Emasculations : apprendre en s’amusant ?
Un savoir plus qu’inutile alors ? Châtré comme un retour au bambin terminal…un savoir infertile, asexué où l’hypostase de « s’amuser » à pris toute la place…comment peut-on adhérer à de telle sornettes ? Un savoir qui s’apprendrait « juste » en s’amusant ne peut se dire… « sérieux »…et RIEN dans l’offre capitaliste, par extension logique, n’est SERIEUX… une vaste loufoquerie parasitaire !!! de la poudre aux yeux…une tromperie généralisée, en somme…
…tromperie et sur les vertus « omniscientes » de s’amuser…dormez et vous saurez. Ne faites rien et vous aurez tout. Ne vous focalisez pas sur apprendre et vous vous imbiberez…comme par magie…ne dirait-on pas, d’ailleurs, un langage religieux que cet « apprendre en s’amusant « ? Une litanie cérémonielle ? Oui oui exactement le « marché des indulgences » ? …non s’amuser c’est se délasser, comme dé-lasser, sortir des lassos lassants des fatigues – pas s’ouvrir aux escaliers de l’effort vrai qu’est apprendre et comprendre …
Puisque apprendre SANS comprendre (prendre le tout à l’intérieur de soi) n’est rien et qu’un amusement ne peut qu’y flotter superficiellement…et ne peut, vraiment pas, appartenir au circuit de l’effort soutenu d’apprendre…puisque, encore, apprendre c’est apprendre que l’on ne connaît pas ou pas encore. C’est commencer de comprendre…comprendre ce que l’on n’a pas compris. Et que masquer cette ascension douloureuse c’est omettre :
*** Le travail de mémoire – recollecter ce que l’on sait déjà et le… « garder » en mémoire vive, actuelle, instantanée…
*** C’est planter les piolets de l’analyse pointue et grimper avec ces piolets
*** C’est rester bien concentré sur le but, tel une tête chercheuse, un profil de perceuse ou de vrille…
*** bref, c’est tout un labeur, une besogne, une activité de fond, un ouvrage qui se façonne et que – dans ces conditions – le ludique ne peut rester qu’une aide pédagogique, un soutien didactique …soit une sous- sous catégorie et non le système englobant lui-même…oui oui, exactement comme le capitalisme ne peut être qu’une sous- sous catégorie vassale du réel et non le système englobant lui- même qui est L’ECONOMIE DE LA NATURE…temps de faire rentrer ces malades irrationnels dans le rang de la Raison, non ?
En temporaire conclusion : un savoir qui s’apprendrait « juste » en s’amusant ne peut se dire… « sérieux », pertinent et profond…et RIEN dans l’offre capitaliste, par extension logique, n’est SERIEUX du tout…
Nous allons donc nous en « séparer » de ce capitalisme frivole et évaporé…
…en nous…amusant…
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
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