus définitivement aptes aux empathies ! A ce point ? Oui c’est bien avoir quitté, fui, abandonné la « grotte de Platon (cette zone superflue de confort ?) ». Oui celle d’obscurité où les refuseurs tournent carrément le dos aux réalités (les réalités lumineuses d’entrée de la grotte). Et ils ne voient plus que des ombres sur les murs du fond. Ce qui est bien s‘auto-leurrer, se tromper soi-même, s’entêter à ne pas se retourner ou/et à sortir à la lumière du jour. Donc aller jusqu’à saboter sa propre vie !!!
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Ne plus jamais vivre dans une zone de confort c’est comment ? Les Palestiniens, que le monde entier si cyniquement a laissé tomber, a labouré le cœur pour la vie. Irréparable. Pourquoi le monde uni ne s’est pas levé afin de mettre fin aux assassinats gratuits (et monstrueux) des enfants ? Et pourquoi nul ne montre sa répulsion totale face à ces attitudes de vrais barbares ? Pourquoi le crime « d’antiPalestinisme » (tellement plus flagrant et inexcusable que le faux antisémitisme) n’est, nulle part, pris en compte. Puisque , comme racisme assassin, impossible de faire pire. Pourquoi ces barbaries couronnées ne sont toujours pas l’urgence actuelle. Et, chaque jour, se lever avec un cœur en capilotade ? Il n’y a donc plus d’adulte responsable, surtout en ex-Occident ? « Se sentir responsable de tout et de tout le monde » fut le dernier feu des civilisés – qui s’achève si sordidement dans la déchéance inacceptable de tenter de délinquanter le moindre acte de compassion envers ces palestiniens « qui ont le droit de se défendre » (et donc qui ont le droit d’être défendus par d’autres vrais humains !)…
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Tous les jours, croiser ces si déchus déchets occidentaux qui n’ont plus le droit de se nommer « êtres humains » vu leurs arrogantes monstruosités ? Vous voyez l’absence de zone de confort (beuark, cette expression !) rend humble dans le désespoir discret de voir ces moins que rien détruire partout les vraies valeurs !!! Au point qu’il faille absolument qu’ils baissent leurs regards plus qu’indignes !
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Impossible, de la sorte, de vivre en refusant puérilement de voir…
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... les dissymétries qui défigurent tout ! Oui oui mais les compromis, les compromis chuchotent les corruptions ?
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Un compromis devient des compromissions. Ces compromissions durcissent tout et donc font croire que plus rien « n’est possible » : alors que les situations sont toujours aussi fluides. Et donc que tout est plus possible qu’avant. Existentiellement ! Un exemple trivial va commencer de faire comprendre. Celui des rejets si aveugles des différences. Ces différences qui font la différence justement. Or ces bloqués entêtements rebroussent vers les préjugés et les abrutis automatismes – et peuvent même aboutir (bêtement) à « isoler » qui savent penser, qui savent le formuler et qui savent le défendre sans retourner en arrière. Ce qui fait penser à ce « mais, en France, les censeurs sont bien trop aidés, relayés, appuyés » ? Voir d’autres époques où les luttes contre les censures se prouvaient bien plus importantes et efficaces. Songeons, aussi, aux dissidents enfermés qui furent bien prolongés, épaulés par les populations (qui mettaient au visible ce qui furent écrits, baveux et très serrés, sur des rouleaux de PQ). Ces réécrits furent acheminés (des milliers et dizaines milliers de petites mains !) vers des mains qui réussissaient à faire parvenir…
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… leurs documents courageux vers… I ’Occident !!
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...........(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits https://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, aussi, " Assentiments aux sentiments",. premier pas vers une paix mondiale.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Bien nommer c’est résoudre à moitié la problématique bloquante
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêtons de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !
Vous changez vos mots, vous changez vos vies
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Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 6 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
couverture : de changerdebocal.free.fr « L'Etat qui privatise trop le BIEN PUBLIC”....et ici....de i.pinimg.com
![Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour [...] - Nicolas Boileau-Despréaux](https://image.over-blog.com/jmUTEF5nqMo27HfWibIEBou1pZM=/170x170/smart/filters:no_upscale()/https%3A%2F%2Fwww.dicocitations.com%2Fimagescitations%2FCe_que_l_on_concoit_bien_s_enonce_clairement_Et_les_mots_pour_-_Nicolas_Boileau-Despreaux-58059.png)
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour [...] - Nicolas Boileau-Despréaux
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent [...] - 🖋 Nicolas Boileau-Despréaux
Ce que l'on conçoit bien s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Remis à l’endroit de la Très grosse arnaque en… « qui ne conçoit Rien, Renonce aisément » ! Puisque ? Soumissions totales aux conformismes = vous n’avez plus le droit que de dire que CE QUI a déjà été DIT. Plus de créativités permises ! Complets confinements de la liberté d’expression !
/https%3A%2F%2Fi0.wp.com%2Fwww.musee-resistance-zone13.fr%2Fwp-content%2Fuploads%2F2022%2F07%2FPhoto-marechal-Petain-2.jpg%3Ffit%3D585%2C410%26ssl%3D1)
LE 10 JUILLET 1940 - LES PLEINS POUVOIRS A PETAIN. sur Musée de la Résistance de la Zone 13
"Travail - Famille - Patrie" se substitue à "Liberté - Egalité - Fraternité" Un régime antirépublicain, autoritaire et qui collabore avec l'Allemagne. Le 10 juillet 1940, l'Assemblée nationa...
https://www.musee-resistance-zone13.fr/10-juillet-1940-les-pleins-pouvoirs-au-marechal-petain/
« Travail – Famille – Patrie » se substitue à « Liberté – Egalité – Fraternité »
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"Un régime antirépublicain, TROP autoritaire et qui collabore avec l’Allemagne."
Chacun doit prendre « sa » part du fardeau ? Les trop riches, eux, en alourdissant plus qu’injustement, la part des autres. Et donc en se prouvant, chaque jour, de très « extrémistes antirépublicains », qui méritent les plus fermes sanctions. Envers eux seuls et envers personne d’autre. Justice ne peut que se faire !
Sommes-nous les bienvenus ⁉️ 26 mn Russie
12 mn… 10 personnes, prétendues si mensongèrement folles, qui finalement avaient raison
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🟠 COUPURE D'ÉLECTRICITÉ EN ESPAGNE ET AU PORTUGAL ! Michel Onfray avec André Bercoff
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no comment
20 mn…GUERRE ASYMÉTRIQUE: Comment la Chine écrase ses voisins
« Les Chinois payent pour présider les comités ISO.
Et nous ?
On envoie des experts … sans mandat clair, ni message stratégique.
Ce que la France doit intégrer d’urgence :
La normalisation est un champ de bataille.
Ne pas y être, c’est abandonner l’influence à d’autres.
La norme n’est pas qu’un outil technique.
C’est un outil de formatage culturel, commercial, voire juridique. »
« Qui se souvient de l'époque où ces entreprises étaient propriétés de l'Etat, et qui appartenaient donc au peuple tout entier ?
St Gobain, Matra, Rhône Poulenc, Elf, Seita, Renault (partiel),
BNP Paribas, Société Générale, Crédit Lyonnais,
La SNCF, EDF - GDF, France Télécom,
La Française des Jeux
Les aéroports (Paris, Toulouse...), les autoroutes ....
/https%3A%2F%2Fwww.geopolintel.fr%2Flocal%2Fcache-vignettes%2FL549xH343%2Fa-434-3f3cc.jpg%3F1746690484)
Les organismes français : une escroquerie qui coûte cher
Pendant que Bayrou et Macron vont plancher sur le budget 2026, la France dépense sans compter dans des organismes qui ne servent à rien et qui (...)
Les organismes français : une escroquerie qui coûte cher
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"La sénatrice Nathalie Goulet a déposé un amendement qui prévoit la suppression du budget d’un organisme créé en septembre 2020 : le Haut-commissariat au Plan. C’est François Bayrou, l’actuel Premier ministre, qui dirigeait ce « machin » dont l’utilité n’a jamais été démontrée. Il est vrai que son budget, 1,9 million d’euros, est ridicule par rapport aux déficits et autres dettes de l’Etat français. Mais on ne peut que saluer cette décision qui sera suivie – il faut l’espérer – d’autres suppressions d’organismes de ce genre. Par exemple France Stratégie où « travaillent » 135 personnes (équivalents temps plein) et qui est doté d’un budget de 23,1 millions d’euros. Ou, plus emblématique encore, le CESE. Éric Ciotti et les députés de son groupe de l’Union des droites pour la République (UDR) ont d’ailleurs déposé, en octobre dernier, une « proposition de loi constitutionnelle visant à supprimer le Conseil économique, social et environnemental ». Le texte mentionnait le montant du budget pour 2024 : 45 millions d’euros (M€). Supprimer cet organisme permettrait de « générer des économies responsables et nécessaires pour reprendre le contrôle de nos comptes ». Malheureusement, cela n’a pas encore été fait. Mais l’idée suit son cours."... Mais pas le court cours !
En ces temps de confusion organisée et de renversement des repères, rares sont les voix qui osent nommer le mal. Pourtant, ce mal existe, il avance masqué sous les oripeaux du progrès, il parle...
https://jevousauraisprevenu.blogspot.com/2025/05/anatomie-dun-pouvoir-toxique.html
Les guimauves internet ? Rares les textes qui n’en sont pas du tout. Qui appellent bien un chat un chat, et n’atermoient jamais, etc. « Toxique, Macron l’est jusque dans la symbolique. Ce 8 mai, jour de la défaite du nazisme, il ose une fois de plus piétiner la mémoire des résistants et des millions de morts en se posant en défenseur d’une Europe qui flirte désormais ouvertement avec les héritiers du IIIe Reich. À force de mensonges, de posture guerrière et de servilité vis-à-vis de l’OTAN, Macron et ses acolytes atlantistes inversent les valeurs les plus fondamentales.
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Depuis 2017, ce n’est pas un mandat présidentiel que nous vivons, c’est un règne tyrannique. Macron n’a pas reçu le pouvoir, il l’a capturé. Son rapport au pouvoir n’est pas politique, il est psychiatrique. Son autorité, froide, verticale, intransigeante, n’est pas celle d’un chef d’État, mais d’un manager halluciné par sa propre importance, sûr d’incarner l’Histoire alors qu’il n’est que le symptôme avancé d’un système à l’agonie. Non pas pour gouverner la France, mais pour l’écraser. Il ne la dirige pas, il l’administre comme un gestionnaire d’actifs humains, détaché de toute empathie, étranger à toute forme de dialogue avec l’arrogance algorithmique d’un DRH halluciné qui gère une nation comme une feuille Excel. Il ne s’agit plus d’adapter la France au monde, mais de l’effacer du monde. D’en faire un terrain d’expérimentation pour les délires technocratiques de minorités hors-sol.
Depuis son apparition sur la scène politique, Macron n’a cessé de confondre la France avec un laboratoire, et les Français avec des cobayes. Dès son arrivée à l’Élysée, ce faux président hors-sol, formaté dans les salons feutrés du globalisme technocratique, a imposé une verticalité glaciale, une autorité qui ne négocie pas, mais qui ordonne, exige, et punit. Avec la froideur d’un entomologiste observant une fourmilière en feu, il contemple le chaos qu’il provoque et jubile avec l’arrogance d’un roi sans couronne. Il ne doute pas, car il n’a pas d’âme politique, seulement une vision. Une vision de déracinement, de dissolution, de soumission, forgée par une présidence de la domination, du mépris et de la mise en scène.
Macron surplombe, juge, et manipule. Il ne parle pas aux Français, il leur parle dessus. Son pouvoir ne repose ni sur la légitimité ni sur la représentation, mais sur l’ingénierie sociale, la sidération permanente, et une obsession maladive du contrôle. Macron ne gouverne pas, il met en scène son pouvoir. Ce n’est pas un projet qu’il déroule, c’est une stratégie de contrôle mental. L’homme n’a pas de cap politique, seulement une obsession de soumettre. Chaque réforme devient une opération de démolition allant des services publics à l’école, de l’hôpital à la mémoire nationale, de la famille à la foi, tout y passe, tout est nivelé, marchandisé, dévitalisé, dépolitisé.
Son pouvoir n’est pas légitime. Il ne repose sur rien d’organique, ni sur la culture nationale, ni sur l’histoire de France. Il est un produit. Une anomalie fabriquée par les laboratoires du globalisme, où la souveraineté est une gêne, la tradition une erreur, et l’identité nationale un bug à corriger. Macron, c’est le fossoyeur de la France vue depuis Davos. Un pays à convertir en plateforme de services, des citoyens réduits à des ressources humaines, des enfants reprogrammés pour oublier d’où ils viennent. La République est devenue une machine à laver les âmes. Et la France n’est plus !
Ce pays est devenu un centre de services à la botte du marché mondialisé, son peuple réduit à une masse administrée, calibrée pour l’obéissance. D'ailleurs, il n'y a plus de peuple, plus de racines, seulement des flux, des chiffres, des protocoles. Macron n’exerce pas le pouvoir pour servir, mais pour asservir. Il n’incarne pas la République : il la vampirise. Il n’a pas de fidélité au peuple, seulement des obligations envers ses parrains économiques et idéologiques. La France n’est pour lui qu’un point d’accès au réseau oligarchique global. Et ce réseau, il le renforce par toutes les armes possibles que sont la propagande, les injonctions morales et la sidération permanente.
Depuis 2020, le masque est tombé ou plutôt s’est imposé. La crise sanitaire a servi de laboratoire pour une reprogrammation comportementale inédite. Sous couvert de Covid-19, Macron a expérimenté un modèle de contrôle total basé sur une peur omniprésente, des contradictions absurdes et des rituels d’humiliation. Masques, pass, confinements, Qr codes sont autant de tests de soumission, autant d’outils pour imposer la docilité collective que de leviers pour briser les résistances. Il ne s’agissait pas de santé, mais bien de soumission. Ce n’était pas une dérive, c’était une opération planifiée. C’était une opération psychologique de grande ampleur, menée avec le cynisme d’un stratège sans scrupules, et l’aval d’un appareil d’État réduit à un outil de dressage mental. L’État n’éduque plus, il conditionne. La République ne protège plus, elle oriente, façonne, reformate.
La politique de Macron ne réforme pas la France, elle la dissout. Les traditions nationales sont méprisées, l’identité française est jugée archaïque et sa culture ancestrale est considérée comme un obstacle. La nation est méthodiquement vidée de sa substance, réduite à une plateforme logistique où seules comptent les données et les profits. À ce projet de suicide collectif imposé s’ajoute désormais une dimension hautement symbolique de destruction de la spiritualité chrétienne, qui en a fait sa grandeur. Car en franchissant les portes de la Grande Loge de France, Macron ne célèbre pas la neutralité de l’État, il sacralise une idéologie Luciférienne.»
Les 10 % les plus riches, principaux coupables du dérèglement climatique, selon une étude
Une étude publiée dans Nature Climate Change révèle que les 10 % les plus riches de la planète sont responsables de deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990. En établissant un lien...
https://fr.news.yahoo.com/10-riches-principaux-coupables-d%C3%A9r%C3%A8glement-174154057.html
« Les 10 % des personnes les plus riches de la planète sont responsables des deux tiers (2 /3) du réchauffement climatique depuis 1990, affirme une étude quantifiant pour la première fois l'impact de la concentration des richesses privées sur les événements climatiques extrêmes.
"Nous établissons un lien direct entre l'empreinte carbone des individus les plus riches et les impacts climatiques", déclare Sarah Schongart de l'université de Zurich, autrice principale de ce rapport publié mercredi 7 mai dans Nature Climate Change. "On passe ainsi de la comptabilité des émissions carbone à la responsabilité climatique", a-t-elle ajouté.
Les émissions des 10 % des personnes les plus riches en Chine et aux États-Unis, qui représentent à eux seuls près de la moitié de la pollution mondiale liée au carbone, ont chacune multiplié par… deux ou trois les extrêmes de chaleur, indique l'étude. » Si cela va mal c’est eux et ce de flagrante certitude. Un peu comme des porcs qui souillent tout l’environnement ! Aucune excuse ne vient atténuer ces comportements d’irresponsables !
https://youtu.be/RvqMBGmBfFc?si=UTgNoQpmBcRJ_2Yq
13 mn…Dans cette vidéo captivante, découvrez comment les champs électriques et magnétiques sont les véritables héros du transport d'énergie, et non les électrons comme on vous l'a toujours dit. Avec une question piquante sur l'allumage d'une ampoule, plongez dans l'univers fascinant de Maxwell et Poynting.
une autre façon de voir...
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Budget : " On a une image totalement déformée de la dépense publique "
" Nous dépensons trop ", a déclaré François Bayrou le 15 avril sur le budget 2026. Le gouvernement prévoit de nouvelles coupes budgétaires, de 40 milliards d'euros, pour l'année prochaine ...
https://basta.media/budget-on-a-une-image-totalement-deformee-de-la-depense-publique
Basta! : Le ministre de l’Économie, Eric Lombard, ne cesse de rabâcher un chiffre : 57% de notre produit intérieur brut (PIB) serait consacré à la dépense publique. En répétant ce montant, qu’il juge colossal, il sous-entend que l’État est déjà très généreux. Couper dans la dépense publique serait donc sans grandes conséquences sociales ( -faux, le Privé est aussi impacté). Mais la France est-elle réellement ce pays qui dépense de l’argent public à tout va ?
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Christophe Ramaux (Économiste, enseignant à l’Université Paris-1.)
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On a une image totalement déformée de la dépense publique. Quand on dit que la dépense publique c’est 57% du PIB, la plupart des gens imagine que l’on prélève plus de la moitié de la richesse créée par le privé, qui serait le seul secteur productif (sic), pour payer les fonctionnaires. Tout est faux dans cette phrase.
La dépense publique est un indicateur très imparfait. On mélange un peu tout dedans et on fait des doubles comptes. Par exemple, elle comprend les salaires versés aux fonctionnaires, dont les cotisations sociales… Mais ces mêmes cotisations sont à nouveau comptées dans les dépenses de retraite ! Le chiffre de 57% du PIB n’est pas faux, mais il ne correspond pas à une part du PIB. Ce n’est pas parce que la dépense publique est à 57% que la dépense privée est à 43%. Au contraire, si on calculait la dépense privée de la même manière que l’on calcule la dépense publique, elle serait de l’ordre de 200% du PIB.
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Même si le gouvernement refuse d’employer le mot. Sommes-nous face à une politique austéritaire ?
La part des services publics dans le PIB n’a pas augmenté depuis 40 ans. Donc il y a bien eu de l’austérité. Pourquoi je dis ça ? Parce que, normalement, plus une société est riche, plus elle consacre de l’argent pour ce qu’on appelle les « biens supérieurs » : l’éducation, la santé, la culture. Il ne vous a pas échappé que ce sont les terres d’excellence des services publics.
Or, il y a beaucoup plus de bacheliers aujourd’hui que dans les années 1980, on aurait donc dû consacrer plus d’argent à l’éducation. On ne l’a pas fait. De même, la population vieillit donc on aurait dû augmenter les dépenses de santé. Cela n’a pas été le cas. Donc il y a bien eu de l’austérité.
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A quoi servent précisément les 1670 milliards d’euros de dépense publique ?
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Contrairement aux idées reçues, sur les 1670 milliards, un quart seulement sert à payer les fonctionnaires. Environ une moitié (710 milliards) est consacrée aux « prestations sociales » et aux « transferts sociaux en nature de produits marchands » – la part remboursée des médicaments et des consultations médicales.
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Les prestations sociales (530 milliards, en 2023) financent essentiellement les retraites (380 milliards), mais aussi le chômage, le revenu de solidarité active (RSA), l’allocation adulte handicapé (AAH), les allocations familiales… Les transferts sociaux en nature de produits marchands comptent pour 180 milliards. Quant au quart restant, il constitué de divers postes : aide aux ménages et aux entreprises, intérêts de la dette (50 milliards), etc.
La dépense publique n’est pas un puits sans fond. Et il faut savoir que le secteur public est productif ! Le calcul du PIB le prend d’ailleurs en compte. Sur les 3000 milliards de PIB actuel, environ 20% est ajouté par les fonctionnaires, soit 470 milliards. L’argent n’est donc pas dilapidé, puisqu’un quart de la dépense publique (salaire des fonctionnaires) augmente le PIB !
De même, les trois autres quarts offrent des débouchés pour le privé. Les retraités, que font-ils de leur retraite ? Ils font les courses, ils consomment. De même pour les chômeurs. La commande publique ? Elle finance en grande partie le privé, notamment le secteur du BTP si on pense à la construction d’écoles, de routes… Ce ne sont pas les fonctionnaires qui manient la truelle ! Donc quand on réduit la dépense publique, cela a inévitablement un effet sur le privé.
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Si on préserve la dépense publique, comment réduire le déficit ?
Le déficit public est avant tout un problème de recettes. Depuis 2017, premier mandat d’Emmanuel Macron, la dépense publique en pourcentage du PIB n’a pas augmenté. Ce qui a baissé, ce sont les prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales). On n’a jamais eu de baisse aussi élevée de ces prélèvements en un temps aussi court. On pense bien sûr à la suppression de l’impôt sur la fortune, ISF, du prélèvement forfaitaire unique, à la baisse de l’impôt sur les sociétés ou encore à la suppression de la taxe d’habitation (20 milliards d’euros), essentiellement payée par les ménages les plus riches. En tout, on arrive sur une baisse de 60 à 70 milliards de recettes.
Au lieu de réduire la dépense publique, on pourrait évidemment aller chercher de nouvelles recettes. » Tout est là mais ces fous...refusent surtout de voir !!!