Incohérences journalistiques…
Un journaliste de droite nous informe de la persistance inentamée de l’économie étasunienne. Comme « un système où les américains continuent de vivre à crédit sur le dos des autres "… Oui oui vous lisez bien « sur le dos des autres". Ce qui signe bien que c'est du parasitisme qui flirte avec de la délinquance que les U.S.A.. Que ce n'est pas du tout honorable d'être les pique-assiettes du monde entier, ses mendiants, solliciteurs et quémandeurs permanents…
Vraiment si peu digne et dépourvu de tout honneur. Si vous vivez à crédit faut bien un jour PAYER VOS DETTES. La simple exigence que les U.S.A. paient leurs dettes métamorphoserait donc la face du monde !!! Qu’il reste simple de changer les choses lorsqu’on le veut !!!
D’autant plus, que ce journaliste de la droite incohérente adopte une attutide hyper rigide lorsqu’il parle du banlieusard qui, d’après toujours ses propos, serait à l’origine de tous les dysfonctionnements du monde, notamment financiers. Voire boursiers…La perte de fiabilité dans la trame des causes et effets, impactages et réalité, attitudes déclencheuses et postures de subir, etc – aboutit à ce que nous ne pouvons plus avoir confiance dans le regard détraqué de ce journalisme. Ses infos sont « pourries »
D’autant que ce toujours confus journaliste semble trouver très bon ce système où les américains continuent de vivre à crédit sur le dos des autres . Ce qui cause la misère et la souffrance de milliards d’individus (sur le dos duquel ils vivent) lui semble le sommet de la « réussite ». Parole de chez pillard. Personne ne peut imiter le système de big parasite U.S. (preuve qu’il n’est pas transmissible !)….Et ce mode de vie « négociable » (et plus vite que ça – on ne voit pas que ce soient des surendettés qui font la loi !!!) se montre comme le moins « durable » et le plus dangereux pour la planète. ILS DOIVENT CHANGER . et vite !!!
Ce journaliste embrouillé nous apporte, aussi, cette radicale nouveauté de la "science" (sic) économique….où le riche est défini, juridiquement, scientifiquement, comptablement "comme qui vit sur le dos des autres" – ne voilà pas que l'inconscient du journalisme de droite "voit", perçoit, ressent la présence de cette disruption, de ces injustices béates d'inégalitarismes, de toutes les spoliations et délits qui « font » la richesse (si peu admirable – même si elle pouvait l’être dans d’autres circonstances), de tous ce vols légaux attribués aux riches, pires pillards , pires délinquants du système, alors?
Pendant ce temps, leur président U.S. " use de la planche à billets " pour les investissements publics. Si les gouvernements "usent de la planche à billets" par quelle magie peuvent-ils autant endettés envers le système financier: détournements de 15 % des avoirs publics en 30 ans ? prévarications ? intérêts particuliers sacrifiant l’intérêt général ? népotismes ? circuits d’enrichissements parallèles récompensant les soumissions idéologiques ? etc… user de la planche à billets, sans s’insérer dans un contexte global, sans vérifier les études d’impacts sur les autres pays de la Terre, n’est-ce pas prolonger l’injustice suprême « d’un système où les américains continuent de vivre à crédit sur le dos des autres " ?
Le journaliste, hyper complice d’un état de non droit, de non respect de la loi, de favoritisme envers la seule minorité de marginaux et d’asociaux capitalistes, nous abandonne dans un réel chaos mental…où tout est inversé, incohérent et rendu inapte à l’action et aux solutions…
Qui sont les vrais fauteurs de troubles, les dangers sociaux, les incitateurs au chaos ? Vraiment ce très désordonné journaliste qui sème partout les désordres mentaux !!!t
( à suivre)
trouvez un complément à cette réflexion sur le site internet freethewords.org, onglet 3 "Why do we left the left wings ?", onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" ou, encore, onglet 3 "Légalité de l'égalité".