Comment le diapason révèle l’univers ?

Diapason qui « nous » résonne ensemble. Faut être deux pour diapasonner un diapason. Tout seul se ferait-il, seulement, entendre tel l’arbre solitaire qui tombe dans la forêt ?

Suivant la trajectoire impeccable du raisonnement - Nos nerfs sont-ils entièrement nôtres ? Et pas plutôt une part entrée de l’univers en nos corps ? Ils ne résonnent pas de nous mais de tout notre extérieur….Donc un réel prolongement de l’univers « personnalisé » à loisir…personnalisé comme nous…nos nerfs nous vivent…et ce n’est qu’après que nous vivons nos nerfs. Nous sommes toujours précédés du monde…

Mais s’ils ne disaient que nous, nos nerfs, le circuit sentirait, de bout en bout, l’éventé, le sur, le tourné, le renfermé…à la longue oui !!! La fraicheur toujours renouvelée du cosmos nous rend, à la différence, neuf de sensations !!!

Le diapason n’est pas nos nerfs il leur rebrousse, plutôt, tout le fonctionnement. Les impulsions sont reçues, visitées, vécues, vibrées, recueillies, fréquentées, palpées, tremblées, etc. par les nerfs Mais les nerfs n’ont pas lancé l’impulsion de départ !!! Tout les précède sauf la science du « cerveau sensualisé » (chaque pensée y devient sensation) !!!

Nous « recevons » donc le monde nous ne l’émettons pas. Il nous est donné d’un seul coup tout entier. En fait, quelque part, nous n’avons rien à « voir » avec lui…notre vision ne le dirige pas mais est dirigée…Sur cette trame exacte du créé et de la créature - nous ne devançons jamais la création…mais nos « créations », en fait, « répondent » à ce grand extérieur plus immense que nous ne pourrons jamais imaginer…et ses sollicitations volontaristes ou ses impulsions neutres ?  (autre débat !!!)…

Comment pourrions- nous donc envelopper ce qui nous submerge, nous dépasse, nous encercle de partout ? Absence de réponse ? Heureusement que ressentir parait sans limites. Même si, dans ce « sans limites », il y aurait, aussi, une part de virtuel ou d’imagination…du moins est-ce prolongé et persisté jusqu’aux confins de tous les horizons. Et au- delà même…combien infantile, alors, transparait l’attitude du ben$êt qui – au nom de la raison – bannit le ressenti…se priver d’une partie du réel n’est qu’une gesticulation infantile…puisque les sensations, émotions, sentiments et pensées nouvelles générées par ce « cerveau qui peut tout simuler » existent vraiment. Donc le ressenti est une vérité à traiter avec attention…et à habiller d’une méthodologie particulière…pas encore inventée ?

Nous « recevons » donc le monde nous ne l’émettons pas. Il nous est donné d’un seul coup tout entier. Il est toujours avant nous et devant nous…notre vision ne  dirige rien de lui mais se dirige vers lui…Sur cette trame incontestable du créé et de la créature - nous ne devançons jamais la création, nous ne la procréons pas nous sommes procréés…et nos « créations », en fait, « répliquent » à ce grand extérieur plus immense que nous ne pourrons jamais imaginer…l’univers fait le script et nous le déchiffrons seulement !!!

Tandis que le diapason demeure un des stylos possibles !!!

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

            tous ces posts sont bien reliés à une pensée globale

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

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