Ces dettes sont "leurs" dettes pas les nôtres…

Publié le par imagiter.over-blog.com

 

348523617_d491c3b71f.jpg

 

Remarquable que les trop riches ne parlent de solidarité que lorsqu'ils veulent nous faire payer "leurs" dettes. Notable que l'austérité devient, alors, un choix arbitraire à nous seuls imposé. Jamais à eux ces trop irresponsables dépensiers. Explosif que les salaires ne soient si "encadrés" que pour nous lorsque les revenus délirants des trop riches ne sont jamais considérés comme des "coûts massifs" qui pèsent si lourdement sur nos rémunérations.

 

Etc.

 

Les soit disant "élites, trop accros à l'argent ainsi devenu si délinquant, sont en train de perdre toute considération, toute attention, tout respect de notre part…Ils ne (sur)vivent qu'en essayant de culpabiliser à l'arrache les plus pauvres et les plus nombreux…ceci fonctionne de moins en moins puisque le flux des questions de dirigent désormais toujours plus eux et insistent, toujours plus fort, pour des réponses claires et distinctes (selon le bon sens le mieux partagé)…

 

Leurs dettes sont des mécomptes et ils doivent encore plus rendre des comptes. Leurs comptes doivent être décomptés des nôtres et pas l'inverse…Les champs de leurs incompétences inversent radicalement tout contact avec le réel. Tout discours du réel nous appartient désormais et nous allons le faire connaître.

 

            Un discours plus qu'inéquitable sur les salaires, qui doivent être "bloqués", contrevient frontalement aux "règles" qu'ils font semblant d'établir. Déjà sur 2 points majeurs :

1 – un tel discours ne peut être CREDIBLE que si tous les salaires et revenus se montrent identiquement "bloqués". Or seuls les (trop) bas salaires sont bloqués alors que leur impact ne peut qu'être très limité. Lors que les (beaucoup) trop hauts salaires obtiennent, chacun, l'impact de 20 000 autres. De plus parfois. Il devient alors plus qu'incohérent de ne jamais "bloquer" les seuls revenus qui ont un impact considérable sur le "coût du travail". Oui ou non ? Tout revenu de dirigeant doit, désormais, être considéré comme un "coût fort" qui augmente le "coût global du travail" et diminue donc, d'autant, la part individuelle de chacun- e. Ce coût très réel devant être pris en radicale considération. Une loi sur les revenus maximums ne peut que clarifier la folie par le haut !!!

 

2 – alors que le "blocage" des prix, les prix réglementés sont considérés comme une absurdité – nous avons ici des salaires réglementés, bloqués, très régulés. Or prix et salaires sont de même nature. Oser, comme un conseiller présidentiel, que, "comme tout le monde le sait (?), la fixation bureaucratique des prix a été condamnée par l'histoire" c'est éviter que, comme le salaire minimum "de croissance" est fixé bureaucratiquement, que de fixer certains prix éviterait toute spéculation. Et que de refuser puérilement d'établir un revenu maximal (symétrique au Smic) devient une indéfendable loufoquerie. Pourquoi ?

 

            Le même conseiller nous informe que "depuis 30 ans "on" sacrifie les classes actives, on dévalorise le travail et "on" donne tout à la spéculation et le reste" sans jamais préciser qui est ce "on" !!! Se trouver au gouvernement et ne jamais participer à l'immense spoliation des salariés paraît trop conte de fées, alors ? Un tel immense on qui échappe à l'orne des gouvernements ça fait plus que désordre, non ? Surtout lorsque l'on sait qu'au moins 95 % des "activités" (!) boursières ne sont que de la spéculation, on s'interroge pourquoi de tels esprits se soumettent si légèrement à la "loi du marché" (donc la loi de la spéculation)…Fermer les bourses pour entraves aux investissements à moyen et long terme, pour détournement de la richesse collective en une irrecevable enrichissement qu'individuel au détriment d'autrui, paraît devenir le seul acte sensé alors. Par contre "financer les bourses par l'impôt collectif" pas du tout.

 

            Et puis c'est quoi ces trop hauts salaires des (si peu) dirigeants considérés comme "des charges déductibles pour une entreprise " ? Une "charge" est un coût non ? Alors les trop hauts salaires "coûtent" bien trop à la collectivité. Qui de plus urgent que de limiter leurs impacts si "socialement destructeur" ? Qu'ils oint indexé sur le Smic, que les autres salariés reçoivent la partie qui les concerne sur cette charge non déductible en fait (c'est bien eux qui la paient en bout de chaîne !), ou loi sur les revenus maxima – il n'y a plus que l'embarras du choix pour mettre fin à la "dette". Mais pas sur le dos des pauvres. Ils n'ont rien à y voir !!!

Puisque quelle est votre part personnelle dans les 14 300 milliards de la dette étasunienne ? Quelle est votre taux d'utilisation des infrastructures payées par vos impôts ? Une étude a prouvé (juridiquement et économiquement) que des entreprises multinationales osent faire entrer en "plus-values" en "services ajoutés" ou en "sur qualités à compenser" l'existence proche de ces infrastructures. Tout comme les riches utilisent au maximum ces infrastructures (songez aux aéroports, ports, routes, cultures, recherches, communications, diffusions, médias, services à la personne…etc)…sans en payer sa juste quote-part. Et d'autant plus que les "scandaleuses villes privées" servent à ne pas payer d'impôts locaux tout en profitant bien des installations communes…

De tous ces faits flagrants, il ressort trop bien que les honteux discours sur "les profiteurs" du système se trompent carrément de cibles, en pinaillant, cruellement, sur les pauvres. Les réels et flagrants "profiteurs" du système ne sont que les trop riches. Et qu'un politique de gauche (moins déréalisé que d'autres ?) avance que "la dette vient de la fiscalité si inéquitable" (les niches pour riches!!!) puisque " seuls les pauvres paient équitablement" - voilà qui replace la "règle d'or" où elle devrait se calfeutrer (un mesquin gimmick que pour les médias!). La "règle d'or" essentielle c'est la justice fiscale. Justice fiscale = absolument aucune dette !!! L'existence antirépublicaine des "niches fiscales" (que seuls les riches utilisent massivement!) augmente, structurellement, la dette en empêchant l'équilibre par les recettes, les vraies rentrées d'argent, le recouvrement égalitaire et sensé des impôts. Les riches "coûtent" bien trop cher à la société d'où la couarde insinuation des dettes…

 

Dettes par insuffisances des recettes ? A tous les sens du terme - tout le monde peut entendre, non ?

 

            "La crise est passée par là", comme si cet alibi bidon et par trop métaphysique (la crise ne serait causée que par des extraterrestres sans aucune causalité intra terrienne!) ne restait pas inaudible. Car qui a créé la crise, qui alimente la crise et qui hurle son incompétence chaque jour  puisque, depuis 1975, nous en sommes "en crise permanente", n'est-ce pas ? 1975 ? La rupture du "contrat social" par la délinquance des trop riches! Leur affaissement moral, aux trop riches, par l'adoption de la posture de "mendiants sociaux" en tous lieux ! La fin du partage équitable des plus values toutes collectives entre capital – travail (et depuis, en France, ils doivent aux salarié-e-s pas moins de 5 000 milliards d'euros cumulés et pas que 1 000 € ! Le début de toutes les délinquances financières "dérégulées" (soit, en français courant, "rendues hors des lois"!) ! L'effondrement des politiques et des médias dans ces camps adverses de la majorité de leurs concitoyens et leurs puériles gesticulations à vouloir faire croire l'inverse! Les prémisses des mensonges toxiques de la pensée unique et la fumisterie scandaleuse du il n'y a pas d'alternative à ce système (il y en a tellement !), etc…très cohérente que cette date: "notre non crise est "aussi" passée par là"…Quel plus énorme échec des soi- disant élites pouvez- vous trouver à les voir augmenter sans cesse les crises au lieu de les diminuer. En tous autres lieux, ils auraient démissionnés depuis fort longtemps. Crises systémiques catastrophiques de 2007-2008: "comment la théorie financière a produit le krach" sous titre le livre "L'arrogance de la finance" de Henri Bourguinat et Eric Brigs.

 

 . Centrant bien sur "qui crée la dette et qui doit donc la rembourser" (pas nous, en tout cas !!!), non             ?

Devoir permettre à qui détruit la société par le haut de continuer encore plus revient à décréter que la "compétence" d'un médecin serait actée comme plus grande selon la multiplication des morts que sa superficialité infantile provoquerait ? Plus de 35 ans à reconduire les mêmes insensés, c'est bien transformer l'incapacité flagrante en droit de continuer à tout saccager ? PERSONNE NE POURRA JAMAIS FAIRE PIRE QU'EUX !!!

 

Si les bourses et les spéculateurs ne sont pas les ennemis n° 1 des peuples et des pays (et les politiques et médias leurs complices et receleurs!) c'est qui alors ? si les directeurs de banques ne ont pas les directs braqueurs de banques c'est qui alors ? Si les médias infantilisés et irréalistes ne sont pas les insurpassables tricheurs et menteurs c'est qui alors? Etc.

 

Vous voyez tellement bien que toutes ces dettes sont "leurs" dettes pas les nôtres – nous n'avons absolument pas à "reconnaître" ces dettes. Il est même plus raisonnable de les refuser !!!

Vous voyez bien que toutes ces crises-à-sens-unique (plus y'en a plus ils prospèrent et plus nous dépérissons!) sont "leurs" crises pas les nôtres – une crise pousse, évidemment, à soigner, à placer en institution, à forcer à se traiter. Ces soi- disant élites ne seraient-elles pas bien mieux sous tutelle financière et juridique ? Juste concentrées à guérir ?

 

Facile de réparer la société – dans ces conditions. Débarrassés de leurs encombrants délires. Et hors de leurs si dommageables et toxiques présences !!!

 

Oui ou non ?

 

En conséquence, Chiche ? Et finis ces revenus trop chiches des illégaux pauvres (ainsi devenus à force de payer les dettes des autres !) !!!

 

Chiche qu'ils font pas le poids les "créateurs de dettes" ?

 

Comme lors du pillage des propriétés amérindiennes basé sur l'imposture de l'absence de "documents juridiques de propriété à l'européenne" – où sont donc les documents qui les autoriseraient à "gérer la crise des dettes" ? Nulle part !

 

Ils viennent, en conséquence, de perdre tout droit à diriger sinon celui de, méticuleusement, "rembourser" "leurs" dettes…Là, les traces juridiques et comptables débordent de partout !!!

 

(à suivre)

 

trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.

Résistance au changement      Implique changement de la résistance

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 

Publié dans economie et politique

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article