GREVES : la moitié manquante de la photo (2)
Lorsque ce sont des journalistes, ces hyper corporatistes à tendances ultra régressives, refusant tout progrès collectif, comme toute avancée sociale – qui parlent des grèves, y'a un problème juridique implosif. Ne produisant que du commentaire archaïque, ils parlent des grèves et manifestations comme s'ils étaient les alliés objectifs des citoyenn-ne-s, usagers et autres administrés, en saccageant, outrageusement, la réalité des mouvements. La moitié manquante de la photo montre que ce sont ces médias qui sont les ennemis identifiés de la majorité écrasée: sans eux, pas de bourses, pas de spéculations gangstérisées, pas de finances hautement irresponsables et pas de racket de l'argent public en 2009. Les médias se montrent très gravement responsables de la déchéance sociale "par le haut". On ne peut, à la fois, être juge et partie: les tribunaux devraient dessaisir les médias du "devoir d'information sur les grèves" pour fautes déontologiques graves. Et lourd passif de dangerosité sociale : la finance folle (et qui la soutient) représente un DANGER COLLECTIF mille fois supérieur à toute manifestation ou grève. Pourquoi la police n'arrête-t-elle pas les VRAIS gangsters de cette société ? Reste-t-elle, encore, juridiquement légitime ? Si les gens descendent dans la rue c'est, aussi, pour apprendre la loyauté et l'honnêteté aux médias trop déchus. Alors, 10 000 tons plus bas, escrocs déguisés en ex- journalistes lorsque vous vous adressez aux vrais "créditeurs du système".Yes jerrican ?
Un seul exemple de "crime contre l'information" ? Jamais de recadrage des motivations de ces grèves: les grèves ne surgissant pas en génération spontanée, une poly-factorialité de causes doit bien expliquer son émergence. Les grèves semblent même une réactivité à des coups portés "hors du cadre" ? Ne pas informer de la moitié manquante de la photo devient donc une insulte grave au drapeau de la déontologie. Qui peut comprendre un charabia uniquement antagonique (seule info!) basé sur strictement aucun fait ? Et tout gréviste devrait porter plainte, à la seconde, contre les médias pour escroquerie intellectuelle, non-respect de la déontologie et archaïsme corporatiste…Et effet, qui voit les comptes- non-rendus des grèves par les hallucinés ex-journalistes n'y perçoit qu'un incohérent magma de contes de fées, une irrationalité galopante, un délire dangereux pour notre santé: plus jamais la moindre parcelle de réel. Rien n'y tient plus la route, aucun dialogue réel ne pourrait faire durer cette bouffonnerie plus de 10 secondes et strictement aucun argument ne se trouve derrière cet énorme scandale à l'info…
Identique pour les manifestations où ces "détraqués visuels" semblent ne voir que les menus incidents qui, dans tous les cas, ne peuvent constituer plus des 2 à 3 % de la réalité globale de la manifestation. Donc, les grévistes ne font grève que pour perturber (infantilement, en plus!) un petit centième du cortège et pour "fournir" l'ultra scoop usé jusqu'au caoutchouc à ces ex-journalistes – quel esprit d'abnégation! Toutes les médailles du courage devraient leur revenir !!! Cacher 98 % de la réalité est un crime contre l'actualité, est- ce clair ? L'info n'est plus QUE PAR CE QU'ELLE NOUS CACHE MASSIVEMENT. C'est de l'info "négative". Ce genre d'info ne vaut rien du tout: la dévalorisation rebrousse même le temps…Lorsque ses propagateurs récoltent du rictus d'ultra méfiance…
Les circuits d'indignations et de condamnations changent, très soudain, de bord…Nous nous indignons, de plus en plus, contre les médias déchus et ne les suivront jamais dans leurs circuits de trahisons indignes. Nos cris de colère s'amplifient au fur et à mesure que le gigantisme de leurs trahisons nous apparaît…Ils perdent tout droit à faire de morale à qui que ce soit: devant leur porte, en effet, la putréfaction dépasse les kilomètres! En conséquence, nous les condamnons au respect immédiat de la déontologie: donc des réparations d'années de calomnies irresponsables sur les grèves et manifestations.
Total: les médias nous doivent 2 mois, 21 jours, 14 heures, 42 minutes et 10 secondes "d'information propre" ininterrompue sur la réalité causale des grèves.
A bas le people! vive le peuple!
Que, désormais, l'actu soit : nous vous dirons tout sur la moitié manquante de la photo…
Aujourd'hui c'est…
Vivent les grèves puisqu'elles semblent le coin qui, planté dans le bois de la réalité, démasque et démasquera les médias comme la moitié manquante de la photo – la partie qui nuit excessivement à la société. Pas les grévistes et pas les manifestants, en tout cas !!! Vive l'information libre !
Et trrrrèèèès bientôt une énoooooooooorme manif anti médias !!!
(à suivre)
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