Donc les trop riches créent des richesses juste en en prenant beaucoup ?
Beaucoup d'individus, pourtant, en semblent convaincus. On ne pourrait nous passer d'eux. Mais à examiner, attentivement, les comment en s'attribuant une grosse part de la création collective de richesses (par le travail) les trop riches en créeraient – là rien ne va plus. Un dessin ? – essayés tant et tant. Aucune flèche directionnelle ne colle. Les prépositions de coordinations, aussi, dansent la gigue. Bon, le trop riche prélève TROP et ne peut créer assez de richesses pour les autres, puisqu'il en emporte trop …C'est le principe des parts de gâteaux : si je prends la moitié je ne "crée" pas un gâteau plus grand pour les autres – mais tellement plus petit…Le choc de PIGER que 1 % de la population perçoit plus de 50 % du P.I.B. fait plutôt songer à de l'illégitime détournement de richesses collectives.
Ils ne peuvent créer le P.I.B. – ni l'alimenter - puisqu'ils le détournent toujours plus illégalement !!! La population de 99 % doit se partager le restachou qu'elle a amplement contribué à créer. Par son travail. La sociologie économique a "prouvé" que ces salariés créent leur part de consommation, qu'ils se créent bien un pouvoir d'achat concret. Et que les soi- disant élites font tout pour lui enlever (pas pour l'augmenter de la sorte), le réduire, lui rabioter, lui sucrer, lui voler de son pouvoir d'achat qu'il avait bien créé, au départ…
Seul le travail crée des richesses. Faut donc que ce 1% en produise plus que 99 %.
Tout le monde, même les arriérés de droite, admet le "partage des plus- values". Alors qu'ils hurlaient si fort que Karl Marx "rêvait" lorsqu'il parlait de plus- values (rappelons que Marx n'a jamais été marxiste et que c'est se ridiculiser que de réécrire l'histoire à l'envers, le faisant, si improprement, vivre en 1917 et même après …en pleine affabulations de lieux qu'il ne connaissait pas !!! etc.). Karl Marx, en économie, s'est peu trompé sur le global fonctionnement d'icelle. Donc partage des plus- values (puisque enfin elles sont admises à exister) ne peuvent prendre que le P.I.B. comme axe à complètement transformer !!!
Tel n'est pas du tout fait. Depuis 1975, il n'y a plus du tout partage des richesses, des fruits de la productivité de tous…et de la valeur ajoutée par chacun. Vous nous devez déjà 15 % de ce P.I.B. (depuis 1975). Là (en 2013 et depuis 30 ans) 1 % de la population perçoit plus de 50 % du P.I.B. - clair qu'elle va devoir restituer CE TROP perçu à la richesse collective.
Ouf ! Je commence à mieux comprendre. S'ils prennent beaucoup moins, nous allons toutes et tous devenir un peu plus riches. La pauvreté généralisée à 2 000 € par mois c'est ce qui contient le plus de possibilité, qui coûte le moins cher de toutes les alternatives et qui sème la prospérité dans toute la société sans oublier personne…Je commence à mieux comprendre. C'est, seulement alors, et alors seulement, qu'ils créeront la richesse de tous EN EN PRENANT BEAUCOUP MOINS. Oui oui je commence à mieux comprendre.
Et vous ?
(à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ".
Résistance au changement Implique changement de la résistance