Carambolages & télescopages (le langage comme vous ne l'aviez jamais vu)…
Selon que la personne use de tels ou tels pronoms personnels – la phrase change du tout au tout. Un exemple ?
- On devrait pouvoir avancer
- Je ne voudrais pas trop m'avancer
Comment avancer si, dans le même mouvement, on ne veut pas s'avancer ?
Ce que cela veut dire ? Ce qui est impliqué ? Ce qui pourrait changer ? Ce que nous n'avions pas compris ?
…Outre que n'avons pas, encore, découvert la table périodique des mots à l'image de la "table périodique des éléments", d'après leur numéro atomique et leur propriétés selon Mendéléev. Tableau qui offre de la place à ce qui n'est pas encore connu, formulé, articulé – mais suppose (jusqu'ici avec raison) que la réalité est, entièrement constituée de tant d'éléments avec numéro atomique prédéterminé !)… les règles PHYSIQUES et physiologiques des mots !!!
Tout d'abord, la table périodique des mots ne possède comme principale règle basique que "chaque nom a son verbe qu'il doit trouver ou bien il nous faut l'inventer"…comme si la place de ce verbe existait déjà à l'avance - même si le langage courant ne l'a pas encore formulé ni prononcé. Un exemple plaidait mieux que touts les généralités. Il s'agit du mot "détresse" ? Oui, mais qui connaît le verbe qui va avec "détresse" ? Là, c'est une colle, cherchons et percherons, creusons et excavons…pas la peine, de nombreux essais ont prouvé qu'il n'y a toujours pas de verbe pour détresse… la table périodique des mots va permettre de prédire ce verbe et de l'officialiser !
Tout dernier tâtonnement – il s'agit du verbe qui n'existe pas encore de "détresser", d'être en détresse. Ce qui nous offre des images dont la plus claire reste de liens sociaux, de liens tressés, noués, entrelacés, entortillés, assemblés, attachés ensembles, que nous voyons se dé-Tresser, se défaire, se découdre, s'effilocher, s'effranger, diminuer, se délier, jusqu'à ne plus tenir qu'à un mince fil…et…se rompre. Tout le film complet de la détresse en un seul mot ?
C'est que le Progrès "omet" des développements dans tous les domaines en même temps, en ne privilégiant exagérément que l'avancée d'une seule dimension – la mauvaise nouvelle sursaute, alors, que, encore au XVI ème siècle, 60 % des mots étaient…des verbes…en 2011, nous sommes en train d'atteindre, bientôt, oui oui les…30 % …moins vous avez de verbes moins vous agissez et plus vous pouvez parler afin de ne surtout pas vivre !!!
Ensuite, les mots ce sont le corps, tous les aspects physiques de la vie, toute la matière en "cristal" dans le vocable…Dans ce dispositif tellement plus "réaliste", le verbe c'est toute la vie toute vibrante. Les noms, adjectifs, adverbes, dans leurs dérivés composés, s'en éloignent toujours plus. D'où des assauts, des dévalements, des excès, des surcharges, des invasions, des intrusions, des contaminations, des ingérences, des trop d'abstractions supposées "nous éclaircir les idées" (alors qu'elles pourraient, plutôt, nous les assombrir ?)…
Un poison, la possibilité d'un baume…il ne s'agit pas moins que d'une mutation mentale…au lieu d'utiliser les mots toujours EN NEGATIF, en creux, en manque, en retrait, en insuffisance, en évidé, comme fétiches ou enjeux – avec cet utilitarisme si étriqué qu'il "ignore" la réelle utilité de toute chose, trop d'humains ont fait du langage une fausse monnaie, une dévaluation des qualités, la perte du meilleur en tout, un instrument à tromper, manipuler, mentir, extorquer, trahir…bref, en flagrants incapables trop fiers de leur déchéance, ils ont omis d'utiliser 90 % de son potentiel latent…Bref, ils ne savent strictement rien du langage !!! Ce qui restreint fortement leur champ de vie !!! S'ouvrir à l'accueil des mots qui restent toujours (et dans tous les domaines!) tellement en avance sur nous !!! Nous avons TOUT à apprendre d'eux…
La mutation mentale est, déjà, prête dans un ensemble e nouvelles expériences que des pionniers ont déjà vécues…Vous en trouvez un début de transmission dans un document…
"La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques " devient la clé qui ouvre toutes les portes. Le savoir qui vous restitue toutes les saveurs. La valeur qui vous valorise à la juste taille de l'univers. Pas moins…La fin des abstractions dont les attaques pourraient bien ensevelir la vie entière sous une couche artificielle…
…mais chacun des mots (et tous) reste tel une ouverture flagrante à toutes les sensualités …jusqu'à la finale sensualités des conSensualités de la civilisation, enfin, complètement vécue…"comment rendre tous les mots physiques" y a t-il un programme plus démocratique ? Non non…aussi, démasqués les petits bourgeois gentilshommes, kapos scandaleux du "ce ne sont que des mots" ou les hédonistes barbares qui piétinent toutes les réelles valeurs…pour ne se goinfrer, étourdiment, que d'écumes !!! Puisque diriger c'est savoir DIRE (dirigeant = celui qui sait dire le sens !) – le langage devient une immense métaphore spatiale qui nous dit toutes les directions utiles, nous décrypte les meilleures actions durables, leurs modalités maximas par jeu des préfixes-racines-suffixes, etc…bref, nous insère dans le gigantisme cosmique !!!
Tout est (re)commencer dans l'usage des mots rendus, enfin, au concret, au tangible, au palpable, au sens pratique, à l'ici et maintenant, au présent à présenter toujours plus…comme du vrai sens d'utilitarisme (nettoyé de l'économie si arriérée des bourgeois), de pragmatisme (nettoyé de toute hypocrisie et refus d'engagement), de réalisme, de fonctionnalisme, etc…
Les pronoms "personnels", ainsi, se découvrent à nous quasiment inconnus…
Selon que la personne use de tels ou tels pronoms personnels – la phrase change du tout au tout. L'exemple trouvé marque nos esprits…
- On devrait pouvoir vraiment avancer
- Cependant, je ne voudrais pas m'avancer
Comment avancer si, dans le même mouvement, on ne veut ou ne peut pas s'avancer ?
Ce que cela veut dire ? Ce qui est impliqué ? Ce qui pourrait changer ? Ce que nous n'avions pas compris ?
- Notre corps, son dispositif spatial, son déploiement social, le sens qu'il accepte, sa réceptivité à autrui, son taux de créativité, son autonomie de pensée avec la résilience incluse…etc tout ceci réside dans comment est vécu ce qui est "personnel" dans le pro-Nom (la manière généraliste de glisser "son" nom partout…pronom, pour le nom! )…ou, encore, dans un "réel plié" la géométrie du filet à attraper du sens (si je ne possède pas je ressens – ce qui peut multiplier le mana contenu dans les choses ?)
Je tu elle/il nous vous elles/ils…avec poches de peurs et d'angoisses autour de… elle/il nous vous elles/ils…seuls le tu et je semblaient "sécurisé" or TOUT est fait afin de faire perdre la confiance en soi du maximum de Je. De plus, la structure lourde de la société, à dominante commerciale-publicitaire-marketing-médias, augmente fortement les solitudes, sépare tout le monde de tout le monde, rend donc tellement plus fragile et ténu le "tu"…les pronoms se montrent tous devenus "indécidables" !!! s'il n'y avait pas la réelle omniscience du langage, notre civilisation aurait déjà sombrée …
C'est même pour cela que les expériences des pionnières / pionniers, qui ont déjà vécu "La diction du dictionnaire - ou comment rendre tous les mots physiques " atteint une valeur exponentielle…
Bientôt – sans doute – ce sera la pratique qui atteindra, de loin, le plus de valeur !!!
Tel que vous pouvez, aussi, le vérifier sur le blog du 9 juin 2011 nommé Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?, Toute l’histoire du rire en 5 textes. Ou encore, le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être magicien, etc…
Nous avons amassé un ensemble de techniques triomphales qui remplacent trop mieux le plaisir- loisir si arriéré…quelques unes des plus récentes sur ce blog ?: "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire l'univers ?", "Reposer le repos d'une question", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", « Butiner le but », « La queste des questions », "Présent-e-s ?" « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "l'histoire du rire" en 5 textes, "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle" ? ou dans la série " la série "Lorsque ne plus savoir admirer tourne à la maladie" (1) un blog a obtenu un titre à part " A votre égard tout sera égards". Grâce à qui ? certainement pas au capitalisme punitif qui nous cache que l'on puisse devenir tellement plus joyeux APRES son abolition…
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale
…#random precision#…Les thérapeutes du social annoncent que les paroles des chansons retranscrivent les maladies morales, affectives, mentales ou émotionnelles de qui les produit. Comme l'inverse? Les guérisons ? Les supers santés ? N'est ce pas probant d'arriver à l'heure heureuse ?
*** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3"La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et "Rien de plus solide que le solidaire", sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu