Clowning our jobs !!!
Faire les guignols sur nos emplois – nouveau slogan prometteur venant des U.S.A. et s'adressant directement à la crétinerie grandissante des financiers. Afin de comprendre (et faire comprendre) qu'ils ne sont plus aptes du tout à participer au moindre circuit de décisions qui existe. Des zéros, de sinistres bouffons !!!
Dire qu sous l'Ancien Régime les financiers étaient "garants sur leur fortune personnelle de leur gestion". Une trace en demeure, encore aujourd'hui, chez les T.P. G. , trésoriers payeurs généraux ou Payeurs départementaux actuels, responsables sur une partie de leur richesse personnelle. Tant que les politiques commettront l'acte de haute trahison "républicaine" de permettre "la nationalisation des pertes des financiers", il reste certain que tout incitera à "clowning our jobs" à tourner en bouffonneries nos activités "productives" et "rentables". Et à ne jamais prendre au sérieux nos emplois – soit en si rarement tenir compte. Alors que c'est l'élément central de la survie sociale et que les rentes passives et improductives des actionnaires n'ont aucun caractère d'urgence ni de nécessité. En clair, c'est eux ou nous !!! Des finances hyper "régulées" ou des boulots tournés en dérisoires. Tout le monde aurait le droit de piétiner le travail. La garantie "républicaine" de l'emploi est trahie. La République pire qu'insultée.
Clowning our jobs c'est le terrorisme antisocial fonctionnant anti-démocratiquement. Tout comme le levier LBO qui peut faire basculer la fiance et la ramener à la portion minimale (et saine) qu'elle avait avant 1984. a cette époque les grandes décisions politiques étaient prises sans la trame serrée des finances. Ensuite, lorsque le corpus du projet se montrait majoritairement adopté- le perfectionnement, l'ajustement et l'affinement du versant financier était effectué. Mais à aucun moment la décision n'avait été prise avec un financier, juste à la taille d'un technicien expert incompétent pour comprendre les cadre globaux et les termes futurs…
Ces périodes plus inscrites dans le raisonnable et le rationnel (jamais la politique n'était faite à la corbeille – impossible de voir un politique déshonoré en singe apprivoisé délirer sur "faut calmer les marchés!" – plutôt aux médecins d'empêcher la chronicité de leurs crises de nerfs, non ?) , ces périodes oui demeurent encore bien accessibles si l'on secoue énergiquement les arbres à financiers. Rendez-les responsables sur une partie de leur fortune de toutes leurs transactions et conseils à autrui et interdisez complètement les collectivisations de leurs pertes – vous ferez la plus grosse partie fuir comme des dératés terrifiés…
Plus facile encore d'utilisation : ridiculisez à fond la plupart des métiers de la finance. Afin que plus jamais ils ne puissent "clowning our jobs" make clowns their so unfair jobs !!! Transformez bien en pitreries le moindre geste de leurs métiers de voyous !!!
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistance au changement Implique changement de la résistance
A consulter, également, "Les bourgeois sont des fouteurs de merde" (1) et (2) où, après la folie antisociale des enclosures, il est perçu que les bourgeois sont allés jusqu'à casser les "moissons et fêtes collectives" (chacun allant faire les moissons de l'autre) pour la dissociété "non durable" de chacun séparé de tout le monde. Comment le désordre suprême nommé argent hypnotise et pétrifie toutes les forces vives de la civilisation. A relier, aussi, à " La maladie grave de "l'argent""…
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu