Banques et marchés – un circuit fermé sans nous
Il faut calmer les marchés qui sont, majoritairement, les banques – cette phrase trop anormale ne soulève que des excentricités…sans démonstration, elle coule vers il "faut" "aider" les banques…qui n'arriveront jamais à se calmer puisque ce n'est qu'un rôle…truqué…Parce que, objectivement, les banques n'ont besoin d'aucune aide…vu que leurs bénéfices 2011 égalent, voir pour certaines, surpassent ceux de 2010…
Le si peu sérieux du "faut calmer les marchés" sert de (non) raisonnement unique à tout faire…comme si on allait, encore, gober de telles insanités…vite, vite, calmer les marchés ? il existe des établissements spécialisés pour cela !!! tout responsable véridique ne peut que veiller à aller à la racine des problèmes…et si donc les marchés = plus on les calme moins ils sont calmes – sûr que ce n'est pas la bonne méthode. Par contre, les placer, avec soins intensifs, sous curatelle – n'est-ce pas placer la société hors des préjudices de tous leurs dérèglements (qui ressemble comme deux sœurs à "dérégulation", n'est- ce pas ?) ?
Les banques centrales aident les banques qui "sont" les marchés et donc …les marchés (majoritairement des banques) ne se calment jamais, vu qu'avec ce système d'alarmant simplisme, les banques centrales vont décréter qu'il 'faut" aider les banques qui "sont" les marchés et donc… circuit fermé … circuit fermé sans nous, sommet des irrationalités…rien de sérieux n'est à la base de la plus sérieuse des catastrophes sociales…hurlements d'anomalies : on enlève banques de ce circuit du chaos, il arrive quoi ? Plus précisément, zoom exact, on enlève jonction banques- Bourse, tient tout "se calme"…instantanément…c'est la jonction de trop, le signal du court-circuit, bien trop court, circuit, le clignotement du mauvais fonctionnement sociétal…etc…auriez-vous une autre explication que vous refuseriez de faire apparaître ?
Le fait que, dans tous les débats, il soit REJETE, irrationnellement, puérilement, immodérément, avec une gêne palpable, de parler de la nature exacte et de la réalité de la Bourse…aussi, des motivations détaillées qui poussent, dans l'anormale urgence toujours (on ne peut être aussi souvent "dans l'urgence"), à la nécessité trépidante de séquestrer et dévaliser l'argent des contribuables (ce qui mérite un constat juridique sensé et raisonnable, tout de même) pour :
1 --- Aider des banques qui n'en ont nul besoin (les Etats, oui !) – du moins, tant qu'elles n'ont pas tenté les autres solutions telles puiser dans leur trop de bénéfices ou dans les bonus areuh areuh (encore un mot pour enfants attardés !) trop abusifs, avant tout…
2 --- Pour "calmer" des marchés dont l'hystérie, les crises nerveuses, les compulsions maniaques, l'absence de tout auto-contrôle – incite tout médecin attentif a prôner, plutôt, qu"ils soient dessaisis de tout acte important qui implique les autres. A les isoler, à la seconde, et les soigner, énergiquement, sur le fond de ce qui implique leurs conduites à risques, leurs fébrilités et crises incessantes. A un moment, faut soigner le terrain des germes viraux…oui oui, les erreurs énormes de réactions face à ce "il faut calmer les marchés" souligne à quel point, par effets dominos, il faut aussi, démissionner les pouvoirs qui incitent et excitent, irresponsablement, frivolement et imprudemment ces marchés désaxés et détraqués à continuer leur œuvre de destructions massives…
L'avidité tue l'avidité…trop d'abus conduit à l'expulsion et au rejet de la greffe étrangère ?
La réponse est déjà toute chargée dans les glissades anormales hors des débats des droites ? Dès qu'il s'agit des marchés (donc des banques!) c'est le regard perdu dans le vague, la fuite gestuelle comme si on préférerait être ailleurs, la surdité sélective qui va vaticiner " l'Europe est une chance " lorsqu'il est demandé "pourquoi elles ne sévissent jamais concrètement contre les marchés ? Pourquoi jamais de limites posées ?", etc…ce plus hors de propos puisque l'Europe est une chance, depuis 1960, et que ce sont les…marchés, jamais calmés, qui risquent de la détruire. Et personne d'autre…les droites, qui s'enfoncent dans les trop de dénis du réel, répondent donc, désormais, toujours à côté de la plaque…leur cohérence au réel a disparue…que s'il "faut calmer sans cesse les marchés" (donc les banques!) vaut mieux leur ôter, en premier, tout pouvoir de décision sur quoi que ce soit…entre autre, principe de précaution, etc d'etc…
Le réel a ses "experts du réel", que vous ne voulez toujours pas (re)connaître…ils s'attachent à démonter, devant vous, les mécanismes des évènements, à les faire fonctionner afin que nous percevions l'essentiel, l'accessoire, le phénomène déclencheur, oui le montage, segment par segment, qui permet que le tout marche, etc…Dans ce cadre du tout réel, il est des informations qui prévalent…et d'autres moins…le fait massif que les médias mercenaires (vendus au plus offrant – et sans garantie de probité d'information !) se trompent, trop systématiquement, sur la valeur des informations…nous présentant des culs de sac comme des sources, des surgeons comme des bourgeons prometteurs, etc… leur fait perdre tout intérêt informatif …plus qu'un hublot sur l'état de dérèglement des raisonnements (déréguler la pensée c'est comme du suicide en fait ?) …
Ainsi, l'info qui se fait racine des évènements actuels c'est que l'on est toujours, plus ou moins, aliéné par son milieu. Et que ce sont les classes dominantes qui, en 2011, sont les plus aliénées par leur milieu…à 60 %…circuits fermés à fortes entropies qui ne "peuvent" plus produire du nouveau, du cohérent nouveau…aucun feed back donc toujours plus de déconnections du réel…une nette tendance à l'addictivité et à la fuite…avec des signes alarmants tels les milieux financiers sont, parmi tous les milieux, celui qui n'a aucune curiosité pour les autres savoirs. Ni pour leurs méthodes d'approches du réel…pas de liens internet du tout (ils ne se connectent sur aucunes vérifications, par exemple), lors de leurs recherches, dans les bibliographies que de l'auto-citation, jamais l'indication d'autres auteurs champions de leur domaine etc…rien : le désert intellectuel…les financiers savent tout par essence…moins ils pensent plus ils savent…ils n'ont rien à apprendre de quiconque…leur non travail intellectuel les rétrécit, alors, à des mécanismes, des tropismes dangereux et des habitudes vénéneuses…en 2011, ils ont refait la copie conforme de 2007 (parce qu'ils ne savent rien faire d'autres – monde d'automates) !!! Pires intoxiqués ?
Tout le monde a, peu ou prou, tiré des leçons de la Grande Récession de 2007-2009, de la crise des dettes, et de la ruine des pays PAR les banques (aveuglées par leur seul profit – ce concept, définitivement, localisé comme n'étant utilisé que par des esprits puérils et irresponsables – oui les banques scient la banche et l'arbre auquel la branche est attachée tout en restant assises dessus!!!)… Tout le monde a tiré des leçons – sauf les financiers qui sont, pourtant, les causes massives des crises. Que fait la police qui devrait tellement plus s'occuper de venir les "arrêter" ?
Et, l'ex patron de Jérôme Kerviel, qui vient nous annoncer, péremptoirement, l'apocalypse …signe que ce milieu est extrémiste dans son fonctionnement et sa mentalité…nous avions la propagande de personnages pondérés, rassis, prudents, réfléchis, mesurés, modérés, avisés, raisonnables, précautionneux, économes, circonspects, posés, réfléchis …oui si caaaaaalllmmmeees (donc nul besoin de calmer des gens calmes) !!! Et nous avons des excités, oui oui des agités, des énervés, de complets exacerbés, des allumés, ayant perdu tout sens des mesures, atteints de cette "prodigalité" qui fait placer sous tutelle psychiatrique et/ ou juridique…irréfléchis, déséquilibrés dans les extrêmes, imprudents, désordonnés, effrénés, frivoles, capricieux, hasardeux, risqués, aventureux, oui oui n'ayant strictement aucun sens des affaires (faut le faire) comme aucun auto-contrôle…bref, des quasi brutes ne connaissant rien des règles de la civilisation…
De tout l'univers, du moindre recoin de la Terre, ni chez les animaux ou végétaux…nulle trace d'argent ce non "moyen universel" – juste un arbitraire du signe puisque vous devez y "croire" sinon ce n'est qu'une vague image sans valeur…juste une méthode très "locale", seule l'espèce humaine en use…un monde ALIENE et fermé sur lui même…oui…donc cette fin du monde n'est que fin de "leur" monde, bon débarras, de tels fous qui ont pollué la planète depuis plusieurs décennies oui cela "soulage" lorsqu'ils sont écartés du pouvoir de décider de nos vies…fin de "leur" monde, pas fin du monde – aucune raison de s'inquiéter…ils vont aller radoter, dans leur coin, leur monde hyper idéaliste…eh oui, le capitalisme n'aura été qu'idéaliste…sa disparition n'écorchera nulle part le réel…
…un autre système est déjà prêt à être mis en place…
Les réactions en chaîne, auront surgi de cette titillation : et vous allez confier votre, notre, leur, ton argent, celui des collectivités et des pays à de tels malades ?
Tandis que, tout à l'opposé, des personnages pondérés, rassis, prudents, réfléchis, mesurés, modérés, avisés, raisonnables, précautionneux, économes, circonspects, posés, réfléchis, oui si calmes – existent bien…ils sont des "experts du réel", la forme d'esprit la plus unitaire et concrète qui nous en sortira…
Parce que, là, la grosse manip Grand Guignol du les banques centrales "doivent" aider les banques qui n'ont absolument besoin d'aucune aide…vu leurs extravagants bénéfices…et les aider pourquoi ? Pour que les marchés (donc les banques) "que rien ne peut calmer" (sinon des soins intensifs?) puissent continuer à piller l'économie réelle et les contribuables (donc à "inventer" et alimenter à 100 % les dettes)…vous allez vraiment continuer à nous servir ces salades ? Lorsque plus de 95 % des activités (!) boursières ne sont que spéculations, le leurre de "financer l'économie réelle" a duré…celui de "guide invisible par omniscience métaphysique" aussi…la Bourse n'est que du parasitisme – les banques centrales viennent d'en faire l'implacable démonstration…donc nous "n'avons pas besoin d'eux" (la fin de "leur" monde abusif existe bien…c'est même le début du notre !!!)
Tout psychiatre, devant l'accumulation de ces symptômes dont l'hypnotique "il faut calmer les marchés", pourra vous diagnostiquer l'existence d'un monde chimérique A L'ENVERS…qui offre, en creux, les bonnes solutions…
Les banques centrales ne doivent plus aider les banques qui, ainsi, pourront entreprendre une drastique cure de désintoxication…privées de marchés boursiers à vie…en 2 décennies, à peine, tout leur état mental s'est vu altéré, détérioré, délabré et détraqué…jusqu'à, même, inverser ses anciennes qualités…la Bourse c'est du poison jamais du baume…
Comme nous le disions, depuis 1990, c'est par le début qu'il faut commencer…et donc abolir la Bourse…libérées, émancipées de leur ébriété structurelle les banques redeviendront "normales" (puisque désintoxiquées)
…et les banques centrales pourront revenir au service de l'entière collectivité…l
…leur temporaire "hégémonie" ayant prouvé leur complète incapacité à diriger…obéir, par contre, leur convient parfaitement !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme".Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu