Argent gratuit pour les capitalistes?
Trouver des témoignages directs d'individus en plein dans le sujet abordé, à l'époque actuelle, vaudrait plus que des réflexions…ainsi, l'hypocrisie croit qu'elle a toutes armes : qu'en sait-elle, elle ne connaît pas le secret des cœurs ! La réalité parvient à percer nombre de montages bidons et ils se demandent encore "pourquoi" …"ce nouveau régime : Argent gratuit pour les capitalistes, marché concurrentiel pour les autres – plus la réécriture plus ou moins instantanée de l'histoire financière a contrarié tout le monde, en fait (p. 318 - Michaël Lewis – Le casse du siècle, The big short, septembre 2010) ".
Pourquoi aborder sous cet angle? "C'était une autre conséquence de la transformation des partenariats de Wall Street en sociétés cotées en Bourse : les banques devenaient des objets de spéculation" (p. 318 – ibid)"…oui ou non ne sommes-nous pas en plein dedans (Voir, si vous voulez en être sûrs, notre blog "Economie ou braderie ?") ? Et les imposteurs de la parole collective vont encore oser "nul n'a rien vu venir"…de tels irresponsables de la ruine collective, ces inexcusables esprits enfantins ne sont "utilisés" que pour foutre de la confusion dans les informations (quel déshonneur de se laisser, ainsi, tant manipuler !). Tournez- leurs une fois pour route le dos…Désormais, ce n'est plus la pertinence sociale et économique d'une banque qui fait sa valeur mais…"le nombre de paris parallèles qui sont faits sur elle" (p. 319 – ibid)". Laisser des cerveaux aussi détraqués jouer, impudemment, avec tout - en prétendant qu'ils dirigeraient le monde – ce n'est plus supportable. "L'argent- dette" a très bien établi que "les dépôts sont, en fait, des prêts que les particuliers font aux banques" que celles- ci doivent, radicalement, changer d'attitudes à leurs égards…Il y a encore 300 ans, n'est- ce pas, les dépôts étaient REMUNERES. Mais comme on n'arrête pas la régression : les mauvaises idées capitalistes ont chassé tout bon sens. Il revient en force…De ces arguments, il en ressort, clairement, que les banques appartiennent plus aux déposants qu'à quiconque. Et surtout pas aux joueurs déglingués*** de la Bourse, dont la liste des délits nécessiterait déjà 10 planètes !!!
*** début 2009 "le FMI estimait la perte des actifs adossés à des subprimes émis aux USA à1000 milliards de dollars. 1000 milliards de dollars de pertes avaient été créées à partir de rien par la finance ennemie et injectées comme un poison superflu dans la société (p. 276 – ibid)".
Tous ceux qui ont vu venir, voit encore venir seraient supplanté par les régressifs ahuris et irréalistes des médias ? Pas question ! Michaël Lewis avait décrit, dès 2010, tout l'été 2011…nous avions décrit, dès 1999, la fin catastrophique prévisible de la finance par la dette…Il n'est pas possible de laisser une "fausse" ruine tuer l'Humanité…nous cherchons de vrais adultes pas les enfants définitifs des classes moyennes, pas qui ne sait absolument pas de quoi il parle souiller les débats…allons- nous supporter une seconde encore une société entièrement organisée pour que l'argent soit entièrement gratuit pour les capitalistes ? Les signes psychiatriques alarmants qui prouvent qu'ils croient que TOUT leur appartient, que les humains ne sont que des jouets sans importance, qu'ils ont même crée la Terre puisque la Nature n'est qu'un décor "artificiel" dont nous pourrions nous passer, etc…- sont là. Ces dangereux détraqués doivent, être remis leur place. Tout de suite !!! N'importe qui ne peut être pire qu'eux…"les gens qui les dirigent [les traders] ne comprennent pas leur propre business, et les régulateurs le comprennent manifestement encore moins (p. 298 pourquoi ne pas les mettre quelques années en formation accélérée. Comme cela les circuits de décisions seront repris par des individus sains ET chevronnés…
"Les profits que peuvent rapporter des paris complexes sont devenus bien plus grands que ceux qu'on peut gagner en servant le client ou en répartissant le capital dans un but productif. Les clients sont devenus, bizarrement, le dernier de leurs soucis (p. 313 – ibid)"…et ça s'est vu jusqu'à l'écœurement final !!! plus GRAVES FAUTES PROFESSIONNELLES en trouvez- vous ? Plus gigantesques trahisons de leur mission ? Oui mais c'est que 5 traders ne venaient-ils pas de générer plus que les profits de l'année passée de la banque. "C'est-à-dire que les quelques 10 000 autres employés, pris collectivement, semblaient perdre de l'argent" (p. 313 – ibid)". Or l'horreur des années 2007 à 2009 c'est bien que "tous, sans exception, avaient soit mené leur compagnie à la faillite, soit été sauvés de la faillite par le contribuable. [Qui reste, bizarrement, le dernier de leurs soucis]. Pourtant, tous étaient, tout de même DEVENUS TRES RICHES…pourquoi prendre des décisions intelligentes quand on peut plus s'enrichir en prenant des décisions idiotes ? (p. 311 – ibid)". Plus ils ruinent l'économie réelle plus les gouvernements les enrichissent (sans motif VALABLE) au clair détriment des 99,99 % "restant" de la population ? Jamais il ne leur sera demandé le moindre compte le plus infime changement, strictement aucune "démission" dans les directions…
"Les personnes en position de résoudre la crise financière*** (celle de 2011, 2012, etc aussi bien ) étaient, bien entendu, celle qui avaient échoué à la prévoir (p. 315 – ibid)". Cette impression forte de flotter dans la folie intégrale, dans la course aux plus d'incompétences (le Président du Sénat n'avoua –t-il pas ce ridicule "personne ne sait que faire" (p. 298 – ibid), dans la frivolité débile au pouvoir ne peut plus nous quitter et ce sont encore eux "qui finissent par opérer à l'abri des regards pour décider des mesures à prendre après la crise" (p. 315 – ibid)". Alors "qu'ils s'étaient avérés bien moins aptes à comprendre les vérités élémentaires de la finance que le dernier gestionnaire d'un fonds quelconque (p.315 – ibid)". Absolument pas un gramme DE SERIEUX ne reste au pouvoir ? "Les motivations de la finance étaient toutes mauvaises ; et elles le sont toujours. (p. 311 – ibid)". Un œil de vérifications ? "Comment les banques d'investissement de Wall Street avaient poussé les agences de notations à bénir des piles de prêts pourris [où serait donc l'indépendance des agences de notation ? et si elles "appartiennent" à Wall Street pourquoi supporter leurs ingérences trop incompétentes dans les affaires européennes ?] et comment ça leur avait permis de prêter, sans garanties des deux côtés, des milliers de milliards de dollars à des classes moyennes infantilisées" (p. 297 – ibid)".
***ajouter cette étrangeté sur Alan Greenspan "je suis convaincu qu'il savait ce qui se passait avec les subprimes, et qu'il a laissé faire, parce que ce n'était pas son problème que le client se fasse entuber (p. 280 – ibid)"…n'est- ce pas ce que l'on appelle erreur disqualifiante de diagnostic, incapacité à saisir le sen s de l'importance des événements ou inaptitude à diriger autrui ?
"Pas une fois au cours de toutes ces années je n'ai rencontré une seule personne dans une grande banque de Wall Street qui était consciente des dégâts qu'ils causaient. Ils ont construit un terrifiant château de cartes juste pour arnaquer les gens". Donc "si le système financier ressemble à une pyramide de Ponzi circulaire, c'est parce que c'en est une" (p. 284 – ibid)". Tout porte à croire que, sans intervention de notre part, l'infantilisme du jeu et l'effondrement mental que cela prouve restera aux commandes délaissées du monde. Le dégoût pour les médias qui empêchent la majorité de comprendre ce fond essentiel des choses devient torrentueux…la lie de l'Humanité l'empêche de réagir utilement !!!
Rien ne sera demandé à ces fauteurs immenses de tous les troubles (qui, à l'évidence, foutent 1 000 fois plus de chaos que les supposés terroristes !) sinon, par exemple, ces 700 milliards [issus des impôts] distribués frivolement par un Henry Paulson, agissant au complet caprice, payant sans justificatifs les dettes de l'AIG (voir pages 315 à 317), rachetant (pas vraiment rationnellement ) les obligations frauduleuses sans "poursuivre" leurs émetteurs…Alors combien "coûte" l'argent gratuit pour les capitalistes ? oui le scandaleux "cadeau" aux émeutiers de la Bourse…eh bien, ce n'est jamais que "les budgets cumulés des ministères de l'Agriculture, de l'Education, de l'Energie, de la Sécurité intérieure, du Logement et de Transports (p. 316 – ibid)". Bref, des impôts bien mieux employés qu'à fournir en came de folies les détraqués de la finance !!! Pourtant, de la ramener les drogués durs au conformisme "faut réduire les budgets sociaux improductifs [qu'en savent-ils]…c'étaient déjà fait avant que leur addiction ait même pu le dire !!!
Alors lueurs d'espoirs ? "Nous assistons à la plus grande diminution de l'effet de levier des actifs financiers, et elle va se poursuivre encore et encore" (p. 282 – ibid)".
Pas trop tôt lorsque l'on sait que cet effet de levier n'est qu'un leurre. N'est- ce paqs G.K.Galbraith ? Ca fait, bêtement, rouler le rocher et le "cynique hyper naïf" de gagatiser que le rocher roule "quasiment sans effort"… oui mais, plus bas, il écrase un million d'humains…
Et oui ce n'était que "ça" la finance…des esprits détraqués !!! trop faciles à remettre à leur minable place.
Ce texte complète t explique le blog du 23 septembre 2011 « La société, institutionnellement, organisée pour voler les pauvres ? »
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu