Avez- vous confiance dans la prospérité économique ?
De laquelle parlez-vous ? Uniquement de celle des trop riches ? Seulement 1 226 milliardaires pour 7 milliards d'habitants : impossible de parler d'une prospérité générale ! Puisque, par rapport au nombre global de la population, c'est toujours en franche diminution dans les pourcentages. Oui dans le total net (pas le total brut, où isolé de tout contexte, on vous affichera des chiffres bruts en augmentation : + 16) où, ramené à un taux comparatif, ce + 16 devient une diminution cinglante du taux. Donc un net appauvrissement collectif. Où donc situez-vous, dans ce cadre, votre prétendue prospérité économique ? Avez- vous confiance dans la prospérité économique ? Oui, si elle se décidait à se partager avec moi !!! Sinon, à part les hallucinés trop riches, « leur » prospérité à part n’est pas une prospérité, étymologiquement vouée à « pour tous »…
Faire croire que parce que vous avez un seul millionnaire dans le panel, la richesse collective augmente a été si souvent démasqué ( les leurres statistiques!) – que ce nouvel essai de noyer les mensonges prémédités ne ridiculise, désormais, plus que qui le tente. La faute incombe à ceux qui forgent les mensonges non à ceux qui y croient. Et pas comme les monologues antidémocratiques sur les élections voudraient nous l'infliger des rictus où "les promesses n'engagent que qui les écoutent". Paroles visqueuses de vrais gangsters. Que l'on pourrait piéger dans leur vraie vie, les bardant de promesses dans chaque détail quotidien. Sans jamais les tenir. Jusqu'à qu'ils sortent, désespérés, que "si on promet (comme tel artisan, commerçant, service, profession libérale , banquier, etc.) l'on tient"…Imaginez une société où jamais personne ne tiendrait jamais parole : elle durerait plus ou moins de 3 jours ?
La faute incombe donc bien à ceux qui forgent les mensonges non à ceux qui y croient. Revue et corrigée la question "Avez- vous confiance dans la prospérité économique ?" obtient une réponse de soulagement…
Entièrement, lorsque la prospérité économique est partagée par absolument tout le monde…ce qui nous fait revenir sur les mensonges généralisés qui prolongèrent le capitalisme…Avez- vous confiance dans la prospérité économique ? Comment osiez vous appeler prospérité économique ce qui n'enrichissait que les trop riches et appauvrissait tout le reste de la population ? Puisque vous inversez vous-mêmes la direction de la confiance sociale : en 2012, les individus sont très vigilants sur leur réel pouvoir d'achat, sur le chômage, sur les perspectives d'avenir, tout en se méfiant énormément des trop riches et des soi- disant "élites" qui les soutiennent. De quoi être très mûrs pour un revenu d'existence à 2000 € mensuel pour tout le monde sur Terre. Par exemple.
Vos poudres aux yeux se voient, ainsi, piégées comme ce qui ferme l'horizon des possibles, ce qui rend tout si étroit et inhabitable. Comment voulez-vous qu'une société s'épanouisse (versant corporel la prospérité économique ?) si tous les buts ne peuvent cohabiter. N'avoir pour UNIQUE but social que d'être trop riche et sans autre choix possible – non ce n'est pas un but pour toute une civilisation entière…
…juste pour une piteuse bande de malfaiteurs, non ?
à rapprocher, aussi, nettement, du fait que "Tous les chiffres sont bien contre le capitalisme" (blog du 23 février 2012)…les expertises du réel, dont font état ce texte, surgissent-elles d'avoir consulté, aussi, les blogs "une société, institutionnellement, organisée pour voler les pauvres" du 23 septembre 2011, "Tout l'argent gratuit pour les seuls capitalistes" du 25 septembre 2011 ou "Les banques doivent faire leur travail" du 25 septembre 2011… en écho le 21 janvier 2012 d’André Orléan « Que les banques fassent leur métier », Le Monde, p. 6 « culture & idées »…,"L'angle mort de la finance", " Chiffres de l'occupation de l'armée étrangère de la finance" (blog du 17 février 2012), "Les crises sont causées par les excès d'inégalités ?", "Principe de précaution massif envers la finance ?", "Désindustrialisation : à qui la faute ?", "Plus ça va plus c'est vulgaire d'être trop riche","Gains collectifs partout", "La spéculation désocialisée", "Les émeutiers ce sont les trop riches ?", "Peut-on vraiment se dire "objectif" lorsque intéressé et profiteur ?","Le coût d’une non intervention publique ?", "Hontes du néolibéralisme", "Banques, plus rien ne va !!!", "Plus tu prends aux autres plus tu les enrichis !!!", "Les élus ne sont pas les propriétaires de ce qu'ils gèrent", "Plus con qu'un banquier ?", "L'infantilisme du "circuit intégré de la finance internationale"""Ce que représente l'argent des banques ?", "Collectif/ individuel", "Privatecity" – Publicity", "L'autorégulation étatique est prouvée …", "Donner l'apparence de la solidarité à un simple courant d'air (1 et 2)", "Du suffrage universel "libre et non faussé"", "au mieux des intérêts de tout le monde", "Qui on valorise ?", " La finance - une fraude systémique ?", "Comment le capitalisme se met à dos tous les génies ?", "Si la nouvelle génération de penseurs ne vient pas vite", "Le bon détour ne ment…" ou "POURQUOI LES MARCHES CA NE MARCHE PLUS ?"
Gains collectifs à la place des gains individuels, Fête sociale permanente, Service public du crédit, retour massif des services publics autogérés, et tant d'autres filons du futur etc – toute une nouvelle civilisation est bien, complètement, en place !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme".Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu