Comète – oui la rencontre éclair…

Publié le par imagiter.over-blog.com

 

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A moitié moite s'oignait, se soignant, la ville, là vilainement pesante. Mais c'est que je vous offre l'obole du discobole. Je m'en pris à peser mon souffle. Je devais glisser trop promptement, les talons en arquebuse. Je devançais les visages que je croisais, n'étant pénétré de leur éclat, de leurs angles doucement aérés, que justement lorsque mon champ de vision était bien dévoré du chant des oiseaux.

 

Je choisissais très soudainement de fendre vers le coin de l'œil. Le sol tourne comme un éventail, il n'y penche plus presque plus de chevaux. Et puis sans doute qu'ils devaient naviguer lentement. Elle un peu pendue à son bras, lui, tenant la statue de sa démarche, le bras arqué, la tête bêche. Elle, un peu tournée vers lui, lui un peu tourné vers lui, duquel il laissait même glisser quelques mots. Je les avais certainement pris en enfilade ; mais ne devais-je pas trop y penser.

 

Puis elle sourit un peu tournée vers lui, elle était gainée de sa soudaine lumière. Comment donc les bras dessinant comme une charrue de douceur, un pas de danse qu'ils retiendraient en nageant debout, au lieu d'épouser le matelas de l'eau, les cheveux secouant un arbre et cela était, mais du fond de son son tintait ce sourire qui ramenait la source en bout de course. Comment dire si elle remontait, remontrait le fruit de son ventre, la baie humectée de sa peau lisse, la marée de nos vies - sa bouche ! Plus concentrée mais sans le poisseux du sirop ni sans l'amertume du pamplemousse –

                            presque mieux son sourire lui étincelait le ventre ; en seriez-vous restés là à patienter l'expression juste ?

 

Croyez-moi, elle est déjà bien passée, elle, un peu tournée vers lui, et lui, penché toujours sur lui, même... Il faudrait que je vous aide mieux ? C'est un peu fort d'effort ! Je ne cherchais plus qu'à ouvrir dans mon ventre une fleur qui étale sa pétale dans un dé plié, doucement sucé, sucré d'ombre laquelle s'amoindrissait dans le brouillard d'humidité qui suivant la lente offrande de la fleur dévoilant son corsage, dénuant son cœur avec la nonchalance d'un après-midi.

 

Je me soutenais à la révérence d'une banane épluchée pour poursuivre ma déambulation. Tant mes yeux étaient cernés de cette sente première. La sente que j'avais bien sentie sans le flou qui renfloue… Mes narines ébréchées sans doute n'ont plus d'odeurs onctueuses à célébrer ; bien sûr, le gratin de la fumée sait les saupoudrer de poussiers d'innocente mise en sommeil. Mais je sens souvent autre chose que ce que je sens : le Sens veux-je dire.

 

La sente hantée de vide écartait les touffes de la forêt de son ruban, s'enfonçait ; mais je galopai plus vite que la possibilité de t'en rendre compte, tant je savais ce que je devais trouver au rebord de la glissade. Une fleur me l'avait conseillé, lorsque j'y mis le bout du doigt - s'était-elle épanouie dans mon ventre, avait-elle eu le temps d'un peu soupirer, une fleur sans leurre. Au plus mousseux du tapis de feuilles au plus feuillu du tapis de mousse, là où s'écartaient les branches pour se rembobiner dans le tronc, ici où l'arbre claquait ses racines, vers le sentier qui détournait le sens clair d'une clairière dénudant clairement un peu d'espace.

 

La sente de ma santé – la santé que je sentais, la sente du sentiment, la sentinelle sente…

 

….tout n’y frémit que pour la suite…dans l’Humanité (qui n’est même pas encire née à elle- même !!!)…

RIEN N’A ENCORE ETE DIT !!!

 

La société du spectacle ment si stupidement « rien n’a encore été dit…et le premier mot toujours pas formulé… »…oui parce la société du spectacle…

n’a strictement rien à dire

ni à elle ni à personne…

 

Et ne vit que sur le ressassement des passés dépassés – ressassements qu’elle voudrait éternels !!! Secrets si minables vous voyez…

 

….La sente hantée de vide écartait les touffes de la forêt de son ruban, s'enfonçait ; mais je galopai plus vite que la possibilité de t'en rendre compte, tant je savais ce que je devais trouver au rebord de la glissade. Une fleur me l'avait conseillé, lorsque j'y mis le bout du doigt - s'était-elle épanouie dans mon ventre, avait-elle eu le temps d'un peu soupirer, une fleur sans leurre. Au plus mousseux du tapis de feuilles au plus feuillu du tapis de mousse, là où s'écartaient les branches pour se rembobiner dans le tronc, ici où l'arbre claquait ses racines, vers le sentier qui détournait le sens clair d'une clairière dénudant

       clairement un peu

 d'espace.

 

Extraits oui oui    trouvez le texte complet sur le site internet gratuit freethewords.org,  onglet 1  "Les mamelles du repos "…

           

                                                           ******

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

            tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

 

trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,  onglet 1  "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3"La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et  "Rien de plus solide que le solidaire", sinon,  onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

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