Absurdes "charges patronales"…
Sur les fiches de paie, du privé et du public, même celles des conseils régionaux et généraux, même celles des services d'état – vous ne trouvez que les complètement illégaux "charges patronales" et " cotisations salariales ". La justesse mathématique voudrait que ce soit "cotisations patronales" (ils font tout pour se défiler – faut leur rappeler les obligations collectives) et "charges salariales". En effet, le fardeau réel pèse plus sur les salariés, ils "créent les richesses". A chaque fois qu'une ouverture émancipatrice s'entrouvre – les soi-disant élites font tout pour la planquer. Bouclier fiscal = le moyen arithmétique de prouver, juridiquement, que le fardeau des pressurisations excède largement les 50 % de prélèvements. Seul Thomas Piketty l'a fait parmi les gangsters, déguisés en économistes. Prenez les retenues salaires, ajoutez-y les impôts locaux, plus sur le revenu (qui nous inflige un second paiement de la Csg, par exemple).Et, surtout, rajoutez, l'avalanche "d'impôts indirects" (ceux qui pèsent sur les pauvres), à chaque fois que vous faites un achat. Total: selon les compositions familiales ou les époques, ça peut friser les 70 % et plus. La moyenne de 60 % semble modérée. Voyez toutes ces personnes à qui "il ne reste rien à la fin du mois", et même bien avant: n'est-ce pas signe de "trop" de prélèvements. Déjà, que nous savons que les bourses "ne créent pas de richesses" mais vivent sur "l'argent des autres". Même chose des banques et organismes financiers. La métaphysique bourgeoise choie lamentablement devant les inégalités inexcusables qu'elle sème partout.
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos" et "Remue- ménage", onglet 2 "Présent !", onglet 4 "Nul n'est nul" ou, encore, "Je ne parle plus à qui a raison".