En rester là ?
Le plus grave problème (comme un caillou récalcitrant dans la chaussure) de nous tous/tes c'est que faire ? Que faire à son niveau devant l'enchevêtrement apparent des problèmes ? Là, tout de suite à la seconde. Avec des moyens simples ? Dans le blog "Lorsque folies individuelles et nationales se rejoignent ?", du 19 octobre 2012, nous avons plutôt vu les impasses blessantes comme réponse à cette problématique. Telles "tout cela nous dépasse", bon on range dans un coin de la tête, on oublie carrément et on passe à autre chose (autre chose quoi ? tout choix de vie est barré, en 2012, par cette problématique à résoudre afin de juste survivre !)…Tant d"avalanches d'articles, reportages, livres, paroles, théâtre pour faire entrevoir "qu'un processus planétaire historique est en cours ( p. 231 - Michel Béaud - "Face au pire des mondes", septembre 2011)"…et que tout le monde, d'une façon ou d'une autre – doit choisir (demeurer inerte jetant les choix à la poubelle est, aussi, un choix !)…
Gravités gigantesques des enjeux et nouvelles responsabilités que nous devons prendre à la place des autoproclamés "dirigeants"
Tout le monde sait que nous arrivons aux limites au-delà desquelles notre survie n'est plus garantie, qu'il faut stopper net tous nos excès, etc…mais on peut l'"ignorer", dédaigner les faits, mépriser la réalité, et faire comme si on n'avait rein vu, rien entendu…ou prétendre que ça peut attendre – alors pourquoi hurler lors d'épisodes climatiques (neiges, tornades, sécheresses, pluies, temps imprévisibles, etc) si ça peut attendre – faut tout "subir" en…attendant ? Que d'autres vont s'en occuper : c'est, justement, ce qu'elles/ ils font en nous expliquant de prendre NOS responsabilités. Et d'accorder – en pleine réalité - "nos" 5 minutes quotidiennes pour la Terre en danger …
Ou bien "ceux qui acceptent de savoir et de se sentir concernés (tout le monde l'est – si la vie humaine n'a plus de futur aucun puéril rond de jambe n'y pourra rien !)…et supportent mal de se trouver désarmé(e)s et de ne pas savoir que faire (p. 231 - ibid.)."
Bon, le malaise face à l'obstacle prouverait, au moins, que nous l'avons détecté ?
"Mais il manque une conscience commune de la gravité et de l'urgence de la situation. Et trop peu ont compris que, face à eux, de Très grandes firmes et des intégristes de la science ont une stratégie opposée : miser sur de grandes catastrophes qui leur permettront d'obtenir carte blanche pour mettre en place leur gestion techno-scientifique de la Terre et du Vivant (p. 237 - ibid.)."
C'est bien que ces Très grandes firmes? depuis des décennies sabotent tout ce qui peut être fait afin de protéger l'environnement, faire cesser les gaspillages suicidaires des ressources naturelles, oui réglementer l'énergie, les transports, l'eau, etc.…Voir le blog "Miser sur les catastrophes ?"…leur choix terroriste est d'œuvrer à détruire la société, lui ôter ses défenses, ses capacités de réflexion et ce mise en place de solutions…et out cela pour l'idée maladive et morbide de S'ENRICHIR à fond PAR LES CATASTROPHES…
Si vous entendez que chaque pays a trop de problèmes intérieurs qui passent avant ceux du futur de la planète et – tout en même temps – que les individus, "très" conscients de la réalité, "font ce qu'ils peuvent mais à leur échelle"et…en restent là (comme ces nations très aliénées)…vous ne pouvez qu'être interpellé(e)s devant tant d'IRREALISMES.
Oui oui se donner bonne conscience (pas très défonçant de "faire ce qu'ils peuvent mais à leur échelle") oui à peu de frais coûte bien trop cher à la Terre. S'occuper d'elle – vu l'immensité de 7 milliards de consciences – ne serait-ce que 5 minutes par jour, c'est obtenir des résultats cumulés qui CHANGENT TOUT. C'est précisément dans la multitude des choix individuels quotidiens que se crée le vrai futur – pas dans les médias détraqués !!! Ne pas choisir, demeurer inertes d'égoïsmes, etc – sont des choix…nul-le ne peut y échapper en 2012 : il faut opter, prendre parti, prendre position, préférer, pousser, soutenir…or si les "jeunes, déjà blessés par trop de difficultés et de déceptions, se réfugient et se replient sur le "chacun pour soi" (p. 236 - Michel Béaud - "Face au pire des mondes", septembre 2011)."…cela aura plus d'impact que toutes les gesticulations faussées des adultes… Les folies individuelles et nationales se rejoindront tellement, alors, que ce sera l'explosion finale…
Alors s'en tenir là ? en rester là – c'est bien arrêter avant même le départ !!!
Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
(à suivre)
tous ces blogs sont bien reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org, onglet 4 "Nul n'est nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4 " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir " et "L'anticommunication comment ça fonctionne ?", onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie", onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3, Le Roman de L'Economie, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? s'il y a faim il a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
La façon d’écrire se nomme infini respect
Si ce blog a su retenir votre attention dans les 2 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu