C'est quoi L'AUTRE POINT DE VUE ?
Tout le monde a le droit à une seconde chance. C'est fait exprès pour oublier la première qui n'avait pas eu lieu.
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Vous causez et vous ne savez jamais ce que vous causez. Scotchés dans l'admiration minuscule du silex de vos phrases, vous ne voyez pas plus loin que le bout de leur nez. Pas de diffamations sans diffamateurs/teuses, et, surtout, sans multiples relais – dont vous (qui refusez la moindre responsabilité alors que vous "causez" beaucoup et pleuvez de conséquences). Trop dissymétrique cette barbarie, puisque la (le) diffamé(e) subit tout en double: d'abord, l'irruption brutale du radicalement autre, puis, le raccrochage à lui (elle) seul(e) de la toxicité du skud mensonger. Toutes ces personnes qui se penchent avec gourmandise sur ce "crime des l$âches" (la calomnie !) – la moindre des choses serait de ne virer les projos que sur diffamateurs et gourmand(e)s de…
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La Justice se déshonore quotidiennement pour assermentations à la bêtise inexcusable. Elle ne poursuivra que l'endetté. Plus que rarement l'endetteur. Pas d'endetté pourtant sans endetteur. Le travail au noir, est montré du doigt. Pas de travail au noir sans "capital au noir", qui ne recevrait que des coups de pouce, lui. Le travailleur clandestin est pourchassé jusque devant les télés. Or pas de travailleur clandestin sans capital clandestin (largement épaulé à l'aide de vols trans-nationaux!). Etc. La logique et le bon sens sont chassés de la société. Le déshonneur court partout.
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Que les causes et les effets soient, tyranniquement, séparés et que seuls les "effets" soient lâchement poursuivis – dessinent une société qui ne fonctionne qu'à la folie. Comment croire éradiquer une seule problématique si vous ne vous en prenez jamais aux causes ? Aux intérêts cachés et aux intentions sournoises ? Il n'est pas sain non plus d'exporter vers les frontières sociales ces délires directionnels – ils forment le centre réel de la régression bourgeoise. Cette métaphysique ayant la destruction en vue. Le fait que chacun(e) chacun soit source, origine et responsabilité de ce qui lui arrive, de ce qu'elle/il subit (sauf pour la si grossie délinquance de banlieue)- le concept de "victime" n'existe pas vraiment dans la veulerie bourgeoise ! Cette extraction de toute trajectoire individuelle de l'immensité des interactions collectives (avec maximum d'inputs et d'impacts des classes dirigeantes !) ramène la bourgeoisie à la seule "pensée magique" des cavernes. Ils ne provoquent jamais rien. N'encouragent ou n'incitent jamais. Leurs actions ne sont à l'origine de nul résultat. Pas d'enchaînement de conséquences. Tout flotte dans un air non relié. Rien en commun, nous ne vivons pas dans une globalité collective, en énormes brassages permanents. Ne s'y trouvent que des bulles isolées, guère de chocs, d'entrechocs. Tout se passe hors tout déroulement inter-actif. Un accident du travail (en chiffres, plus de morts que toutes les autres formes de délinquance !) ça a surgi de nulle part. Rien derrière, ni négligence paresseuse, et âpreté au gain, ni insécurité réelle située là où on ne le dit jamais…A lire les journaux, on se croit dans des contes de fées perpétuels, plus une ligne qui ne fonctionne pas à la magie. L'irréalisme règne.
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Sur les fiches de paie, du privé et du public, même celles des conseils régionaux et généraux, même celles des services d'état – vous ne trouvez que les complètement illégaux "charges patronales" et " cotisations salariales ". La justesse mathématique voudrait que ce soit "cotisations patronales" (ils font tout pour se défiler – faut leur rappeler les obligations collectives) et "charges salariales". En effet, le fardeau réel pèse plus sur les salariés, ils "créent les richesses". A chaque fois qu'une ouverture émancipatrice s'entrouvre – les soi-disant élites font tout pour la planquer. Bouclier fiscal = le moyen arithmétique de prouver, juridiquement, que le fardeau des pressurisations excède largement les 50 % de prélèvements. Seul Thomas Piketty l'a fait parmi les gangsters, déguisés en économistes. Prenez les retenues salaires, ajoutez-y les impôts locaux, plus sur le revenu (qui nous inflige un second paiement de la Csg, par exemple).Et, surtout, rajoutez, l'avalanche "d'impôts indirects" (ceux qui pèsent sur les pauvres), à chaque fois que vous faites un achat. Total: selon les compositions familiales ou les époques, ça peut friser les 70 % et plus. La moyenne de 60 % semble modérée. Voyez toutes ces personnes à qui "il ne reste rien à la fin du mois", et même bien avant: n'est-ce pas signe de "trop" de prélèvements. Déjà, que nous savons que les bourses "ne créent pas de richesses" mais vivent sur "l'argent des autres". Même chose des banques et organismes financiers. La métaphysique bourgeoise choie lamentablement devant les inégalités inexcusables qu'elle sème partout.
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Clair ! que les bourgeois ont atrocement honte du monde qu'ils ont créé. Ils fuient comme des dératés tout ce qui peut lui mettre, en pleine vue, les conséquences de son incompétence radicale "aux affaires" (un de ses secrets minables le plus gardé !). Oui, il ne comprend rien de rien à l'Economie. La topologie géométrique élucide. Toute perte, cotisation, paiement est, au moins double, ce que vous avez perdu, plus le temps que vous mettrez à combler le trou et déficit, avant de parvenir à la situation précédent le déficit. Symétriquement, tout gain se montre, au minimum, double: ce que vous emmagasinez et le marche-pied, la brique, le propulseur, pour doubler, quadrupler…etc la somme du départ. Les inégalités économiques représentent donc le plus grand déshonneur de l'Education. Qu'après collèges, lycées, universités, les citoyens ne soient pas capables de mettre des "handicaps" aux gains (à multiplication géométrique) pour "l'égalité des chances réelles" face aux pertes (à multiplication géométrique empêchée ou compensée donc). Pas un citoyen ne peut se dire adulte en admettant l'horreur économique. Non issue des catastrophes naturelles, m ais créée par la paresse et la lâcheté des soi-disant dirigeants. Déshonorés à vie – dé-missionnés ça veut dire qu'on te retire, t'enlève ta mission, pas que t'as un mot arrogant à dire !!!
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Les costards cravates représentent exactement les vrais marginaux (fonctionnant hors du sort massivement commun !). Dans cette optique, ils se découvrent être, plutôt, les réels contestataires têtus du réel collectif, les réels insurgés de la déraison, les vrais barricadiers refusant toute évolution, les furieux émeutiers vrais contre tout progrès. Depuis, quasiment 30 ans, qu'il n'y a plus de réelle opposition frontale, toutes les catastrophes mondiales leur sont entièrement et juridiquement imputables. Ils sont les nets ennemis de la civilisation. Ce sont eux les vrais fauteurs de troubles. Les sournois fouteurs de merde. Le chaos c'est eux: rien ne peut être pire que leur règne malsain. Nihilistes inconscients, ils veulent tout casser, tout détruire : leur but reste l'anéantissement complet de la planète et de la vie. Sociologiquement, ils représentent 90 % de la délinquance en "valeur". Faut-il que les médias ne vivent plus dans le monde réel, pour "ignorer" ce réel "de causes et effets" ? Tous les circuits d'imputations juridiques, de culpabilités visibles et de responsabilités réelles – sont biaisés. Symétriquement, les circuits de reconnaissances, de rétributions et de serviabilités sont complètement pollués. Impossible (sans payer de sa personne et aller voir par soi même !) de savoir qui est qui …Plus échec sociétal, impossible !!!
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Si le riche a pour anagramme fatal "chier", pauvre en a celui d'en être l'élégante "vapeur" qui monte au-dessus de cet échec patent. Le pauvre monte en prééminence de ces putrides résultats. Qu'il n'aura fait que subir et dont il ne peut être la cause. De destin aussi sordide que le bourgeois, non vous ne trouverez pas.
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Si précarité veut dire pré-caritas et caritas charité – le miséreux devient l'extraordinaire cadeau qui permet, seul, la bonté ou l'altruisme. Il ouvre la porte au potentiel de compassion et de charité des autres par sa précarité préalable même.
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Ainsi, sur Terre, tout fonctionne dans la globalité, où tout est inter-relié, où rien n'est seul, dé –tressé, abandonné et spolié. Rien, dans la bestialité bourgeoise, ne permet de franchir ce seuil obligé de l'intelligence. Et la gratitude (cette thérapie de notre chimie corporelle), la reconnaissance (qui prouve la vraie connaissance) ouvre la respiration ample et saine. Nous priver de ces joies de vrais adultes est inexcusable. Ainsi, vous faut-il comprendre que s'il existe, actuellement, 1 personne qui conduise c'est parce que environ 7 autres ne conduisent pas (c'est la fourchette qui compte non le chiffre virgulé !) – s'il en allait autrement tous les véhicules seraient immobilisées dans la non circulation (effet des causes toutes externalisées!). Cette merveille que c'est parce que les plus nombreux ne conduisent pas que vous pouvez le faire – n'atteint jamais vos outrecuidances et vous vous privez des saveurs inestimables de "l'amour social" '(ce sentiment hyper positif qui vous soulève). La gratitude infinie pour la collectivité formait donc les "bras invisibles", dont Adam Smith n'a aperçu qu'une "main". Identiquement, nous stagnons dans une absurdité où le Collectif reste sans emploi (alors qu'il contient, OBLIGATOIREMENT, 2 fois plus d'activités que le circuit rétracté et irréaliste actuel : une pensée holiste vous le fait vérifier en chiffres !). Eh bien ! dans cette situation de sous-évaluations inter-individuelles, c'est le chômeur qui, en creux, libère la visibilité du travail employé. Et donc le vôtre. Etc. Que des "compensations plus que dues" à ces "inévitables" "facilitateurs" se voient "omises"…disqualifie qui ? Preuve que, depuis 2 500 ans, les arriérés occidentaux n'ont vraiment rien compris à la Logique. La réalité y fonctionne selon le principe de contradiction (de cette gigantesque géométrie, ils en ont fait les minuscules "contrariétés" où l'infaisabilité des "contraires" !). Le principe de contradiction repose sur le "tiers exclu", sans qui, la logique est formelle là-dessus, la "réalité" (telle que, brouillonnement, définie aujourd'hui !) n'existerait pas. Notre civilisation repose sur ce qu'elle ne sait pas. Se montre incapable de comprendre. Ni même d'envisager. Ainsi, en tout domaine d'activités, c'est qui est "en creux" qui "permet" que vous existiez "en plein". Vous en dépendez, ils vous précèdent dans le vrai réel (celui des causes et effets – où les médias fous nous prouvent chaque jour leur radicale incompétence – faut les mettre en "quarantaine de sécurité", ils conduisent à la folie collective !!!). Que vous omettiez les "compensations sociales" à ces rôles essentiels – juge de votre déréalisation avancée. Pas de notre réalisme de roc !!!
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Le capitalisme ose que ce qui est rare a de la valeur. Or, nous manquons cruellement d'esprit synthétiques. Nous manquons d'esprits à l'estimation maîtrisée. Nous manquons d'intuitifs (ves). Nous manquons f'êtres ayant appris, en grand, la géométrie relationnelle. Nous crevons de n'avoir point des êtres rompus à la résolution de conflits. Nous avons, collectivement (avec une entêtée bestialité inexcusable), empêché, depuis 25 ans, l'apparition de tout génie. Nous avons persécuté "doucement" (mais sans cesse) tous les êtres brillants, généreux, incisifs, rassembleurs, doués ou talentueux. Et, sauf, cas rares justement !, où quelques humains "exigeants" ont pu passer, malgré les blocus illégitimes des médias et du fric – nous pouvons dire que, trop nombreux, nous nous sommes montrés comme de réels complices de la racaille financière et des attardés ridicules des médias fous. Notre anti-société en actes (plus dissuadante que les terrorismes n'aboutissent) nous a tous privés des meilleur(e)s et des plus grand(e)s. Le féminin pour souligner que le soutien incompréhensible des femmes aux hommes répugnants de la finance et des médias déloyaux – a été trop massif. Là, où une ferme révolte radicale et subtile était possible – elles ont choisi l'émollience et les faux semblants. Sauf, évidemment, les femmes trop rejetées par leurs consœurs : les rebelles sans concession ! Vous voyez bien que la vulgarité capitalisme représente le plus grand danger pour la survie de l'espèce humaine.
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Les non-dits et les tabous se multiplient sans cesse. Il est interdit de ne pas interdire. Notre période hyper régressive atteint les limites du gérable (la destruction vient "du haut", des ex-élites !) . Le bourgeois est ce tricheur irresponsable, ce menteur nocif et ce voleur compulsif - qui va nous ramener directo à la bougie et aux cavernes. Et personne d'autre !!!
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La curiosité est la plus grande cure de toutes. Pendant que les bourgeois effondrés rendaient irrespirable l'ambiance sociale, des aventures ont pullulées. Des sensations sensationnelles, des émotions transmutées, des sentiments éprouvés dans leurs finesses uniques, etc. Bref, la base solide pour le passage à une autre façon de penser. A un "nouveau cerveau" puisque notre fonctionnement cérébral ne s'est pas, substantiellement, modifié depuis 12 000 ans. Les pionniers sont déjà "passé". Dans ce monde, devenu incommunicable grâce à vos efforts répétés, ces merveilleux aventuriers vous sont clairement inaccessibles. Nous avons, sans nulle prétention mais sur le mode du constat non amalgamable, tant d'avance: sans comprendre le comment et pourquoi, vous ne saurez jamais qui "protège" les génies. Einstein hésita à appeler la théorie de la relativité "théorie du point de vue"- nous n'hésitons pas du tout. L'intelligence c'est de pouvoir comprendre "tous" les points de vue". Que les masos malsains bourgeois "se privent" de tout, même de l'essentiel, pour "jouer", comme des enfants attardés, oui "jouer à l'argent" – ne nous a pas incité à les imiter. Une nouvelle civilisation a déjà commencé: sachez la trouver !!!!
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Les années 1960- 1970 ne furent fulgurantes qu'autant que LA CURIOSITE AUX AUTRES y était à son comble. L'étranger était la perle. L'impatience des nouvelles rencontres bouillonnait en permanence. Les désirs de communication tous azimuts faisaient vraiment briller les yeux…etc. Que notre époque de mesquineries piteuses, sans désir réel autre que la mécanique irrespectueuse des baises, avec fuite apeurée devant toute nouvelle rencontre, avec extinction des curiosités (on n'y "apprend" (sic) plus que ce qu'in sait déjà et on ne radote plus que les mêmes rengaines éculées !). Fermeture aux étrangers si précieux: faute d'élans qui font circuler la vie dans les corps, presque plus de joies vraies sur les visages. Des rictus partout: ricanements sans joie qui se disent "comiques", plaisirs sans extases, conversations sans saveurs. Le plus grand nombre "a tout perdu" et insiste pour détruire les "réfractaires" et les "résistants" à son désordre illégitime. Après l'échec cinglant des "winners", qu'ils osent dire que cette époque de mort collective est "passionnante". Le sommet pleut ses fiascos: qui n'a pas une vraie subjectivité y devient comme la balle d'un flipper, que tous les faux jetons se renvoient, "pour faire passer le temps". Le feedback affiche "répulsion à tout ça !!!". Plus rien qui nous "retienne"…
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Puisque personne ne peut échapper à sa responsabilité personnelle et oui! qu'il y a, aussi, des "innocent(e)s". Qui a refusé, existentiellement et dans la moindre de ses fibres, l'indigne société de consommation, reste "innocent" de ses pollutions & co. Mais en 2010, la censure ne peut être que collective. Le seul contre-exemple de 1789, où les citoyens contournaient, solidairement, toutes les censures – demeure là pour discréditer les alibis bidons. Non! L'ensemble des citoyens VEUT la censure. Ou, du moins, ne veut pas assez la fin des censures. Cette prolongation du cens d'argent qui interdisait le vote à qui n'avait pas 100 000 € de revenus (hors patrimoine) par mois. Censitaire censure qui n'est maintenable que par le relais du plus grand nombre de nos concitoyens… Si l'horreur continue c'est que, dans le secret de vos têtes, vous la secondez. Le chaos ne survient que parce que vos déguisements et vos paroles laissaient supposer une réelle révolte !!! Et qu'il n'en est…
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La litanie continuera: tant "l'autre point de vue" semble 1 million de fois plus passionnant que les avachissements inconséquents des médias. Notre monde vit à l'envers: mais envers qui, contre qui ? Y transparaissent une très mauvaise foi sous-jacente, un sournois entêtement à contrer "les meilleurs" (dont l'explication vaut, déjà, son pesant d'or !), à tout faire toujours rater et à suicider le monde. Mais, aussi, la simplicité et l'aisance des solutions. Le contraire d'adverse c'est ce qui converse, qui verse à converser. La résolution absolue de tous les conflits, situations bloquées, crises systémiques ou douleurs individuelles, etc. se situe pile là où reprennent les conversations généralisées. Avec tout le monde: en langage imagé ça se dit "L'Humanité fait ses premiers pas fragiles"…Et vous pas ?
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Vous ne sortirez de vos auto-persécutions de vous-mêmes, qu'en admettant que des pionnie(è)rs existent et que "les alternatives au capitalisme" ont bien fonctionnées. Honnêtement, est-ce si compliqué d'aller vérifier qu'une nouvelle civilisation est déjà toute installée ???
( à suivre)