Dédiés

Qui n'a pas vécu la "légende" ne peut savoir qu'il existe des manières d'être connu qui sont très douloureuses. Des rencontres. Des flashs. Des succès. Et puis comme un mur invisible qui vous empêche d'évoluer. Vous ne vous butez (uniquement dans le domaine des rapports inter-individuels, s'entend) qu'à beaucoup d'incompréhensible…

C'est, qu'entre temps, il s'est passé différents phénomènes…ayant vécu le flash en très direct, un certain nombre d'individus se sentiraient comme salis, diminués, spoliés, volés, trahis, etc. (la panoplie des émotions varie avec chacun-e mais le résultat injuste est la : fermeture !!!)…le but devient, alors, que personne d'autres ne vous connaisse plus, ne vous découvre…du moins par leurs efforts direct. Au cas où il y aurait de nouveaux visages ce ne serait, alors, qu'à la faute à pas de chances…à ce point ? Plus encore !!!

Dans ces rapports ici décryptés entre les individus et qui (comme pour l'essentiel!) nous reste immensément inaccessibles (la société ne s'occupe pas du tout de la vraie réalité – tout juste de quelques minuscules plans)…vous avez la pulsion cachée de prendre les oripeaux apparents (juste les soi-disant "reconnaissances" qui peuvent s'inverser, si vite, en disqualifications, aussi, trop exagérées…) mais sans le labeur lourd qui va avec. "S'amuser" comme activité unique et primordiale qui a cramé trop de cerveaux…pénible de voir des adultes qui "s'amusent", objets devenus creux toujours sans aucune joie…vous avez aussi l'individu qui prend tout ce que vous faites comme destiné à lui/ elle seule. Et qui vit une vie secrète pleine de possibles rancœurs renouvelées – vous n'êtes pas comme sa poupée qui doit obéir à tous ses ordres (screugneugneu)…comme il/ elle vous admirerait vous lui devez plus qu'absolument tout…et tous ces types "d'inversions" qui ne surgissent que bé hé tiens! on n'apprend les rapports "humains" dans aucun lieu d'apprentissage. Quels oublis étourdis !!! surtout pour qui en est devient "étourdi" de tous ces coups inattendus !!!

Mais c'est bien la définition même de la "légende" (enfermer quelqu'un dans ce qu'il/ elle n'est surtout pas)…et vouloir "ignorer" les conséquences de ces actes…

En fait tout ceci n'a strictement rien à voir avec les œuvres. Mais alors rien du tout. Que cela scandalise de voir toutes les attentions détournées de l'essentiel. D'où, l'explication fiable qu'il n'est vraiment, utilement, parlé d'une création qu'après que son auteur ai disparu. Autrement, que d'aspects absolument oiseux et nuisibles qui empêchent d'y comprendre quoi que ce soit. Que le drame se reproduise, identique, à chaque siècle c'est que bien souvent, disparu, il n'est pas compris grand chose. Donc du vivant on n'en parle pas du tout et après on en parle mais à côté. Quel gâchis des talents !!! Il reste tellement plus judicieux de profiter de la présence vivante du créatif qui peut vous aider, efficacement, à éclaircir nombre de données…Elle/ il a vécu pleinement son expérience. Ce n'est pas un cachet magique que vous pouvez avaler sans y penser – stagnant dans le seul rôle de consommateur de tout toujours. Mais un trajet que vous pouvez RACCOURCIR (grâce à l'écoute attentive et honnête des pionniers) jusqu'à la vivre la votre d'expérience. Qui vous corresponde…et vous fasse rejoindre les splendeurs "gratuites" (comme toutes les qualités inépuisables) dans lesquelles déambulent ces clairs pionniers !!!

Or que voyons-nous (des millions de spectacles, de communications, de techniques, après) – à part les créatifs – strictement personne n'a avancé. Tout cela pour rien ? Barricadés dans des blockhaus d'inactivités qui ne pourront jamais accéder au nouveau ( qui reste imprédictible et inconnu) et n'ayant que, si rarement, la bonne attitude envers qui transmet…Quels gaspillages irresponsables de milliers d'efforts des créatifs pour retomber dans la même ornière a-individuelle (sur laquelle l'arriération qu'est le capitalisme prolifère) …Et tout le monde se plaint de ce que (presque) tout le monde a contribué à mettre en place…oui à cause d'exigences stupides comme de n'apprendre que du connu or nous n'apprenons que ce que nous ne connaissons pas. Logiquement.

Exigences déplacées qui font naître toutes les perversions actuelles – demander l'impossible afin que le possible qui est bien à notre portée devienne impossible, ne jamais rien vouloir connaître de la vraie hiérarchie du réel (quels sont les actes déclencheurs, comment articuler les infos entre elles, qui sait vraiment penser, etc), et, si nous l'ignorons, par précaution, diffusons, au maximum, tous ceux/ celles qui apportent du nouveau, le futur nous en sera reconnaissant…encore, appeler improprement utopies ce que se montrent si réalistes (mais n'existent qu'en humbles germes) et marteler que ce qui existe (malgré l'avis de l'énorme majorité) devient comme l'unique preuve de sa légitimité à persister (ce qui représente une utopie destructrice oui ou non ?)…etc…etc…

Donc un filet sournois, tissé d'abord par des admirateurs, peut nuire énormément à quelqu'un (e) sans qu'il/ elle n'y soit absolument pour rien…

Comment est- ce possible ?

C'est qu'alors que les créatifs en tous genres (nous ne parlons que des authentiques!) ont immensément évolués, les publics sont toujours aussi figés dans leurs tyrannies ignorantes. Combien peuvent vivre de tout leur corps les trajets de créations, les efforts, surpassements, trésors d'inventivités que cela nécessite…les obstacles genre comme le réel résiste comment s'y épouser dans ses forces ? Sans aucunes connaissances charnelles de la hiérarchie des valeurs de chaque ACTE créatif (obstacles, ingéniosités à tous les contourner, économies de moyens)…Etc. Et malgré cette évidente disproportion le spectateur (dressé et manipulé à être et rester tyran) va juger. Oui 1 000 fois plus sévèrement que n'importe quel juge rigide, en plus…Se privant (nous privant) avec ce droit barbare qu'il s'octroie de tirer sur tout ce qui bouge (plus réac, rétro, facho fera-t-on mieux ?) - de tant d'œuvres étouffées dans l'œuf…La majorité semble contre les " paradis fiscaux " – mais beaucoup, paradoxalement, sont pour les " paradis spectateurs "…

Ce nouveau concept de " paradis spectateurs " ne s'aborde mieux que sur la réponse sincère à ces questions ? Aimez-vous par vous-mêmes ? Par vos propres goûts ? Par le partage honnête et réellement produit de l'expérience ? Preez-vous des risques pour vos découvertes ? ou – tout au contraire – vous n'êtes qu'influencé-e ? Petits soldats au garde à vous des ordres ? Ordres de qui ? des médias dominants appartenant à ce que vous prétendez détester le plus, pourtant – donc vous obéissez aux ordres sur qui faut admirer ou non et vous arrivez à détester (sans aller même vérifier) qui a le même ressenti que vous aidant au maximum qui vous détestez tant – quelle incohérence de méthodes, spectateur trop déchu, qui devenez, objectivement, l'ennemi de tous vos amis véritables, sinon un immense changement (par le soulèvement de tous les amis du monde!) serait DEJA survenu depuis longtemps, vrai ou faux ?…

Admettez – que dédier, dédicacer, ne peut aller à aucun spectateur*** (tyrans d'âges révolus), à la plupart des nommé(e)s amis des réseaux sociaux, à qui ne vit que dans des rapports de pouvoirs et de dominations…toujours prompts à humilier, rabaisser, semer des malentendus, refuser toute discussion, se déguiser de langages conformistes…etc…bref, toutes celles et ceux trop célébrés (à tort – puisque sinon des changements réels auraient lieu – or, même pas un tout petit changement, non même pas un minuscule – ce qui avoue (sans l'ombre d'un doute !) que ces trop célébrés – surtout comme nos libérateurs et émancipateurs - font tout pour renforcer l'ordre existant – sinon au moins un tout petit changement, vrai ou faux ?)…

*** " La société du spectacle " est devenue La société des spectateurs…vous auriez une autre explication solide qui tienne bien la route ?

C'est que dédier c'est spécial !!! 

Dédier tel dédifférencier surtout de dier du latin dedicare consacrer, le prouver par une dédicace…oui de dé-dier non dé dié…vu l'origine étymologique, dédier se montre comme, des retirer de dieu (dédie-u), tous les éloges pour les vouer à quelqu'un d'autre que lui, dieu, à une individualité… dédifférenciée alors de se voir dédiée…ce qui appartient tant à dedans que dédier…ce qui dédalise tout dédale de malentendus comme de calomnies, d'ailleurs…

Après cette démonstration (qui nous arrache complètement  des mains des monstres dé-monstres- ations ) – tous nos vœux 2012 n'iront, exclusivement, qu'à qui se sont trop faits calomniés, persécutés, encombrés, traités si déloyalement, non relayés, obstrués de diffusions équitables…etc…etc..

et par…

à la fois, tous les pouvoirs en place  et leurs oppositions, à travers leurs représentants "officiels" – ce qui construit tout de même une coalition anormale – ainsi que les spectateurs aliénés (si cajolés par le système – mais qui nous emplissent de toujours plus de répulsions !), qui prennent, par exemple, les réseaux sociaux comme des jeux de massacres et non de constructions d'unités et d'actions véritables !!!

Nous dédions ainsi et ne nous en dédions…

Beaucoup de qui n'avait jamais rien reçu va, enfin, recevoir …

Et beaucoup de qui, de n'importe quel milieu, de n'importe quelle mentalité, qui avait trop reçu (vu les non-changements réels et la clarté qu'ils volent, donc, la place d'autres) ne  vont plus rien recevoir du tout…

                                   Changements intensifs de toutes les communications !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 (à suivre)

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité", onglet 4  "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? etc), onglet 2.

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

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