Futur : le plus important à savoir en cette minute ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

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C'est parce que la pub parle de santé que la pub est bonne. Les marketings peuvent changer les comportements donc les marketings sont bons. Des légitimations de cet ordre chutent, malencontreusement, sur le point très clair : ils redorent leur blason sur le dos de la nature, de la vie, du bien- être ou du sport. Dans ce cadre, uniquement la nature, la vie, le bien- être ou le sport ont de la  valeur. Cela ne va pas jusqu'à la pub et le marketing qui n'ont que l'aura des valeurs autres. Un peu comme la pensée prélogique qui fait de l'acte de toucher un objet, une personne, un pouvoir. Un captage de la force…Et comme une source de revenu…

Sans de la nature, de la vie, du bien- être ou du sport – pub et marketing ne peuvent  redorer leur blason sur leur dos. La chronologie demeure limpide. La production réelle se voit séparée de notre connaissance par cet emballage dénaturant. Nous ne voyons plus que danse de la nature, de la vie, du bien- être ou du sport là où rôdent de solides calculs…

Les fondements de la société se voient quelque peu minés par de tels enfantillages, vous voyez, mon pov' monsieur. Là reste le drame. La problématique (ou l'art, aussi, de poser les questions qu'il faut !) n'est plus de s'enliser dans qui a raison ou tort. Mais bien – en ce moment – le niveau où se situent les préoccupations individuelles, les intentions de vie, les pensées, les opérateurs et pensées.

Or imaginez pub et marketing sans les faire-valoir de la nature, de la vie, du bien- être ou du sport ? Savent-ils convaincre par leurs seules qualités ? Par la seule vérité du message ? Par l'ampleur réelle des réalisations concrètes ?.Ils ont besoin de se planquer derrière, de flouter leur raison sociale, de se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, et cette manière intrusives et tyrannique de s'imposer – jamais se propose mais vous commander, ordonner et astreindre. Nous ne pouvions nous attendre à une telle colonne armée structurant les débats sociaux (nous sommes supposés résider en démocratie). Donc les fermant, les débats. Ou le tentant de les fermer… .

Par eux-mêmes, pub et marketing ne peuvent convaincre. Il leur faut passer par des déguisements incessants. Devenir, sans cesse, ce qui n'est pas du tout eux. Ce qui semble tout le contraire de l'honnêteté intellectuelle, non ?

Un peu, telle une métaphore de ce que nous vivons :
-   La difficulté de se décider à bon escient
-  La rugosité pour se faire connaître pour soi. Le spectacle veut vous affubler de ses étiquettes inadéquates et si pauvres de choix. Impossible de se faire reconnaître dans une telle fausseté oubliée – les habitudes ont patiné les traces que ceci c'est bien déroulé ainsi. Et que le monde qui nous entoure reste bien un MONTAGE (successions de petites décisions) qui a eu lieu il n'y pas si longtemps.
-  L'étrangeté que le niveau d'intelligence collective baisse. Que l'ambiance c'est du bien trop de puérilités et d'enfantillages. Les débats sont sabotés par les dirigeants mêmes. Pas assez de forces vies maintiennent la nécessité vitale de débats très exigeants. "Simuler" c'est le réalisme de la paix : en devenant exhaustif, nous éliminons une bonne partie du nombre des conflits. Les stoppant dès le début, ils ne peuvent plus progresser. Régressant, les ex leçons de ces "conflits" deviennent toujours moins audibles…
-  Pourquoi aussi peu de regroupements réussis. Au lieu de nous rassembler, nous préférons nous enliser dans des puérilités psychologiques, de caractères, d'apparences, d'oppositions factices entre nous. Ce qui renforce le système que chacun-e – SEPAREMENT – supporte aussi difficilement. Aboutir à rendre plus fort le système qui nous meurtrit c'est pas très réussi. Surtout que L'EFFORT DE SE REGROUPER si chacun-e le pousse. A différentes intensités. Va demander tellement moins d'efforts à chacun-e, pris individuellement.
-  Faute de réelle puissance d'unions politiques et sociales tous les projets se voient comme parasités, distordus, défigurés, déformés, transformés. Et se voient, si connement, crédités de peu de reconnaissance et remerciement pour leur efficacité. Alors que ces projets fonctionnent à la perfection dans un tout autre contexte. Plus vous êtes convaincus de la force de votre projet plus celui-ci devient convaincant. Ici, en plus, c'est de "notre" projet dont nous parlons…
-    Et tant d'autres émotions et sentiments – dont un excès de mutismes à leur sujet nous pèse désormais trop lourd.

Nous voulons vraiment parler du nouveau.

            Et – pourquoi pas – avec une nouvelle manière de parler…

dont des esquisses existent déjà dans les blogs "Le capitalisme est structuré comme un alcoolisme", "c’est bien le capitalisme punitif qui restreint la vie de tous", "Que paient les trop riches ?","Néolibéralisme – plus aucun rapport entre théorie et pratiques ?(1) et (2)", " On ne peut rien faire sans la croissance : sauf la répartir !", La fin du capitalisme par les cycles ?", "Plus la fiscalité est inégale plus ils la renforcent", " Nous tenir rigueur…ou le moratoire sur l'enrichissement", Le trop riche et le trop pauvre juxtaposés = fin du capitalisme ?", "Pétrifiés : un passé fantasmé !!!", "La concentration des revenus porte préjudice à toute l'économie"… "Comment on ne sait plus penser – agences de notation", "2001- 2011 : décennie des pires décisions ? (1)" "La vie toujours plus chère c'est bien le privé", "Ils vendent "tout" votre argent - comment ?" , "Empêcher les riches de nuire aux pauvres", "La main invisible a tort !!! (1) et (2), "Un libéralisme sans libéralités",  "Diriger un pays comme une routine paresseuse ?", "Ne pas prélever les recettes : actes d'irresponsables politiques ?",  "A quoi "sert" tout cet argent ?",  ou même"L'auto- élucidation permanente de la société par elle-même".

        Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
 (à suivre)

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits freethewords.org,   onglet 4  "Nul n'est  nul", onglet 3 "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), onglet 4  " La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir ". onglet 2 "L'ardeur sociale" et "Le roman de l'économie",  onglet 3  "Why do we left the left wings ?",  onglet 2  "Comment devenir un (e) athée du capitalisme". Et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE, onglet 3,   LE ROMAN DE L'ECONOMIE,  ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? etc),  onglet 2.
Résistances au changement      Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

Si ce blog a su retenir votre attention dans les 1 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on trouve plus que prévu

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