ABANDON.
Abandon - Les terres des serfs qui n’étaient plus exploitées revenaient au seigneur, « mises à bandon » brandit le brandon du mot clair « pouvoir », en vieux français, d’où bandit brandit, par exemple. Abandonner c’est donc laisser tout au pouvoir, comme laisser ses enfants à leur triste sort. Le ban en fut la juridiction et sa méconnue diction. Comment réparer, c’est à dire doublement parer ? Offrir de ban à ban don de ce ban tout neuf ? Et de délaisser, de quitter, d’abandonner alors l’ancienne couche des mots afin de donner une nouvelle couche nuptiale à ces mots de tous. Que vous abandonnassiez ou que vous donnassiez voilà qui implique, explique sans doute que vous nassiez de la diction du dictionnaire.
Toute la gestuelle des mots comme simulation des actions. Et de se livrer avec confiance aux conseils de toutes conversations versées à l’abondance de cet abandon du don. Laisser à bandon, faute de diction du dictionnaire, stationnait, séculairement, dans à la merci du pouvoir. Désormais que les mots sont dits avec tout le corps, nous réparons ; nous repérons. D’abord, un nouvel hymen avec le lit des mots : publier ses bans c’est publier et un triple ban. Ensuite, abandonner, sonne bien, quelque part, l’honnêteté de l’oreille l’admet, comme un armistice. Comme une abdication. Comme une renonciation. Laisser tomber ou planter parle l’inconscient afin que quelque chose, en germe, éclose, pousse et fleurisse.
Planter c’est aussi ficher un pieu, un mât, afin de prouver que l’on s’en fiche, que l’on s’en tape, que l’on plaque le placard. Le plus mauvais rapport avec l’esprit, avec l’intelligence, n’est pas obligatoirement, celui du peuple, mais bien celui du dominant lorsqu’il « ignore » grande partie du réel, s’en détourne, l’oublie, le délaisse, le néglige, le laisse tomber, l’abandonne.
Et A se trouve esseulé, délaissé, oublié. Ce ne sont QUE des mots. Afin qu’il cède - abjure et apostasie - qu’il se démette - lègue et se désiste - qu’il flanche - laisse tout en plan et se laisse aller - Nous n’abandonnerons plus jamais la langue. La seule qui resta si vigilante lorsque les dominants abaissent, abandonnent et abattent. Cependant, afin de tenter d'être complets, il nous faut affronter cette douloureuse secousse, cette amère perte qui rend plus seul, ce délaissement qui nous fait chuter dans la poussière et l'irrespirable, cette désolidarisation qui fait courir le froid glacial jusqu'au fond des os…etc.
Oui, vous avez été abandonnés. Et il nous faut vivre cette derelictio qui ne nous laisse d'autres issues que d'abandonner ce qui nous abandonne. Comme un abandon du don. Quoiqu'il en soit, nos corps postés en toutes les postures, ont découvert par la diction du dictionnaire, que laisser à l’abandon : c'est toujours rester à la merci du pouvoir de…
Comme s’il s’agissait véritablement de ban nous voici
depuis longtemps aux bans de la nation !
…vous pouvez, ici, vous rapprochez du "cerveau sensualisé" (chaque pensée y devient sensation)… le plus proche de ce somptueux son solaire…Comme vous le feront bien ressentir quelques unes de nos plus récentes techniques, sur ce blog : "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire l'univers ?", "Parfum parfait", "S'empreint d'embruns", "La vaporisation du moi", "La bibliothérapie ? Les livres guérissent !!!", Quelles formations ont suivi les transformations ?","Vous est-il arrivé de regarder votre estomac ?", "Les points d'appui ?", "Rideau d'eau", "Détectivé ?", "Quand naissons -nous ?", "Mimétisme comme unique raison", "se perfectionner à la perfection…", "L'infini partout autour de soi", "Les échanges affectifs d'infos", encore "dans danse", "La gratitude est le paradis lui-même", "… intelligentil", "Tant d'instants » , "Elle excelle", "Les profondeurs de l'usage du cerveau ?", "Empreintes", "Un regard pour autrui", "Rendons le futur plus fort", "Reposer le repos d'une question", "Qu'est- ce qui vous amène à vous amener ?", "Toute la spiritualité ne serait que spirales ?", "Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu'imaginé","Tribus", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", "La réalité est complète", "Tri et trois ?", « Butiner le but », « La queste des questions », "Objectivité de la poésie", "Esprit libéré et esprit encombré ?", "spirer et conspirer", "Essaie de dormir !", " Trio vainqueur – sentir, sentiment, senti- mental !!!", "La Forme à (absolument) tout faire ?", , "Comment garder des sensations de qualité ? (1) (2)", « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle" ? etc. – oui encore etc. En bref, quasiment tout vous serait caché ? Sans doute ! vous pouvez le vérifier sur le blog "Lorsque ne plus savoir admirer tourne à la maladie" (1) un blog a obtenu un titre à part " A votre égard tout sera égards". Grâce à qui ? Toute l’histoire du rire en 5 textes. Aussi, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011…Encore, voir le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être un véritable magicien à notre service, etc…
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu