Economiser, économiser – mais pour qui ?
En tout, et avant une vraie réflexion, le réflexe c'est "économiser"…oui mais pour qui, comment, pourquoi… ainsi tout transformer en gagner toujours plus d'argent (jusqu'où ?) et économiser sans plus rien écouter – vous fait perdre toute posture de rationnel… Mais pour qui ? Est-ce que toute la société en profite de ces excès de gains et de ces économies si "abusives" ?
Savoir placer les quelques questions RATIONNELLES remet tout dans le contexte global…Et là, patatrac, repatatrac, la plupart des discours officiels se dégonflent. Plus que flasques : absolument rien dedans. Des mots flous, très généraux – toujours placés hors contexte. Hors tout rapport avec le réel entier : par rapport à quoi ? avec quelle fréquence et intensité ? à quels taux ? etc. …au point que la seule question "pour qui ?" fout par terre 90 % de ces leurres de discours…déficits – pour qui ? austérité - pour qui ? coût du travail - pour qui ? socialisation des pertes - pour qui ? salaires abusifs - pour qui ? etc…
Face à une appropriation exagérée des trop riches sur les biens collectifs, sont mis en place des budgets d'austérités…ah oui austérité sans ces trop riches, causes majeures des déficits. Et qui les augmentent encore plus lorsqu'ils prétendent les assainir…etc…Faire des économies, alors, ne se fait plus sur les BONNES PERSONNES…oser une austérité qui évite les trop riches n'est plus se montrer plein d'intellectuelle rigueur avec la rigueur…et "économiser" y perd toute sa légitimité. Ce n'est plus un acte rationnel, une pensée logique, une attitude adaptée, un processus cohérent et intelligent, une idée sensée ou une garantie prudente – ce n'est plus qu'un acte irrationnel, une pensée absurde, une attitude incohérente, un processus stupide, une idée insensée ou une garantie imprudente…juste afin de camoufler que ces gesticulations ne sont destinées qu'à transférer, en fait, toujours plus de notre argent vers les trop riches…
Il ne peut y avoir d'économies réelles, ciblées aux bons endroits, si les crises se multiplient, si les déficits augmentent, si les dettes enflent…et – parallèlement, si les dividendes explosent, si les gains Cac 40 grimpent sans cesse et si les profits deviennent "abusifs"…la coexistence simultanée des 2 échelles opposées reste impossible s'il n'y a pas – en même temps – transbordement, enlèvement, chargement, glissement, oui passage de l'une vers l'autre…
Auquel cas il n'y a absolument pas économie – des économies réussies inversent une situation de déficits un fois pour toute. Or, sous la présidence précédente, il y a eu le tiers de plus de déficits ( + 600 milliards d'€ sur 1700 milliards de déficits en fin de mandat) et le tout AVEC DES ECONOMIES DRACONIENNES…ce qui est tout de même une gageure…depuis le début de la V République il n'avait pu être accumulé qu'un peu plus de 1 000 milliards …et là presque un doublement en 6 ans (1800 milliards en 2013) ??? Ce n'est donc pas la muleta agitée des "économies" qu'il faut regarder…mais vers où elles glissent. Dessiner la carte précise des fleuves monétaires qui ne se dirigent pas vers le comblement intégral des déficits, etc…Vérifier l'équivalence des gains abusifs du privé financier avec ces "économies"…vous remarquerez que, suite au référendum en Suisse, sur les salaires "abusifs" et les atermoiements sur les "bonus", il n'est jamais effleuré que tous les gains boursiers sont, eux, des ABUS complets…Il n'est que de comparer la carte de la spéculation (sur les changes, les indices des actions, les produits dérivés, etc – et ce à chaque seconde, la spéculation !!!) et celle des échanges réels et vous trouverez une immense montagne écrasant un si mince liseré…avec des spéculations QUOTIDIENNES qui, en moyenne, dépassent les 2 000 milliards de dollars …et le volume d'économie réelle ANNUEL qui atteint tout juste les 10 000 milliards de dollars…
là – demeure le principal site où de vraies ECONOMIES peuvent être réalisées…
en une seule journée vous y supprimer le déficit annuel français…
en moins de 2 mois plus aucun pays du tout n'est endetté…etc…
…un solide programme d'économies promptement bouclé, oui ou non ?
…n'est ce pas assez parlant ?
en fait c'est toute cette "Economie" qu'il faut "économiser"
…oui s'en passer intégralement !!!
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
"on ne peut vraiment aider quelqu'un en le laissant tranquille"…Frank Zappa
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale
trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu
ec