Chacun sa vérité à condition que ce soit "la mienne",
Chacun sa vérité, masque, derrière un relativisme de lâches, que ce n'est pas afin d'offrir l'émancipation au plus grande nombre, qu'ils scandent, ainsi, "Chacun sa vérité"…mais, tout au contraire, juste afin d'empêcher les théories et argumentaires qui pourraient rendre concrètes les émancipations de pouvoir être DIFFUSEES…
Tous ces déloyaux obstacles ne s'accumulent que sur le trajet des gens honnêtes et désintéressés. Jamais sur celui des pouvoirs gangstérisés !!!
Chacun sa vérité, frivolise qui vous l'assène comme une vérité (qui, de plus, "interdit" la vôtre!) et, dès la prononciation, rend sa phrase strictement impossible.
Info ? Faute de place sociale pour exercer les facultés de jugement, de bonne estimation, d'équité en acte, de discernement du juste etc. – beaucoup de prêts à penser s'avèrent complètement erronés dans leurs mécanismes mêmes. Ainsi, avions-nous proposé à quelqu'un qui avance le " Chacun sa vérité" un " je ne dis pas qu'il pleut quand il pleut mais quand la pluie est toute en moi. Sinon pour moi c'est soleil".
"Mais s'il pleut c'est vrai, tout le monde peut le vérifier, on ne peut pas dire l'inverse". "Vous veniez de dire chacun sa vérité et, dès le premier pas, vous refluez. Vous voyez bien que chacun sa vérité ne fonctionne pas du tout, juste un "interrupteur de conversation", de la pacotille, de la fausse monnaie. C'est plutôt il existe une vérité (il pleut) et chacun-e la vit à sa façon. Une vérité mais des réalités multiples puisque "auto-nomos" (chacun-e son rythme, sa règle, sa mesure '"le nomos" !), d'accord ?"
Infos : le dispositif massivement centré sur les mots : pilonnage incessant de propagande, dépenses jamais mises en discussions + les seules du capitalisme qui se déclinent sans compter, juste pour faire "oublier" le potentiel si émancipateur des débats de fonds, censures inimaginables des écrits, avalanches de procédés pour empêcher toute discussion "libre" etc etc. tout ceci met troooop la puce à l'oreille. Les mots peuvent donc annuler le capitalisme. Le capitalisme peut être aboli par les mots.
Le capitalisme est, de la sorte, juste une mentalité, comme de la fumée. Pas une nécessité incontournable de la réalité. Juste une mentalité et rien d'autre. Il n'a aucunes racines dans le réel et ce ne sera donc pas douloureux lorsqu'il sera aboli (pas de manques corporels).
Nulle destruction n'est nécessaire pour l'éradiquer : usines et entreprises peuvent être gérées de façons radicalement autres, inutile donc d'en raser les bâtiments. A part les bourses qui seront définitivement fermées, pas de modification notable dans le visible actuel. C'est lui la guerre, sa suppression fleurira pacifique. Tout sera dans les mentalités changées qui se seront faites locomotives pour changer les styles de vie. Le collectif illuminant tout le monde tel un insatiable soleil. Vous voyez à quel point le concentré de mensonges peut pulluler d'informations sur le système qui en est bardé.
Et nous en complète liberté de manœuvre, nous nous mouvons avec aisance partout. C'est cela le vivre PHYSIQUE de l'Evolution ! Nous sommes ces oiseaux qui évoluent avec prestance tout comme nous sommes ces poissons qui évoluent plus vastement encore dans la plénitude d'un corps qui vit entièrement sa tête.
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org , onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " ou, encore, onglet 3 "Légalité de l'égalité". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistance au changement Implique changement de la résistance