histoires de rires - l'architecture d'ensemble (2/2)…

Publié le par imagiter.over-blog.com

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"L'avantage avec la réalité, disait Picasso, c'est qu'elle résiste". Vous pourrez bourlinguer (c'est même recommandé!) longtemps vous trouverez toujours, en occident, la pesante présence de ce qui n'est jamais dit. Le non- dit, le refoulé, l'inhibé, le caché, le planqué, le tabou – empêchent tout le monde de vivre à plein. Ainsi, des gens dits "simples" se montrent incroyablement compliqués dans leur fonctionnement réel. Une bonne fois, les êtres les plus épanouis demeurent ceux qui utilisent à fond leur intelligence (il en existe 7 autres, en plus de la "scolaire"!) et qui parviennent à un fonctionnement "simple" de leur vie. Etre simple n'est pas refuser toute complexité, tout effort, toute réflexion, toute écoute des autres – comme "bons" (!) prétextes à sa roublardise trop fainéante – c'est se maintenir, tout simplement, sans cesse, du côté des solutions. Et, en conséquence, vivre franchement sa vie. Ce qui n'est pas, obligatoirement, vrai de l'individu auto-déclaré "simple" qui peut, très bien, suivre un trajet tortueux, emberlificoté, embrouillé ou tellement trop compliqué. Y'a embrouille et escroquerie avec le coup "du je suis simple (pas vrai !) donc tout m'est permis" : non et non, qui est sciemment con n'est pas intelligent. La scandaleuse chasse à l'intelligence est terminée : les imposteurs se délabrent à TGV…Ainsi, maintenir les "blocages au rire"*** (voir en %%%Bonus %%%) représentent tout le contraire du simple bon sens, non ?

 

Etre vraiment intelligent ET sensible se prouve comme la vraie SIMPLICITE !!!

 

Et, nous, voici, toujours le rire tel un champ de blé en nous, face au blocage des "blocages des rires": le mécanisme central qui verrouille l'envie de rire. Le monde à l'envers qui empêche de capter qu'il n'y a rien de plus "sérieux" que de rire à volonté et pour sa bonne santé. Donc celle des autres. Qui voudrait d'une société apaisée et vraiment efficace ne peut qu'opter pour le rire généralisé. Par décision communautaire. Et toc ! Mais leurs solennités d'hypocrites ne s'effondreraient- elles pas ? Vous venez de capter "les blocages": ne vivons- nous pas une ère de "dictature des classes moyennes" ? Ainsi, sociologiquement, les médias dominants ne "représentent"-ils que 11 % de la population adulte totale. Nous n'allons pas nous étendre là dessus. Mais pointer ceci : cette dictature réelle se vérifie, chaque jour, dans le fait que celles/ceux qui "savent" vraiment sont balayés, sournoisement, des circuits de décisions. Les plus compétents, les grands synthétiseurs, les meilleurs, les plus emplis de bonté, les analystes les plus pertinents, celles et ceux qui n'ont ni la langue ni les yeux dans leurs poches, les percutants, les très joyeux (ricaner sans joie et rire de "bon" cœur participent à deux mondes complètement opposés!), les très généreux, les brillants partageurs, etc (etc. de nombreuses lignes encore puisque, malheureusement, la liste semble si longue pour devenir complète!) – toutes et tous exclu(e)s. La médiocrité de cœur domine. Et donc ON NE RIT PLUS : Cqfd !!! Plus d'imaginations vives, plus de solutions collectives. Etc. Cette pesanteur pompeuse forme bien l'air irrespirable où rire devient toujours plus difficile, non ?

 

                                                                       IV

 

Ne rien piger à comment le rire. Puis, ensuite, à pourquoi, le rire, il n'y a vraiment pas de quoi pavoiser…La (prétendue) civilisation occidentale qui s'y connaît en objets (industries, sciences), ne semble pas connaître grand chose aux vrais humains. A leurs plus simples fonctionnements. Et à leurs besoins fondamentaux: le rire demeurant un besoin indispensable, toute précaution - sans principe - eût, alors, été de se renseigner sur les "meilleures" techniques, non ? Patatrac! Boumbadaboum! L'occident semble très arriéré au point de vue civilisationnel.*** Il ne lui reste qu'à se mettre, sans faute et dans les plus brefs délais, à l'écoute et en posture de vigilance, par rapport aux autres civilisations…De quoi rire, finement, pendant très très longtemps. Ne voici pas que nous sommes en présence d'une civilisation auto- proclamée "supérieure". Nous auditionnons super rieur, nous n'avons, en réalité, entendu aucun rire!!! Est- ce parce que l'étymologie superus n'offre que "qui est en haut" ? Eh bien! si t'es haut, ris donc !!!

 

Cela devrait déjà être fait !! Et dans les grandes largeurs, les immensités de la générosité…ce rire qui "prouve" l'intelligence vraie…

 

               Leçon : l'Occident ne connaît strictement RIEN au rire salvateur…

 

Fallait chercher ailleurs …nous vous offrirons les voyages dans le rire UNIVERSEL dès les prochains épisodes !!!

 

            ( à suivre…)

 

 (****) par rapport aux si pesants et pompeux matons des médias, il est "interdit" de dire que ce seraient des "arriérés": cet article vient, d'abondamment, le prouver. Sur l'essentiel ils pigent que couic ! Hého, triple buse (pas encore interdit !) voir n'est pas savoir ! T'as vu, m'as-tu-vu, c'est pas pour cela que t'as pigé quoique ce soit. Tu es un poids mort, nous devons te traîner sans cesse, arrête donc de (faire) gober que tu aurais le droit de "mener" quoi que ce soit. Une nouvelle image vient de "chasser" ta brève lueur d'intelligence. "Interdit", idem, de dire "ahuris": devant les fantastiques "histoires du rire", c'est plutôt leur tronche, non ?

                                               Pourquoi ne pas le dire alors ? Etc.

 

                        %%%%% <<< REVISIONS>>> %%%%%%%%

 

 C'est que le "progrès", en Occident, manque de simplicité. En fait, c'est une régression HUMAINE permanente…Ainsi, en 1900, riions-nous, en moyenne, autour de 21 mn par jour. En l'an 2000, nous sommes passé bien au- dessous de la minute. En 2013, nous devons être à 1,8 secondes. C'est une moyenne, ce qui veut dire que si certain-e-s rient plus de 2 heures dans la journée, d'autres n'ont pas rit depuis 10 ans…ou plus. Comment de telles "inversions de progrès", de progrès à l'envers, de progressions négatives sont-elles possibles? L'amour de la réflexion s'étant perdu  faut toujours faire court (donc un peu faux). Une contribution comme animateur "d'atelier du rire" (méthodes plurimillénaires de l'Inde, décrites plus haut - on "déclenche" le faux rire en articulant les voyelles, immanquablement, une voyelle vous réussit et le vrai rire de se déployer ! ) a permis de détecter 3 blocages typiquement occidentaux.

 

Ce sont, traduits en français courant :

1)))  "Si tu ris tu te moques", une chape de perversions nous est tombée dessus. Beaucoup semblent plus acharné(e)s à détruire la joie des autres qu'à construire leur propre bonheur. Donc, en cette ambiance défavorable, il devient plus facile de saisir que rire présente le danger d'être interprété de travers. Le rire qui "moquerait" peut, ainsi, obtenir des gnons & co. Vous vous privez de rire de peur de la répression des autres. C'est malin, tout le monde dans le même bain, se conduit de façon aussi irrationnelle, pleinement irréaliste, et, assez cinglée. Une fois, pour toutes,  on ne rit que pour soi…

 

2))) ah non! vient nous bastonner l'opinion générale. "Pour rire faut un motif". Ah bon! A ce point ? Rire n'est-il pas le motif de rire ? Que non point, il doit être extra terrestre, au minimum, nous vous concédons qu'il siégeât dans le cerveau avec ce méchant petit hargneux qui nous donne ou non l'autorisation de rire. Ah non! alors, faut que la situation soit comique, qu'il y ai un mot drôle ou quelqu'un qui fait des grimaces. D'où les "écoles de rire" qui se contorsionnent dans tous ces sens. Désolé! ce n'est que la technique du diaphragme dès que "vous l'essayez" – qui obtient des résultats. Rien d'autre. Aucun motif ne fait rire: même immergé(e) dans une situation "définie" comme comique – vous pouvez (plus ou moins facilement) vous empêcher de rire. Ce n'est donc pas la situation qui précède le rire c'est uniquement si vous vous "autorisez" à rire. Pas de blocage à l'horizon: on fait semblant ça rit !!! Vous vous rendez, aussi, compte de la situation déplorable du "sérieux" en Occident: Ne pouvons- nous pas résumer, un peu trop, que ce qui y est décrété sérieux le semble, en général, si peu ? En "série" tout ce sérieux à la chaîne !!! Clair, en tout cas, face au rire, qu'aucune réelle gravité réflexive n'existe: ils font pas le poids !!!

 

3 ))) "Mais si je ris on va me prendre pour un(e) malade". Vous aurez beau dire que c'est lorsque l'on ne rit pas que l'on est malade, macache. La porte de prison, derrière laquelle est séquestrée la personne, ne s'ouvrira pas…

 

Le blocage fonctionnera tant que l'individu ne "voudra" pas comprendre la technique. Pas de plus stupidement obstiné(e) qu'un(e) occidental(e)…

                                   Technique, pourtant, "simple" comme

                                                                                                         bonjour

 

            ( à suivre…)

 

 

 

 

Publié dans sentez la santé

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L
<br /> grandiose - combien de sujets vous dominez ainsi de tant de têtes - vous êtes des maitres dans vos domazines - quelle clarté de vues merci<br />
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