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I
<br /> CE NE SONT QUE DES MOTS<br /> Cette Société ne se poursuit que parce que les attentions sont massivement égarées. Bonne nouvelle, n'importe quoi peut ramener l'attention où il fallait. Yes (woo)man. Ainsi, le "ce ne sont que<br /> des mots" se profile comme de l'incohérence insurpassable. Dira-t-on ce ne sont que des arbres, ce ne sont que des ordinateurs, ce ne sont que des nuages etc. Pourquoi donc cet excès de<br /> ressentiment trop inconscient envers les mots? Pourquoi, parallèlement, ces exigences démentielles qui voudraient que les mots soient "tout autre chose"? Le pot aux roses se dépote que les mots<br /> "changent, magiquement, en se disant la réalité qu'ils décrivent", et ce malgré tout le monde et, surtout, sans commencer par le 1+1+1+1+1+1+1+1 (qui, pour eux-mêmes vivent, déjà,<br /> "imagiter"!)…sinon…que des..! Qui ne va pas bien, ces suicidaires sociaux ou bien les mots? Dites-nous un peu?<br /> Réponse. Un début, vous permettez. Dans "L'économie immatérielle" d'Olivier Bomsel, 2010, vous savez (ou ne voulez pas savoir) que "les mots, plus que les marchandises, sont les clés de la<br /> richesse". Donc, clairement, que le pouvoir politique se démasque en "qui a 1es mots a le pouvoir". Que le pouvoir économique est au bout de la guerre (dissymétrique?) des mots. En bref, ce sont<br /> les mots qui font le fric. Ouais mais faut pas que ça se sache. Ouais la censure c'est par le cens. Qui le pige ramasse le pactole. Mais, afin de ne pas partager, fait croire "bon que les<br /> mots…hein…" Qui relaie et renouvelle donc ce genre de rumeurs où la rue meurt?<br /> D'un coté, les marchés "ne se conquièrent qu'au prix de feux croissants de mots". Du même côté (et nul n'a jamais fait le total, soit le chiffre le plus astronomique de la planète, des mots<br /> déversés chaque jour – là, seul, "ils" dépensent sans compter, croyez-nous!), nous est bombardé, pilonné, criblé, répandu, chaque seconde (télés, radios, journaux, pubs, web etc), une avalanche de<br /> mots: afin de nous empêcher de parler entre nous, de réfléchir ensemble et de penser pour soi calmement. Tout cela bof du mécénat, du décoratif que ces guirlandes de lettres, c'est pour faire joli<br /> que toutes les dépenses centrées sur ces barrages de mots. Mais, bon, "ce ne sont que des mots". En tout cas leur "inexistence" crée vachement de douleurs et de c.a.!<br /> Puisque, si tristement, en face de qui a pigé les-mots-c'est-le-fric, vous obtenez des discours de découragements, d'immobilismes, de disqualifications et de stigmatisations (par – tentons une<br /> définition – les "conformismes de gauches et d'extrêmes gauches"). Par des mots, par un usage quotidien des mots, ils osent carrément le très incohérent "ce n'est pas par les mots qu'on va changer<br /> les choses". Ah bon! par quoi, le pollen? le silence? la trop bien vue "lutte" qui ne s'examine jamais elle-même? Bizarre non ce suicide collectif? Trop étrange. A coups de dénis du réel. Qui<br /> raisonne autrement ne tombe plus dans ces pièges et les mots lui plaisent sans vergogne. Mais ne reste-t-il pas un peu seul à avoir pigé que les mots c'est du fric en masse, que de tenter de<br /> désamorcer les procédés de leurs impacts "pervers" ça ressemble plutôt à du partage et que, donc, la lutte fait plus rage du côté du langage qu'ailleurs. Que, si ce n'est pas les mots qui<br /> "changent" les choses, aucun changement ne se fera sans eux. Que donc jeter de la poudre aux yeux sur leur puissance réelle c'est ne plus être du même camp que marqué sur l'étiquette. Et "relayer",<br /> soutenir, seconder, favoriser etc. par trop qui "profite" déjà à fond la caisse des mottes de mots.<br /> "L'écologie de l'esprit" (ce qui coûte le moins en nuisances pour la planète!) vous observe que tout comportement reste relié à une mentalité. Changer cette mentalité reste le "moins coûteux" de<br /> tout. Entre autres, les mots peuvent aider…<br /> Devant ces éléments jamais abordés dans aucun débat (et à qui cette absence profite?), nous préférons pratiquer la raison, le rationnel et la logique afin de répondre aux questions genres "comment<br /> vivre le mieux en faisant chier le moins possible tous les autres?". Quelques unes de nos réponses sont esquissées plus haut. Pour nous, pire que clair que si le combat "pour" les mots n'est pas<br /> suffisant il est abondamment nécessaire. Et franchement incontournable. Que ces "conformismes de gauches et d'extrêmes gauches" empêchent juste tout le monde d'être soi-même. Que si vous avez un<br /> quelconque talent ce n'est pas comme une insulte mais juste pour aider l'esprit collectif (qui en a bien besoin) en l'utilisant. Et que, donc, notre incrédulité court direct vers qui dévalorise par<br /> trop le langage et se profile ainsi plutôt contre son camp et plutôt pour le camp adverse. Et, qu'en conclusion, nous respectons tout ce qui est fait "en faveur" des mots. Pas vous?<br /> Puisque, n'avez-vous pas halluciné devant la presse régionale qui, pour la première fois, s'est plus qu'aplatie d'adoration devant les marchés (avec le but de transformer ses trop confiants<br /> lecteurs en adorateurs-bons-à-plumer!). Pire qu'irréel. Parce que si les "marchés" n'ont pas été créés entièrement par "des mots", expliquez-nous un peu!!! Mais oui, en dehors de ça ils n'existent<br /> pas "réellement"…rien de naturel…ben ça alors…tout de création artificielle…amputée, la main invisible ne connaît aucune douleur fantôme…à ce point…ça veut dire que…donc ils "n'existent" pas,<br /> pourtant nous les sentons collés sur notre dos…c'est que nous n'avons jamais perçu comment, exactement, ils fonctionnement "dans nos têtes"…ça veut dire que d'envisager leur abolition ne provoquera<br /> pas de tremblements de réalité, d'éruptions de réel ou de marées noires d'irréalisme…et, …un vrai débat qui s'amorce…en plus…sur le fond!<br /> <br /> (à suivre ce 12/05/2010)<br /> <br /> <br />
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<br /> Does everything must bring benefit to someone?<br /> <br /> "It must be profitable to someone". The entire universe existing only for that so small and tiny thing: the profit. The "culture of profit" cannot be a proper culture: it's the truest and deepest<br /> enemy of civilization. Impossible to trust anybody who speaks the regressive and irresponsible way of "profit". Even, if medias make believe there will be majority: many new documents prove the<br /> contrary (profit brings nausea to most of us!). The explanation lays in the fact profit belongs only to child's minds (money the sinews of war: every thing said in that beastie approach!!!). "It<br /> must be profitable to someone". Not a glance upon results, negative consequences or extensiveness of it. "Every profit comes of a fail of somebody else": that's the words of wisdom. You gain<br /> because somebody loose: what a clever proof. Symmetry can be found each time you make a true verification. Not metaphysical money exists, coming from nowhere or from the unknown space (as<br /> "creation" of money from nothing: money not created, it only is printed and flows!). Money comes from this world only (not a space photo of money or undersea shot of it: not an "universal" item! So<br /> local and postpone is money!). Money is funded upon a closed and restricted matter ; consequently, if you "win" somebody "loose". Your "profit" exists always to the prejudice of someone else. What<br /> a prowess to "ignore" profit is just a disease, a negative system, a bug to harmony. Therefore, none true adult can accept this beastie reign, the most stupid technique to share.<br /> The fact that only a vulgar, rude, improper, nasty, crude, bad or naughty person can wish to "profit" (these verb so connected with sponger and procurer, with parasite and scrounger, so with this<br /> leech side) represent a big "scoop". If you consider the whole existent, sure that "profit" sounds like dim-witted, stupid and dull arguments. None great thinker defend these mindless daft.<br /> "Culture of profit" is the most regressive and prehistorically method to reach the death of civilization: only monkeys can "believe" in that swindling for swine. Monkey's money when all money turns<br /> in a regressive cult. Accordingly, does every thing must bring benefit to somebody? It's the most barbarian and bestial mode to approach the subject. No globalization thought in that cretinism<br /> maniac compulsion. That benefit never fits: it misfits the vantage without add. Deficient beneficent. Maleficence substitutes beneficence: "badfit" (fit chew!) the new word (which do not fit at<br /> all) to describe this complete perversity … If you wish to make profit you sign you are out of reality, that you feel upside down and are very near of archaic. To be modern, "in", and a true winner<br /> is trying nobody really loose. Your budget at the balance is the wisest choice: included all reality in your way of living drives to the civilised. None other means can reach it!<br /> Only one example? In Turkey, for cold and hot water, you can observe an equipment, every where, on the roofs. It cost around 500 $ for 10 years of use. For rich or poor, the same equipment. Is this<br /> the top of a marvel, the grace of cleverness, a great collective understanding? In countries as thrown back and underdeveloped, as USA or some of Europe, they even cannot reach the answer. The<br /> answer stays inaccessible to their tiny-blinded-deaf minds. Silently, they had damaged quite all possibilities of thinking sane! All ways to commonsensical practices ruined! Therefore, you can only<br /> flounder in rotten dead end thoughts. Do you want to listen the most stupid phrase possible, for nowadays? "It must be profitable to someone"– as the center of "anti-civilization" of USA and some<br /> Europe! Tied on the unquestionable necessity that "nothing exists until it is profitable to someone". You experiment, from the start, the so babyish side of this manner of thinking. Immature,<br /> childlike and irresponsible "profit"? Culture of profit stuck only in arrears countries? Mad medias claim they are developed: we say no the cannot be! Profit which unsighted, definitely, to any<br /> progress and evolution? Subsequently, the leaders had killed the society. Make I become a dissociety. The end of society as "as-sociate" one? All nihilisms (supposed to stay in anarchist minds!)<br /> govern. Real anarchy feed the most in conservative minds. "It must be profitable to someone" forget, neglect and deny the biggest majority. Because, if it is profitable to the one, it is not<br /> profitable to the entire others. It closes everything except one small door: nobody can call that advancement. Ending of any correct innovation. Profit seems "against" the majority and reserved to<br /> the marginal? Exclusive: exclusion! The same mechanism, an identical structure of exclusion in profit? They sell majority for only one's interest. This dead end trap kills all-promising of future<br /> for USA.<br /> Reinvest in this context, all the old hierarchies collapsed. Turkey appears as a very modern country, on the edge of upcoming because this equipment for water does not be profitable only for the so<br /> small one (and against all the others!). But absolutely for any one. So the regard leaves this same old tune and does not try to wrap up the one. But flies to each and every one, happy of their<br /> happiness (so new experience for that countries vanished in their silly circles – it will stay inaccessible to their tiny-blinded-deaf minds!). The fall down of reason when you rave that if someone<br /> is rich all the country is rich, that profit can build a Society and that every thing must bring benefit to somebody. Any psychiatrist will say they are words of a very sick mind. So it's not<br /> because medias under cover it, that it can convert in sane words. Every adult consider that with a great distrust (as the germ of the downfall of society). At the contrary, Turkey with this<br /> organization which does not bring benefit to only one - being the enemy of every single one – has a very sane attitude. Good for planet (barbarian profit cause so many destructions: thus you see<br /> it's not a scientific "profit"!) for human bonds (profit is the dullard anarchist of society) for happiness of everybody (ending of jealousy, resentment, suspicion and irascible envy). Occident<br /> seems over killed only because no possibility left to think well (and, well, to think!), to think accurate and to think sane. That is for that all the manners and comportments, in consummation<br /> society, are diseases, infections and illnesses. Which cause only disasters. For the first time, can you have a circle look around you: you can establish every bit of that!<br /> In USA and some of Europe, no more wise hierarchies between facts: the trifling had take the place of necessity (when society live "in" society not , as now, "out" of society). The down fall is so<br /> big: where is reason when "every comportment as good as the other if you pay": betrayal of politics, of serious, of moral and of good. Not important if live disappears, if planet ruins, if<br /> civilization collapses if only one have "profit" (word of virus?). Can you look in the eyes of your neighbours and these words are not of the worst anarchist (ancient define) or a complete mad? If<br /> only one "profits" all the rest of Humanity do not exist. Solipsism! No more pilot in the plane…The biggest success (the most collective mind) overwhelm by the biggest failure (the selfish<br /> solipsist) - can continue only because there are not even one talk in your dullard countries. If only monologues reign what the second name of this?<br /> Every single one wise people, all adult reasonable choose the best as what is useful to the most numerous possible. Every thing must bring benefit to every single one. Clever minds are recognized<br /> when they succeed that no more anybody loose. Your success cannot be one if it based on the loose of all the others members of the community. So the universe yet, programs the end of "profit". One<br /> of the viruses that can kill Humanity... "Profit" an illness, a quick infection, a sickness bug, a very dangerous virus, from whom Society must protect: the words of wisdom coming back!!! The other<br /> names of profit: turnover and return (on the contrary no return but the turn of anybody else), income and revenue, from Latin, means to come back to you (on the contrary, no binding the destiny of<br /> "obligation" is directed on you), earnings and proceeds (you are not the earnest of morality and riches do not proceed from you), yields and takings. Retribution disconnected of what truly you<br /> tribute and contribute. Expend is not expert! Wage war same structure than wages- sheets.<br /> Subsequently, pay and peace share the same etymology, pacare, end of the 10th, meaning appease, pacify ; paier, acquit in sense of not be guilty anymore, and give back the justice's price to the<br /> entire all. Pay attention better than pay objects. So, salary possesses etymology's chain of "if you pay fairly it, you make reign justice. Calm and quiet. Each one his fair pay spread peace all<br /> around: that is the etymology's treasures. You acquit, you discharge your debt: you reconcile all. Af-fair, from Latin, means "af", in direction, who contribute to build, fair, at the same justice,<br /> basis of society, moral that make happy, wise shares: a true fairy tale. So af-fair a word of so big duty, what perverse mind had adulterated? Nowadays, you can only find that the af-unfairs are<br /> the af-unfairs. To acquit (grief) shares the same shape than acquittable (a debt): at the start, justice and money where enlaced. Psychotic capitalism had corrupt in the opposite contrary.<br /> Profit (without any culture as all barbarian part) had missed quite all reality (it can be a science because its angle of attention seem quite closed: instead of the 360 ° of reality it opens only<br /> in 10 °). So profit cannot be a solution but a big problem. The decay. Always "out" of big axes of human wisdom, none a civilization can accept this n<br /> <br /> <br />
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<br /> TRANSMETTRE<br /> <br /> <br /> <br /> Pourquoi se cabrer?<br /> Ce qu'il y a à "transmettre" reste le plus difficile puisque l'expérience de l'un ne peut être ingurgitée telle quelle. Elle doit se transformer en son propre fonctionnement corporel, pour<br /> l'autre.<br /> <br /> Qui a appris à transmettre propose donc des artefacts qui permettent, à l'autre, de revivre l'expérience, avec les garanties pour vérifier.<br /> <br /> <br /> L'expérience première peut se dire "nous" avons vécu, charnellement, la pratique du "mouvement". Un mouvement c'est lorsque la collectivité se cristallise dans une direction plus unifiée. Pas de<br /> vrais leaders que des "brillances". Ce que nous avons ressenti demeure essentiel (mais comme crypté) en ce sens que nous "savons" que le mouvement, une fois "parti", rend, généralement, tout le<br /> monde plus intelligent (le tout supérieur aux parties). Plus d'esprit critique, de facilité de compréhension et de brillance intérieure etc. Qu'en général, le subtil et la ruse habite ce mouvement<br /> qui, par ses "antennes", devine mieux que chacun de nous.<br /> Donc tout le contraire de la posture de l'ancien combattant : il n'y a pas à revivre une structure mentale forclose et des pratiques décontextualisées. Juste une transmission !<br /> <br /> <br /> En regard, trouver l'espace psychique (1) en soi, pour accueillir le nouveau, l'inconnu, selon le principe "on ne peut apprendre que ce que l'on ne connaît pas". Pas l'inverse !<br /> Le ressenti de tout "mouvement" très collectif constitue un savoir primordial – non relayé par les abstractions outrancières des extrêmes gauches. Ce savoir permet, seulement, l'articulation entre<br /> théories et pratiques. Or, actuellement, si, globalement, le contenu théorique est assez bon, toutes les pratiques se montrent piteuses et inadaptées. Est-ce parce que tant que vous n'êtes pas<br /> unitaire vous restez incomplet ?<br /> <br /> <br />
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I
<br /> Free the words - la bibliothèque du futur ?<br /> Lettre "Legalize intelligence"<br /> %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%<br /> <br /> <br /> Cette lettre aura une parution périodique de 3 à 5 fois en moyenne par an.<br /> Que vous y soyez inscrit(e) ou que vous désiriez le faire, vous la recevrez sur votre mail/courriel. Autrement, vous n'aurez qu'à télécharger gratuitement. Le gratuit n'est-il pas ce qui se situe<br /> hors des prix, qui semble donc, toujours, hors de prix. Trop de valeur? C'est ce que nous ressentons: ces livres ont beaucoup de valeur. Ce pourquoi nous avons choisi la diffusion gratuite. Voyez,<br /> convoyez et pourvoyez.<br /> <br /> Pas un blog (même si une liste de blogs y était attachée) mais un envoi rythmique entièrement original. Donc lettre très antipeople (soit pas un seul mot sur eux!). Il existe mille fois plus de<br /> nectars dans le monde intellectuel (scientifique et non scientifique) qu'ils n'en produiront jamais. Pour nous, un texte apporte beaucoup plus par lui-même que par qui l'a écrit. Le fétichisme<br /> accroché à l'auteur, qui permettrait de "comprendre", par mana convolé, le sens, ressemble bien à une obstinée aliénation.<br /> <br /> Farouchement multi-et pluri-disciplinaires, ce site englobe la plupart des savoirs: outre de nombreuses disciplines scientifiques, vous y trouvez du théâtre, des sketches, des romans, des<br /> mignardises érotiques, de la politique (au sens non médiatique), du droit, de la philosophie, des expériences plutôt hors du commun etc. et, même, de la vie quotidienne décrite sous un angle<br /> inédit. Si vous discerniez des manques, n'hésitez pas à le signaler par mail/courriel – à l'aide du "copier-coller" nous ajouterons les plus parlant aux lettres cycliques (en n'ajoutant l'adresse<br /> mail que sur demande!). Ce procédé simple de "copier-coller" parce que tout autre appelle à beaucoup de technicités. Et que…Oui oui le contenu ?<br /> <br /> Un thème unitaire, à chaque fois. Pour démarrer, "communiquer et transmettre". Qu'en pensez-vous? Chargez télé…<br /> <br /> ****************************************************************<br /> Des scoops toujours étonnants***** Aujourd'hui, ce que peut impliquer, expliquer, dupliquer le choix des mots. Choisissons ceux qui nous contraignent et restreignent le plus : dollar, par exemple.<br /> " (…)<br /> - When you're with me Doll I have more bills!<br /> - What?<br /> - Bills of little dolls that're used to be called dollars! Doll you are Dollar!<br /> - (…) il faut que je te parle de toute la société pour que tu comprennes à quel point tu as besoin de mon amour Doll. Doll est le nom générique de la monnaie mais sans Bill elle ne peut se<br /> monnayer. Doll a, objectivement, plus besoin de Bill que lui d'elle. Sans le billet le dollar ne peut quitter son essence! Sans dollar le billet peut, quand même, exister, sous une autre<br /> appellation. Bill est l'unique bill, billet unique de tant de dollars, et son individualité monétaire le rend libre, saisissable par n'importe qui. Mais sans Bill, Doll ne peut exister,<br /> concrètement, être palpée: c'est Bill qui lui donne la vie! (…)Tu vois que mon amour se voit décrit par l'entière société et son fonctionnement quotidien (…)<br /> C'est que Bill avait bien effleuré l'amour capitalistique qui, comme le nom le trace sérieusement, se cache dans ses capitales(…)ou bien un jeu pour adulte où le dollar serait a little doll, une<br /> petite poupée, un bébé en plastique? Ou, encore, la poupée pulpeuse, la doll si désirée? Ou, seulement, la simulation stérile du jeu: encore plus de femmes à jouer à la poupée, à la doll qui<br /> inventa donc le dollar? Qui(…) ". Vous retrouvez cet extrait-eau-à-la-bouche dans "Remue ménage"…<br /> <br /> Des raisonnements nouveaux******Les conformismes de gauches et d'extrêmes gauches s'avèrent nuisibles et très contre-productifs. Puisque jamais pointés ni listés. Ils forment un barrage compact et<br /> entêté face à tous les réels progressismes. Il ne peut rien être argumenté de sérieux "en 40 secondes", juste livré la sèche conclusion, informe, des arguments. Le formatage audio-visuel,<br /> complètement irréaliste, a trop cramé les cerveaux occupés à l'écrit. Nous ne sommes pas obligés d'imiter ces échecs qui se font passer pour des success! Cette lettre se montrera fermement<br /> anticonformiste à l'égard de ces gauches ennemies d'elles-mêmes (et de nous). Et autres…En citant un auteur connu afin de le désocler du trop habituel usage, devenu inaudible, qui en est fait –<br /> n'est-ce pas lui rendre tout son mordant? Pour les conformistes "ce n'est pas bien!": nous nous passerons d'eux. Prototype. "Julia Kristeva, dans son travail de psychanalyse a relevé ceci. "La<br /> destruction de l'espace psychique est un des dangers à venir, qui met en jeu des questions d'éducation, de culture et de politique. Une des conséquences est la difficulté à lire, à écrire, deux<br /> aptitudes très dépendantes de l'espace psychique (…) Je vous surprendrais peut-être, mais j'ai sur le divan des personnes qui travaillent dans les médias, maison d'édition, chaînes de télévision,<br /> et qui me disent qu'elles ne peuvent plus lire ; elles commencent, deux minutes, une page, et elles ne savent pas ce qu'elles ont lu, parce que l'espace psychique ne s'y recueillent plus, il n'est<br /> pas assez serein et solide pour assimiler tout cela et le restituer" ( p. 209, Le livre des savoirs, conversations avec …de Constantin Von Barloewen). Ces personnes qui peuvent être très arrogantes<br /> se dévoilent en pleine régression vers le plein handicap, ou, du moins, l'amoindrissement de leurs facultés intellectuelles. Le hiatus est qu'elles travaillent dans la culture, l'information, la<br /> diffusion et la communication où elles osent censurer des millionnaires de "l'espace psychique". Ils s'autorisent à priver la collectivité de ces esprits "en technicités de pointe" , celles qui ne<br /> coûtent rien à la planète. Et de poursuivre : "(…) cela signifie également qu'il n'y a pas d'"autre", il n'y a pas de lien, lien d'amour et lien social, pour assurer cet espace psychique. Toujours<br /> est-il que (…) notre civilisation est en train de se fissurer en raison de cette mise en difficulté, voire de cette destruction de l'espace psychique!". Ces personnes chargées de "communication"<br /> aussi infirmes de correspondances, châtrées de tout amour et sociabilité, par solipsisme et hypertrophie des égoïsmes, est-ce que cela ne fait pas très désordre? Tandis que les derniers porteurs de<br /> "l'espace psychique", ces fortunés de la vie intérieure, se montrent toujours pourchassé-e-s par la médiocrité médiatique" !!! Extrait de "L'intelligence indestructible du capitalisme?".<br /> <br /> <br />
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