Biens communs

Publié le par imagiter.over-blog.com

3407449190_7da8459be7.jpgParticipent de la non rivalité – qu'un l'utilise n'empêche pas qu'un autre puisse tout autant en user sans qu'aucun des deux ne soit lésé. Un peu telle une qualité inépuisable face à une quantité très limitée…
 Et puis – la non exclusion – personne ne peut être banni de l'utilisation du bien commun. Tout le contraire de l'arriération capitaliste où visiblement, déjà un tiers de la société (les pauvres) se voit exclu du fonctionnement de la société. Juste bons à être ponctionné au-delà du raisonnable, spoliés, sur- fiscalisé ( dernière abjection, la TVA (anti) sociale) oui oui dépouillés et…diffamés. L'attitude envers les pauvres détermine que l'occident c'est une anti-civilisation dont la barbarie rester à jamais inexcusable. Avec les "violences symboliques" ce sont bien les 2/ 3 de la société qui sont, plus qu'illégalement, écartés de la société. Ceci se reflétant dans les résultats de vote très illégaux – puisque plus de 50 % des inscrits et, parfois, jusqu'à 65 % de la population adulte totale ne votent plus. Or, démocratie oblige, ce sont ces 65 % qui, par le nombre, ont raison…qu'illégalement, les marginaux à l'illégal pouvoir les évince n'effacent pas la trace de leurs délinquances électorales !!!

Le suffrage universel est un bien commun bafoué et piétiné par les factions et parties de la population qui n'ont absolument aucun droit à se "monopoliser" (rien de plus "monopoliste" que cette Commission européenne qui insulte le mot monopole à le placer, frauduleusement, là où il n'existe ni rivalité ni exclusion donc vraiment aucun "monopole" tandis qu'elle se "monopolise" jusqu'aux définitions mêmes – sa régression barbare nous fait, ainsi, rejeter l'ensemble de ses décisions !!!)

Le bien commun ne destine pas du tout qui le crée à s'enrichir (contre tous les autres !) mais bien à l'offrir à tous. Cette offrande représente, ainsi, le sommet du bienfait social lorsque la piteuse cupidité capitaliste y descend vers le caniveau répugnant de la bassesse déguisée.

Le service public devient un bien commun à partir du moment où il est autogéré. Nous avons vu récemment qu'au point de vue santé et recherche – la France avait, précédemment, un pôle d'excellence que, depuis 2004, des détraqués à la "rentabilité" maniaque et unidimensionnelle ont, si stupidement,  saccagé. Vérifications ? Alors que les jeunes chercheurs veulent vraiment rester en France le sabotage de l'organisation "gestionnaire" des sciences les contraint à s'expatrier…"nous faisons chaque jour des cadeaux aux Etats Unis : le coût de la formation d'un docteur et d'environ 150 000 €, voire 230 000 € s'il a bénéficié d'une allocation de recherche…"
Les dégâts causés par l'obsession aveugle et maladroite de la gestion coûte bien une vraie fortune au pays…la seule voie de sortie demeure la formulation législative de placer comme " biens communs " santé, recherche, culture, énergie et communication - au moins – ce qui libèrerait la société d'un carcan contre productif de stupidités gestionnaires…

Stupidités gestionnaires dont nous avons vu les vastes désastres (et les crises financières  systémiques qui mettent en danger l'Humanité sont bien les preuves flagrantes que la FINANCE CA NE MARCHE PAS !!!) dus à son règne sans partage.
Il n'est que de parcourir de Jacques Cotta le "Qui veut la peau des services publics ?" janvier 2011, afin d'en prendre pleinement conscience. Que seul le service public (si performant dans le traitement égalitaire, incluant tout le monde, non créateur de rivalité, etc) se montre le plus solide garant de ces "biens communs" – si nécessaires à notre survie collective. 

Le bien commun participe donc d'un renouveau complet des mentalités, puis, des comportements, d'un système mature de protection des sociétés et d'une avant-garde économique - dont l'Humanité entière ne pourra qu'en bénéficier.

            Pas de futur possible – sans biens communs !!!

*** Afin de le vérifier, songez aux blogs une société, institutionnellement, organisée pour voler les pauvres" du 23 septembre 2011 ET "Tout l'argent gratuit pour les seuls capitalistes" du 25 septembre 2011…ajouter la lecture de      "Qui '"est" sérieux ?",  "Limites  et arriérations de l'aménagement foncier rural" ou "L'inefficacité comme politique","Développement bio équilibré", "Dénis de solutions?" ou bien "Comment nos différences individuelles engendrent d'immenses bénéfices collectifs ?"…etc

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
 (à suivre)

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Où trouver encore du sérieux ?"***, onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  encore, onglet 4 "L"anti-communication, comment ça fonctionne ?" onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui a détressé les détressés ? etc), onglet 2.
Résistances au changement      Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
*** Afin de le vérifier, songez aux blogs une société, institutionnellement, organisée pour voler les pauvres" du 23 septembre 2011, "Tout l'argent gratuit pour les seuls capitalistes" du 25 septembre 2011 ou  "Les banques doivent faire leur travail" du 25 septembre 2011… en écho le 21 janvier 2012 d’André Orléan « Que les banques fassent leur métier », Le Monde, p. 6 « culture & idées »…
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

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