Comment l'enfance est enlevée avant que d'être vécue ?

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Des rivières claires de rires ouvraient la pièce. Limpide fontaine où des pétales de babils venaient illuminer le fond des yeux. Le petit corps nu de l'enfant suivait la courbe des caresses (du latin carus, cher), leur imprimait sa danse heureuse, en cet enfantomatique livre. Et la main suivait les plis du ventre, des cuisses polissait les jambes, les talons. Sous les pieds venait y quérir une autre guirlande de rires. Et vous l'em-Brassiez. Le bébé nageait l'espace de vos attentions. Nourrissons le nourrisson.

 

         La bouche venait ouvrir toutes les nacelles de la vie, la peau riait de tous les petits bras tendus, emmaillotait le cou, la poitrine, les épaules. L'enfant de confiance remerciait la peau aisée de toujours se faire génitrice des génies de sa poésie. Les paroles de sa peau, à fleur de peau, fleurissaient la vie.

 

                                      Trans-parents.

 

Mais soudain l'en-gendré eut quatre ans puis cinq ans. Puis bien tôt, trop vite, plus, le ciel s'obscurcissant, se durcissant, les nuages devenant étroits, la pièce blessante, les objets accusateurs, le corps hâtivement clos. il fallait qu'il soit bien élevé soudain, et ne plus se précipiter sur n'importe quel "inconnu" lui esquissant le paysage de sa peau, lui souriant la bouche de mots conquis, il fallait qu'il soit sage et stérile comme cette stérilisée image, ou cette stère de bois figé. Un mirage. Et s'y mirer. De toute la mousse de sa frimousse. Il fallait le dresser le môme : mais contre qui? contre quoi? contre tout alors?, la peau hérissée et râpeuse comme la crête des coqs. Il venait d'égrener les premiers mots, il n'était donc plus un corps inabordable avec ses seuls appels d'organes, mais un esprit pris dans l'inter-dit du langage social (qui empêche plutôt Le social!).Après l'habile babil, le babillage comme jeter des billes de mots qui tombent pile, il fallait passer à l'habillage du babillage. Le corps, désormais, comme une image à habiller, à s'en parer, à s'en emparer - photo de mode. Dis donc, homme, quand tu fis un enfant tu aurais pu aussi bien aller chez le photographe. Car plus de lumignon du petit mignon pour nous ravir, dorénavant. Mais la statue d'obéir...L'enfance étant vraiment l'infans (du latin in, non et fans, parler) - celui qui ne parle pas...Je vous laisse donc avec les mots du marmot.

 

Puisque cet enfant ayant atteint la parole teinte va payer chèrement l'insolence d'être venu, à lui tout seul, au monde entier. Oui le poupon en poupe. Il ne fut plus jamais nu comme un, caressé comme l'or de l'art, bien élevé (donc très haut?) il tomba dans le vide, pensais-tu...Ils jouent sans bouger du bouge de leurs certitudes, voyais-tu. Autour de la table, les grands. Horripilants. La lâchée chair de poule.

 

         Le corps, déjà deux fois plus grand, ne se tordait plus de plaisir, entraînant, dans la vague de ses rires, le plaisir d'écRIRE la vie. Qu'il devrait plus souvent ployer, onduler sa souplesse, s'étirer, détendre toutes tendres. Les pores de sa peau respirante, palpitante selon les pulsations de la vie même les battements du ventre de sa mère d'ère. Qu'est ce donc que de grandir dans sa mère?, et l'iode du père tant période, qu'est ce onc que s'agrandir de son père ? La lignée ignée comme retrouver tous les fils des fils, la filature des filles. Ou relancer la dette de la cadette sur l'aine de l'aîné. Ou toute maille de la marmaille ou qu'elle aille. Ou les arçons des garçons et galope donc galopin. Bref, toute la versification de la diversification. Il aurait se mette à leur place au lieu de hurler place! Oh non, fallait-il que l'enfant re-présente honorablement ses parés parents, sans briser les porcelaines creuses des tics sociaux : faut pas emmerder les grands mais tu es mal poli, la peau pas assez lisse comme la police, mon chéri, mon enfant que j'aurais voulu d'une seule pièce. De monnaie. Allez, dis merci. Pitié. La mercerie du je vous remercie. Alors que ce polisson a poli son son : personne ne peut être plus poli que lui. Mais les enfants n'ont le droit que de se taire militaire.

 

         Car une vérité sort de la bouche des enfants. Alors ne veux-tu pas répondre à ta mère, à ton père, ils répondent de toi, mais quelle était donc la question, La vérité ritée d'elle-même. Lavés les rites. Le fiston piston. Et te voilà immobile et patient en face des grands, frères et sœurs à l'infini de tes parents patents. Qui s'amusent tous si tristement. Vois-tu ça les émerveille de vivre ; ils sont, chronologiquement, la vie le sais-tu (de chronos, le temps et logos, discours). Le temps du discours : leur discours précède le tien tu te dois de céder. Tu as passé l'âge mais tu n'as pas encore l'âge, comprends-tu? Te l'ont-ils donné, ma foi, la vie. Mais c'est pour te l'or-donner. Voilà les mots du discours qui s'y mettent : les mots sont marmots. Mais appelez donc moutards cela veut dire que vous insistez, dès avant la naissance, sur le fait que la moutarde vous montera, inéluctablement, au nez. La moutarde du moutard.

 

         Aucun mot ne semble de votre côté, de votre logique. Puisque vous n'êtes pas de bons hôtes. La vie toujours à dès qu'ouvrir. Le chemin de la découverte : tout ce qui étonne l'enfant ne vous étonne même plus. Râpé. Le modèle est à modeler. C'est ça. Jamais, nous ne recevons l'enfant tel qu'il est, unique et singulier ; à chaque siècle, tu le compresses, le sculptes à vif, le débranches de l'arbre aux quatre directions, l'émondes de toutes les possibilités du monde, le réduit à accepter physiquement le réduit des lois abstraites, le rétrécit, etc…d'hélas. REJETONS NOS REJETONS… 

 

            REJETONS NOS REJETONS pour qu'ils rentrent dans l'image sociale du maintenant mainteneur. Ô les parents sont patents. Mais comme ils ne sont pas de bons hôtes. La vie à dès qu'ouvrir. La porte de toutes vos expériences, vous qui êtes là depuis bien longtemps, faites en profiter l'enfant de cœur. Comment tout ce qui l'étonne ne vous étonne-t-il pas? C'est un regard NEUF. De la nouveauté enfin. Le dernier né c'est le plus ancien, sage, connaissant lorsque cela part du regard du savoir. Seul un PREMIER regard peut dénicher les pépites endormies sous les habitudes : le monde en sort tout illuminé, irradié de ce regard ouvert DONC ouvrant tout miss Terre!!! Quand il court, touche, regarde, sent, il n'y a rien de plus important, portant que lui. Le poupon est bien en poupe. Il ne s'est pas encore abstrait de la vie qui l'entoure - d'attentions. Et prouvez-moi bien que le galopin ne soit pas celui qui galope.

 

         Oui que le galopin n'est pas celui qui galope. A travers ces incroyables rouages par lesquels, paraît-il, se meut, se "dé-brouille" la pensée AVANT que la parole ne vienne à son secours, qui ne semble guère à la mesure de votre air vulgaire quand il aborde tout, les mots pour la première fois, bal phonétique. L'adulte s'est donc toujours gouré de sens de la vie. Il s'est forcené toujours dans la mauvaise direction : les mots "dédiés" à l'enfance en demeurent la trace morale, juridique, scientifique et historique, pour le moins de cette erreur originelle. De haut, vous voyiez l'enfant comme un ballon qui rebondit sous la main tapotée.

 

         La réalité contient des possibilités infinies, les enfants commencent par les plus magiques pour achever par les plus usuelles. Comment vous n'êtes pas de bons hôtes? Quel plus grand plaisir que de faire connaître à d'autres ce que l'on connaît si bien, de faire res-sentir à d'autres ce que l'on a si bien senti, et déambuler dans tous les chemins terrestres pour ré aborder, à quatre yeux, ce que l'on avait trouvé avec les siens seuls. L'hôte s'élargit de toutes ses graines reines et sa moisson dépassent de si loin la taille de ses graines. Le père en déses-père père l'enfant de ne lui avoir donné que la vie mais pas la Terre terrible, et l'une : la lune, l'œil du sol : le soleil, l'air et toute la Nature : ce qui est donner l'avis de la vie, les gammes au gamin. Apprendre la vie c'est prendre la main et guider : et non foutre des tartes de tartuffes, sangler les sanglots ; une rosse au gosse, une bosse au gosse, pour faire des mômes des momies. Non, vous n'êtes même pas de bons hôtes de la vie. Tu vois, toi, tu es juste là pour que brille leur brillant savoir, pour poncer les poncifs : comme tu ressembles à qui t'as fait c'en est troublant, roublant, mais comme il est donc sage, s'âge-t-il lui-même de l'être, cet enfant de l'esprit humain?

 

         Le garnement devient pur ornement, simple garniture. Le môme momentané mué en miroir des parents se parant de lui (comme le nom l'incline). Qu'ils appliquent donc à eux-mêmes les mots qu'ils assènent aux enfants : et puisque, seuls, l'enfant ou le vieillard semble crédité d'être sages, à chaque fois que vous décernez un quelconque il faut, à votre enfant - suivez-le vous-mêmes - et vous aurez la sagesse. Vous comprendrez quand vous serez petits. Oui, tu avais repoussé ta vie dans dix ans, dans dix ans tu commencerais à vivre. Car, pour le moment, c'est eux la vie ; mondainement, ils l'ont inventé tout seuls et ils se vantent d'en savoir, à force de la priver, la vie privée, bien plus long qu'elle…Comprends donc l'enfance n'est qu'un état transitoire dont il ne doit rien rester, tout sera effacé et remplacé par l'esprit Adulte adulé. L'esprit adulte des adultères.

 

         L'enfance n'est plus que plus temporaire, tu insisteras là dessus une autrefois. Un vide, un néant, le silence de la préhistoire. Principe du récipient à remplir sans la possibilité d'écluser. Tout en racler avec des raclées s'il le fallait.

 

Car d'ici la vie libre d'elle -même, tu dois apprendre que nous ne vivons pas pour rire ou pleurer, pour être heureux (que les hommes en série seuls sont SERIEUX, sérié face à leurs vies qu'ils ont infantilisées, c'est la leur bien le plus pré-cieux!), que la vie est douleur d'où l'heure que tu le saches ce doux leurre, mon cher I, mes chers I? Petits mignons à vous en faire pigner en : mignons pignons. Vaste savoir qui t'a eu puisqu'il aboutit à ce clair "rejetons nos rejetons". Alors si, de plus, tu avais un corps c'est de ta faute et tu ne dois pas le réclamer sans cesse. Et les muscles, la peau, les rêves et les pensées imprégnés de doses d'aliénation, de réifications (comme le rétrécissement de tout à l'économie : et ce sera toujours comme ça, toujours des pauvres, toujours des riches, rien ne changera jamais, et autres trop faciles divinations) que l'enfant ramasse de plein fouet. Et voilà l'adultère corps de l'adulte entré en toi de toutes tes pores.

 

L'enfant sentant immédiatement l'anxiété séculaire des adulés adultes devant cette vie qui, toujours, veut faire comme si elle venait de commencer, la reprend à son compte. Etant gêné dès sa peau de ce qui gène les adultes. Pauvre indigène. Son corps étant le lieu que leurs mots tentent d'effacer. Et c'est bien pourquoi leurs mots, il ne sont jamais bien FRATERNELS mais si TRANS-PARENTS. Ah que la famille est peu familière, ce qui est un comble. Ainsi, après la pure bise les bisous, et ces bijoux de bisous, mais une bise : bis! Bis! après l'avoir, des mains, caressé il faut promptement lui INCULQUER (inculcare de "in bu" et "calcare" fouler aux pieds) certaines choses, oses ! Les parents lui sont parois, abrupte paroi parante...

 

A l'enfant s'ouvrent, dès lors, le désert physique et l'Annapurna sensuel pour le corps abandonné. Rejeté. L'esprit, le désert, le désir - l'esprit se replie sur lui-même, l'on sait ce qui ce l'on veut dire. Ton corps est fermé désormais : dans la devanture Sociale, tu es un enfant enfoui et clos où tu n'est pas, dans tes yeux, tout dois vivre un monde stérile en mines de miniatures fait à leur seule image. L'enfance, à force d'être si transitoire avait été remplacé par du carton pâte - à l'école tu dois strier, quadriller, barbeler ton corps de célèbres lois de l'esprit; Tu n'existes plus q'en esprit vois-tu. Regarde : le corps toujours en Société sans lui-même.

 

La Société c'est tout les corps sauf eux-mêmes, c'est donc des esprits, non? et plus les gens sont simples, plus ils comprendront difficilement à quel point ils sont extraits, abstraits d'eux-mêmes c'est bien pour cela qu'il te pointent comme n'ayant plus les pieds sur terre, lorsque tu leur montres que leurs yeux et oreilles ne sont qu'audiovisuels et que leur nez n'est plus nouveau nez, leur goût sans lumineux palais, et leur toucher n'a plus le tact d'être tactile.

 

         Ta réalité bien en attente. Puisque c'est la généralisation des gènes, et te voilà avec un corps sous développé, dans son bidonville d'inexistence, avec les pans d'inégal développement qui firent la joie des pseudos inconsciencieux. La peau se referma. Par plaque d'abord. Enfonçant les bras tendus, la chair confiante, de plus en plus en soi, sur soi? Ce que lui leur confiais et devenu fruits confits. Tout enrobé en boucle à l'intérieur de soi-même, à pourrir. Je veux la mort du morveux. Apprenant l'égoïsme violent, fait sur main, à l'image des grands rangs qui se rendent. L'enfant n'était pas coupable que n'être qu'un enfant. De traîner dans cette d'étape temporaire, à faire tant de genre devant le genre humain. D'où la torture de l'école car tu as tort.

 

         Et dans les gestes bloqués dans leur élan, d'an en an l'élan parfait de l'enfance, le dur apprentissage sage de la discipline, venu du ciel sans disciple, la solitude du sol grandissante, la honte de plus en plus envahissante, les vexations, enfin, toute cette souffrance diffuse et diffusée, Mais surtout, surtout (et c'est grave!) l'enfant est coupable de ne pas DEVINER les adultes, de les COMPRENDRE mieux qu'eux mêmes, à demi-mot, à centième de mot, de savoir se glisser dans leur natation sociale et où se situe leur situation, de sentir leurs profonds désirs pétaradant en huile bouillante de leur peau, bref, de ne pas savoir exactement très bien QUOI FAIRE (donc bêtement d'INVENTER, de DECOUVRIR - c'est déCOUVRIR, mais dévoiler c'est est trop alors quant tous les mots sont marmots - d'innover au lieu d'être répétitif robot) - que peux-tu trouver pour qu'ils soient- définitivement apaisés? Rien, car tu reçois sur ton dos la moisson de leurs échecs. Tu es coupable de n'être pas né il y a quelques milliers d'années et aujourd'hui quand même, de n'être pas né à la fois en Chine, en ex-U.R.S.S. et en Europe, de n'avoir pas fait la guerre naguère, c'est la moindre des choses. Avant même de naître etc. car on n'en fin-irait plus, l'enfant doit mettre le nez de ses parents dans LEURS PARADOXES qu'ils voudraient faire passer pour SON caprice ou SA frivolité. Pour pouvoir DIRE ta vie toute entière, de pouvoir CONTRE dire ces répétitives marchandises qu'eux les marchands disent et n'arrêtent pas de le dire (non ?). ETRE JEUNE EST UN JEUNE. Terrible.

 

          Et comme les vieux en semblent envieux. Voilà la terrible centre. L'enfance est vide. C'est bien pour cela que d'abord elle est vidée. Il n'y a rien, rien qui puisse rendre serein des reins, aider les autres, la vie n' APPORTE RIEN de nouveau à son nouvel arrivage, Il n'y a rien, le nez des ans peut être, le trop né néant, le blanc le plus total - ce qui pourrait apparaître comme la réussite des dits blancs - Aussi n'est-ce qu'un vide transitoire que l'on se dépêche de remplir, de renflouer, etc. Et ce depuis le jour des temps. Combien n'est-ce pas étrange que l'on appelle une évolution, un progrès, un sens de l'histoire, toutes ces belles choses, et que l'enfance cette joue de lune; ne soit rien dans ce déroulement. Il n'y a rien à en tirer à en ex-traire, rien. Nulle découverte ne s'y fait : le fruit de l'EVE EVOLUTION. Nulle vierge réponse à nos questions. En fin de compte, nul progrès, nul sens de l'histoire, elle n'hérite, ne mérite de rien, pas de chronologie : cela ne sert à rien. Et j'ai comme l'impression  que tout cela est à jeter par la fenêtre, grâce aux enfants, chut! plus de tra-la-la du progrès : ce serait grave pour vous, non?, il faudra toujours ce marchepied, pour sauter au dessus du transitoire état d'enfance : l'ENFRANCE.

 

         Rien ne peut s'y trouver, rien ne peut s'y épanouir, rien ne peut en partir, rien ne peut nous servir : c'est évident! l'enfance semble bien vidée. Vous auriez donc gagné tous les trésors de l'enfance pour vous enrichir, les mots que vous savez pour embobiner l'enfance sur la pelote de vos idées fixes, vos expériences pour que l'usage de la vie ne soit qu'une usure. USONS donc. Le droit d'occupation premier jouant à plein : quel est cet étrange étranger, l 'Enfant ? Etranger à ranger ? Vous le placez, le lacez, le assez? Je ne voudrais plus dépasser vos capacités : assez de ces quelques litres non ?

 

         Mais vous verrez bien que la vie ne pourra bientôt plus dérouler son cours, car il faut que tu sois du modèle à modeler, que tu sois gravé dans un âge pour créer de que l'on dit, désormais, TON TEMPS, il faut t'exproprier, violemment, de tous les temps, d'ABORD. Alors, alors seulement, tu peux VIVRE AVEC "ton temps", sautant de périe période en période, de l'école collante jusqu'à la grande personne, où il n'y a déjà plus personne. La paire de ciseau que forment les deux nerfs optiques entrecroisés ayant coupé tout cela. En rondelles, de saucisson. Tous potentiels de la vie à la potence, de désirs passionnés stationnés, d'agir gisant, de créer tout en craie, de voir à la voirie, d'entendre tout dur, d'animer oui mais, de faire tout en fer, de jouir perdant tout ouïr, transformés, si facilement, en une crainte de la vie, en une angoisse de plaisir, en une agonie inconsciente, en un délire morbide - afin de rester "réalistes"!!!

 

         Inversions des réalités qui s'amoindrissent en une seule version. La vie serait, bien plutôt, l'enfant dans ce qu'il a de plus nouveau à nous esquisser. Et dans l'enfance des mots, les mots détournés pour être durs ou méprisants se retournent en éclats de rire. Ainsi galopin pirouette en galoper ou garnement surgit de garnie. Ou alors, poussés à leurs limites, ils dénudent leurs cynismes insupportable ; comme le rejetons nos rejetons pour un jeton de tic social. Ce qui prouve, tout simplement, que les parents ne sont qu'ap-parents. Mais tu verras bien qu'une certaine dialectique "pragmatique" te foutra la même dégradation de toute matière en matériel à la gueule. De toute façon, c'est toujours le plus petit, le plus jeune, le plus faible, qui prend sur la gueule (la loi "du plus fort" COMMENCE par la mort des enfants).

 

                   Simple parenthèse comme la thèse des parents.

 

…au lieu de commencer de vivre en commun, enfants et parents, entourages et inconnus, si spontanément, notre "cerveau sensualisé" (chaque pensée y devient sensation). Comme à l'ensemble de ses techniques …dont quelques unes de nos plus récentes, restent offertes par ce blog : "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire l'univers ?", "Parfum parfait", "S'empreint d'embruns", "Sous la chair des mots – la sensualité d’immensités…","L'athlétisme mental ?", "Délecté lecteur – l’évolution n’aurait pas prévu l’écriture ?", "La vaporisation du moi", "La bibliothérapie ? Les livres guérissent !!!","Quelles formations ont suivi les transformations ?", "La culture viendrait d'ailleurs…", "Unité enchantée" , "Aucun sport n’est plus sportif que le langage", "Où est passée l'énorme déperdition d'intelligence collective ?", "Optimisation de…l'optimisme", "Les points d'appui ?", "Rideau d'eau", "Détectivé ?", "Quand naissons -nous ?", " Tous saufs sauf","Mimétisme comme unique raison", "se perfectionner à la perfection…", "L'infini partout autour de soi", "Les échanges affectifs d'infos", "Dans danse", "La gratitude est le paradis lui-même", "… intelligentil", "Talents et société", "Tant d'instants ?", "Elle excelle", "Et tout fait suite suède de ce qui précède?", "Les profondeurs de l'usage du cerveau ?", "Empreintes", "Un regard pour autrui", "Rendons le futur plus fort", "Reposer le repos d'une question", "Qu'est- ce qui vous amène à vous amener ?", "Toute la spiritualité ne serait que spirales ?", "Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu'imaginé", "Tribus", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", "La réalité est complète", "Tri et trois ?", « Butiner le but », « La queste des questions », "Objectivité de la poésie", "Esprit libéré et esprit encombré ?", "spirer et conspirer", "Essaie de dormir !", " Trio vainqueur – sentir, sentiment, senti- mental !!!" , "La Forme à (absolument) tout faire ?", , "Comment garder des sensations de qualité ? (1) (2)", « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle" ? etc. – oui encore etc. En bref, quasiment tout vous serait caché ? Sans doute ! vous pouvez le vérifier sur le blog "Lorsque ne plus savoir admirer tourne à la maladie" (1) un blog a obtenu un titre à part " A votre égard tout sera égards". Grâce à qui ? Toute l’histoire du rire en 5 textes. Aussi, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011…Encore, voir le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être un véritable magicien à votre service, etc…

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

            tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale

 

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,  onglet 1  "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3"La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et  "Rien de plus solide que le solidaire", sinon,  onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 


Publié dans sentez la santé

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,
<br /> , oui.<br /> <br /> <br /> Bonne fin de journée à vous<br /> <br /> <br />  <br />
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I
<br /> <br /> voilà tout tournera rond....<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Tourner ? Faire tourner ? <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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I
<br /> <br /> bonjour<br /> <br /> <br /> oui circuler autour de vous<br /> <br /> <br /> ce que nous faisons pout toput ce que nous aimons (liens internet, photocops, parler au téléphone, etc)<br /> <br /> <br /> chager lme monde est rempli de milliers de petits actes qui ajoutés les 1 aux autres = 1 énorme transformation non ?<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> ... merci.<br /> <br /> <br />  <br />
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I
<br /> <br /> bonsoir, et merci (= texte très impressionnant à écrire<br /> <br /> <br /> vous pouvez faire tourner vous savez...<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> bonjour<br /> <br /> <br /> nettement supérieur à tout -<br /> <br /> <br /> vous refondez vraiment un monde nouveau<br /> <br /> <br /> jamais assez de merci<br />
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I
<br /> <br /> ouuuuuuiiiii<br /> <br /> <br /> <br />