Depuis quand sommes nous, étourdiment, séparé(e)s de la Terre ? (1/:3)

Publié le par imagiter.over-blog.com

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Se hissant hors de la Nature, comme d'une mer, s'en ébrouant comme brouette, les pores de la peau ne furent plus ports aux ondes nourricières de la Nature, celle qui fait de tout esprit une volière de sensations sensationnelles. La peau se mura et l'homme se ferma à la Nature, ce qui ne s'abstient point de dire que si cette pièce communique avec l'autre c'est par la porte sensible… Et il ne semble, d'ailleurs, pas que dans le Palais de la Réalité nous ayons pensé une seule fois à changer de pièce. Alors les portes….

 

L'idylle de la vie ne s'écoulait plus que dans les chambres à part et les vignes eurent, vite, odeurs de sueur : l'ivresse n'étant jamais parfaitement chambrée, équilibrée. Cette répercussion de la percussion de la Terre dans tous les corps se mourant aux lumières. Tamisées des dites pensées, nous n'étions plus guère traversés des rythmes de vie…Nés de cette terre et de cette vie, nos esprits demeurent des émetteurs-récepteurs, qui de l'infini au micro Scope, peuvent user de ces procédés d'amplifications sur un écran (ta réception hospitalière) par rétablissement du son (images cinétiques), préalablement déformé à la prise de son (ou de vue), et du micro scope progressant dans tout le visible. Cette mentalité toute espace où le Temps n'est que tempo, rythme régulateur de la vie bruissée sans intermédiaire aucun, que le simple fait de tourner avec l'univers, d'en être tout lové dans ses moindres organes. L'univers se diffusant clairement dans tout, il ne pouvait se trouver aucune raison, devant de telles splendeurs, d'empêcher la tête de tourner le corps, la tête "me tourne" jouissait la chair onctueuse…

 

L'homme et l'univers vibraient même vie et la Nature était leur lit. Pourtant, dans la Grande Course, tout cela s'altéra, se décomposa en mince décor puisque seul le bruit martelé et haletant de la Grande Course emplit, bourdonne les oreilles, le corps battant, tout palpite de l'intérieur vers l'extérieur, prêt à déborder si la peau interne ne l'en empêchait, cognant aux tempes et en lissant les échos rebondissant du sang. Le Temps comme ce persistant présent, se dépliant, s'élargissant toujours plus loin, loin tain de son lac d'espace vers toi renvoyé, le temps tel ce rythme plein de vie façonnant le corps - devint la perte creuse de ses pulsations rythmeuses, ce qui sonne comme pétrissantes. Le plat miroir ne te renvoyait plus que ce que tu voyais.

 

Et si, depuis lors, le Temps existe, comme il est su, c'est que tu "l'attemps", sinon le temps ne serait qu'une des qualités de vie, une de ses longueurs d'ondes. Et à trancher tous ces fragiles et graciles tresses d'ondes qui le reliaient à toute la Nature, l'homme s'isolait lui-même de l'électrique bain ambiant, courants électriques partout communiquant comme traînées de poudre de l'univers à tout l'univers. Comme cette vie en nous où il n'y avait aucune place, mais aucune, pour un "moi" d'aucune sorte, cette vie totale et pleine (comme si la vie était pleine de nous !) bifurquant devant le miroir ombilical non tranché. C'est-à-dire de l'autre côté du miroir se trouve la vie pleine de vie, de ce côté ci toi plein de vie.

 

Tu ressens que l'épaisseur immense de cet infini présent, miré et admiré, te permettrait de la paître à travers tous les tempos percutés et répercutés du Temps comme à travers tous les tains des lointains. Ton corps baignait dans la Nature comme dans lui-même : sa nature même était de ne point sentir de différence, la vie soufflait sa force régulière en lui et l'esprit faisait corps, le corps-esprit avec cette jouissance du miracle miré.

 

Quand le corps dans sa nouvelle architecture tectonique baissa le son de sa ruche cellulaire, la Nature le quitta en ce clair quitte ou double. Ce qui doublait ta vie de volume, de rythmez, d'espace, de sensation était bien la Nature, la spirale double telle hémisphères gauche et droit du cerveau rebondissant en hémisphère nord et sud de la Terre, qui parvient à cette chair, océan cellulaire idéal pour le soleil. Pivotant et se retournant comme un gant, la rotation de ce croisement racé de l'espace-temps formait comme le miroir de ton corps,

mais cette rotation pénétrait aussi ton corps, s'y laissant glisser…

selon les courants et les…

 

formes de ton eau…

 

Comme vous le feront ressentir quelques unes de nos plus récentes techniques, sur ce blog : "Sourire vos digestions", "Comment l'œil vous respire l'univers ?", "Parfum parfait", "S'empreint d'embruns", "La vaporisation du moi", "La bibliothérapie ? Les livres guérissent !!!", Quelles formations ont suivi les transformations ?","Vous est-il arrivé de regarder votre estomac ?", "Les points d'appui ?", "Rideau d'eau", "Détectivé ?", "Quand naissons -nous ?", "Mimétisme comme unique raison", "se perfectionner à la perfection…", "L'infini partout autour de soi", "Les échanges affectifs d'infos", "Dans danse", "La gratitude est le paradis lui-même", "… intelligentil", "Tant d'instants ?", "Elle excelle", "Les profondeurs de l'usage du cerveau ?", "Empreintes", "Un regard pour autrui", "Rendons le futur plus fort", "Reposer le repos d'une question", "Qu'est- ce qui vous amène à vous amener ?", "Toute la spiritualité ne serait que spirales ?", "Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu'imaginé""Tribus", "Piller les roupillons", "S'organiser autour des organes", "La réalité est complète", "Tri et trois ?", « Butiner le but », « La queste des questions », "Objectivité de la poésie", "Esprit libéré et esprit encombré ?", "spirer et conspirer", "Essaie de dormir !", " Trio vainqueur – sentir, sentiment, senti- mental !!!", "La Forme à (absolument) tout faire ?", , "Comment garder des sensations de qualité ? (1) (2)", « Efface le face à face que reste- t-il ? » ou bien "La communication qui n'a jamais appris la communication réelle" ? etc. – oui encore etc. En bref, quasiment tout vous serait caché ? Sans doute ! vous pouvez le vérifier sur le blog "Lorsque ne plus savoir admirer tourne à la maladie" (1) un blog a obtenu un titre à part " A votre égard tout sera égards". Grâce à qui ? Toute l’histoire du rire en 5 textes. Aussi, "Comment le développement personnel tourne au savoir- faire révolutionnaire ?" du 9 juin 2011…Encore, voir le blog du 16 septembre 2010 « Simuler votre cerveau vous offre toute la réalité » ou comment notre cerveau peut être un véritable magicien à votre service, etc…

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

 

 (à suivre)

            tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

 

trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,  onglet 1  "Les mamelles du repos", " Remue- ménage" et "L'athéâtre",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou bien "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" et "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou, encore, "Présent !", onglet 3 "La diction du dictionnaire" ou comment rendre tous les mots physiques", et  "Rien de plus solide que le solidaire", sinon,  onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement      Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

La façon d’écrire se nomme infini respect

 

Si ce post a su retenir votre attention dans les 2 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

 

 

 

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