Effets de langages
Si seulement beaucoup de gens/ citoyen-ne-s avaient conscience que depuis, au moins 2 décennies, tous les pouvoirs ne tiennent plus qu'à un fil. Au fil des effets de langages. Pas plus, sur le fond. Vous n'intériorisez plus (avec le background émotionnel, affectif ou symbolique, qui va avec) – ils tombent. Tombent à fond les caisses. Retraits sur les retraites. Traites pour tout le reste: on vient tout retirer, à la seconde, tout ce qu'ils nous avaient volé. Croyez-vous, elles/ ils sont beaucoup moins coriaces que vous pourriez le penser (nous les avons vu d'assez prés comme de suffisamment prés pour le confirmer!). Juste accrochés…nous vous surlignons. Secouez bien, ça tombe…
Accrochés…
Comme vous pourriez le faire, par millions, dizaines de millions et plus, en transmutant "leurs" effets de langages en "causes" de toutes les conversations. "Tu causes tu causes et tu sais pas ce que tu causes!", arguait le bar tabac. Ouaiiiippp tu causalités, qui resteront accrochées toutes à tes basques.
Comment peut-on ressentir un premier ministre qui se déshonore jusqu'au trognon, en alignant, à la fois " je suis ouvert à toute proposition " et "il n'y aura plus d'autres concessions" (traduit en je suis fermé à toute proposition !). "On peut toujours discuter, essayer de trouver des solutions", insiste-t-il, chutant dans encore plus de bassesse. C'est très exactement qu'il vient de refuser! Tout, chez eux, n'est plus qu'effets de langages. Lorsque, sur les bulletins de paie du public comme du privé, vous hallucinez sur "charges patronales" (pour exonérations patronales exagérées ?) et le funeste, défavorable, dépréciatif, puisque extrêmement malhonnête "cotisations salariales" (puisque trop clair que vous ne récupé(re)rez jamais "vos" cotisations versées, au montant prêt !). Alors que le bon sens, qui n'est que prés de chez vous – pas de chez eux – souligne que c'est "charges salariales" et "cotisations patronales" (pour les forcer un peu à les verser et plus vite que ça! Depuis 2009 nous "savons", preuves à l'appui, qu'ils sont les parasites et qu'ils coûtent bien trop cher à la société: faudrait, peut- être, secouer leurs rigidités corporatistes, leurs refus de toute progres-sion sociale, leurs archaïsmes insupportables sur leurs revenus qui ne peuvent, qui doivent "évoluer". Un peu de flexibilité, que diable! Flexibilités absolues "sur" les courbes exagérées des revenus exagérés des riches exagérés, qui doivent (c'est la loi implacable du social, de la survie de l'Humanité et de la protection de la planète, hey stupid! Tu disais faut plier, fais en, donc, la démonstration!)…
Clair ? ou bien on ?
Tout le langage se voit ainsi perverti par cette partie la "moins utile à la société" (selon Adam Smith, le prétendu fondateur du capitalisme qu'il décrivait ainsi: "tout pour moi et rien pour les autres"!!! drôle d'éloge pour un soi- disant fondateur! c'est dire que personne ne veut (n'a voulu!) fonder l'absurdité barbare capitaliste: c'est tout! c'est éclatant !) – soit les riches exagérés. Vérifiez partout, en toutes langues, tous les livres essentiels le disent limpidement: les riches exagérés sont causes majoritaires des malheurs sociaux. Actuellement, ce sont eux qui polluent le plus et pas qu'un peu. Une moyenne, très pondérée, fait état de 12 000 fois plus qu'un africain et 34 fois plus qu'un éléphant. Soit des pointes telle que 1 riche = plus de pollutions que 700 000 africains ou qu'une harde d'éléphant: là aussi c'est très exagéré…
Un petit zoom sur sa vie "réelle" un très gros sur ses effets de langages. Nous pourrions résumer en "on inverse tout": le trop riche ou bien comment tout se trouve, soudain, à l'envers. Comme tout le monde à repéré qu'est poursuivi, avec trop de zèle, le minuscule dealer de rue mais que les énormes trafiquants reçoivent des invitations flagrantes de la part des financiers, des médias et des politiciens: sacré cumul!). Identiquement, les endettés seront harcelés, pas les endetteurs (sans qui pas d'endettés). Sera traqué le travail au noir pas le capital au noir (sans qui pas de travail au noir et qui constitue, selon Michel Foucault, 90 % en valeur de toute la délinquance: quel manque flagrant de logique dans la pseudo "lutte contre la délinquance"!) qui recevrait même des "médailles". Etc, la liste se montre trop longue: suffit de piger le mécanisme entièrement "créé" par des effets de langages.
Autrement, scientifiquement, varier tous les points de vues (soit vérifier toutes les hypothèses) paraît réaliste. Dans la société détraquée par les trop riches, toute méthode scientifique se voit, très brutalement, bannie: l'irrationnel et l'incompétence règnent partout. De la sorte, des agios démesurés lors de vos découverts – aucuns intérêts retards lorsque de gros organismes publics ou privés "tardent" à vous payer vos dus! Des effets de langages font, aussi, gober "prêts" pour de la monnaie scripturaire (uniquement écrite sur du papier, celui des registres bancaires) alors que c'est vous qui "prêtez" (ils ne vous le rendront jamais!) puisque vous remboursez ce faux prêt par du vrai argent. D'où, avec les spéculations – toutes frauduleuses, faut-il le rappeler ? à se demander s'il faut nommer les banquiers, braqueurs de banques ou financiers ? – les coefficients multiplicateurs des banques sont passés de 2, en 1960, à plus de 5, en 2010. Sens des affaires (sûrement pas: le "coût global" des gesticulations insensées des financiers est, tout simplement, démentiel: les placer sous tutelle judiciaire est devenu plus qu'urgent!!), grand banditisme plus certainement. Tout autant que les "aides" des pays développés (sauf sur les photos du réel!) aux pays pauvres se "visibilisent" comme ceci: en 2010, les flux monétaires persistent à aller du sud vers le nord. En français courant, cela s'articule en: les pays "aidés" "aident en réalité" les pays non aideurs (qui ont l'arrogance pitoyable de prétendre les "aider"!). Mais pillards et illégalement abuseurs de toutes positions dominantes. Avec la rétroactivité juridique, la "dette" de l'occident" envers le reste du monde est telle, qu'en un seul éternuement, plus de misères, disparitions de toutes les racines de tous les malheurs, fins des causalités destructrices. Etc, la liste se montre trop longue: suffit juste de piger le mécanisme entièrement "créé" par des effets de langages. Au niveau international, de la politique ou de l'économie, ce qui se dévoile le plus c'est que les déshonorés dirigeants des trop riches ont, toutes et tous, une parole de putes, sans valeur et décrédibilisée, escroqueries verbales, trahisons linguistiques et mensonges béants, en représentent tout le résumé rhétorique.
Vous percez, sans cesse de mieux en mieux, que, seuls, des effets de langages travestissent et dissimulent l'horreur absolue et scandaleuse de leurs exactions, pillages, spoliations, et autres crimes économiques: sans le fait que vous gobiez tous leurs mots, ils seraient, déjà, en tôle !!!
Autre angle d'approche sur tous les effets de langages: d'où si quelqu'un ose vous dire "ce ne sont que des mots" sûr et certain qu'elle/ il n'est ni très propre ni très net! – les médias! La purulence verbale y est telle, que la plupart des aventuriers reculent de terreur et d'horreur. Nous pas! Nous frôlions les énormes manifs…Procédé récurrent des médias régionaux, journaux en particulier (dont nous avons infiniment honte tellement leur avilissement sent à distance) ce sera toujours l'insulte, la bave, l'agressivité, le mensonge, l'injustice (bref, la hure du gros truand! celui qui devrait recevoir toutes les réprobations!) style "calmer la grogne sociale". Cette désinformation flagrante (puisque les mêmes peu recommandables torchons quittent la "grogne" lorsqu'il s'agit de punir, excessivement, la peccadille d'un adolescent! Ils sautent sur le pilonnage démesuré!) constitue une voie de fait, un crime frontal contre la déontologie, un scandale impossible à étouffer. Sans entrer dans le lynchage médiatique (justement, y'a qu'eux pour pratiquer ce crime contre l'humanité!) , il s'agit de mettre la pression maxima sur tous ces traîtres à la parole. Qui ne survivent, toujours plus frauduleusement, que par des seuls effets de langages. "Calmer la grogne sociale", rien que ces 4 mots pourraient ruiner tous les journaux (procès répétés en diffamations et manquements flagrants à la déontologie sur l'objectivité minima)… "Calmer la grogne sociale": "calmer, comme face à des enragés, des détraqués qu'il s'agit de mettre sous sédatifs (et les fous furieux des bourses ils font quoi pour "calmer la grogne financière" ces journaux si peu thérapeutes ?). La grogne sociale, soit une diffamation grave, soit une provocation à la guerre civile (dans les deux cas, en les attaquant en justice, les journaux y perdraient tout!). Puisque ces ennemis clairs de la majorité insultent, frontalement, les législateurs et les juges qui ont maintenu "le droit de grève". Si ce droit est légal, les motifs de faire grève tout autant (qui va faire grève sans motif valable, dites un peu ?). " Grogne" signe que les manifestants n'ont aucun droit de faire grève, d'être là, voire d'exister. Que tout en eux se montre illégal. N'est- ce pas laisser les fous dangereux de la presse semer la discorde partout…La désobligeance péjorative est excessive: les citoyens sont en colère, ils se dressent contre les injustices – ils ne grognent pas, ce ne sont pas des animaux. Cette phrase dégradante (une parmi d'autres) ne devrait plus passer. Procès sur procès contre les rédacteurs en chefs voyous: assez de ces gangsters suant l'incompétence. Obscénités, outrages aux "bonnes" mœurs, impudeurs en public, maquerelleries, etc peuvent se rajouter à ce très nouveau circuit de réprobation tout entier dirigé contre les médias…
Ne jamais oublier, qu'eux seuls, pendant plus d'une décennie, nous ont matraqué, harcelé, pilonné, abasourdi, hurlé les prouesses des golden boys, des traders et autres pitoyables boursicoteurs qui ne vivent "que" sur l'argent des autres. Nous avons vu le scandaleux résultat. Tous les médias qui ont fait l'apologie trompeuse de ces parasites sociaux devraient payer les dommages et intérêts. Clair que s'il n'y avait pas eu le volontarisme forcené des médias, il n'y aurait pas eu la crise systémique de 2009: avec bénéfice, pour l'entière société, les bourses seraient restées "marginales" comme avant 1982 – un temps bien plus rationnel. Et tout cela uniquement par des effets de langages !!! En attendant, les médias seraient très avisés de changer de 180 ° leurs machines à réprobations. Ils forment le secteur social où peuvent exploser le plus de scandales, tellement l'ensemble de leurs comportements a ressemblé plus à du grand banditisme qu'à toute autre attitude saine.
Vous ne vous rendiez pas compte à quel point des effets de langages façonnent toute la société (sinon il n'ay aurait aucune superstructure possible!). Sachant cela, ayant pratiqué cet apprentissage, jusqu'à la moindre cellule de vos corps, vous devenez aussi capables de percevoir à quel point il demeure facile d'abolir des effets de langages? Faut commencer par les abolir dans vos têtes, le reste suivra.
(à suivre)