DANS LES TÊTES IL N'Y A PLUS QU'UN FILM AVEC UNE BANDE SON…
Car ce sont toujours tous les corps qui en crèvent. Le corps toujours en société sauf lui- même. La société c'est tout les corps sauf eux- mêmes…C'est donc des esprits. Peut- être de beaux?
DANS LES TÊTES PLUS QU'UN FILM AVEC UNE BANDE SON BIDONNEE…
-- Mais de quoi peuvent-ils être si fiers tous ces gens? Parce tout de même, du plus riche au plus mendiant, tout est minable, mesquin, petit dans leurs vies ?
-- Comme ils ne parlent pas en vrai aux autres, ils ne sont au courant de rien du tout… ils supposent … ils supposent …peeepppposent que les autres ne les écouteront pas – (puisque si peu se parlent pas vraiment) - mais qu'ils pourront faire semblant de converser…donc ils "sacrifient" tout familles, enfants, le meilleur d'eux-mêmes, la beauté et toutes les qualités, le partage social, les 3/4 de la vie (quel impossible "réalisme" !!!) juste pour dire: on consomme on consomme, on défend les contreforts du confort. Faux confort sans réconfort…
-- ils te bégayent c'est pour le bien être, c'est pour le bien être- mais de bien y'en a aucun (que du mal à qui ils ont ouvert la porte, auparavant, bien hermétique! Aucun "bien être" ne peut reposer sur leur "mal avoir" !!!!), de bien y'en a aucun et d'être encore moins. Ils continuent à tout sacrifier pire que du temps des religions dites barbares, mille fois, dix mille fois pire. Oui c'est de ça qu'ils sont si fiers.
-- Nous pas! Et nous sentions la santé, physique, mentale, morale, sensuelle, affective ou émotion, tant ruisseler en nous…Nous sommes sur le toit du monde. Tout l'univers nous veut du bien. Sûr alors, qu'il n'est pas très fier, lui, ni très content d'eux… Oui c'est de ça qu'ils sont si fiers.
-- Si les temps changent, le vent nouveau va leur arracher tellement leurs masques répugnants qu'il va ne leur rester que leurs squelettes tout époussetés
-- Si nous avons enduré tout leur enfer, c'est bien pour plus aucun geste de bonté n'aille plus vers eux. Ils vont disparaître en sachant qu'ils auront tout fait pour que personne ne puisse jamais leur venir en aide: pas de plus terrifiant échecs !!!
je comprends c'est de ça qu'ils sont si fiers!!!
…pendant ce temps là, la métier à tisser des goûts et des couleurs faisait doucement tourner la Terre. Si fraîche, si pleine de notre eau. Notre eau. Ce plus lent mouvement de notre corps. La vie a cette lenteur et le ventre de la femme vit au même rythme que la vie. Nous, hommes ne serions rien qui sautons à moutons au-dessus de nos sexes, gros de la vie d'un instant…car oui, comment gardons- nous cette vie qui nous fit jouir ? Ecrasée dans les villes, dans les œufs carrés des immeubles que nous couvons dans l'espoir de celui qui nous dirigera mais vers où donc? dans l'attente de celui qui nous sauvera ah bon! de nous-mêmes ? pourquoi ne pas le faire nous- mêmes, alors, quelle inadmissible attitude d'enfant capricieux, na voilà!!! qui gâche toute la splendeur immense pour un désir de 1 millimètre cube…Sauve qui "peut" n'est-ce pas ? Lorsque bien aplati entre la frigidité de la t'es laide vision et les machines à faire des vindicatifs objets pour tuer tout l'humain…ö si tu te réveillais de ce cauchemar que sont les villes à fric…
Car ce sont toujours tous les corps qui en crève. Le corps toujours en société sauf lui- même. La société c'est tout les corps sauf eux- mêmes…C'est donc des esprits. Peut- être de beaux?
-- Mais pourquoi après avoir fait sa toilette s'affuble-t-on de toilettes ?
-- Il ne faut pas vendre la peau de chat avant de l'avoir touillé…
-- Chapeau!
-- Quoi que tu fasses, tu vois, moi je te découvre – chef!
-- Tant est foulard que la mode a toujours la mode d'être moderne
-- Tu m'amuses ma muse…mais ne te rappelles–tu pas cette nuit quand nous dansions dans le corps de la ville, comme nous l'avions re cueillie…et maintenant, que toutes ces foules foulent, tristes habits, les habitudes d'habiter; pour qui les villes seraient faites, qui les ont faites – l'on s'aperçoit toujours mieux qu'elles ne sont pas faites pour l'homme…toutes ces guerres à angles droits, ces politiques à 180 °, ces formes coupantes, ces coins de rue pour soulever les cités – toute cette haine qui scie la Beauté ronde des regards. Si la Terre est ronde et sa jouissance seins fesses lèvres yeux doigts dansent les plus belles courbes, comment peut-on écorcher les dunes sèches des paupières avec préméditation du couteau des villes ? On n'ose se retourner tant on vacille sous la serpe horizontale des toits buildings-dong- ding-dong cheminées: tout est cubes secs pour voler la vie courbe…Vraiment, faut-il avoir un cerveau détraqué pour aimer tout cela et, de l'œil dominant au faîte de son édifice, "croire" que ça peut être un pouvoir.
Aux volets dévalés leurs corps ne sont jamais joyeux, ils n'exultent même pas quand s'en branle le chambranle inter- loquet dans ces villes pour robots géants. Vraiment de non montrables esprits. Oui vraiment…qui produisent un million de fois plus d'efforts pour s'entêter à ne rien changer, plutôt que d'en fournir un très petit tous les jours…oui, où trouver, où trouver ces villes qui nous apprendraient que la Terre est ronde ?
-- Ô la tête ME tourne comme tourne la Terre…
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à but non lucratif freethewords.org , onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, LE ROMAN DE L'ECONOMIE, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.
Résistance au changement Implique changement de la résistance