ECONOMISER L'ECONOMIE
Economiser l'économie. D'aucuns trouvent l'économie si complexe, qu'en toute inconscience, ils l'abandonnent aux seuls experts. Peut-il y avoir un savoir expertisable, "à part" du réel, en économie ? N'avait-il pas été clarifié, par Cornelius Castoriadis, que l'Economie ne peut être une science mais juste "un savoir practico-empirique", on repère en amateur telles relations, telles autres, on essaie de reproduire, mais c'est comme de jouer aux dés (soit ils sont pipés soit vous ne les contrôlez pas!). Par ailleurs, il a été fait Nobel d'économie qui ose avancer que "l'Economie c'est à 70 % de la psychologie". Si l'on suivait son raisonnement, l'économie n'existe donc qu'à peine. Et pourtant cette chose si peu éclose et même pas individuée (pour la définir il n'est référé qu'à autre chose), ce savoir tout pataud et maladroit (qui fonctionne à coups de tâtonnements), représente la plus dangereuse des activités humaines. C'est une forme de terrorisme en sourdine. Au point, que c'est la principale menace sur la survie de la Terre (donc la nôtre)…
Les dirigeants de tous poils entièrement ankylosé(e)s dans le passé inactivé, dans des réflexes et des pensées clairement inopérantes et dont la vacance n'appelle que des catastrophes, voire égaré(e)s dans des enfantillages auto-référés – ne sont plus du tout à la hauteur de la situation. Zombifié(e)s par des pratiques suicidaires (spéculations boursières etc.) ils ne conservent plus que le risque exponentiel d'entraîner l'Humanité à sa perte. Que pouvons-nous y faire, en contre-feux, dans l'immédiat, sinon "économiser l'économie" ? La contourner, l'encercler et la phagocyter, apprendre à s'en passer, lui échapper et l'esquiver – voire l'empêcher. Une des sources de son fleuve n'est ce pas la relation avec la santé: "épargner" c'est ne pas ôter la vie, c'est ménager la survie d'autrui ? C'est un soin qui préserve, protège, prémunit, soutient et garantit – que la vraie économie. Cette claire puissance de l'économie était bien reconnue au XVIII ème siècle, avec sa hiérarchie si "raisonnable" où vous trouviez au sommet et en englobant obligatoire "l'économie de la Nature" puis, en sous-sous système, entièrement dépendant et ne pouvant participer à sa propre hégémonie, "l'économie humaine". Quelle pondération par rapport aux hystéries actuelles !!! Ce seul et unique cercle de la raison qui ne peut qu'exclure l'inconsciente et maniaque religion qu'est le capitalisme doit, à l'instant, tourner partout. Son but nécessaire se profile de nous "épargner" et prémunir de toute atteinte de l'économie virale. Plus aucune politique ne doit pouvoir se centrer sur ce périlleux irrationalisme (l'illégitime capitalisme). Et toutes politiques de se focaliser sur le social, le collectif, l'associé-té, sur comment vivre ensemble en multipliant les autres plutôt qu'en les amoindrissant ou bien parvenir à ses buts en nuisant le moins possible aux autres et à la planète, etc. L'économie folle n'est plus qu'une prédation suicidaire dont on se méfie toujours plus. Il faut tous nous extraire, et avant-hier, de ce monologue pathogène.
Devant la marginalisation extrême de tous les sommets qui les dénude tels des êtres devenus complètement incompétents au réel et tout égarés grave dans les irréalités. Qui les rend si dangereux pour la collectivité, la démocratie du nombre ainsi que la majorité "écrasée" et non écrasante (qui ne fait plus que subir ces esprits détraqués). Oui, nous devons clamer qu'il existe plus d'une alternative à ce système déjà fini, terminé et achevé. Ne reste que la durée que met la lumière de l'étoile pour nous en faire prendre totale conscience. Ainsi, lorsqu'un Obama parle de "la civilisation du profit" que seraient les USA, nous captons que le profit est anti-civilisé tout comme il ne peut structurer aucune société. Donc la précision donne : "la barbarie extrémiste du profit". C'est une "activité" (sic) de marginaux et la collectivité entière ne peut réellement y participer. Sinon comme vache à lait: comment profiter dans le vide? Ca ne se peut que sur le dos de quelqu'un (de beaucoup?). Exactement, comme pour le fait qu'1 terrien sur 7 environ possède une voiture, et que, uniquement, parce que les 6 autres ne se précipitent pas en avoir une ce 1 peut encore circuler. Tous les terriens une bagnole plus de circulation possible: allez-vous piger un jour la réalité ? Si tout le monde "profitait" il n'y aurait aucun "profit". Le "profit" n'est qu'une indigne possibilité structurelle qui exige à fond qu'une minorité "vole" la majorité. Au sens fort, il n'y a pas de "création de richesse" et nulle métaphysique n'est parvenue à faire surgir cet "argent venu d'ailleurs". Soit, illégitimement, des inconscients "profitent" des biens et services gratuits de la nature et de l'univers (et si malhonnêtement sans les dédommager) soit il n'y a que parasitisme sur l'argent des autres. Vous dites les deux !!! Cumul ! C'est donc que seul le parasitisme des sommets est efficace et, d'ailleurs, depuis les années 1980 fonctionne à plein rendement. D'où la Terre est en grand danger: ce sont les sommets qu'il faut engueuler et invectiver à donf. Ils dysfonctionnent et foutent la perturbation partout. Si donc un Obama se montre effondré, détruit, ravagé par des délires pathogènes comme ce nocif "profit" irréaliste – imaginez les autres ! Concours d'immaturités et de puérilités chez tous les dirigeants ? Au lieu d'économiser l'économie: plus de profits individuels possibles, juste rééquilibrer les comptes, pouvoir "durablement" continuer, répartir les richesses jusqu'au point où cette nouvelle économie ne pourra plus nuire à la planète. Mais la préservera et la protègera "durablement". L'obligation d'un "revenu d'existence" pour toutes et tous participe, ainsi, à plein de cette économie économisée (non dépensée et donc non gaspillée ni gaspillante: la seule "soutenable"!). Ce qui en persistera résiduellement ne pourra répondre qu'aux besoins réels (pas artificiels) de tous et en aucun cas au profit personnel (cette impasse qui fait mourir tout lien social dans l'inutilité d'un riche "à part", étanche et sans vertu diffusante)…
Multiplier tous les accès aux alternatives flamboyantes à ce système forclos et obsolète (dont il faut accélérer l'achèvement). Si vous avez tenté d'avoir des conversations autour de l'Economie vous avez expérimenté, alors, le manque d'esprit pratique, de pensée globale, de conscience des conséquences réelles de toute "activité", comme de ressentis du concret – chez la majorité de vos interlocuteurs. Jamais nous avions eu autant besoin d'êtres réalistes et jamais il n'y a eu une telle concentration de grands délirant-e-s insonconscient-e-s sur la planète. Nous sommes contraints d'innover, en proue des prouesses, afin de leur rendre la santé mais sans les traiter en malades C'est donc à l'aide manifeste de petites fables que nous parviendrons à percer "le mur des complexités". Voulez-vous en tenter l'expérience ?
Première approche, première métaphore. A chaque rotation, un petit coup de bénéf mais bézef pour qui n'est pas dans les rotations. Comme une machine à laver qui pondrait des pièces à chaque tour ou tel un dard qui attrape le pollen et le répartit jusqu'à en tapisser toute chose - vous avez bien la sensation de la "rotation". A chaque tour ça "rapporte". Mais ça ne rapporte pas à qui n'est pas dans les rotations. Vous sentez bien cette mécanicité de l'ensemble, tout comme vous ressentez l'aspect cumulatif - cumulatif comme boule de neige - qui se trouve dans ces "rotations". Aussi, s'agit-il de saisir que ce ne sont sûrement pas les "rotations" qui sont critiquées mais bien le fait que tout le monde ne participe pas aux rotations. Voyons comment ce système de rotations discrédite absolument ce système comme irrationnel.
**** En France, nous sommes 84 % de personnes à avoir la télé tout comme il y a 84 % de salariés, y a-t-il corrélation, ce n'est pas le lieu de l'éclaircir. Jusqu'en 1960, ces salariés recevaient leur paie en liquide et les banques avaient un "coefficient multiplicateur" de 2. Puis, tous les salaires furent virés, sur des comptes bancaires, ce qui permet aux banques, aujourd'hui, d'avoir un "coefficient multiplicateur de 5". Qu'est-ce "coefficient multiplicateur" vous demandez-vous ? C'est le fait de faire "tourner" l'argent disponible de la banque et, avec ce "système de rotations" (tourner), en "ramener" des sommes bien plus consistantes que ce qu'elles représentaient au départ. Nos dépôts font crédits parce que nos dépôts servent pour des placements dans l’intérêt exclusif des banques. Il y a d'autres circuits de rotations et c'est le cumul de ces "rotations" qui crée le "cumul" aussi des enrichissements. Alors qu'un tel système pourrait parvenir à une très bonne redistribution. Tout simplement en plaçant un (des) "handicaps" à qui a déjà cumul d'avantages. Comme cela les effets mécaniques des rotations (l'argent qui tourne, vous savez celui, aussi, "que l'on gagne en dormant") "descendraient" toujours plus bas dans la Société, au lieu de demeurer, frileusement, comme pétrifiés, collés, scotchés au sommet.
**** Bon, voyons, dès lors, ces mécanismes. Nous recevons, salariés, notre paie sur notre compte bancaire ou autres. Sur ce compte, un certain nombre de prélèvements se font automatiquement. Vous aviez aussi (récemment) les "dates de valeur" : si c'était pour vous, à votre avantage, ce n'était crédité que plusieurs jours plus tard ; si c'était contre vous, en votre défaveur, débité quelques jours plus tôt. Nous avions là, mieux qu'en laboratoire, une illustration parfaite de dissymétrie : au lieu que crédit et débit soient symétriques ils sont distordus dans deux sens opposés. Ces distorsions voulues (il y a une décision derrière) provoquent un système de "rotations" unilatéral, monté, drainé, dirigé, contenu, destiné à une seule partie de l'entier "circuit économique". Il y a circuit économique parce que toutes les sommes d'argent détenues par les ménages ou les entreprises parviennent à des points de contact précis. Et que le système de "rotations" détourne tous ces flux (aux points de contact) à son seul profit
*** Nous allons voir que ce n'est pas seulement juridiquement indéfendable, mais, aussi, que c'est économiquement faux. Les salariés reçoivent leurs salaires en fin du mois. Donc leur patron quel qu'il soit, même l'État, est le débiteur du salarié au début du mois, peu débiteur au début du mois, il le devient de plus en plus au fur et à mesure que le mois s'écoule. Dans cette mesure, les salariés sont quasiment toute l'année (sauf les jours de paie) "créditeurs du système". Tout comme sur la livre anglaise est inscrit, et en toutes lettres, le logique que la Banque d'Angleterre vous doive la somme scripturaire inscrite sur le billet, puisque le billet est un "endettement" de "l'institut d'émission" envers la population totale, nous sommes tous créditeurs du système. Le capitalisme c'est, justement, cette "encre de seiche", cette confusion totale, cette désinformation permanente, qui doit masquer qu'un petit nombre s'approprie illégitimement (aucune loi ne le leur permet) la totalité du système. La hiérarchie du concret est simple : ils ne peuvent pas se passer des "créditeurs " du système, nous, par contre, nous pouvons nous passer d'eux. Le système devient accessible à toutes et tous. Puisque idem pour le loyer : vous le payez en début du mois, vos propriétaires vous sont extrêmement "débiteurs" au début du mois et, puis, au cours du mois, cela diminue. En bref, les propriétaires sont tout le temps les "débiteurs" des locataires, sauf le premier jour de chaque mois. Ce qui n'est jamais décrit - et qui pourtant correspond à une nécessité pour "l'économie logique" des théories explicatives (ici, "économie" est un terme scientifique soulignant la nécessité d'avoir descriptions, argumentaires, faits, coalescents, qui "tiennent ensemble")- c'est ce qu'il peut bien être fait de ces distorsions ? Pendant que votre patron, les collectivités territoriales, reste votre "débiteur", il fait "tourner" la masse salariale et lorsqu'il paye à la fin du mois, la masse salariale qui a "tourné" lui "rapporte" un certain pourcentage. Nous allons voir comment il est si simple d'inverser cet état des choses.
*** Parce que les salariés en plus d'être les permanents "créditeurs" du système connaissent une "activité" monétaire figée. Les prélèvements se font malgré lui (le salarié), comme les dates de valeur...etc Tandis que le "savoir des endettés" apprend ceci : lorsque vous utilisez à fond les dates des cycles vous accédez à une miniature de système de rotations : déposer en urgence tout revenu sur le compte bancaire et payer toujours le plus tard possible vos factures, essayer les paiements échelonnés à 0 %... Vous venez d'inverser le système de distorsion des "dates de valeurs" (clair aveu de la réalité du système de rotations) et l'avez abondé, ainsi, en votre faveur. Les avantages sont plus variés qu'il n'y paraît : le recul des dépenses et l'avancée des rentrées annule ,souvent, les "agios retard", et autres effets "boules de neige"...etc Ce qui permet de saisir en quoi un "avantage" est "immérité" : l'avantage rapporte toujours 2 fois un désavantage fait perdre le double de ce que l'on s'imagine. L'écart entre avantage et désavantage est non de 2 mais de 4. L'inégalité fonctionne géométriquement, c'est même l'explication du pourquoi les écarts n'arrêtent plus d'augmenter. Le sommet reçoit, mais sans mérite, toujours des chiffres plus grands et les pauvres restent coincés dans des chiffres toujours aussi restreints, toujours aussi peu maniables. Une civilisation rationnelle et solidaire saurait, en très peu de temps, inverser cette "machine à inégalités croissantes" qu'est le capitalisme antidémocratique. Nous venons de vérifier avec le système de "rotations" cette vérité : le patron ne vous paie pas et de la masse salariale il en profite sur votre dos puisqu'il ne vous reverse pas une partie des gains sur ce qu'a rapporté votre salaire placé pendant un mois. Donc 2 avantages au lieu d'un : profiter de votre salaire pour en "extraire" un peu de jus et utiliser cette plus-value sournoise pour augmenter son avoir. En dissymétrie, vous vous recevez votre salaire avec retard et ne percevez rien sur ce qu'il a rapporté en "tournant".
**** Système de "rotations" oui, dites-vous et les preuves ? Le simple fait que l'on puisse "recycler" l'argent "sale" prouve, pour le moins, qu'il y a "cycle". Décrochées des abstractions, les "rotations" font vivre en direct, comment l'argent "tourne" et où et pour qui est-il détourné du "cycle" entier. Puisque qu'en est il fait de cet argent dont nous avons décrit les "rotations"? Par exemple, il sert à payer les intérêts des prêts. Aussi, le vrai héros du système économique capitaliste est le salarié. Nous venons de voir comment son salaire sert à d'autres. Mais, plus encore, s'il emprunte, il paie tout, intérêts et capital. Et lui seul ! Le héros complet. C'est que ce salarié a un compte cloué, immobilisé, figé, stoppé sans aucune marge de manœuvre. Il supporte au maximum tous les points de "ponction" du système. Il lui est sucé de partout. Tandis que les participant(e)s au système de rotations se font peu "ponctionner" vu qu'ils n'arrêtent pas de ponctionner les autres. Ponctionner par le système impersonnel des "rotations". Leur compte est libre, il augmente le pouvoir "multiplicateur" de chacun de ses francs. Pour un salarié, un euro lui "coûte" en fait plus d'un euro et ne lui "rapporte" rien. Pour le capitaliste un euro lui en rapporte beaucoup sans qu'il n'ait d'autre mérite que de bénéficier (au détriment des autres) du système de rotation restreint. Comme pour la relativité il suffit de faire passer du restreint au général, et nous englobons bien mieux tout l'univers. Pour notre vie quotidienne, nous offrons la réponse à la redistribution.
*** Voici ce "système de rotations" schématisé : j'en ai parlé longuement dans un de mes écrits cités au chapitre X. Ici, il s'agit de souligner en quoi le système de rotations augmente les dissymétries (créatrices, aussi, par "effets pervers", du chaos social) sur lesquelles vit le capitalisme, parasite d'un système qui le dépasse (aussi bien, n'y comprend-il rien) : l'économie des besoins. N'est-ce pas que le système capitaliste, lorsqu'il est replacé dans le diagramme de l'histoire, semble, soudain, comme un système restreint dévolu à l'intérêt d'un petit nombre et tout à fait incapable de répondre aux besoins du plus grand nombre ? Une illustration va nous en être apportée par son fonctionnement. Le capitalisme se perçoit d'abord, comme la main mise sur la production, la production sera dirigée. Mais que faire de la production ? Le point faible du capitalisme est la consommation, entièrement basée sur le bon vouloir des citoyens. D'où le versant destructeur de la manipulation permanente axée sur la désinformation et l'effort de rendre le consommateur fou, soit plus intéressé du tout par la réalité.
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Ce qui demeure de plus adorable dans les fables c'est qu'elles aient une "morale". La morale comme ce qui "permet" que tout finisse bien. Donc le germe et le tronc de tout un arbre ? La morale ici est splendide. Si le capitalisme était une vraie "success story" nous vivrions dans le système de "rotations" généralisé (et plus restreint comme la lourde bêtise actuelle l'impose). Imaginez tout le monde bénéficiant à plein du pollen rotatif. Mais ne serait-ce pas la fin fonctionnelle (et non-violente) du capitalisme ? Du même élan, vous pigez que le capitalisme n'est que le détournement, par des marginaux très minoritaires, d'effets tout bête de structures? Les rotations ça multiplie par 5 vos mises, oui, mais uniquement parce que vous "tournez" sans cesse et que vous empêchez les autres de "tourner". Ni génie ni prouesse: que du minable et du piteux! Un exemple de généralisation de rotations ? Votre salaire, dès le début du mois, serait versé sur un compte bloqué et participerait à toutes les formes de placements: à la fin du mois, vous récupéreriez l'entier salaire plus tous les rets d'intérêts générés pendants ce mois. Nous pourrions, alors, vérifier ceci: soit le système de "rotations", qu'est dans le plus concret le capitalisme, permet l'accès de toutes et tous. Soit il s'effondre sous ce poids. Et nous prouve que le capitalisme ne peut exister que pour la minorité de marginaux capitalistes. Soit l'anti-socialité maximum !!! Oui la claire barbarie anti-démocratique ! L'humoristique morale glorifie que, dans les deux réponses, le capitalisme est perdant et vaincu. Fumisterie et connerie indignes de figurer dans le futur de l'Humanité. Yes, dans les deux cas, l'illégitimité du capitalisme devient archi connue, très célèbre et célébrée…En conséquence, tout concourt, actuellement, à sa fin. Pressons donc le mouvement du bout du but.
(à suivre)